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Stratpol : bulletin n°198

StratpolBataille de Koursk 2.0, Pentagone : ambitions et réalités

Stratpol - 11 août 2024

STARTOL :bulletin n°198 de Xavier Moreau

   

00:00 Ukraine : pourquoi la Russie a gagné
Géopolitique profonde
Vive les paras russes
Qualité de vie en Russie

06:30 Aide aux catholiques du Donbass

08:00 Économie
Krach boursier global
Gaz russe pour la France et l’Europe
Tourisme en Crimée
Ukraine : la reconstruction en question

15:10 Politico-diplomatique
Échange de prisonniers : espions vs gauchistes
Sergueï Choïgou à Téhéran
Mali, Niger, Burkina-Faso vs Kiev

23:43 Empire du mensonge
Amiral John Kirby – Bobard d’or.

25:35 Armement
Pentagone : ambitions et réalités
Mise en orbite du «Starlink chinois»

29:10 Considérations militaires générales
Résistance ukrainienne anti-OTAN
Visite du général Guerassimov sur le front Centre
Bataille de Koursk 2.0

40:00 Carte des opérations militaires

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Stratpol : bulletin n°197

StratpolNouvelle croisade, liturgie laïque, F-16 magiques

Stratpol - 04 août 2024

STRATPOL : bulletin n°197 de Xavier Moreau

   

00:00 Ukraine : pourquoi la Russie a gagné
Géopolitique profonde
«Comprendre le conflit israélo-palestinien» de Youssef Hindi

01:52 JO de Paris 2024
Rachid Achachi et son équipe
Nouvelle croisade
Liturgie républicano-laïque

12:33 Économie
Taux directeur à 18%
Dollar vs Bitcoin
Désindustrialisation européenne

19:08 Politico-diplomatique
Euromissiles
Wagner au Mali
Indonésie & Russie
Malaisie & BRICS
Maduro président !
Méloni varie
Tbilissi vs Washington
Rome & Damas

28:55 Armement
F-16 magiques en Ukraine
Drones Gerbera

32:05 Considérations militaires générales
Offensive ukrainienne d’automne
L’OTAN inapte à manœuvrer

38:05 Carte des opérations militaires
Prise de Krasnogorovka

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paiement par la main

Le Media en 4-4-2Carrefour lance le paiement avec la paume de la main

Le Media en 4-4-2 - 26 juil 2024

Carrefour s'apprête à introduire une méthode de paiement flippante qui permettra à ses clients de régler leurs achats simplement en utilisant la paume de leur main.

   

Cette expérimentation sera lancée le 29 juillet dans un magasin Carrefour Market situé dans le 6e arrondissement de Paris. Cette nouvelle technologie, développée par Ingenico, utilise la reconnaissance palmaire pour identifier les clients. Ces derniers devront préalablement enregistrer le schéma veineux de leur main via une borne prévue à cet effet, puis associer ces données à leur carte bancaire. Par la suite, il leur suffira de passer leur main au-dessus d’un terminal de paiement pour finaliser leurs achats…

Carrefour souligne qu’il s’agit d’une première en Europe. Ce système de paiement, déjà en place dans certains magasins Whole Foods aux États-Unis, vise « à faciliter le passage en caisse et à améliorer l’expérience client ». L’enseigne française insiste également sur la haute sécurité offerte par ce dispositif en ce qui concerne les données personnelles et bancaires.

Nous, on voit plutôt dans cette innovation une étape de plus vers la disparition de l’argent liquide et le renforcement du contrôle sur nos transactions. Face à la montée en puissance de la monnaie numérique et aux risques de surveillance et d’asservissement qu’elle représente, il est essentiel de résister et de promouvoir l’utilisation des espèces.

Payer en liquide, c’est non seulement un moyen de maîtriser ses dépenses et de bénéficier d’une capacité d’achat immédiate, mais c’est aussi un acte de résistance contre le contrôle social généralisé et la perte de confidentialité des paiements. Avec la carte bancaire et les nouveaux systèmes de paiement en préparation, notre vie privée est menacée, car les banques et l’État ont accès à nos achats en détail, favorisant ainsi l’instauration d’un crédit social insidieux.

En utilisant l’argent liquide, nous protégeons notre argent et évitons que les banques ne le bloquent en cas de crise financière. Retirer son argent des banques, c’est également affaiblir le système bancaire et reprendre le contrôle sur notre argent.

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Stratpol : bulletin n°194

StratpolLe nationalisme c’est la paix ! Sauvagerie kiévienne, dette socialiste

Stratpol - 16 juil 2024

STRATPOL : Bulletin n°194 de Xavier Moreau

   

00:00 – Ukraine pourquoi la Russie a gagné
Géopolitique profonde
Octobre 1795 : décret des deux tiers
La dette

07:50 – Économie
MBS vs les voleurs européens
Ariane VI & RD 191-M
KAMAZ : robotisation

12:10 – Politico-diplomatique
Orban : nationaliste pour la paix
Visite de Narendra Modi à Moscou
Sommet de l’OTAN
Géorgie : le chemin vers la liberté

19:05 – Empire du mensonge
Kiev : bombardement de l’hôpital pour enfants
ISIDA et le trafic d’esclaves
Pertes russes sur la BBC

25:10 – Terrorisme
Sauvagerie kiévienne vs christianisme russe

27:40 – Armement
Drones US en mer Noire
Chine : fournisseur de l’US Army
Thierry Breton : bureaucrate incompétent

30:52 – Considération militaire général
Azov : guerre totale !

32:22 – Carte des opérations militaires

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Marine Le Pen

Nouveau MondeLes financiers mondialistes ont déjà décidé de remplacer Marine Le Pen

Nouveau Monde - 02 juil 2024

Les financiers ont maintenant un boulevard devant eux : détruire la dette française, et par là forcer une élection présidentielle anticipée afin d’imposer un candidat qui rassurera tout le monde, un peu comme avec Liz Truss.

   

Rappel : Silvio Berlusconi, qui défendait les Italiens, a été littéralement saboté par la Banque Centrale Européenne et Bruxelles en lui faisant payer des dizaines de milliards d’euros de plus chaque semaine en intérêts sur la dette italienne.

Silvio a fini par démissionner pour éviter à son pays une banqueroute « à la grecque »…

Il n’y a pas longtemps, vous avez vu dans cette Revue de Presse comment la PM anglaise Liz Truss a été littéralement sabrée par Goldman Sachs qui l’a remplacée par son… propre banquier, Rishi Sunak, AVEC LA MÊME MÉTHODE !

Je pourrai donner d’autres exemples, mais il importe de rappeler (suite aux résultats des législatives de ce dimanche 30 juin) que désormais l’avenir du RN — en tant qu’éventuel futur gouvernement — se trouve entre les mains des marchés et des banquiers, en particulier la BCE.

Le meilleur candidat pour cette situation, selon eux, n’est ni plus moins que Christine Lagarde.

Si Challenges a choisi de mettre cela à la « Une », ne vous y trompez pas, elle a été choisie avec une garantie de 80 % dans le cadre d’une crise financière massive en France qui se transformerait dès lors en Grèce. (Lire ici Challenges de 2023).

La France vivra ce qu’ont vécu Chypre (spoliation de tous les comptes bancaires. Voir mon reportage sur place) et la Grèce, amenant la destruction des retraités et l’interdiction de retirer son argent des banques pendant des semaines (y compris l’accès aux coffres)… (pour le principe, je rappelle que seuls les Grecs qui avaient de l’or ont pu traverser leur mega-crise, mais ils s’y étaient préparés avant).

Et donc la situation montrera aux Français (comme on l’a vu à Athènes) que seul un financier international pourra sauver leur situation. DSK étant disqualifié, Mme Lagarde est dès lors « LE » phare dans la nuit.

Donc derrière le cirque de la campagne électorale se trouvent tapis dans l’ombre les spécialistes mondiaux des Bons du Trésor qui s’en donneront à cœur joie dès qu’ils en recevront l’ordre de Bruxelles et/ou Washington si le RN ne se soumet pas à leurs désirs. C’est hélas là que se trouve le futur de la France.

Pierre Jovanovic

« Christine Lagarde, directrice générale du Fonds Monétaire International, a déclaré qu’une victoire de Le Pen causerait “un désordre et une désorganisation majeurs” »

 

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vélos électriques irréparable

ReporterreRéparer son vélo électrique, une mission bientôt impossible

Reporterre - 26 juin 2024

En étant de plus en plus technologiques, les vélos électriques sont plus difficiles à réparer. Le secteur pourrait ainsi prendre le chemin de celui de l’auto, avec le passage indispensable chez le garagiste.

   

Réparer une chambre à air, changer ses freins, régler un dérailleur… Avec quelques tutos et un peu d’entraînement, tout cycliste est en mesure de réparer son vélo soi-même. Mais ces savoir-faire ne suffisent pas toujours quand on possède un vélo électrique. Les pannes sur ces engins, de plus en plus technologiques et complexes, nécessitent souvent de recourir à un professionnel.

Les réparateurs, eux-mêmes, sont confrontés à des obstacles. C’est ce que déplore Frédéric Hafner, réparateur de vélos indépendant à Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence). Jusque-là, il avait toujours été, en tant qu’électromécanicien, capable de réparer le moteur des vélos électriques, mais il explique être « de plus en plus bloqué par le tout électronique ».

Applications obligatoires, géolocalisation et antivol intégrés, « boîte automatique » comme pour les voitures… « Pour certains modèles, le dérailleur n’existe plus, et le passage de vitesses est intégré dans le moteur lui-même et se fait par Bluetooth, explique en effet l’artisan. Or, ce n’est pas le petit réparateur du coin qui va pouvoir dépanner ce type de vélo. L’utilisateur doit alors se tourner vers un “concessionnaire” de la marque. »
Devenir « partenaire » de la marque

Les réparateurs sont également dans l’impossibilité de repérer d’où vient exactement la panne sans un outil de diagnostic. « Ça fait moins de cinq ans, je dirais, qu’on est entré dans l’ère du tout connecté sur les vélos électriques, constate Frédéric Hafner. Pour diagnostiquer la panne, il faut désormais utiliser un logiciel afin de connecter le vélo à un ordinateur. C’est le même principe que la “valise” [de diagnostic] pour les voitures [un outil permettant de localiser l’origine d’un problème]. Je perçois la volonté d’amener les cyclistes dans le même système que les automobilistes. » Chaque constructeur a en effet développé son propre outil de diagnostic, spécifique à ses équipements et indispensable au mécano.

Chez Bosch, le constructeur leader de moteurs et batteries de vélos en Europe, il faut par exemple devenir « partenaire » de la marque pour obtenir cet outil, s’inscrire sur son portail officiel et à son programme de formation annuel. Les revendeurs ont alors « la possibilité de commander les outils et les pièces d’origine appropriés, à partir de notre catalogue officiel de pièces détachées, explique à Reporterre le fabricant, afin d’assurer le bon fonctionnement et la plus grande sécurité possible du système et des différents composants Bosch ». Si l’outil de diagnostic est accessible gratuitement, la formation coûte 99 euros par jour et par personne.

Valeo, autre grand fabricant de moteurs de vélos à assistance électrique, reconnaît auprès de Reporterre que « les formations proposées par les motoristes leaders du marché restent payantes et ont lieu dans leurs propres locaux, représentant une immobilisation et une contrainte pour les bike shops [magasins de vélos] ». L’industriel souhaite mettre en place, pour ses propres moteurs, un réseau de « réparateurs agréés » qui formeraient les vendeurs et réparateurs « à titre gratuit » directement dans les magasins de vélos.
« Ne pas aller vers le modèle de la bagnole »

Plus le vélo s’électronise et se perfectionne, plus la question de sa réparabilité et de sa circularité se pose. « On identifie un phénomène qui intègre de plus en plus le vélo dans une sorte d’économie linéaire, dépendante de différents prestataires. Pourtant, s’il y a un objet qui à la base répond aux critères de l’économie circulaire, c’est bien le vélo ! » insiste Thibault Quéré, directeur de plaidoyer à la Fédération des usagers de la bicyclette (Fub). Il fait part de remontées d’ateliers d’autoréparation, également confrontés à des difficultés, voire à l’impossibilité de réparer les vélos électriques.

« Il y a aussi le risque de devoir changer régulièrement la batterie, prévient Thibault Quéré. Il faut veiller qu’on n’aille pas vers le modèle de la bagnole, avec des pièces détachées venant du monde entier et une technologie embarquée complexe qui nécessite l’intervention des constructeurs à intervalles réguliers. » Une maintenance qui pourrait devenir coûteuse pour le cycliste, quand le vélo classique, lui, « est capable de rouler pendant quinze, vingt, trente ans… moyennant un moindre coût d’entretien », rappelle le responsable de la FUB.

Pour favoriser le réemploi et la réparabilité, « les acteurs souhaitent que la filière travaille à l’écoconception des produits », écrivait le député Guillaume Gouffier Valente, dans un rapport de mission sur la filière économique du vélo en France, publié en janvier 2022. « Des réflexions pourraient également être lancées pour avoir des standards un peu plus uniformisés et conserver la réparabilité », ajoutait-il, évoquant le cas des batteries qui ne sont pas, pour l’heure, interchangeables entre les marques.
Un nouveau déchet électronique ?

Actuellement, les différents acteurs représentant le secteur du vélo travaillent à la mise en place d’un contrat de filière avec l’État. Dans le cadre des réunions préparatoires, la FUB a fait part de ses réserves quant à un modèle économique du tout industriel : « Notre vision du vélo est celle de la liberté et d’une certaine autonomie de l’usager, le vélo doit rester à la main de l’usager. Il faut s’assurer que la question de la réparabilité, et donc de la circularité, soit au centre de la filière économique. Or, on sent qu’il y a une tendance à vouloir l’insérer dans une sorte d’économie linéaire et industrielle. »

Dans son rapport, Guillaume Gouffier Valente estime qu’il est important de « reconnaître le vélo comme technologie évolutive » et qu’une politique de soutien à l’innovation doit être mise en place pour « nous permettre d’identifier les futures ruptures technologiques ». Autrement dit, les bécanes électriques ne vont cesser d’évoluer — robustesse des freins, durabilité des batteries, système antivol —, il est donc essentiel de poursuivre les recherches pour ne pas se retrouver devancé par la concurrence.

Une vision contre laquelle L’Heureux cyclage, association qui représente les ateliers d’autoréparation, met en garde : « Rappelons que derrière chaque rupture technologique […] se cache l’accélération de l’obsolescence des produits disponibles précédemment, écrivait-elle en réaction au rapport.

À vouloir en faire un objet tout électrifié et connecté, le vélo pourrait se transformer en un nouveau déchet d’équipement électrique et électronique (DEEE), « à l’opposé du spectre des valeurs environnementales », prévient-elle. Bien loin de la bicyclette qu’on bidouille dans son garage ou dans l’atelier du quartier.

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Stratpol : bulletin n°189

StratpolGrand architecte vs mur du réel, Russie : 4e économie mondiale, macroneries

Stratpol - 11 juin 2024

STRATPOL : bulletin n°189 de Xavier Moreau

   

00:00 Ukraine : pourquoi la Russie a gagné
- Abonnez-vous sur Telegram !
- Géopolitique profonde
- Erratum
- « Survivre au travail tertiaire » Lounès Darbois.
00:15 Économie
- Grand Maître Alain Bauer, Homais de la semaine
- Russie : 4e économie mondiale
- Vrais problèmes de l'économie russe
- Vole des actifs russes : US vs UE
20:40 Politico-diplomatique
- Ousmane Sonko et le nationalisme sénégalais
- Sergueï Lavrov en Afrique
24:20 Terrorisme
- Justice pour Budennovsk
- ATACMS ($5 millions) vs Lougansk
27:00 Considérations militaires générales
- Déclarations de Vladimir Poutine
38:20 Carte des opérations militaires
45:16 Conclusion
- Elections européennes

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Bill Gates et les vaccins climatiques

The DefenderProchaine étape : les “vaccins climatiques” ?

The Defender - 05 juin 2024

Bill Gates investit des millions dans des “vaccins climatiques” destinés à réduire les émissions de méthane des vaches

   

Bill Gates est depuis longtemps un partisan des vaccins en général et, plus récemment, de la technologie des vaccins à ARNm.

Aujourd’hui, il pourrait avoir pour objectif de mettre au point un vaccin pour lutter contre le changement climatique en ciblant les émissions de méthane du bétail.

ArkeaBio, une startup agro-biotechnologique basée à Boston, a récemment levé 26,5 millions de dollars dans le cadre d’un financement de série A pour “réduire les émissions de gaz à effet de serre” grâce au développement d’un “vaccin contre le méthane”, a annoncé l’entreprise dans un communiqué de presse du 8 mai.

Breakthrough Energy Ventures, fondé par Gates et qui a investi pour la première fois dans ArkeaBio en 2022, a mené le tour de table.

L’entreprise a déclaré :

“Le vaccin d’ArkeaBio fournira une solution innovante, rentable et évolutive pour réduire les émissions de méthane du bétail, qui génèrent actuellement l’équivalent de 3 milliards de tonnes de CO2 par an et représentent 6 % des émissions annuelles de gaz à effet de serre.

ArkeaBio affirme que son “approche basée sur la vaccination permet une décarbonisation indispensable des produits carnés et laitiers dans de nombreuses zones géographiques, favorisant ainsi une plus grande durabilité de l’agriculture”.

Parmi les autres investisseurs du récent tour de table figurent la Grantham Foundation for the Protection of the Environment, AgriZeroNZ – un “partenariat entre le gouvernement néo-zélandais et les principales entreprises agroalimentaires” – Rabo Ventures, Overview Capital et The51 Food & AgTech Fund.

“Les fonds levés dans le cadre de ce financement de série A joueront un rôle essentiel dans l’expansion de la recherche, du développement et du déploiement du vaccin, y compris les essais sur le terrain à grande échelle et l’engagement tout au long de la chaîne d’approvisionnement”, a déclaré ArkeaBio dans son communiqué de presse.

“Le changement climatique est le plus grand défi auquel l’humanité ait jamais été confrontée”, a déclaré Colin South, PDG d’ArkeaBio. “C’est la course de notre vie. Cette levée de fonds nous permet de continuer à créer les outils nécessaires pour que les agriculteurs parviennent à réduire les émissions de méthane du bétail de manière significative au niveau mondial.”

Les détracteurs du projet qui se sont entretenus avec The Defender ne sont pas d’accord, suggérant que les “vaccins contre le changement climatique” ne sont pas réalisables mais qu’ils aideront plutôt les organisations internationales telles que le Forum économique mondial, les organisations à but non lucratif telles que la Fondation Bill & Melinda Gates et Big Pharma à exercer un contrôle accru sur la société.

L’immunologiste et biochimiste Jessica Rose, Ph.D., a déclaré au Defender :

Le “climat” peut être utilisé contre tout le monde, quoi qu’il arrive, car nous respirons tous de l’air et buvons tous de l’eau. C’est pourquoi il s’agit d’un parfait “objet de contrôle” utilisé pour provoquer la panique. Une nouvelle campagne “virus mortel/vaccin” serait ainsi moins efficace, après l’échec colossal des “mesures COVID-19”.

Pour moi, le “changement climatique” est un slogan destiné à masquer les dommages causés à notre environnement par les pollueurs de masse.

Michael Rectenwald, docteur en droit, auteur de “The Great Reset and the Struggle for Liberty: Unraveling the Global Agenda”, a déclaré que les “vaccins contre le changement climatique” font partie d’un “faux récit” plus large.

M. Rectenwald a dit :

“Il n’est pas surprenant que ces maniaques du contrôle néo-malthusien, ces psychopathes et ces profiteurs monopolistiques soutenus par le gouvernement s’associent pour mettre en place ce faux récit. Le “changement climatique” est utilisé par Big Pharma, le WEF [World Economic Forum], Bill Gates, la Fondation Rockefeller et leurs marionnettes du régime comme prétexte pour promouvoir les vaccins et contrôler la société”.

Scott C. Tips, président de la National Health Federation, a déclaré que les “vaccins contre le changement climatique” offriraient aux grandes sociétés pharmaceutiques un autre moyen de promouvoir la technologie de l’ARNm.

“De tels vaccins intégreraient certainement la technologie dangereuse de l’ARNm, tout comme le font actuellement les vaccins contre le tétanos”, a-t-il déclaré.

ArkeaBio n’est pas la seule incursion de Gates dans le développement de “solutions” liées aux émissions de méthane du bétail.

En novembre 2023, la Fondation Bill & Melinda Gates a accordé 4,5 millions de dollars à la société de biotechnologie BiomEdit, basée dans l’Indiana et spécialisée dans la santé animale, afin de “proposer une solution sûre et abordable qui permette de réduire de manière significative les émissions de méthane entérique liées au bétail”.

Ginkgo Bioworks, une entreprise de biotechnologie soutenue par gates, et Elanco, qui a déjà reçu des subventions de la Fondation Gates, ont lancé BiomEdit en 2022.

La pression pour un “contrôle centralisé, irresponsable et coercitif”.

Des experts agricoles ont déclaré au Defender que même si le postulat des “vaccins contre le changement climatique” est correct, le méthane généré par le bétail ne contribue que faiblement aux émissions globales de carbone.

“Ces vaccins ne sont pas nécessaires”, a déclaré André Leu, directeur international de Regeneration International, auteur et agriculteur biologique régénérateur. “Ils représentent un coût supplémentaire pour les agriculteurs, ce qui affaiblit encore leur revenu net et le transfère aux multinationales. Ils reposent sur une très mauvaise compréhension des contributions des gaz à effet de serre au changement climatique.

Leu a noté que la contribution du méthane représente au maximum 1,6 % des gaz à effet de serre. “La plupart des émissions de méthane proviennent des fuites de gaz, des puits de pétrole et de la fonte du pergélisol. Les ruminants ne représentent qu’un très faible pourcentage. La majeure partie de ces émissions provient des “Confined Animal Feeding Operations” (opérations d’alimentation animale en milieu confiné), également appelées ” fermes industrielles“.

Les experts ont également suggéré qu’il existe d’autres moyens de réduire ces émissions de méthane.

Le méthane provenant des rots des bovins et d’autres animaux d’élevage est produit par les microbes présents dans leurs intestins lors de la fermentation normale des aliments, explique James Lyons-Weiler, docteur en sciences, chercheur et auteur de l’étude.

“Nous n’avons pas besoin de vacciner toutes les vaches pour que leur système immunitaire s’attaque à ces microbes afin de réduire le méthane”, a-t-il déclaré. “Les pratiques permacoles produisent des aliments de haute qualité, plus faciles à digérer et produisant moins de méthane que les aliments de faible qualité.

Lyons-Weiler a déclaré que tout vaccin attaquant le système immunitaire des animaux dans le but de réduire leurs émissions de méthane peut mettre en danger la santé des animaux et peut également mettre en danger l’industrie de la viande.

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Stratpol : bulletin n°184

StratpolDilatation de la dette, Blinken humilié, Abrams fatigué

Stratpol - 05 mai 2024

STRATPOL : Bulletin n°184 de Xavier Moreau

   

00:00 – Ukraine : pourquoi la Russie a gagné
Géopolitique profonde
IIIe Panzerkorp
Pâque orthodoxe
10 ans du massacre d’Odessa
Reddition de Berlin
Itw de Macron dans The Economist
Mission humanitaire dans le Donbass

07:00 – Économie
€800 millions d’euros de taxes pour la Russie
Levée de sanctions US contre les banques russes
Sanction US vs uranium russe
Contre-sanctions russes
Sanctions vs assureurs internationaux
Russie : retour des fuyards
Bruno Lemaire : dilatation de la dette

14:59 – Politico-diplomatique
Chine : Blinken humilié
Tournée de Xi Jinping en Europe
Chine : rencontre Hamas-Fatah
Erdogan reçoit le Hamas
Wang Yi vs OTAN

18:30 – Armement
Humiliation de l’OTAN
Retrait du Abrams M1
GLSDB et Excalibur vs guerre électronique russe
Drones vs Jeux olympiques
Armes US pour Kiev

23:53 – Empire du mensonge
Arnulf Damerau : profiteur de guerre
Charniers à Avdeevka

26:30 – Terrorisme
On a retrouvé Biletski

27:15 – Considérations militaires générales
Automatisation vs immigration
Chasse à l’homme en Pologne
Ligne de front et Festung Befehl

31:18 – Carte des opérations militaires
Gamelin Ancel
ATACMS vs Crimée
Frappes massives sur Odessa
Colone d’assaut mécanisée russe
Obstacle magique

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JO 2024 - papir bitte

HashtableJeux Olympiques 2024 : de bien belles perspectives !

Hashtable - 22 avr 2024

À moins de 100 jours des prochains Jeux Olympiques à Paris, on sent nettement l’excitation et la joie s’emparer de tout le pays.

   

La capitale et ses habitants se réjouissent très manifestement des festivités et jamais le mot “épreuves olympiques” n’aura trouvé une aussi belle résonance avec ce que traversent actuellement les Parisiens qui goûtent maintenant chaque minute d’anticipation de ces futurs grands moments.

Futurs grands moments qu’il faut minutieusement préparer et qui ont déjà été l’occasion, notamment pour la maire de Paris, d’aller visiter les lieux des différentes épreuves dans lesquels on trouve – assez commodément – Papeete, cette petite localité qui jouxte Paris et qui accueillera notamment les épreuves de surf.

Moyennant un petit déplacement en avion (cela jouxte à 15.000 kilomètres près) dont la compensation carbone n’a pas été évoquée – mais dont on peut être sûr qu’elle a été réalisée tant Anne Hidalgo est forcément éco-consciente – et une petite facture pour le contribuable parisien de l’ordre de 60.000 euros, les installations ont pu être vérif…ah non, finalement, le voyage déclenchant des démangeaisons pour l’opposition, les contribuables parisiens, une partie de la presse et pas mal de Français en général, la maire n’aura pas poussé jusqu’au site de l’épreuve de surf.

Tout ceci nous amènera quelques mois plus tard à une petite enquête et des perquisitions pour ramasser les éléments de preuve d’une éventuelle prise illégale d’intérêts et détournement de fonds publics (oh, ça alors) dont on ne doute pas qu’elles permettront de totalement laver l’honneur de l’équipe municipale.

La préparation ne s’arrête pas là puisque, rappelons-le, elle comporte aussi le déménagement furtif des encombrants étudiants qui prennent le pain le logement des athlètes : les expulsions ont commencé. Ouf, la place est libérée, les sportifs sont soulagés, l’Olympisme respire.

De même, la déportation le déplacement discret des centaines de migrants et autres vagabonds en dehors de la ville et leur relocalisation, toujours aux frais du contribuable, un peu partout dans le reste du pays, se passe plutôt bien même si certains maires (celui d’Orléans par exemple) s’en offusquent de façon un peu verte. Ouf, la place est nettoyée, les organisateurs se détendent, l’Olympisme retrouve le sourire.

Mais que serait cette belle cérémonie sans une belle organisation et surtout une solide sécurité garantissant à tous de profiter d’un spectacle à nul autre pareil ?

Et justement, en la matière, on sait déjà que tout sera mis en oeuvre pour obtenir un niveau de sécurisation des individus. Comme jamais auparavant… ou presque, puisqu’on va finalement remettre en place ce qui fut une véritable réussite en 2021 et 2022, à savoir affubler les Parisiens et les spectateurs d’un solide petit QR code lors de leurs déplacements (l’auto-attestation ne devrait plus tarder, maintenant).

On se réjouit déjà de savoir qu’une plateforme internet sera bientôt disponible, qui laissera à tous les Parisiens concernés l’opportunité de saisir tout un tas de petites informations pertinentes sur leurs allées et venues, et on souhaite un courage olympique à tous nos seniors dont la maîtrise des outils numériques est largement suffisante pour garantir que ces petits QR codes seront correctement distribués.

Et franchement, qui ne se réjouit pas déjà d’un retour des contrôles et des patrouilles policières dans une partie de la capitale ? Voilà qui permettra d’assurer la légendaire sécurité des rues parisiennes au moins pendant la période des jeux. Les habitants concernés vont a-do-rer !

Enfin, toutes ces considérations ne seraient pas complètes sans mentionner que tout ceci se déroulera avec une maîtrise presque totale des coûts et des dépenses.

En effet, lorsqu’on lit l’article consacré aux coûts de ces Jeux Olympiques, il apparaît que le calcul du total est particulièrement pointu : entre le budget initial, le budget courant, les dépassements, les cautions de l’État, les différents postes de dépenses et de recettes, on est tout à fait rassuré sur ce qui sera inévitablement du ressort final du contribuable.

Mais si.

Il apparaît cependant que le total devrait osciller autour de 11 milliards d’euros selon différentes estimations, dont 3, 4 ou 5 milliards resteraient à la charge des moutontribuables pardon de l’État selon Moscovici, l’actuel président de la Cour des Comptes, le tout pour un budget initial de 3,8 milliards d’euros, déjà supérieur au 3,2 milliards du dossier de candidature. On ne pourra qu’admirer la précision véritablement diabolique de ces chiffres et de l’organe officiel chargé des Comptes : pour un total à 11 milliards, cela nous fait 7 milliards de petits dépassements dodus, et de 3 à 5 milliards d’euros d’argent public, ça nous fait une enveloppe qui varie allègrement de plus de 60% sur des dépassements de plus de 100%. C’est coquet.

Rassurez-vous cependant : les équipes de propag journalistiques sont déjà sur le pont pour bien nous rappeler que même avec une facture de 11 milliards d’euros (que la Nation Française tout entière peut très bien se permettre en ces temps de croissance et d’opulence macronienne), ces jeux seront probablement parmi les moins coûteux de l’histoire récente.

Mais si.

En fait, on se demande même, devant ces chiffres si modestes, pourquoi on mégote tant, à tel point même que la région Île-De-France a par exemple refusé de prendre à sa charge les déplacements de 200.000 accrédités (athlètes, officiels, journalistes…) alors qu’elle avait été courtoisement sollicitée par le comité officiel des Jeux et que ce budget ne représente qu’un peu moins de 10 petits millions d’euros.

Il n’y a pas à dire, cet événement fleure bon la précision millimétrique et la maîtrise des coûts jusqu’au plus petit poste de dépense ! Voilà qui met dans les meilleures dispositions pour imaginer ce que pourrait donner l’organisation des épreuves elles-mêmes, de la cérémonie d’ouverture et celle de clôture, et qui laisse présager d’un niveau de qualité exceptionnel pour la sécurité et l’accompagnement des joueurs, des spectateurs et de l’ensemble des corps de métiers autour de cet événement. Les supporters anglais vont a-do-rer !

Pas de doute, cela va très très bien se passer. Tout va même être olympique, pour sûr.

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traité de l'OMS

Guy BoulianneOMS : Le Traité sur les pandémies - un coup d'état sur la santé

Guy Boulianne - 17 avr 2024

Le Traité sur les pandémies – Des documents de l’Organisation mondiale de la santé qui ont fuité révèlent le plus grand coup de tous les temps !

   

J'ai fait part à maintes reprises des dangers du Traité de l'OMS sur les pandémies et ceci dès le 7 octobre 2021, alors que je partageais l’article du Dr Urmie Ray. J’ai continué ces avertissements à quelques reprises, soit le 30 mai 2022, le 26 mai 2023, le 9 juillet 2023, le 19 janvier 2024, le 8 février 2024 et le 7 avril 2024. Il ne faut pas oublier non plus que plusieurs projets de loi à travers le monde s'alignent parfaitement avec ce Traité sur les pandémies de l'OMS, dont le Projet de loi Nº 50 du gouvernement Legault qui constitue un réel danger pour l'ensemble des Québécois. Par ce traité, les chefs d’État s’apprêtent à remettre la souveraineté de leurs nations entre les mains d’un gouvernement mondial et à signer un traité international qui soumettra tous les peuples à une dictature sans précédent, incluant les fermetures de frontières, les restrictions de voyage, le confinement (quarantaine), les examens médicaux et la médication des individus (englobant les exigences relatives à l’injection de vaccins ou d’autres produits pharmaceutiques).

Je partage maintenant avec vous une vidéo et un texte du réseau Kla.TV. Comme l'écrit si bien cette plateforme : « Des documents de l'OMS qui ont fuité révèlent le plus grand coup de tous les temps : noir sur blanc, ce document révèle les textes secrets des traités de l'OMS ! Comme avec un scalpel, l'OMS supprime la souveraineté des États membres et se donne elle-même le pouvoir ! L’appel au réveil international vous montre comment démasquer les plans dès maintenant ! »

Kla.TV lance donc un Appel au réveil international !

L’OMS prépare un coup sournois dans 194 pays !

Des documents de l’OMS qui ont fuité révèlent le plus grand coup de tous les temps : noir sur blanc, ce document révèle les textes secrets des traités de l’OMS ! Comme avec un scalpel, l’OMS supprime la souveraineté des États membres et se donne elle-même le pouvoir ! L’appel au réveil international vous montre comment démasquer les plans dès maintenant ! Tedros ne respecte pas les règles et n’est donc pas digne de confiance !
Vérification des faits 1 : La souveraineté des États membres

« Les mesures sanitaires prises en vertu des présents règlements, […] doivent être engagées et menées à bien sans délai par tous les États Parties à l’accord. » (RSI, art. 42)

Jamais un homme ne doit obtenir un tel pouvoir sur le corps et la vie de milliards de personnes dans les 194 États membres de l’OMS !

Le « modèle commercial » de l’OMS

Des transactions financières gigantesques, à débourser par les contribuables, affluent vers des pays plus pauvres et finissent en fait dans les poches de « Big Pharma » et d’investisseurs privés.

C’est ici que l’on découvre avec quelle perfidie l’OMS et ses puissants profiteurs ont mis en place, dans l’ombre, un « coup d’État » dans 194 pays !

Lors de l’assemblée générale de l’OMS qui se tiendra à Genève du 27 mai au 1er juin 2024, les délégués de 194 pays membres devront se prononcer sur un nouveau traité sur les pandémies et une réforme fondamentale du Règlement sanitaire international (RSI) déjà en vigueur. Etant donné qu’ils doivent voter sur une extension importante des pouvoirs de l’OMS et de son directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus, un débat houleux a déjà éclaté dans presque tous les pays plusieurs mois avant l’assemblée. Dans l’article 55 du RSI, Tedros s’engage à transmettre à tous les Etats membres le texte de chaque amendement proposé au moins quatre mois avant le vote.

Le mot anglais « shall » doit être traduit ici comme un ordre impératif. La communication est donc obligatoire, contraignante. Tedros aurait donc dû présenter un projet de texte final le 27 janvier 2024 afin de permettre un vote statutaire. Cela n’a pas été fait avant mars 2024, Tedros ne respecte pas les règles et n’est donc pas digne de confiance !

La recherche Kla.tv d’aujourd’hui, soutenue par des experts internationaux, ne peut donc qu’examiner à la loupe les projets actuels des deux documents qui font encore l’objet de discussions. Pour cette recherche, nous jetons un coup d’œil à l’Allemagne — l’un des 194 États membres :

Le jeudi 22 février 2024, une motion du groupe parlementaire CDU/CSU a été présentée au Bundestag allemand. Elle s’intitule : « Pour des négociations transparentes sur l’accord de l’OMS sur la pandémie – contre la désinformation et les théories du complot ».

La CDU/CSU est le plus grand groupe d’opposition et y a formulé différentes exigences concernant le contrat de pandémie de l’OMS. Ces exigences sont comparées ci-après, dans le cadre d’une vérification des faits, au texte des projets de contrats pour les deux accords. Cette vérification des faits met en lumière – quasiment noir sur blanc – ce que l’OMS négocie actuellement à huis clos.
Vérification de faits n°1 : La souveraineté des États membres

Exigence de la CDU/CSU : « En outre, il faut s’assurer que la mise en œuvre de l’accord se fasse en accord avec les politiques nationales de santé des États membres et que les droits de souveraineté nationaux soient pleinement préservés. »

Fait 1 : Le passage « en tenant compte des vues de l’État Partie concerné » est supprimé à l’article 10.4 du nouveau RSI !

Fait 2 : Le terme « non contraignant » est supprimé à plusieurs reprises dans l’article 1.1 du nouveau RSI !

Texte de l’actuel projet de l’OMS : « Les États Parties reconnaissent l’OMS comme autorité directrice et coordinatrice de l’action internationale en matière de santé publique en cas d’urgence de santé publique de portée internationale et s’engagent à suivre les recommandations de l’OMS dans leur action internationale en matière de santé publique. » (RSI, 13A-1)

Fait 3 : Par le nouvel article 13A-1, les 194 États membres s’engagent à suivre les recommandations de l’OMS ! Ces projets de traités dictatoriaux sont scandaleux et dévoilent les véritables intentions de l’OMS ! L’OMS n’est pas une organisation digne de confiance — même si, en raison de la pression internationale de plus en plus forte, elle devait encore édulcorer les projets à la dernière minute !

Analyse : Comme avec un scalpel, l’OMS « castre » les États membres ! En supprimant ou en ajoutant quelques mots, elle supprime leur souveraineté et s’habilite elle-même ! Les recommandations non contraignantes qui existaient jusqu’à présent deviennent ainsi des directives d’action obligatoires en droit international !
Vérification de faits n°2: La déclaration de l’état de pandémie

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Dernière modification par Nathan - 55 ans il y a
meilleur des mondes

Echelle de JacobEn route vers le meilleur des mondes

Echelle de Jacob - 11 avr 2024

Celui qui s’astreint à lire mon billet hebdomadaire sur ce support a dû remarquer depuis longtemps que je souffrais d’une fascination certaine pour cette étrange entité qu’est la monnaie.

   

En effet, et depuis le début de ma carrière, j’essaye de comprendre pourquoi elle a de la valeur, alors qu’elle ne coûte rien à produire, comment et par qui elle est créée, ce qui se passe quand celui qui a la charge de la création en crée trop ou pas assez… et sur toutes ces questions, je n’ai qu’une chose à dire, merci Milton Friedman…

Et donc, comme ceux qui ont la charge de cette création en ont vraiment créé beaucoup depuis que Draghi a détruit la Bundesbank (2012), je suis arrivé à quelques conclusions d’investissement sur ce qu’il ne fallait PAS avoir dans son portefeuille.

En fidèle disciple de Jacques Rueff, j’ai remarqué que les pouvoirs publics en Europe ou aux USA avaient renoué avec leur fâcheuse habitude de créer de l’argent « ex nihilo » pour subventionner des dépenses qui ne rapportaient rien (L’inflation consiste à subventionner des investissements qui ne rapportent rien avec de l’argent qui n’existe pas. Jacques Rueff). Comme l’inflation n’est en rien une hausse des prix mais simplement une baisse de la valeur du billet dans votre poche, cela revient à dire que détenir une obligation de l’Etat Français à qui vous auriez prêté 100 e d’aujourd’hui pour être remboursé 100 e dans 10 ans était vraiment une opération idiote puisque le pouvoir d’achat de mon capital aura baissé de 50 % sur la période.

Et je suis arrivé à cette conclusion comme un grand, sans l’aide d’aucune boîte noire, ordinateur ou tableau Excel.

Depuis que je suis arrivé à cette conclusion remarquable d’originalité, un portefeuille d’obligations à 10 ans émises par le Trésor[1] Français a baissé de 25 % tandis que des obligations de même duration émises par le gouvernement Chinois sont montées de 25 % en euro.

J’ai certes honte d’être un mauvais Français, mais cette honte est tempérée par la certitude que ceux qui devraient aller se cacher sont messieurs Sarkozy, Hollande, Lemaire, Tricher Draghi et autres madame Lagarde, et pas moi, qui n’ait fait qu’essayer de protéger mes chers lecteurs de l’IDL contre l’incompétence abyssale des sus mentionnés.

Le but était bien sûr de procéder à l’euthanasie du rentier.

Et si j’en juge par les récentes lois qui sont passées au Parlement, on va passer de l’euthanasie financière à l’euthanasie réelle

Apparemment, d’abord il faut ruiner les vieux, (ce qui est en bonne voie) pour ensuite leur faire une piqûre miséricordieuse de façon à leur éviter une vieillesse dans la pauvreté. En espérant bien entendu qu’ils seront les premiers à réclamer, avec une dignité de bon aloi, la fin de leur misère. C’est en tout cas ce que préconise monsieur Attali.

De façon à s’assurer de l’extinction des inutiles, les caisses de retraites existantes ne seront pas nationalisées mais régulées.

Ainsi, tout versement sera réparti entre trois investissements (c’est déjà quasiment le cas) :

La moitié ira aux obligations d’état, officiellement placement sans risques et dans la réalité un certificat de confiscation.
Quarante pour cent ira à des investissements dans les sociétés produisant des moulins à vent et des miroirs magiques.
Et dix pour cent à des logements sociaux destinés à des travailleurs immigrés en situation irrégulière bien incapables de payer quoique ce soit, mais il s’agit de faire œuvre humanitaire et non pas de gagner de l’argent sur le dos de la misère du monde. Curieusement, ceux qui bâtissent ces logements sont souvent proches des hommes politiques au pouvoir, et eux gagnent de l’argent.

La valeur des retraites versées va donc s’écrouler, ce qui favorise la disparition des inutiles.

La première étape était donc de se débarrasser de ceux qui ne produisent plus rien en les empêchant de se constituer une épargne qui leur permettrait de vivre dignement pendant leur vieillesse, entourés de l’affection des leurs.

Ce but est en voie d’accomplissement.

Il est temps de passer au deuxième stade vers un monde meilleur.

Apres avoir empêché les anciens de se constituer une épargne, il faut ensuite aider ceux qui contribuent au PIB à dépenser leur argent de façon socialement utile.

Pour cela, il faut créer une monnaie numérique.

Voici le projet...

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