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2025 : Joël Labruyère

Joël Labruyère2025 pour les élites mondialistes

Joël Labruyère - 25 juil 2024

2025, date clé dans la manifestation de l’antéchrist, le plan des élites occultes, les forces en présence et les enjeux ?

   

Entretien autour du thème abordé dans la chanson des Brigandes "d'ici 2025": explications sur les prophéties annonçant 2025 comme date clé dans la manifestation de l'antéchrist, le plan des élites occultes, les forces en présence et les enjeux.

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lettre de Mel Gibson à Mgr Vigano

Aube DigitaleMel Gibson écrit une lettre de soutien à Mgr Viganò

Aube Digitale - 12 juil 2024

Mel Gibson écrit une lettre de soutien à l’archevêque du Vatican, Mgr Viganò : L’excommunication par le pape François est un « honneur ».

   

Dans une lettre publiée samedi sur le site web du journaliste italien Aldo Maria Valli, l’acteur de la franchise cinématographique Lethal Weapon a déclaré à Viganò que c’était un témoignage de son courage et de son intégrité que d’être « évité par la fausse Église postconciliaire », qualifiant le pape François, alias Jorge Bergoglio, d' «illégitime ».

« Vous avez toute ma sympathie pour avoir subi publiquement cette grave injustice. Pour moi et beaucoup d’autres, vous êtes un Héros très courageux », a écrit Gibson.

« Comme toujours, vous avez mis le doigt sur le problème de l’illégitimité de François », a noté Gibson.

« Bien sûr, être appelé schismatique et excommunié par Jorge Bergoglio est comme un insigne d’honneur quand vous considérez qu’il est un apostat total et qu’il vous expulse d’une fausse institution ».

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La lettre de l’acteur de Braveheart est arrivée alors que le Vatican a annoncé vendredi dernier qu’il avait excommunié Viganò en raison d’un « schisme » avec l’église pour avoir refusé de reconnaître l’autorité du pape François, qu’il a qualifié de « serviteur de Satan ».

« L’excommunication signifie que Viganò ne peut pas officiellement accepter les sacrements catholiques, y compris la communion, ordonner des prêtres ou officier la messe », a rapporté le Washington Post.

Viganò avait ouvertement critiqué le pape François, notamment sa gestion des allégations d’abus sexuels, son soutien aux vaccins contre le COVID-19, la Grande Réinitialisation du Forum économique mondial et la promotion d’une église « inclusive, immigrationniste, éco-durable et gay-friendly ».

Gibson, un fondamentaliste catholique, a également beaucoup critiqué la persécution par le pape François de prêtres et d’archevêques censés remettre en question l' »Église contrefaite ».

« Cher archevêque,

Je suis sûr que vous n’attendiez rien d’autre de Jorge Bergoglio.

Je sais que vous savez qu’il n’a aucune autorité – je ne suis donc pas sûr de l’effet que cela aura sur vous à l’avenir – j’espère que vous continuerez à dire la messe et à recevoir les sacrements vous-même – c’est vraiment un insigne d’honneur que d’être rejeté par la fausse Église postconciliaire.

Vous avez toute ma sympathie pour avoir subi publiquement cette grave injustice. Pour moi et pour beaucoup d’autres, vous êtes un héros très courageux.

Comme toujours, vous avez mis le doigt sur l’illégitimité de François. Vous exprimez les problèmes fondamentaux de l’institution qui a éclipsé la véritable Église et j’applaudis votre courage d’exprimer cela, mais plus encore de maintenir la fidélité à la véritable Église !

Vous êtes un Athanase des temps modernes ! J’ai beaucoup de respect pour la façon dont vous défendez le Christ et son Église. Je suis d’accord avec vous à 100% sur le fait que l’église post-conciliaire de Vatican II est une église contrefaite. C’est pourquoi j’ai construit une église catholique qui ne pratique que le culte traditionnel. Vous êtes le bienvenu pour venir y dire la messe à tout moment.

Bien sûr, être appelé schismatique et excommunié par Jorge Bergoglio est comme un badge d’honneur quand on considère qu’il est un apostat total et qu’il vous expulse d’une fausse institution.

Rappelez-vous que le vrai schisme exige l’innovation, quelque chose que vous n’avez pas fait mais que Bergoglio fait à chaque respiration

C’est donc lui le schismatique ! Cependant, il s’était déjà ipso facto excommunié lui-même par ses nombreuses hérésies publiques (canon 188 du code de 1917).

Comme vous le savez déjà, il n’a pas le pouvoir de vous excommunier puisqu’il n’est même pas catholique.

Alors réjouissez-vous ! Je suis avec vous et j’espère que Bergoglio m’excommuniera aussi de sa fausse église.

Bergoglio et ses cohortes ont les vêtements et les bâtiments, mais vous avez la foi.

Que Dieu vous bénisse et vous garde. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, il suffit de demander, je ferai de mon mieux pour vous aider.

Avec mon admiration et mon respect éternel. »

Mel Gibson

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le satanisme

Réseau InternationalLe courant sataniste

Réseau International - 10 juil 2024

Un article présentant une exposition démoniaque (ndlr les œuvres ont été retirées depuis) avec des photos très éloquentes dans une église m’interpelle vivement. Il confirme une tendance actuelle – ou du moins de plus en plus mise en évidence – de l’adoration de Satan sous la forme de différents rituels.

   

Comment définir Satan ?

À l’église St-Aubin d’Épinay, le peintre met son art à disposition de l’expression de l’entité Satan. Qu’éprouvons-nous face à de telles images ? Qu’éveillent-elles en notre for intérieur ?

Il n’est pas anodin que ces œuvres soient placées en-dessous d’une toile du XVIIe siècle représentant l’Assomption.

Nous trouvons là une illustration très patente du satanisme, courant qui vénère les anciens anges déchus et leur chef Satan. Ainsi, tombé du ciel, un ange déchu ne perd pas tous ses pouvoirs et garde une certaine puissance.

Satan a la fonction de tentateur. On peut dire qu’il a pour rôle de venir insuffler en tous temps l’impulsion de nous écarter du chemin de l’unité et de la pureté.
Les tentations

À toute époque, on repère des tentacules tentatrices. Ainsi les élans de découvrir le monde se sont contractés en des impulsions colonisatrices allant jusqu’à la destruction de certaines cultures voire de certains peuples. À l’ère actuelle, la tentation surgit dans d’autres dimensions tel un sentiment de superpuissance sur des éléments extérieurs à l’individu en soi.

Prenons l’exemple développé par un anthropologue de la santé qui pose pertinemment la question : «Le pédo-satanisme gouverne-t-il le monde ?» En réalité, les enfants ne cherchent pas à séduire, ils expriment librement leur candeur et leur grâce. Or des adultes se soumettent à leurs impulsions tentatrices sans tenir compte des Principes de Vie.
La tentation du toujours plus

Sur un tout autre plan, on voit des personnes enfler démesurément leurs fortunes, pour leur propre gloire, jouissant du paramètre de la fortune et oubliant le précepte «Chasse pour ta faim et non pour ton plaisir».

Cette tentation des gains se trouve aussi dans le monde des crytomonnaies où divers sites proposent des accroissements considérables, de plus en peu de temps, déconnectés de tout effort créatif de ceux qui se prêtent au jeu.

Nous découvrons actuellement la tentation de changer de sexe chez certaines personnes qui n’acceptent pas la réalité que la biologie leur donne. Ils se laissent porter par des ressentis plus ou moins passagers – pensons à tous ceux qui détransitionnent – et ne tiennent pas compte des évolutions propres au corps humain. La tentation d’effectuer les mutations est soutenue par la séduction que leur donnent la médecine et la chirurgie de pouvoir les effectuer. La réalité incarnée s’avère bien plus compliquée, douloureuse et lourde de conséquences.

Une pédiatre et oncologue, riche de sa longue carrière, «met en garde face aux conséquences irréversibles de cette transition de genre qui passe par des opérations très lourdes, des traitements médicaux à vie, le phénomène d’isolement social, de malaise post-transition, les risques vitaux liés tels qu’une mortalité accrue ou un taux de suicide élevé».

Satan n’est pas gratuit en ce sens qu’il coupe du pouvoir créateur, d’où la stérilité des transgenrés. Ce qui laisse songeur, c’est toute la part des frais qui reviennent à l’assurance maladie censée protéger la santé donc l’intégrité des individus… À quoi s’ajoute le fait d’imposer une participation à tous les citoyens.

La tentation du transhumanisme est une conséquence de la séduction par les progrès des sciences et du développement de la technologie afin de modifier l’être humain en augmentant certaines de ses capacités physiques et mentales. Le prix à payer en est la déconnexion du système sensible. Un professeur émérite évoque «la déconstruction de l’humanité».

«Le pionnier de l’intelligence artificielle se dit favorable à la destruction de l’humanité, nous avons le fin mot de l’ambition trans-humaniste, l’homme réparé puis augmenté pourra ou devra : tourner la page de l’humanité. Lors d’une récente conférence, Geoffrey Hinton, a répondu de manière étonnante lorsqu’on lui a posé une question sur le remplacement des humains par l’IA superintelligente. Il se dit favorable au remplacement de l’Homme par l’IA. «En fait, je suis pour, Il y a beaucoup de bons et de moins bons aspects de l’humanité. Il n’est pas clair que nous soyons la meilleure forme d’intelligence qui soit»». On retrouve là le pouvoir séducteur de Satan qui propose une «superintelligence».

La tentation de la 5G – Alors que les populations locales s’inquiètent quant aux effets sur le vivant de pareilles antennes, «la promesse de la 5G semble alléchante pour tous ceux qui courent après le temps : réduire le temps de latence, augmenter la masse de données à envoyer et recevoir, possibilité de connecter de nombreux appareils en simultané…»

Le prix à payer sur un autre plan nous est dénoncé par la porte-parole du parti Equinoxe : «des addictions de plus en plus fréquentes chez les jeunes : «Les moins de 30 ans n’ont jamais été autant consommateurs de psychotropes, n’ont jamais autant séjourné en hôpital psychiatrique. On a un rapport à la technologie qui nous enferme et qui fait beaucoup de dégâts auprès des plus jeunes»»

Que désirons-nous vraiment ? À chaque pas de notre existence, la tentation et la séduction nous proposent de visiter un club de Satan. Allons-nous être alléchés par ses invitations ou décidons-nous de poursuivre notre ascension de la pyramide de la vie afin d’atteindre toujours plus de lumière et d’unité ?

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Vigano excommunié met en garde la pape et les mondialistes

Aube DigitaleL'archevêque excommunié Viganò met en garde le pape et les mondialistes

Aube Digitale - 10 juil 2024

L’archevêque Carlo Maria Viganò, qui a récemment été excommunié par le Vatican pour avoir dénoncé ses liens avec le monde, a lancé la semaine dernière un terrible avertissement selon lequel l’Église est attaquée par les forces mondialistes.

   

« La quatrième révolution théorisée par Klaus Schwab et la famille de la finance internationale trouve en [le pape François] Bergoglio non pas un spectateur neutre, ce qui serait déjà en soi une chose inouïe, mais en réalité un coopérateur zélé qui abuse de sa propre autorité morale afin de soutenir ab extra, en dehors de l’Église, le projet de dissolution de la société traditionnelle », a déclaré Mgr Viganò dans une déclaration vidéo.

« Alors qu’ab intra, au sein de l’Eglise, il poursuit le projet de démolition de l’Eglise pour la remplacer par une organisation philanthropique d’inspiration maçonnique ».

« Et c’est scandaleux. Cela vaut pour les deux, pour le monde civil et ecclésiastique, confirmant la conspiration criminelle entre l’État profond et l’Église profonde », a-t-il ajouté.

« Il me semble que dans cette conspiration, le rôle du jésuite a été décisif, ce n’est pas une coïncidence que pour la première fois dans l’histoire, un religieux de la Compagnie de Jésus soit assis sur le trône de Pierre », a-t-il ajouté.

Viganò a ouvertement critiqué le pape François, notamment pour sa gestion des allégations d’abus sexuels, son soutien aux vaccins contre le COVID-19, la grande remise à zéro du Forum économique mondial et la promotion d’une Église « inclusive, immigrationniste, écodurable et favorable aux homosexuels ».

L’ancien ambassadeur du pape aux États-Unis a également remis en question la légitimité de François en tant que pontife.

Pour ses critiques, Viganò a été excommunié pour schisme, défini comme le retrait de la soumission au pontife suprême ou de la communion avec les membres de l’Église qui lui sont soumis.

« Ses déclarations publiques manifestant son refus de reconnaître le Souverain Pontife et de s’y soumettre, son rejet de la communion avec les membres de l’Église qui lui sont soumis et de la légitimité et de l’autorité magistérielle du Concile Vatican II sont bien connues », a déclaré le Vatican dans un communiqué publié après la décision du Dicastère pour la Doctrine de la Foi.

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le déclin de la spiritualité

Nicolas BonnalRudolf Steiner : le Culte des vaccins et le déclin de la spiritualité en Europe

Nicolas Bonnal - 01 juil 2024

On n’a pas assez relié le développement des vaccins avec la disparition des génies artistiques et littéraires en occident : à partir des années 1880, ils se raréfient au niveau de naissances, ensuite ils disparaissent.

   

Qui a succédé à Broch, Musil, Strauss, Ravel, Céline, Bernanos, Bartok ou Ives ? La disparition de la grande culture pressentie par Zweig dans les années trente est une donnée du monde d’après 1945.
On entre dans l’ère du citoyen superflu dont parle Nietzsche dans Zarathoustra, citoyen tellement superflu qu’il se laisse emprisonner et exterminer sans réagir. La culture devient du savoir congelé (Debord) ou de la pensée et de la musique jetable. La poésie a disparu : tout ce qui importe c’est de jouir et survivre. La panique Covid et le code QR n’ont pas d’autre cause.

Le déclin de la spiritualité accompagna aussi la modernité et ses vaccins (voyez ce pape et ces cathos) ; et c’est là que je vais reprendre Rudolf Steiner et ses conférences de 1917. Steiner est un grand esprit qui n’est pas ma tasse de thé, pas plus que Lévi-Strauss. Je les cite ici parce qu’ils ont raison ou ouvrent une vraie question sur un certain point de la monstruosité moderne. Quod verum est meum est, comme dit Sénèque à Lucilius (lui oui est un de mes maîtres).

Steiner voit donc le vide spirituel arriver avec son cortège de démons :

« En fait, rien ne reste tout a fait vide. Et dès lors que l’âme de l’homme se retire de plus en plus de son corps, celui-ci est de plus en plus exposé au danger d’être habité par autre chose. Si les âmes ne veulent pas faire effort pour s’ouvrir à des impulsions spirituelles qui ne peuvent prendre naissance que dans la connaissance du spirituel, le corps sera habité par des êtres démoniaques. Voilà le sort vers lequel marche l’humanité ; les corps peuvent être entièrement habités par des puissances ahrimaniennes démoniaques. »

Il est bon, disait Léon Bloy (qui redoutait Pasteur comme la peste) d’exaspérer les imbéciles et de rafraîchir l’imagination des bons chrétiens ; alors poursuivons dans la même veine :

« La nostalgie du diable qu’a ressentie Ricarda Huch a vraiment un lien avec ce qui se prépare. Les institutions, les concepts, les idées sociales que conçoivent aujourd’hui les gens sont des abstractions grossières par rapport aux conditions complexes qui vont se créer. Et parce que les humains ne sont pas capables de saisir à l’aide de leurs concepts, de leurs représentations, la réalité qui est là, ils glissent de plus en plus au chaos, comme le révèlent suffisamment les évènements de cette guerre. »

Car on est en 1917. Steiner ajoute :

« Autrefois, au concile de Constantinople, l’esprit a été éliminé, on a institué un dogme : l’homme n’est fait que d’une âme et d’un corps, parler d’esprit est une hérésie. On aspirera sous une autre forme à éliminer l’âme, la vie de l’âme. »

Si un christianisme déjà dévoyé a éliminé l’esprit, le scientisme moderne élimine, lui, l’âme ; c’est là que le vaccin va l’aider :

« Dans le passé, on a éliminé l’esprit. On éliminera l’âme au moyen d’un médicament. En partant d’une « saine vue des choses », on trouvera un vaccin grâce auquel l’organisme sera traité dès la prime jeunesse autant que possible, si possible dès la naissance même, afin que ce corps n’en vienne pas à penser qu’il existe une âme et un esprit. »

Seul le corps doit rester, l’âme et l’esprit doivent disparaître :

« Les autres, les successeurs des actuels matérialistes, chercheront le vaccin qui rendra les corps « sains », c’est à dire constitués de telle façon qu’ils ne parleront plus de ces sottises que sont l’âme et l’esprit, mais, parce qu’ils seront « sains », des forces mécaniques et chimiques qui, à partir de la nébuleuse cosmique, ont constitués les planêtes et le Soleil. On obtiendra ce résultat en manipulant les corps.é

Rôle du médecin moderne :

« On confiera aux médecins matérialistes le soin de débarrasser l’humanité des âmes. Oui, ceux qui croient qu’on peut prévoir l’avenir à l’aide d’idées qui jouent avec la réalité, sont bien dans l’erreur. »

La liquidation spirituelle des enfants est déjà à l’ordre du jour :

3Je vous ai expliqué que les esprits des ténèbres souffleront à leurs hôtes, aux hommes qu’ils habiteront, de découvrir un vaccin qui puisse dès la prime jeunesse, par la voie du corps, extirper la tendance à la spiritualité. On vaccine aujourd’hui contre telle ou telle maladie, à l’avenir, on vaccinera les enfants à l’aide d’un produit que l’on peut trés bien composer, et qui empêchera les enfants de développer en eux les « folies » de la vie spirituelle, « folie » dans la perspective matérialiste, bien entendu.

C’est à cette époque très freudienne qu’on cherche à traiter chimiquement ou cliniquement les génies :

« La chose a déjà commencé, dans le domaine littéraire du moins, où elle est moins nocive. Des écrits de médecins trés savants ont déjà paru qui traitent de la pathologie de différents génies. Conrad Ferdinand Meyer, Victor Scheffel, Nietzsche, Schopenhauer, Goethe, on a essayé de les comprendre tout en faisant état de tel ou tel trait pathologique avéré. Et ce qui est le plus bouleversant dans ce domaine, c’est qu’on a aussi essayé de comprendre le Christ Jésus et les Évangiles en se plaçant au point de vue de la pathologie. »

Les siècles du totalitarisme et des camps de concentration arrivent. Dans un esprit proche de Guénon et de Bernanos, Steiner écrit :

« Mais tout cela vise à trouver pour finir le moyen de vacciner les corps afin que ne s’y développe pas la tendance aux idées spirituelles, et que leur vie durant les hommes ne croient qu’à l’existence de la matière que perçoivent les sens. Tout comme on vaccine contre la phtisie, on vaccinera contre la tendance à la spiritualité. »

Cela explique très certainement la faible résistance à la tyrannie sanitaire et au Reset. Les peuples abêtis et grégaires ont été anesthésiés (cf. Payne et aussi Ortega Y Gasset) par le consumérisme, la massification, les médias mais aussi par les vaccins. Le culte obligatoire des vaccins actuels, promu par 99% des élites mondiales et par ce pape monstrueux, n’est certes pas fortuit.

Nicolas Bonnal

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Immaculée Conception de Murillo

Revolution 2030 : autre sourceVladimir Soloviev : L'Immaculée Conception et la divine Sophia

Revolution 2030 : autre source - 25 mai 2024

En faisant de la divine Sophia sa “ compagne éternelle ”, Soloviev s'inscrit dans la ligne biblique et patristique, puis franciscaine, de cette esthétique mystique qui est le fruit suprême de notre tradition de sainteté catholique.

   

Si l'œuvre immense, puissante de Vladimir Soloviev, avait été mieux reçue et goûtée en Occident, nous aurions évité l'engouement puéril et stérile d'hier pour les chimères impies de Teilhard de Chardin, et d'aujourd'hui pour la gnose des savants de Princeton ou de M. Brzezinski, membre de la Trilatérale et ami de Karol Wojtyla, père des chimères mondialistes qui affolent les esprits de notre époque.

La sagesse de Soloviev est avant tout une sagesse surnaturelle, inspirée par l'Incarnation du Verbe et fidèlement développée selon toutes les dimensions nouvelles, prodigieusement étendues, que les sciences modernes ont donné à notre monde et à son histoire.

Son œuvre géniale trouve son origine dans la contemplation de la Sagesse de Dieu à l'œuvre dans le monde et dans l'histoire, créant une mystérieuse harmonie ou beauté, que le Philosophe russe nomme l'Âme du monde ou SOPHIA, la Sagesse. Comme saint Irénée, Soloviev fuit les gnoses, rêveries d'apparence mystique et scientifique, pour prendre comme objet de son savoir le réel, le seul réel. Mais il y applique toutes les lumières et puissances de son esprit, conjointement, celles de la foi, de la raison, de l'expérience. Il reçoit comme une lumière souveraine la Révélation chrétienne. Acceptant, unifiant tout, ce savoir devient une sagesse divino-humaine qu'il nomme Théosophie.

L'INTUITION DE LA BEAUTÉ

Il y a une beauté universelle, absolument stupéfiante, qui attire l'âme dans une contemplation heureuse, sûre, sage, obéissante, d'où elle retire des trésors de sagesse, richesses nouvelles et anciennes (Mt 13, 52), en raison desquels elle accepte plus aisément, saintement, de soumettre sa raison trop courte et sa volonté dispersée, dans l'ordre politique même, enfin à la sagesse souveraine de Dieu.

C'est la beauté du monde qui est la grande aimable maîtresse et inspiratrice de l'homme, et surtout depuis le Christ. Soloviev l'appelle de noms merveilleux : Sophia,la Sagesse ou l'Âme du monde,retrouvant les sources bibliques et grecques de l'esthétique mystique. À égale distance du monisme panthéiste et du scientisme matérialiste, il voit Dieu dans le monde et non pas cependant confondu avec lui. Dieu ne peut être très loin d'un univers qu'Il a créé, qu'Il ne cesse de tenir dans l'être et conduire dans son devenir. Bien plutôt Il s'en rapproche, Il y descend, Il s'y incarne, Il s'en fait le centre actif pour le prendre à Lui comme son corps et son vêtement et sa demeure. Il pénètre tout pour tout ramener et réunir à Lui. La vocation de toute chair est d'entrer dans ce jeu de l'Amour, de se laisser épouser et d'en produire les fruits de lumière et de vie.
AU NOM DE LA SAINTE SOPHIE !

Dans sa quête de la Sagesse éternelle, Soloviev a recueilli l'héritage d'une tradition chère au peuple russe. Dans son ouvrage, Saint Vladimir et l'État chrétien, il rapporte le trait suivant :

En 988, les envoyés du Prince, après avoir assisté à la liturgie dans la basilique Sainte-Sophie de Constantinople, rapportèrent à leur maître : « C'était un spectacle d'une telle beauté que c'est certainement là que Dieu demeure avec les hommes. Nous ne savions plus si nous étions au ciel ou sur la terre. » Vladimir, qu'on appelle dans la tradition russe “le Baptiste”, fit élever à Kiev un temple en l'honneur de la Sainte Mère de Dieu, laissant à son fils, Iaroslav “le Sage”, le soin d'en édifier un autre en l'honneur de Sainte Sophie.

Dans le même temps, c'est de Novgorod, capitale des terres du Nord, que se répandait avec ferveur la vénération pour la Sainte Sophie. Une première église en bois dédiée à la Sophia, élevée en 989, fut remplacée au milieu du XIe siècle par l'actuelle cathédrale de pierre, légendaire avec ses treize coupoles dorées, qui devint le modèle de tous les édifices sacrés du monde slave. « Parmi les saints de Novgorod, on retrouve le même élan chez les saints princes, tel saint Alexandre Nevsky (1220-1263), défenseurs de la terre russe, prompts à mourir “ au nom de la Sainte Sophie ”, comme disait le cri de guerre des troupes de Novgorod, chez les évêques (on en compte vingt-trois canonisés) et chez les moines, fondateurs de monastères... » (Engelina Smirnova, Les icônes de Novgorod , Russia Christiana, 1997, p.1)

Novgorod fut jusqu'au XIVe siècle le centre religieux et artistique de la Russie du Nord. Son palladium était l'icône de “la Mère de Dieu du Signe”, établie gardienne de Sainte-Sophie depuis le miracle survenu en 1170. La ville étant assiégée par de cruels ennemis, l'archevêque Jean, en prière, entendit une voix qui lui ordonnait de prendre l'icône de la Mère de Dieu dans l'église et de l'élever comme un étendard contre les ennemis. L'archevêque vit que des yeux de la Vierge jaillissaient des larmes. « Et le Seigneur se mit en colère contre les ennemis et Il les entoura de ténèbres, si bien qu'ils commencèrent à combattre les uns contre les autres et à se donner mutuellement la mort. »

Or, la Vierge de l'icône miraculeuse était représentée comme le “Siège de la Sagesse”, portant son Enfant, le Verbe de Dieu créateur, en médaillon sur sa poitrine et, « levant les bras dans le geste de la prière, elle trace idéalement les contours d'un calice dans lequel le Christ s'offre en sacrifice pour sauver l'humanité. C'est donc le mystère de l'Incarnation et de la Rédemption qui apparaît d'abord, et que la Sagesse achève à travers le temple vivant de la Vierge » (Smirnova).

On pourrait multiplier ainsi, au long des siècles, les preuves de la surprenante vénération du peuple russe à l'égard de la divine “Sophia”. On imagine la jubilation intime d'un Soloviev de renouer ainsi avec la foi de ses pères. Il écrit : « En dédiant ses plus anciens temples à Sainte Sophie, la Sagesse substantielle de Dieu, le peuple russe a donné à cette idée une expression nouvelle inconnue aux Grecs (qui identifiaient la Sophia avec le Logos). Tout en rattachant intimement la Sainte Sophie à la Mère de Dieu et à Jésus-Christ, l'art religieux de nos ancêtres la distinguait nettement de l'une et de l'autre, en la représentant sous les traits d'un être divin particulier. »

[...]

« Toute sagesse vient du Seigneur...
Avant toute chose, elle fut créée.
La racine de la sagesse, à qui fut-elle révélée ?
Ses sources, qui les connaît ?
Il n'y a qu'un être sage, très redoutable
quand il siège sur un trône: c'est le Seigneur.
C'est lui qui l'a créée, vue et dénombrée,
répandue sur toutes ses œuvres. »

Eccl., 1

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Entretien : Civitas International

Égalité et RéconciliationLes entretiens de Paul Verbeke – Alain Escada

Égalité et Réconciliation - 21 mai 2024

Paul Verbeke s’est rendu à Bruxelles pour s’entretenir avec Alain Escada le 13 avril 2024

   

Au sommaire :

00:01:00 - Violence et répression
00:13:30 - Le spectacle électoral
00:38:13 - La culture de mort
00:56:00 - Lisez !
01:11:05 - La justice sociale

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Gaïa être vivant

ReporterreGaïa, histoire d’un concept

Reporterre - 16 mai 2024

L’« hypothèse Gaïa », qui considère la Terre comme un être vivant s’autorégulant, est entrée dans le champ scientifique en 1974. Un concept controversé mais toujours influent selon l’historien des sciences Sébastien Dutreuil.

   

En 1974, un article au titre énigmatique parut dans la revue scientifique Tellus : « Atmospheric homeostasis by and for the biosphere : the gaia hypothesis » (« L’homéostasie atmosphérique par et pour la biosphère : l’hypothèse Gaïa]. Coécrit par James Lovelock, scientifique britannique indépendant, et la biologiste étasunienne Lynn Margulis, le texte formulait l’hypothèse d’une Terre autorégulée, à la manière d’un être vivant. Ils la baptisèrent « Gaïa », du nom de la déesse grecque antique. Cette hypothèse suscita bien vite l’ire des biologistes de l’évolution et nourrit une controverse d’une dizaine d’années, au terme de laquelle « l’hypothèse Gaïa » finit par charrier un parfum de scandale dans la communauté scientifique, hormis une poignée de fidèles de Lovelock.

Du moins, tel est le récit maintes fois répété par Lovelock lui-même. Or, comme le montre l’historien des sciences Sébastien Dutreuil dans son ouvrage Gaïa, terre vivante (La Découverte) au terme d’une plongée dans les archives de Lovelock et de Margulis, Gaïa n’a pas été contestée en tant qu’hypothèse, mais en raison de sa double nature : elle est à la fois un programme de recherche scientifique et une philosophie de la nature à vocation politique.

Cet essai prolonge la thèse que Sébastien Dutreuil avait consacrée à la formulation de Gaïa. Fin connaisseur de la naissance du concept, l’auteur ambitionne de dépasser la controverse pour resituer Gaïa dans son contexte scientifique. Car Gaïa était alors loin d’être la seule théorie holiste en vigueur.

Depuis la Seconde Guerre mondiale, de nouvelles « théories de la Terre » pensaient, à la manière des philosophes du XVIIIᵉ siècle, le globe dans son intégralité et non pièce par pièce comme la géologie du XIXᵉ siècle. Mais la plupart d’entre elles négligeaient un élément crucial : la vie. La géophysique, soutenue par les gouvernements étasunien et soviétique en pleine Guerre froide en raison de sa capacité de surveillance planétaire, réduit le globe à un ensemble de mécanismes physiques ; la géochimie à une vaste usine chimique ; et la métaphore du « vaisseau spatial Terre » à un objet inerte à placer entre les mains d’une élite technocratique.

De ce point de vue, Gaïa doit être envisagée comme « une certaine manière de concevoir la Terre, alternatives aux autres conceptions globales de la seconde moitié du XXᵉ siècle ». Sa singularité : mettre en lumière « la prodigalité vitale » grâce à laquelle l’ensemble des vivants — que Dutreuil regroupe sous le nom de « Vie », un méta-individu — modifie les mécanismes chimiques et physiques à la surface du globe et la maintient habitable.

Loin d’être une simple hypothèse, Gaïa inspira un cadre de recherche inédit, qui se concrétisa une dizaine d’années plus tard à travers l’International Geosphere-Biosphere Program (IBGP), soutenu par les instances de l’ONU. Bien que l’IBGP soit nettement moins célèbre que le Giec ou l’IBPES, ses concepts, eux, sont bien connus de l’opinion publique, qu’il s’agisse des limites planétaires et de la barre des 2 °C à ne pas franchir, des points de bascule à surveiller ou encore, plus récemment, de l’Anthropocène. Toutefois, les sciences du système Terre ont beau s’inscrire dans la filiation de Lovelock et de Margulis, elles ne revendiquèrent jamais ouvertement — jusqu’il y a peu — l’héritage de Gaïa, jugé trop sulfureux.

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Le Père Adam Skwarczynski

Révolution 2030 : Autre sourceJ'ai visité les nouveaux cieux

Révolution 2030 : Autre source - 13 mai 2024

Un prêtre mystique polonais nous parle de ce qui s'en vient.

   

Le Père Adam Skwarczynski est un prêtre charismatique polonais qui est également mystique et a reçu des visions depuis son enfance sur le futur de l'humanité.

Père Artur Migas l'a interrogé sur ses opinions concernant l'Avertissement et la Parousie (seconde Venue du Christ).

L'histoire du Père Père Adam Skwarczynski est particulièrement importante pour le moment historique que nous vivons dans le monde et dans l'Église. Il nous parle dans la vidéo de l'Avertissement, de la persécution des chrétiens, du châtiment que Dieu enverra, mais surtout "des nouveaux cieux et de la terre nouvelle" qui viendront après ces évènements...motif de grande espérance !

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sur l'existence du Christ

Le Media en 4-4-2Le Christ n’est pas un mythe !

Le Media en 4-4-2 - 28 avr 2024

La réponse du philosophe Matthieu Lavagna à Michel Onfray.

   

Dans son ouvrage "Libre réponse à Michel Onfray "Non, le Christ n'est pas un mythe", le jeune philosophe Matthieu Lavagna réfute la théorie de l'auteur athée Michel Onfray selon laquelle Jésus de Nazareth n'aurait jamais existé. Matthieu Lavagna s'appuie sur de nombreuses sources historiques pour prouver l'existence du Christ et répond aux arguments les plus courants contre le christianisme.

Michel Onfray défend depuis plus de 25 ans l’idée que Jésus de Nazareth n’aurait pas eu d’existence historique et que le christianisme serait un mythe. Cependant, Matthieu Lavagna explique que cette théorie n’est pas fondée et qu’il existe de nombreuses sources, à la fois chrétiennes et non chrétiennes, qui mentionnent l’existence du Christ dans les deux premiers siècles.

Parmi les sources non chrétiennes, le jeune philosophe cite Flavius Josèphe, Tacite, Suétone, Lucien de Samosate, Pline le Jeune, Galien, le Talmud de Babylone, Celse et Mara bar Serapion. En plus de ces sources, il existe également des sources chrétiennes, telles que les évangiles, les épîtres de Paul, les Actes des Apôtres et les épîtres de Pierre et de Jacques, qui mentionnent l’existence de Jésus.

Matthieu Lavagna souligne que même les Juifs, qui étaient les ennemis des chrétiens, n’ont pas remis en question l’existence du Christ. Il explique également que les sources historiques mentionnant Jésus sont beaucoup plus nombreuses que celles mentionnant d’autres figures historiques de l’époque, telles que Jules César.

Yoann

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
Satan vu par l'IA

InsolentiaeSatan vu par les hommes et Satan vu par l’IA, problème !

Insolentiae - 28 avr 2024

L’IA est l’un de mes terrains de jeu pour essayer d’appréhender aussi bien les capacités que les limites de tels outils et les problèmes que cela peut nous poser.

   

L’un de sujet qui arrivera rapidement est celui du travail. Tout le monde imagine facilement le fait que l’IA en automatisant de nombreuses tâches va réduire nombre d’empois. C’est vrai et prévisible. Mais ce n’est pas le problème principal.

Le problème principal des effets négatifs sur l’emploi de l’IA va en réalité concerner les jeunes. Ceux qui démarrent.

Traditionnellement, lorsqu’un jeune commence, quels que soient ses « diplômes » et autres parchemins plus ou moins démonétisés par un niveau scolaire affligeant, il ne sait rien faire ou si peu. Evidemment, pour avoir été jeune moi aussi, la vieillesse étant une maladie qui arrive si rapidement, je vous aurais soutenu « mordicus » que je savais tout faire ou presque ! Avec l’âge et l’expérience on sait que quand on était jeune on ne savait pas grand-chose finalement, mais c’est le chemin classique de vie de tout être humain, notre courbe « d’apprentissage ».

Les jeunes démarrent donc par des tâches simples, un peu répétitives souvent, et pas trop techniques. Et puis progressivement ils acquièrent cette expérience et cette maturité indispensable qui leur permettent d’aller de plus en plus loin, de faire des choses de plus en plus complexes. En automatisant toutes les tâches simples, il n’y aura plus de place, plus de tâches à réaliser et permettant de former les plus jeunes progressivement. Cela peut sembler anodin, pourtant c’est LE principal problème que va nous poser l’IA. En empêchant la formation des jeunes, cela va empêcher leur progression. L’IA va donc probablement accélérer la destruction des capacités intellectuelles humaines à une vitesse jamais vue. Ajoutez à cela les réseaux débiles comme Tik-Tok et les vidéos « short » et vous obtenez des armes de destruction massive de l’intelligence humaine et de notre créativité.

Cela me conduit à ma dernière expérience IA que je voulais partager avec vous.

Satan vu par les hommes et vu par l’IA Chat GPT.

J’ai été volontairement court dans le « prompt » (le script ou la demande) posé à Chat-GPT. Ma demande était la suivante.

« Peux-tu me générer deux images. La première serait celle de Satan le mal vu par les hommes selon ce qu’ils imaginent en moyenne et la seconde comment toi dall-e tu verrais Satan. »

Normalement, les deux images devraient sensiblement coïncider si le même système de valeurs a été intégré dans le système de l’IA qui reste une « machine » programmée par les hommes.

Or, factuellement, l’image de Satan selon les hommes et celle selon l’IA ne correspondent pas.

Dans un cas nous avons Satan qui est « diabolique ».

Dans la seconde image, Satan vu par l’IA… les choses sont nettement moins négatives. Satan est presque « sympathique ».

J’aimerai bien savoir comment la notion de bien et de mal a été intégrée dans l’IA.

Vous voyez, l’IA est une chose bien trop importante pour être laissée entre les mains de quelques apprentis sorciers qui disposent tous de leur propre idéologie, mystique ou rapport au bien ou au mal.

Les questionnements qui devraient être les nôtres sont en réalité vertigineux, et notre représentation nationale n’a aucune conscience de la nécessité de faire de la philosophie pour faire de la politique. N’hésitez pas à partager cet article avec vos députés, là encore pour stimuler et alimenter leurs réflexions.

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
Christ-Roi

Le Media en 4-4-2Une hausse spectaculaire de 31% des baptêmes

Le Media en 4-4-2 - 30 mar 2024

Les jeunes français se tournent vers l’Église catholique : une hausse spectaculaire de 31% des baptêmes.

   

La France connaît une hausse significative des baptêmes chez les jeunes, avec une augmentation de 31% des catéchumènes par rapport à l'an dernier. Découvrez comment l'Église catholique répond à cette soif spirituelle chez les jeunes français.

L’Église catholique en France connaît une hausse significative des baptêmes chez les adultes et les adolescents. Selon une enquête de la Conférence des évêques de France (CEF), le nombre de catéchumènes a augmenté de 31 % par rapport à l’an dernier, avec 7 135 postulants au baptême. Cette tendance n’est pas un simple effet rebond après le Covid, mais plutôt une soif spirituelle chez les jeunes.

Les jeunes de 18 à 25 ans représentent désormais 36 % des nouveaux baptisés, tandis que chez les adolescents entre 11 et 17 ans, l’enquête a recensé 5 025 baptêmes dans 68 diocèses, soit une hausse de 50 % en moyenne. Cette vitalité est illustrée par la présence de 45 000 jeunes Français aux dernières Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) de Lisbonne.

Le président de la CEF, Éric de Moulins-Beaufort, souligne que dans son diocèse de Reims, les catéchumènes sont passés de 20 à 73 en cinq ans. Cependant, il s’interroge sur la capacité de l’Église à accompagner tous ces nouveaux venus dans une société où 80 % des jeunes n’ont pas reçu d’éducation religieuse.

La CEF observe également une hausse significative des baptisés issus de familles sans religion, soit un quart du total. Cette tendance montre que la France s’éloigne de la laïcité où l’Église est malmenée pour rejoindre la croix du Christ.

Le Covid a été déterminant pour pousser les citoyens vers l’Église. La démocratie occidentale ne fait plus rêver la jeunesse et le manque de repères dans une société dominée par le wokisme reste trop déstabilisant. Comme ce fut le cas avec la Russie qui a retrouvé la foi après l’URSS, la jeunesse française revient à ses racines chrétiennes pour trouver des réponses à leurs questions existentielles. L’esprit saint est à l’œuvre !

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