La Hot-Line a de suite été renforcée car l’affluence est énorme. Les gens sont désespérés. Alors qu’ils étaient accueillis avec joie par les médecins lorsqu’ils voulaient se faire vacciner, maintenant qu’ils sont aux prises avec des problèmes de santé après l’injection, ils sont froidement ignorés. L’association fait le point – et tire une conclusion : l’accompagnement des victimes de la vaccination Covid sera désormais l’un des principaux sujets des médecins critiques.
En effet les médecins disent : « nous sommes au milieu d’une nouvelle pandémie, une pandémie de dommages causés par les vaccins dont on a longtemps été averti. La souffrance des personnes atteintes de dommages causés par les vaccins s’est vraiment abattue sur nous. Entendre les histoires de malheur dans un volume aussi dense vous fait crier de colère ou vous taire de désespoir. »
« Les gens se plaignent de symptômes neurologiques, de fatigue chronique, de problèmes cardiaques, de problèmes de coagulation, de sensations de brûlure dans tout le corps, de picotements nerveux et de douleurs chroniques. Beaucoup sont incapables de travailler depuis des mois et ont de grands besoins financiers. En plus des plaintes physiques, la déception et la perplexité face à l’ignorance dont ils font preuve sont particulièrement perceptibles. La plupart d’entre eux disent que les médecins ne les prennent pas au sérieux, c’est pourquoi ils dépendent de l’aide de proches ou essaient d’obtenir le soutien de ce type de hotline. »
Au printemps 2022, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a lancé une » alerte mondiale » au sujet d’une nouvelle forme d’hépatite grave qui tuait des enfants.
Puis, quelques jours seulement après l’annonce de l’OMS, une nouvelle étude scientifique a été publiée « par coïncidence », concluant que la vaccination Covid-19 a la capacité de provoquer une hépatite auto-immune grave.
Aujourd’hui, quelques mois plus tard, les autorités, avec l’aide des médias grand public, font régner la peur de Dieu chez les parents du Royaume-Uni en ce qui concerne la sécurité de leurs enfants, en raison d’une prétendue série de décès soudains d’enfants dus à ce qui est normalement une infection bactérienne bénigne appelée Strep A (Streptococcus A).
« L’Assemblée laisse peser une menace énorme sur les sols », se sont inquiétés les députés écologistes. Dans le cadre du projet de loi sur l’accélération de la production d’énergies renouvelables, les parlementaires ont en effet voté, mercredi 14 décembre, une série de mesures pour encadrer le développement du photovoltaïque sur des terrains agricoles. Certes, ce dernier est mieux encadré mais il sera surtout facilité, regrette l’opposition. Qui aurait souhaité que le solaire sur les toits et les friches soit priorisé.
Au cœur des débats, la définition de « l’agrivoltaïsme ». Cette pratique consiste en théorie à allier production alimentaire et énergétique. « C’est un outil d’adaptation au changement climatique », insiste Nathanaël Kasriel, de France Agrivoltaïsme, le syndicat du secteur. Concrètement, les panneaux solaires installés en plein champ sont censés offrir une ombre bienvenue aux troupeaux ou une protection salutaire aux vignobles exposés aux orages de grêle. Une dizaine de projets sont sortis de terre à peine, et environ 150 sont en développement, selon l’organisme.
Sauf que dans les faits, comme Reporterre a pu le constater lors d’une enquête, « certains ont fait n’importe quoi ». Serres photovoltaïques à moitié vides dans les Pyrénées-Orientales, projets urbains de « parc agrisolaire » abritant quelques moutons esseulés... Surtout, le terme a été largement récupéré pour vendre – et rendre acceptable – des projets solaires imposants sur des terres agricoles. « Ce mot ronflant d’“agrivoltaïsme” relève du marketing », dénonçait ainsi la Confédération paysanne dans une tribune. Il dissimule l’accaparement des terres agricoles par des sociétés de production d’énergie pressées de s’enrichir, sur le dos du monde paysan. »
La décision avait été prise il y a quelques mois : les Français réfractaires à l’installation de leur compteur Linky devront payer une somme allouée à compter de ce 1er janvier 2023.
[...]
D’après les chiffres, près de 10 % des compteurs en France ne seraient pas des Linky, soit environ 3,8 millions d’anciens compteurs toujours en fonction.
Parmi ces 10 %, il faut distinguer ceux qui le refusent délibérément et qui devront payer et ceux pour qui il n’a pas encore été possible de le poser.
Pour ceux qui ont refusé le compteur, Enedis va facturer les relevés opérés par des techniciens, pour un montant annuel de 61 euros, ce qui équivaut à environ 5 euros par mois [...].
Un autorelevé possible jusqu’en 2025
Cependant ceux qui refusent le compteur Linky, pourront s’abstenir de payer ce coût, seulement pendant deux ans.
Il leur suffira de relever eux-mêmes leur compteur et de le communiquer à Enedis. Résultat aucun technicien ne se déplacera et donc aucun frais ne sera imputé.
Mais cette méthode ne fonctionnera que jusqu’à fin 2024. Dès janvier 2025, il faudra choisir : le compteur Linky ou la facture.
La connexion continue peut être fatigante et entraîner des sentiments d’anxiété et de peur de manquer. Pour se déconnecter, certains jeunes ont décidé de se mettre au tricot ou adoptent les téléphones à clapet des années 2000. D’autres encore n’hésitent pas à se réclamer du luddisme.
La « preuve de réserves » de Binance suscite des doutes face à un rapport Mazars élusif, et des procureurs américains envisagent une inculpation pour blanchiment.
Mais sinon, allez-y les amis, continuez de croire que l’éco-système de cryptos est sain. Et bien non. Non seulement il n’est pas sain, mais en plus il est malsain et enfin, avant de pouvoir investir sereinement dans ce monde délirant, il faudra d’abord passer par le grand nettoyage des écuries d’Augias.
« Dans la foulée de la faillite de FTX, CZ, le patron de Binance, la plus grosse plateforme d’échange de cryptomonnaies au monde en termes de volumes d’échange, a lancé l’idée de la « proof of reserve », incitant les plateformes d’échange à dévoiler les détails de leurs réserves pour rassurer sur leur santé financière ». L’idée c’est de « prouver » que la société détient bien les bitcoins et les cryptos-actifs qu’elle dit détenir. Sauf que même cela ne prouve pas grand-chose.
L’administration indienne de l’impôt sur le revenu a averti les citoyens qu’ils devaient relier leur numéro de compte permanent (PAN) à leur numéro d’identification biométrique Aadhaar avant le 1er avril 2023, sous peine de voir leur PAN devenir non opérationnel.
En Inde, le PAN est nécessaire pour effectuer de multiples activités financières telles que la création de comptes bancaires, le dépôt d’argent, le négoce d’actions et l’achat ou la vente de biens immobiliers. Les Indiens peuvent relier leur PAN à Aadhaar sur le site Web du service des impôts après avoir payé 1 000 roupies (12 dollars).
Condamné en première instance et en appel pour « injures publiques » au président de la République, Michel-Ange Flori s'était pourvu en cassation. Emmanuel Macron et les tribunaux l'ont poursuivi jusqu'en appel. La condamnation a paradoxalement prouvé le bien-fondé de Michel-Ange Flori, puisque jamais Hitler et Pétain, auxquels Emmanuel Macron était comparé, n'auraient permis la critique. La cour de Cassation, elle, a jugé que l'humour était légal. Un petit pas dans la jurisprudence, mais un grand pas pour la liberté d'expression.
Petit rappel des faits.
Les chiffres officiels publiés discrètement par les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis confirment que près d’un demi-million d’enfants et de jeunes adultes sont morts depuis que la Food & Drug Administration a accordé pour la première fois l’autorisation d’utilisation d’urgence d’un vaccin Covid-19 aux États-Unis.
Cela a malheureusement entraîné près de 118 000 décès supplémentaires par rapport à la moyenne 2015-2019.
Les chiffres révèlent également qu’il y a eu jusqu’à présent 7 680 décès supplémentaires chez les enfants et les jeunes adultes en 2022 par rapport à la même période en 2020 au plus fort de la prétendue pandémie de Covid-19.
Mais l’année 2021 a été dans l’ensemble la pire année pour les décès chez les 0 à 44 ans, avec 291 461 décès excédentaires au total, soit près de 60 000 de plus qu’en 2020. Et selon les chiffres officiels du CDC, cela était principalement dû à une mystérieuse augmentation soudaine des décès chez les enfants et les jeunes adultes à partir de la semaine 31 environ.
Malheureusement, selon les données publiées par le gouvernement britannique, cette augmentation soudaine « mystérieuse » qui a contribué à la mort d’un demi-million d’enfants et de jeunes adultes américains depuis fin 2020, est très probablement due aux injections de Covid-19.
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C’est ne pas avoir réalisé son coup de force de juillet, à la faveur de la guerre. Il a fait interdire tous les partis politiques qui s’opposaient à lui ; assassiner les personnalités qui lui résistaient ; contrôler tous les médias, écrits, audiovisuels et internet ; interdire la langue russe ; détruire 100 millions de livres ; confisquer de nombreux biens des oligarques, y compris de celui qui l’a personnellement financé ; nationaliser les biens des investisseurs et sociétés russes ; et enfin interdit l’Église orthodoxe.
Ce faisant, il se conforme à l’objectif énoncé en 1996 dans la Constitution (art. 16) par les « nationalistes intégraux » : « préserver le patrimoine génétique du peuple ukrainien » (sic). C’est l’ethnopolitique, c’est-à-dire une politique reconnaissant les droits des individus, mais fondée sur l’ethnie ukrainienne.