En effectuant ces démarches administratives vous permettriez à la municipalité d'entamer automatiquement une procédure juridique contre vous.
Xavier Marmier avait procédé de cette façon suite à une demande de la mairie pour sa cabane et il s'est fait piégé, comme l'explique son avocat : https://bit.ly/3fPJSNg
Qui plus est, nous n'avons pas à attendre qu'une mairie nous donne le droit de nous installer sur nos terrains lorsqu'il s'agit d'y vivre dans le respect de la nature; c'est bien ce que propose l'habitat léger.
Pour l'obtention de droits futurs, il faudra lutter collectivement; c'est toujours en mettant la pression sur les institutions que les lois ont pu évoluer en faveur des citoyens.
Et surtout, n’attendons pas que les lois changent pour changer nos lois.
www.desobeissancefertile.com
Ce projet de restauration a récemment franchi une nouvelle étape importante. Selon un message posté sur Twitter, l’organisation à but non lucratif a retiré jusqu’à 200 000 kilogrammes de débris plastiques de l’océan Pacifique Nord. Cette zone, connue sous le nom de « Great Pacific Garbage Patch » (GPGP) (vortex de déchets du Pacifique nord), est située entre la Californie et Hawaï.
Cet exploit a été accompli lors du Trip 13, au cours du premier déploiement de nettoyage de 2023.
Lors de la première campagne d’extraction de déchets de l’année, l’organisation a pu extraire 6 260 kilogrammes de déchets d’un grand amas de plastiques flottants, qui comprenaient tout, des grands filets de pêche aux minuscules microplastiques. Selon une étude, plus de 75 % de la plaque de déchets est constituée de déchets plastiques liés à la pêche.
L’enlèvement des déchets a été rendu possible grâce à des systèmes de nettoyage spécialement conçus, appelés System 002, ainsi qu’à d’autres équipements. Le système comprend également des caméras dotées d’une intelligence artificielle qui balayent en permanence la surface de l’océan à la recherche de déchets plastiques.
Pour collecter les déchets, ils utilisent une longue barrière en forme de U. Pour protéger la faune marine, le système se déplace lentement sous l’océan et minimise le bruit. Les données de surveillance fournies par l’entreprise ont révélé un « faible impact négatif du système 002 sur la vie marine au cours des 12 premières sorties ».
Mais que se passe-t-il une fois les déchets collectés ? L’entreprise a répondu dans un message sur Twitter : « Nous voulons donner une nouvelle vie au plastique océanique en travaillant avec des partenaires pour le recycler et le transformer en produits plastiques durables. » L’organisation a d’ailleurs lancé « The Ocean Cleanup Sunglasses », son premier produit fabriqué à partir de déchets plastiques en octobre 2020.
Boyan Slat, un inventeur néerlandais, a lancé ce projet unique en son genre en 2013. L’océan Pacifique Nord a été choisi spécifiquement parce qu’il reçoit une grande quantité de déchets plastiques en provenance d’Asie, d’Amérique du Sud et d’Amérique du Nord.
Léna Lazare, 24 ans, est l’une des porte-paroles de Youth for Climate. Elle est engagée dans la dynamique des « Soulèvements de la Terre » qui se mobilise notamment contre les mégabassines.
Reporterre — Face au gouvernement, le mouvement social et le mouvement écologiste semblent vivre une situation similaire : ils ne sont pas écoutés. Qu’en pensez-vous ?
Léna Lazare — Oui, c’est intéressant de faire le parallèle entre la lutte contre la réforme des retraites et celle pour le climat. Les mêmes méthodes sont utilisées par le gouvernement pour faire taire la contestation ou la contenir au maximum. Il l’ignore et essaye de lui retirer toute légitimité. Dès que le mouvement se durcit, les autorités sortent les matraques.
Ils nous traitent de « factieux » ou d’« écoterroristes », tentent de nous discréditer et nous criminalisent. À quelques jours d’écart, on a vécu une répression identique. Les manifestations à Paris contre la réforme des retraites place de la Concorde ont été interdites. Notre mobilisation antibassines aussi. Des zones rouges avec des arrêtés d’interdiction de circulation, en plus des arrêtés d’interdiction de manifestation, ont été décrétées. Il y a des amendes et des arrestations arbitraires. Le gouvernement veut nous faire peur.
Parmi les nombreux champions écologiques de nos villes, un héros bourdonnant se distingue : l’abeille urbaine.
Le monde bourdonnant des abeilles urbaines est souvent négligé, alors que ces minuscules insectes jouent un rôle crucial dans le maintien de la santé des écosystèmes de nos villes. En pollinisant les plantes, en soutenant la biodiversité et en produisant du miel, les abeilles urbaines contribuent de manière significative au bien-être de nos environnements urbains. Dans cet article, nous allons explorer la vie fascinante de ces abeilles citadines, les défis auxquels elles sont confrontées et la manière dont elles contribuent à l’écologisation de nos villes.
L’importance des abeilles urbaines
Les abeilles urbaines sont des pollinisateurs essentiels pour les jardins, les parcs et les espaces verts des villes. Elles aident les plantes à se reproduire en transférant le pollen d’une fleur à l’autre, assurant ainsi la survie et la propagation de diverses espèces végétales. Ce n’est pas seulement vital pour la biodiversité, mais aussi pour l’agriculture urbaine, car les abeilles jouent un rôle essentiel dans la pollinisation des fruits, des légumes et d’autres cultures. En outre, les abeilles urbaines produisent du miel, une denrée précieuse qui peut être récoltée et appréciée par les citadins.
L’importance des abeilles urbaines va bien au-delà de ce que l’on pourrait penser de prime abord. En tant que pollinisateurs principaux dans les environnements urbains, ces petits insectes ont un impact profond sur les jardins urbains, les parcs et les espaces verts. Elles facilitent la reproduction des plantes en transférant le pollen d’une fleur à l’autre, assurant ainsi la survie et la propagation d’un large éventail d’espèces végétales. Cela favorise non seulement la biodiversité dans les zones urbaines, mais aussi l’agriculture urbaine, car les abeilles jouent un rôle essentiel dans la pollinisation des fruits, des légumes et d’autres cultures essentielles.
En outre, la présence d’abeilles urbaines contribue à la santé générale des écosystèmes urbains en soutenant un réseau de vie complexe. En pollinisant les fleurs, les abeilles contribuent à créer des habitats et des sources de nourriture pour d’autres insectes, oiseaux et petits mammifères, ce qui permet de maintenir une riche communauté d’animaux sauvages en milieu urbain. En outre, les abeilles urbaines produisent du miel, une denrée précieuse qui peut être récoltée et appréciée par les habitants de la ville. Ce produit durable et d’origine locale peut favoriser un sentiment de communauté et de connexion avec la nature, même dans les limites d’un paysage urbain animé.
On ne saurait trop insister sur l’importance des abeilles urbaines. Elles sont essentielles au maintien de la biodiversité, au soutien de l’agriculture urbaine, à l’amélioration de la santé des écosystèmes et à la fourniture d’une source durable de miel pour les citadins.
Ici, des conteneurs dégueulent de déchets. Là, des sacs attendent bien alignés le long d’un immeuble. Ailleurs, un énorme amas s’étale jusque sur la rue. Partout, du plastique noir, vert, jaune, bleu ou rose… Les monceaux d’ordures qui font le siège des trottoirs parisiens depuis quinze jours ont parfois l’allure d’œuvres d’art à la gloire de notre surconsommation. De quoi déclencher une prise de conscience ?
« On n’a pas besoin de la situation actuelle pour prendre conscience qu’on consomme trop ! » tranche Florent, qui réside rue de la Bienfaisance, dans le 8e arrondissement de la capitale, à quelques encablures de l’Élysée. « Ces poubelles non ramassées, c’est hyper désagréable », grimace le jeune homme, visiblement impatient de revoir les éboueurs. « C’est sûr qu’on commande beaucoup en ligne, mais on essaie de limiter nos achats, d’acheter en local. Dans nos bureaux, on a mis en place le recyclage, etc. », énumère-t-il avant de filer à un « meeting ».
Dane Wigington, chercheur en ingénierie climatique, affirme que les conditions de sécheresse extrême qui a sévi dans l’ouest des États-Unis sont en train d’être inversées par davantage d’ingénierie climatique. La Californie a été dans le mille. Ce n’est pas une bonne nouvelle parce que nous passons d’un destructeur extrême à l’autre. Voici ce que Wigington explique :
« Nous savons que la technologie existe et est utilisée pour diriger les courants de vent de niveau supérieur et, par conséquent, diriger les courants d’humidité, et ils dirigent l’humidité là où ils ont provoqué des tempêtes de neige consécutives. Il ne fait aucun doute que toutes ces catastrophes soi-disant naturelles sont voulues et conçues par des ingénieurs… Les gens agissent comme si c’était une sorte de théorie marginale, mais c’est pourtant de la science dure. On peut tester la neige et trouver les mêmes choses dans les brevets d’ingénierie climatique. On retrouve aussi de l’aluminium, du baryum, du manganèse, des fibres polymères, du graphène et des tensioactifs. Tout cela se retrouve dans notre neige. La direction de ce flux d’humidité sans nucléation chimique au-dessus de ce matériau nucléé gelé chimiquement crée des inondations en ce moment même où nous parlons. Ce n’est pas discutable, nous avons les preuves scientifiques. Quelle que soit la perspective d’une personne, peut-il y avoir une discussion légitime sur le climat sans aborder d’abord et avant tout l’ingénierie climatique ? La réponse est clairement NON. »
Le succès de la BD Le Monde sans fin constitue tout à la fois une excellente et une très mauvaise nouvelle. Pour cause : cet ouvrage est à la fois excellent et très mauvais…
L’excellent se trouve en première partie, dans laquelle le dessinateur Christophe Blain illustre avec humour et talent les propos de Jean-Marc Jancovici, mettant en lumière notre dépendance au système énergétique. Les auteurs y rappellent notamment qu’il n’y a jamais eu de transition énergétique depuis le début de l’ère industrielle : au bois s’est ajouté le charbon, puis le pétrole, le gaz, l’hydroélectricité, avant que ne débarquent le nucléaire et les énergies renouvelables.
Résultat : en multipliant les sources, nous avons démultiplié notre consommation d’énergie. Nous serions ainsi devenus des sortes d’Iron Man qui s’ignorent, avec à notre service des super pouvoirs offerts par les machines que nous avons à notre service. Ou encore des nababs entourés de centaines d’esclaves invisibles : un tracteur offre la force de travail de 600 humains, un avion équivaut à la puissance d’un million de personnes.
Pour limiter le dérèglement climatique, nous devons diminuer drastiquement notre consommation d’énergies fossiles, alors que toutes nos activités ou presque en dépendent. Et il ne s’agit pas seulement des voyages en avion : l’hôpital représenterait aussi, à lui seul, 5 % de l’empreinte carbone française.
L’ouvrage n’aborde pas les questions de partage des richesses, de services publics ou de la publicité indispensable au modèle consumériste. Selon la vision très discutable qu’il véhicule, notre niveau de vie ne dépendrait que d’un unique paramètre : notre consommation d’énergie. Si elle baisse, adieu la santé, les loisirs, les retraites, bonjour les grandes migrations, les guerres, les famines…
Il arrive cependant qu’à force d’obstination les militants finissent par arracher quelques victoires retentissantes aux pouvoirs publics.
Nous vous retraçons les dix plus belles réussites de la dernière décennie.
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La sénatrice roumaine Diana Lovanovici s’exprimant au Parlement sur les utilisations de la technologie HAARP en Turquie.
« Les imbéciles jouent comme Dieu et ils pensent qu’ils ont gagné la partie… »
« Avertissement aux psychopathes du monde : si vous avez besoin que les gens meurent, nous avons besoin que vous périssiez aussi » « … Œil pour œil »
Traduction de son message : « Il est impératif que toutes les nations, les peuples du monde, se lèvent ensemble, se réveillent du confort quotidien et de l’insouciance et comme en 1848, commencer la lutte pour la libération du joug des psychopathes, des déments qui volent notre bonheur et le beau monde dans lequel nous vivons. C’est pourquoi j’exhorte tous ceux qui veulent encore vivre dans un monde de Dieu, et non de Satan, je vous exhorte à vous lever pour lutter, à une révolte mondiale pour nous libérer tous et détruire ces ennemis, car en ce moment nous sommes en légitime défense. »
« Le bilan du tremblement de terre en Turquie est actuellement de 21043 morts et 80097 blessés »
Si le gouvernement chinois a dit la vérité et que le ballon n’était rien de plus qu’un « dirigeable civil sans pilote » hors de contrôle en raison d’un cas de force majeure, le résultat est exactement le même. C’est également le même résultat si les Chinois ont menti et que le ballon était une opération de renseignement militaire.
Et si les responsables américains ont menti, caché ce qu’ils savaient sur la mission du ballon, la conclusion reste la même : le ballon a révélé aux ennemis des USA les faiblesses fondamentales de la guerre des États-Unis contre la Russie et la Chine. ; et également aux alliés américains sur le champ de bataille ukrainien, au Japon, en Corée, au Canada et en Australie pour voir par eux-mêmes.
Le dossier public tarde à être publié sur ce qui s’est exactement passé lorsque le ballon géant est entré dans l’espace aérien entre les îles Kouriles russes et les îles Aléoutiennes américaines ; puis est entré dans les eaux territoriales américaines et a touché terre au-dessus de l’Alaska, puis du Canada, puis à nouveau des États-Unis.
Les cartes publiées disponibles dans les médias américains ont toutes été déformées par des projections et des estimations basées sur des données météorologiques et des observations rapportées à la presse par des personnes sur le terrain.
Les données précises sur la trajectoire de vol, la vitesse, les signaux électroniques vers et depuis le dirigeable et les preuves de contrôle (ou d’absence de contrôle) sur ses opérations sont des secrets militaires – américains, chinois, russes.
Il n’est cependant pas nécessaire de les ouvrir pour tirer plusieurs conclusions. Pour le moment, et à défaut de plus de preuves ce qui suit est une poignée de certitudes validées par les probabilités.
C’est le test que les jurys américains font pour condamner en cas de fraude.
La première certitude est que le ballon a été détecté par des pisteurs militaires et civils américains bien avant qu’il n’atteigne les eaux territoriales américaines au large des îles Aléoutiennes (Alaska).
« Si l’abeille venait à disparaître de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que 5 années à vivre ». Cette citation d’Albert Einstein prend tout son sens dans le contexte environnemental actuel. Elle alerte également sur l’importance de ces insectes insignifiants pour bon nombre d’entre-nous, mais finalement vitaux à la survie des espèces humaine et non-humaine, ainsi que de leurs écosystèmes. Comment de si petits êtres vivants peuvent avoir une telle ampleur face à la crise climatique que l’on traverse ?
Les abeilles sont nos alliées
Les pollinisateurs contribuent directement à la sécurité alimentaire, nous rappelle l’ONU via son programme pour l’environnement. Si cette catégorie comprend des animaux comme les singes, les oiseaux ou encore les rongeurs, on la connaît surtout pour les insectes.
D’après les experts apicoles de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture : 75 % de la production alimentaire mondiale dépend des insectes pollinisateurs. Bien que le vent favorise la pollinisation, on compte entre 60 % et 90 % de plantes sauvages nécessitant l’aide d’insectes pollinisateurs, tels que les abeilles, afin de se reproduire. Et pour parler le langage économique de nos modèles actuels, d’après l’ONG Greenpeace, la pollinisation représente 265 milliards de dollars de service rendu dans le monde.
De fait, la production mondiale de miel par an s’élève à environ 1,6 million de tonnes, avec près de 81 millions de ruches actives autour du globe (rapport de mai 2019 de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES)).
Si ces chiffres impressionnent par leur envergure, ils s’expliquent en partie par un phénomène historique d’insertion des abeilles. Ce dernier, contrairement à ce que l’on pense, ne date pas d’hier, car au Moyen-Âge, déjà, l’humain exploitait les ruches en ville. Ces dernières décennies, notamment en raison du réchauffement climatique, de nombreux scientifiques sonnent l’alerte sur l’urgence de conserver la biodiversité. C’est donc dans une démarche écologique que le phénomène d’insertion des abeilles a repris et s’accroît.
Pourquoi de tels rabais ?
Car c’est d’une baisse de 17 % des prix de vente dont on parle pour les véhicules vedettes de la marque Tesla.
Alors que se passe-t-il ?
Nous avons parlé avec David Jacquot de mon analyse de la situation qui n’est pas anodine à mon sens.
Ce que vient de faire Elon Musk en se lançant dans la guerre des prix, c’est de lancer… la consolidation du marché du véhicule électrique et cela va souquer ferme pour de très nombreux constructeurs.