Après une lettre d’excuse du 10 janvier 2022 sur le site internet du magazine franco-israélien « Israël Magazine », Dieudonné s’est excusé auprès de ceux qu’il a pu blesser, en particulier envers les membres de la communauté juive. Une fois la lettre lue en direct sur TPMP par Cyril Hanouna, l'impact s'est fait retentir et Dieudonné ne peut que le constater "Pour moi ces derniers jours furent riches en émotion, en rebondissements, le téléphone n'arrête pas de sonner, ma messagerie est pleine."
Pardonner, c’est faire table rase, parler sincèrement, calmement, dans un respect mutuel. Le pardon ne signifie pas renier ses convictions, c’est les partager, c’est trouver le moyen que chacun puisse faire un pas vers l’autre. Il est toujours possible de gagner sans passer par le pardon, mais cela signifierait écraser l’autre. Loin de vouloir cette option, Dieudonné explique son geste dans cette vidéo.
« C’est vrai, j’ai parfois été trop loin et fais preuve d’outrances, de provocations déplacées. Pour toutes ces fautes et excès, je demande pardon. »
Condamné en première instance et en appel pour « injures publiques » au président de la République, Michel-Ange Flori s'était pourvu en cassation. Emmanuel Macron et les tribunaux l'ont poursuivi jusqu'en appel. La condamnation a paradoxalement prouvé le bien-fondé de Michel-Ange Flori, puisque jamais Hitler et Pétain, auxquels Emmanuel Macron était comparé, n'auraient permis la critique. La cour de Cassation, elle, a jugé que l'humour était légal. Un petit pas dans la jurisprudence, mais un grand pas pour la liberté d'expression.
Petit rappel des faits.
Alors que la critique de la presse donne une note de 1,8, en revanche du côté des spectateurs la note est de 4,2. Nous rappelons à la presse que la moyenne par séance du film "Le monde d'après" est de 90 spectateurs, alors que la moyenne française est de 9 personnes. On peut en conclure que son succès est indéniable. "Je fais dix fois mieux que ce que fait le cinéma actuellement", nous dira Laurent Firode.
En marge de ce système — et voulant rester libre —, le réalisateur Laurent Firode bricole de main de maître sans subventions, hors des circuits classiques : « Je pense qu’il y a un moyen de contourner ce système omniprésent, qui ne crée que des films toujours semblables. »
L'humoriste George Carlin est à l'origine d'une loi — bien malgré lui — de la Cour suprême des États-Unis. Il s'agit d'une liste de sept mots obscènes interdits à la télé américaine : shit, piss, motherfucker, cocksucker, fuck, cunt et tits. Si vous ne les connaissez pas — ou ne les devinez pas — vous les trouverez sur internet, sans aucun doute. Bien entendu George Carlin ne s'est jamais gêné pour les employer. À sa mort, selon ses dernières volontés, ses cendres ont été dispersées devant diverses boîtes de nuit où il a joué à New York.
« J’en ai marre de ces stars écolos cocaïnées du cinéma et de la musique »