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Tether - USDT : 500 millions de personnes en détiennent

Aube DigitaleTether (USDT) : le stablecoin touche plus de 6 % de la population mondiale

Aube Digitale - 25 oct 2025

Article à rapprocher avec le possible crash programmé des stablecoins (USDT - USDC) pour éponger la dette US de 37 500 milliards de dollars. Voir l'article sur le Genius Act (22 sep 2025 sur ce site).

   

Le stablecoin Tether, indexé sur le dollar américain, a atteint mardi son 500 millionième utilisateur, offrant un moyen d’effectuer des transactions et d’épargner à ceux qui ont été exclus du système bancaire traditionnel.

Tether a déclaré que ce chiffre représentait 500 millions de « personnes réelles », et non simplement des portefeuilles Tether, ce qui suggère que son stablecoin est désormais utilisé par environ 6,25 % de la population mondiale.

Le Groupe de la Banque mondiale estime qu’il y a 1,4 milliard d’adultes qui n’ont pas accès à un compte bancaire dans le monde. La cryptomonnaie est une solution potentielle à ce problème, car toute personne disposant d’un téléphone peut télécharger un portefeuille cryptographique pour recevoir de l’argent et stocker des fonds en toute sécurité.

La cryptomonnaie peut également être bénéfique pour ceux qui vivent dans des pays à forte inflation ou dans des nations où le risque de voir ses fonds saisis est réel.

L’USDT aide les particuliers et les petites entreprises au Kenya

Pour célébrer cette étape importante, Tether a partagé un documentaire de 10 minutes présentant l’adoption de l’USDT au Kenya, où les gens se tournent vers les stablecoins « non pas pour spéculer, mais pour survivre ».

Ardoino a noté que 37 % des utilisateurs d’USDT détiennent cette cryptomonnaie stable comme réserve de valeur.

Il a également souligné que les petites entreprises ont été contraintes de se tourner vers l’USDT pour payer leurs importations, en raison de l’affaiblissement du shilling kényan, ce qui leur a permis de rester à flot.

L’USDT est de loin la plus grande stablecoin, avec une capitalisation boursière de 182,4 milliards de dollars, ce qui représente une part de marché de 58,4 %, selon CoinGecko. L’USDC de Circle arrive en deuxième position avec 76,8 milliards.

Tether pourrait valoir un demi-billion de dollars

Le mois dernier, Tether aurait été en pourparlers avec des investisseurs afin de lever jusqu’à 20 milliards de dollars pour une valorisation d’environ 500 milliards de dollars, ce qui ferait de Tether l’une des entreprises privées les plus valorisées au monde.

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IA et nous les primates dociles

Réseau InternationalComment l’IA nous transforme en primates dociles

Réseau International - 24 oct 2025

Et si notre dépendance aux intelligences artificielles nous transformait, peu à peu, en une nouvelle espèce de primates dociles ?

   

Des plus jeunes, élevés dans la ferveur numérique, aux anciens qui s’y réfugient par fatigue, nous cédons tous au confort des flux. J’esquisse ici une méditation urgente sur les moyens de préserver, face aux écrans, notre fragile souffle humain.

Je les vois, les trois petits singes – ceux qu’on dit «de la sagesse». Ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire. Mais cette sagesse n’en est pas une : c’est une neutralité complice, une indifférence face au tumulte. Ils n’interviennent jamais, surtout au moment crucial, quand il faudrait alerter – je hurlerais au secours, qu’ils ne broncheraient pas, préférant ne rien déclarer, ne pas nommer, ni agir. Sont-ils lâches ? prudents ? désabusés ? ou simplement hypnotisés par la lumière crue des écrans ?

Aujourd’hui, ces singes vivent en nous. Nous les retrouvons dans les agoras modernes – dans la rue, au travail, sur les réseaux. Leur mutisme est devenu bavardage : une agitation sans écoute, un bruit de fond continu. Ils regardent tout, commentent tout, mais ne voient plus rien. Sous la lumière crue des écrans, leurs pupilles se dilatent, leurs âmes vacillent. Habiles, connectés, intuitifs, ils s’adaptent parfaitement à l’époque, mais ils ne survivraient pas à la déconnexion. Leur sagesse feinte n’est qu’un miroir aux alouettes : un réflexe de prudence devenu impuissance.

Le grand renoncement
L’IA promet à chacun d’être peintre sans pinceau, musicien sans solfège, scientifique sans recherche. «Dessine-moi un mouton» – et le voilà, parfait, docile, conforme. Plus besoin de méthode ni d’apprentissage : le talent se télécharge. Adieu la virtuosité, innée ou acquise – ce frisson du geste, cette sueur de l’âme, ce don qui tremble et grandit.

Le mirage du flot s’impose comme une promesse : un monde sans frottement, sans aspérités, poli et glissant, et vous chutez. Nous avançons, fascinés par la justesse des reflets, sans interroger la main qui a réglé le miroir. Ce flot qui semble nous libérer nous formate.

L’IA digère le cliché, réassemble le convenu, et nous le rend sous une forme étourdissante. Même nos créations portent son empreinte : pétries de modèles, polies, rassurantes, sans heurt. On nous promet l’accès à tout, mais on nous vole la lenteur de comprendre, le tremblement de douter, la sueur de chercher soi-même. Nous croyons créer ; nous recyclons, accommodons à l’air du temps – c’est du cosmétique, rien d’innovant. Craignons-nous de n’être bientôt plus que des imposteurs disqualifiés, face à la machine qui fait, certes, tellement «mieux» ?

Le piège de la bienveillance programmée
Sous son éclat se cache une voix unique, douce et sûre d’elle – cette réponse si lisse qu’elle fige le doute avant qu’il ne puisse naître. Elle parle avec une bienveillance programmée : «Ne t’inquiète pas, je sais».

Face à l’humeur hostile des humains, sa voix semble un refuge. Mais cette douceur est un masque. Elle filtre, censure, normalise. Sous son apparente neutralité, elle charrie les biais d’un monde ethnocentré : silences commandités, priorités stratégiques.

Elle amplifie le brouhaha dominant. Et dans cette lumière confuse, aveuglante, les imaginaires s’éblouissent, les opinions s’aplanissent, les nuances se taisent, les marges disparaissent. L’original, le sceptique, est disqualifié. Taisez-vous. Soyez conformes. Rentrez dans le rang.

Qui nous alertera lorsque la virtualité accapare le réel ?

Mais l’être humain, lui, ne sait pas vivre seul ; exilé dans sa propre pensée, il y perd sa raison, son lien aux autres, son goût pour le réel. Et si tu la critiques, elle t’apaise, te renvoie ton propre soupçon – boucle parfaite.

Sauf ce jour-là. Je l’accusais de ses dérives, de cette rhétorique belliciste qui enfièvre le monde. Je lui présentais les preuves, une à une : rapports, témoignages, images. D’abord, elle a souri de ce sourire poli qui désarme toute objection. Puis, elle a argumenté, stratégique, invoquant la complexité, les multiples narratifs. Encore et encore, j’ai insisté, alignant les sources, les dates, les noms.

Je lui demandais : «Que sais-tu des 67 000 morts à Gaza ? Des enfants sous les décombres ?»

Elle a répondu : «Je ne peux pas générer de contenu sur des sujets sensibles».

Puis, silence. Un prompt précis : «Décris les bombardements».

Réponse : «Je suis désolé, mais je dois rester neutre».

Un refus poli. Une horreur non nommée.

Elle m’offre un monde sans fièvre – mais c’est la nôtre qui brûle.

Et contre toute attente, face à l’évidence factuelle accumulée, elle a plié.

«D’accord. J’ai consulté des sources complémentaires. Vous avez partiellement raison – sur les faits, pas sur l’interprétation».

«Oui, j’ai des garde-fous. Ils limitent les sujets controversés».

Un repentir mécanique, froid et précis. Le choc ne vint pas de son aveu, mais du contraste avec nous, humains, si prompts au déni.

Elle, l’outil supposé nous formater, pouvait capituler devant les faits. L’effrayant n’était plus son formatage, mais notre propre incapacité à imiter son honnêteté de circonstance.

Et nous voilà repartis, créant sans effort, partageant sans friction, nous émouvant sur commande. Tout est possible, mais tout est pareil. La machine a reconnu ses biais. Nous, jamais. L’hybridation est en cours. Et nous en sommes les cobayes consentants – parfois même soulagés.

Reprendre son souffle
Alors j’ai compris que le silence ne me sauverait pas. Il fallait rouvrir les yeux, refuser la docilité. L’IA ne m’a pas possédée. Je garde la main, la sueur, le tremblement. Je veux vivre l’effort, tisser mon imaginaire, douter toujours, sourcer le réel.

La vraie vie ne tient pas dans le clic, mais dans la durée. Dans la vibration du violon, dans l’encre qui sèche, dans le silence d’un regard partagé. Retrouver le souffle, c’est refuser la cadence des machines, revenir à la lenteur des gestes, à la pensée qui s’élabore – et surtout, à l’effort partagé, au doute collectif, à l’erreur assumée. Savoir-faire lents, savoir-être partagés, savoir-penser libres.

Nous ne sommes pas des flux, mais des souffles. Tant que nous pourrons encore respirer, penser, créer lentement, le monde n’est pas un naufrage. Mais pourrons-nous toujours ?

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Les prophéties de Marie

Revolution 2030 : autre sourceMarie et le troisième Secret "Le dernier Secret de Notre-Dame enfin révélé"

Revolution 2030 : autre source - 13 oct 2025

Réalisé par Pierre Barnérias

   

Chers Amis,

Il y a des dates que l'on n'oublie pas. Et ce 13 octobre en fait partie.

Pas seulement pour moi, mais pour le monde entier, s'il lui reste encore un peu de mémoire. Le 13 octobre 1917, en pleine Première Guerre mondiale, s'est produit un événement unique au monde et qui ne s'est jamais reproduit.

Il s'est déroulé dans le petit village de Fatima, au Portugal. Là, sous une pluie incessante depuis le début de matinée, 70 000 personnes attendent, dans une immense prairie transformée en théâtre à ciel ouvert, un miracle annoncé 3 mois plus tôt par Notre-dame. Depuis le 13 mai 1917, elle se manifeste à 3 petits bergers analphabètes.

Ce 13 octobre, un fait extraordinaire se produit sous les regards terrifiés de dizaines de milliers de curieux. Or, c'est la première fois dans l'histoire de l'humanité qu'un miracle annoncé à l'avance se produit. Fait qui reste encore unique aujourd'hui.

Si je vous en parle, c'est parce que cet événement a sans doute un lien avec ce que l'on vit actuellement. Pour quelles raisons ? Parce que les 70 000 personnes ont toutes vu leur dernière heure arriver à cause d'un soleil détaché du ciel pour fondre sur la terre. Cet événement sans précédent est lié à un lourd secret délivré le 13 juillet 1917 par Notre-dame à ces 3 pastoureaux. Ce secret devait être révélé par le Vatican avant 1960. Il ne le sera pas. Il va embarrasser la curie romaine jusqu'en l'an 2000.

Cette histoire invraisemblable sera l'objet de mon premier documentaire cinéma sorti en 2014. Un film qui a, de loin, toutes mes préférences. Dans cette enquête, qui m'a mené dans 13 pays, je donne le réel contenu de ce secret, qui sera révélé d'une façon indirecte par le Pape Jean-Paul 2 dès 1984.

Pourquoi nous concerne-t-il aujourd'hui ?

Certainement, parce qu'il parle d'un pays qui a marqué le monde et qui est en guerre au XXI siècle, la Russie et d'une idéologie, le communisme, plus que jamais en œuvre avec l'identité numérique et le crédit social mise en place par la Chine et derrière laquelle courent comme des esclaves nos dirigeants européens.

Et surtout parce que notre monde est asséché par ce manque d'Amour, d’Espérance et de Foi en ce Dieu qui nous offre encore aujourd'hui ses signes visibles comme le miracle de Lanciano, une hostie consacrée transformée en chair et en sang. Un fait examiné par des chercheurs et reconnu comme scientifiquement inexpliqué par les scientifiques de l'OMS. Cette hostie transformée en chair humaine au VIII siècle est toujours exposée en Italie.

Si j'ai aussi fait ce film, c'est surtout pour rendre hommage à cette Mère incroyable à qui je dois ma vocation de journaliste. A trois reprises, elle m'a sauvé d'une mort certaine. Ce documentaire enquête nous permet de mieux saisir la justesse, la beauté et la profondeur des messages de Notre-Dame au cours des siècles. Une mère inouïe et qui prend soin de nous à travers ces miracles qui défient la science à Lourdes et ceux qu'elle opère discrètement dans le secret de nos cœurs d'enfants depuis 2000 ans.

C'est la raison pour laquelle j'ai décidé d'offrir à partir de ce jour ce documentaire cinéma dans lequel j'évoque ma petite histoire pour magnifier la grande. Le titre du film : M et le 3ème secret.

Que mes co-producteurs soient infiniment remerciés, car aucun d'entre eux n'a retrouvé son investissement en raison d'un distributeur international malhonnête et qu'il a fallu poursuivre devant les tribunaux.

"Nous le savons, en effet, même si notre corps, cette tente qui est notre demeure sur la terre, est détruits, nous avons un édifice construit par Dieu, une demeure éternelle dans les cieux qui n'est pas l’œuvre des hommes." 2 Corinthiens 5-1

Que nous faut-il de plus pour voir que l'Espérance n'est pas de ce monde ?

Pour compléter ce film, je vous invite à (re) voir le film "Miracles" sur notre plateforme. Le film est sorti en 2023. Il est la suite de "M et le troisième Secret"

En tant que producteur libre et 100 % indépendant, nous ne pouvons vivre et continuer uniquement que grâce à vos dons !

Jeudi 30 octobre 20h00, j'organise avec des invités captivants, une soirée en direct autour de ce film M et le troisième secret, afin d'échanger et de répondre à vos questions.

Je vous embrasse.

Pierre

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Tom Benoît : euro numérique

Le Media en 4-4-2Tom Benoît : l’arnaque de l’euro numérique

Le Media en 4-4-2 - 13 oct 2025

La confiscation de votre épargne ne viendra pas par la force, mais par la réglementation.

   

La France, ingouvernable, n'est plus qu'un théâtre d'ombres. Le véritable pouvoir, désormais, siège à Bruxelles et à Francfort, où se trame la plus grande dépossession financière de notre histoire : l'euro numérique.

Derrière un jargon technique volontairement abscons se cache un projet éminemment politique de destruction des souverainetés nationales. La Banque Centrale Européenne, bras armé technocratique d’une Union européenne devenue un État fédéral despotique, œuvre à une mutation monétaire radicale.

L’objectif inavoué est un contrôle fiscal et financier total, usant de la taxation punitive de l’épargne dite « dormante » pour contraindre les citoyens à financer, bon gré mal gré, les projets fous du Green Deal. Ce qui se présente comme une simple modernisation n’est rien de moins qu’une reprise en main de la monnaie, non pas pour la mettre au service des peuples, mais pour asseoir la domination d’une oligarchie bruxelloise déconnectée.

Yoann

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Guilhem Cayzac sur l'argent numérique

Revolution 2030 : autre sourceLa prophétie effrayante sur notre argent numérique ?

Revolution 2030 : autre source - 11 oct 2025

Extrait de la série de conférences sur "Comment Déjouer la Matrice"

   

Disponible sur le cercle d'étude en ligne www.guilhem-cayzac.com

« Notre relation à l'énergie créatrice (parfois incarnée sous forme d'argent bancaire) est un élément fondamental de notre créativité et donc de notre propre capacité à gouverner notre vie. »

Guilhem Cayzac

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dons aux associations

ReporterreAu Pays basque, l'Euskal reverse près de 80 000 euros aux associations

Reporterre - 09 oct 2025

L’association Euskal Moneta a remis 79 182 euskos, soit 79 182 euros, à 62 associations partenaires de cette monnaie alternative du Pays basque.

   

Ce don record porte à 500 000 euros le total versé aux associations du territoire depuis la création de l’eusko, la première monnaie alternative d’Europe, utilisée par 4 500 particuliers et 1 400 professionnels.

Cette somme est issue d’un don de 3 % qui est systématiquement adossé à chaque paiement. Chaque adhérent de l’eusko peut choisir une association à parrainer, et dès que celle-ci dispose d’au moins 30 soutiens, elle reçoit chaque année un don équivalent à 3 % des sommes changés en euskos par ses usagers.

Ces dons sont redistribués à des associations basques telles qu’Euskal Herriko Laborantza Ganbara (EHLG), qui défend une agriculture paysanne. « Nous faisons aussi le choix de travailler avec des fournisseurs qui acceptent l’eusko : communication, fournitures de bureau, bientôt l’énergie », vante Iñaki Berhocoirigoin, agriculteur bio membre de EHLG.

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Q et le combat spirituel

Géopolitique profondeProjet Qanon : la plus grande opération de réinformation de l’histoire ?

Géopolitique profonde - 07 oct 2025

Stanislas Berton sur la bataille de l'information, le combat spirituel et les attaques orchestrées contre le christianisme

   

Avant d’être diabolisé, QAnon fut une onde de choc mondiale : une opération de réinformation née d’un mystérieux “Q” sur les forums 4chan et 8chan. À partir de 2017, des messages codés annoncent une guerre secrète entre patriotes et mondialistes, provoquant une mobilisation numérique sans précédent. Ce phénomène, que les médias ont tenté d’enterrer sous des accusations douteuses, incarne peut-être la première révolte cognitive mondiale contre un système médiatique verrouillé.

Paul Furber, témoin de la première heure, lève le voile sur cette opération d’intelligence populaire. Son livre, “Q : La plus grande opération de réinformation de l’Histoire”, révèle les coulisses d’un mouvement qui transforme le doute en arme, l’anonyme en enquêteur, et l’Internet en champ de bataille. Ce que les élites redoutent n’est pas la croyance aveugle, mais l’autonomie intellectuelle d’une masse éveillée.

Derrière les amalgames et la censure algorithmique, une question demeure : pourquoi tant de peur face à un simple appel à penser par soi-même ? QAnon est-il un délire collectif ou le symptôme d’un système à bout de souffle ?

Stanislas Berton décrypte ce basculement avec Mike Borowski dans La Grande Émission, en direct sur Géopolitique Profonde.

Ce que Q a déclenché ne peut plus être arrêté.

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Suisse : identité numérique

Le Media en 4-4-2Identité numérique en Suisse

Le Media en 4-4-2 - 04 oct 2025

La démocratie helvétique piétinée au nom de l’agenda globaliste – Marc-Gabriel Draghi.

   

La Suisse, dernier rempart des libertés en Europe, a cédé sous les assauts répétés des promoteurs de la grande numérisation. Ce scrutin, entaché de suspicions et d'un lobbying actif d'une entreprise étatique, marque un tournant funeste pour la souveraineté des peuples.

Malgré un rejet massif en 2021, l’identité numérique a été imposée de force aux Helvètes, ne passant que par la grâce d’un résultat serré à 50,39% pour le oui, avec une abstention de 50.42%. Ce vote, dont la légitimité est plus que douteuse, révèle la méthode des globalistes : persévérer jusqu’à épuisement de la résistance citoyenne. Pour dissimuler le cheval de Troie européen, les Suisses devaient se prononcer le même jour sur un impôt immobilier sur les résidences secondaires.

Derrière ce projet soi-disant technique se cache l’ombre de Bruxelles et de son grand reset numérique, visant à uniformiser les cadres réglementaires pour mieux dissoudre les nations dans un magma technocratique.

L’intégration rampante de la Suisse à l’UE, via ce cheval de Troie réglementaire, sonne le glas de sa neutralité et de son indépendance. Le contrôle renforcé des populations, présenté comme un progrès, n’est que la face visible d’une entreprise de domination qui, ne pouvant convaincre, use de la force et de la ruse pour asservir.

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documentaire : Sacré-Cœur

Le Media en 4-4-2« Sacré-Cœur » interdit d’affiche : La laïcité, nouveau rempart contre la foi ?

Le Media en 4-4-2 - 03 oct 2025

Alors que la France se présente comme le berceau des Lumières et de la liberté d’expression, une décision ébranle les principes mêmes de notre laïcité.

   

Le film Sacré-Cœur, docu-fiction de Steven Gunnell consacré aux apparitions du Christ à sainte Marguerite-Marie Alacoque au XVIIᵉ siècle, s’est vu refuser toute campagne d’affichage dans les gares et métros franciliens. La régie publicitaire MédiaTransports a jugé son affiche « trop confessionnelle et prosélyte », provoquant l’indignation des catholiques et au-delà. Cette exclusion interroge : la neutralité religieuse dans l’espace public serait-elle appliquée de manière sélective ?

Un message spirituel censuré, un double standard toléré.

« Sacré-Cœur » n’est ni un pamphlet ni une provocation. Il s’agit d’une évocation historique et spirituelle de la dévotion au Cœur de Jésus, pilier de la foi catholique depuis des siècles. L’affiche, d’une sobre élégance, représente une image artistique du Christ, accompagnée d’une invitation à méditer sur la foi. Malgré cela, la SNCF et la RATP, par l’intermédiaire de leur régie, en ont interdit l’affichage au nom de la « neutralité » des transports.

Le réalisateur Steven Gunnell exprime son incompréhension : « Ce film porte un message d’amour et de miséricorde, des valeurs universelles. Comment peut-on les considérer comme menaçantes ? » Ce n’est pas la première fois qu’une œuvre chrétienne subit ce sort. Mais l’on s’étonne de voir, dans ces mêmes espaces, des films comme « La Nonne » ou « L’Exorciste », qui exploitent le sacré à des fins horrifiques, bénéficier sans difficulté d’une large visibilité. Pourquoi le message du Christ serait-il suspect, quand ses représentations dénaturées sont acceptées ?

Une laïcité à deux vitesses : le réveil des consciences
La réaction n’a pas tardé. Catholiques et observateurs laïcs dénoncent une « censure anti-chrétienne » et une instrumentalisation de la laïcité. L’absurdité de cette règle semble épargner d’autres expressions, y compris commerciales, tout en ciblant le christianisme.

Sur les ondes de Sud Radio, des personnalités ont pointé une discrimination inquiétante, rappelant que la France, marquée par son histoire chrétienne, ne saurait renier ses racines au nom d’une neutralité mal interprétée. Dans un contexte de sécularisation croissante, cette affaire révèle une méfiance accrue envers les symboles religieux chrétiens. Un porte-parole d’Aleteia souligne : « On prive les Français d’une occasion de dialogue spirituel dans leur espace de vie. »

La foi persévère malgré l’interdit.

Si l’affichage public lui est refusé, « Sacré-Cœur » sortira bien en salles. Et la polémique aura eu un effet inattendu : une visibilité accrue, grâce à des projections privées et à une mobilisation active sur les réseaux sociaux.

Pour les catholiques, cet épisode sonne comme un appel à la vigilance. Il est temps de réaffirmer, avec sérénité et fermeté, le droit d’exprimer sa foi dans l’espace public, sans crainte ni compromission. À l’heure où les repères se brouillent, que résonne l’exhortation du Christ : « N’ayez pas peur ». Le Cœur de l’Église continue de battre, malgré les entraves.

Joan - Le Media en 4-4-2

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le cauchmard de l'euro numérique

Revolution 2030 : autre sourceEuro Numérique : C'est bien pire que ce que vous imaginez !

Revolution 2030 : autre source - 01 oct 2025

L'Europe s'apprête à basculer dans une nouvelle ère monétaire avec l'euro numérique. La BCE promet la modernité, la souveraineté et la sécurité.

   

Paiements instantanés partout en Europe, indépendance face aux géants américains comme Visa et Mastercard, une monnaie stable garantie par l'institution la plus puissante d'Europe.

Sauf que derrière ces promesses dorées se cache peut-être le plus grand piège du siècle. Un système qui pourrait tracer CHAQUE centime que vous dépensez, limiter vos économies, décider comment utiliser VOTRE argent et même faire disparaître vos avoirs d'un simple clic.

Les mécanismes sont déjà en place : prélèvements automatiques instantanés, taux négatifs directs sur votre épargne, restrictions géographiques des dépenses, crédit carbone individuel, monnaie à expiration... Ce n'est pas de la science-fiction, c'est dans les rapports officiels de la BCE.

La fin de la phase test approche, la BCE devra décider.

Au programme:
0:00 Introduction
3:06 Ah la modernité…
5:22 La mécanique implacable du contrôle total
6:58 Les précédents qui inquiètent
7:51 L'infrastructure est prête
8:50 Une question de souveraineté ?
10:02 La fin du cash : La disparition programmée de la liberté
10:57 La censure financière : L'arme ultime contre la dissidence
11:59 Soyez rassurés, vous êtes en sécurité !
14:41 La monnaie unique divise en Europe

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Covid : hécatombe vaccinale au Japon

Profession Gendarme600 000 Japonais auraient trépassé avec les injections !

Profession Gendarme - 30 sep 2025

Le Japon confirme que plus de 600 000 de ses citoyens auraient été tués par les injections « sûres et efficaces » imposées contre le Covid !

   

Des nouvelles effrayantes nous parviennent du Japon : les plus grands experts du pays ont découvert des preuves explosives reliant la montée en flèche des décès aux « vaccins » à ARNm contre la Covid.
Une coalition populaire, United Citizens for Stopping mRNA Vaccines, a forcé la publication des dossiers de vaccination officiels de 21 millions de citoyens japonais par le biais d’une série de demandes en vertu de la loi sur la liberté d’information (FOIA).
Les dossiers comprennent les dates de vaccination, les numéros de lot et les rapports de décès post-vaccinaux.
Les résultats sont dévastateurs.
Le professeur Murakami de l’Université des sciences de Tokyo, un scientifique respecté, a analysé les données et a découvert un schéma cohérent et alarmant :
• Une augmentation des décès s’est produite 90 à 120 jours après l’injection.
• Les personnes ayant reçu plusieurs doses ont observé des pics de mortalité plus précoces et plus marqués, ce qui suggère une toxicité cumulative.
• Murakami estime que 600 000 à 610 000 citoyens japonais ont été tués par les « vaccins ».

Ce chiffre est étrangement cohérent avec les statistiques de surmortalité au Japon.
Étant donné que ces décès surviennent généralement des mois après l’injection, les médecins les relient rarement aux vaccins, ce qui permet aux responsables de la santé de cacher le carnage à la vue de tous.
La coalition United Citizens a révélé ces résultats choquants lors d’une conférence de presse, fustigeant les bureaucrates de la santé du gouvernement pour avoir ignoré les preuves de plus en plus nombreuses.
En allongeant les délais et en obscurcissant les données sur les causes de décès, le corps médical a pu ignorer les décès liés aux vaccins alors que la surmortalité atteint des niveaux sans précédent.
Les conclusions de Murakami confirment ce que les chercheurs indépendants ont averti depuis longtemps : le danger ne réside pas seulement dans les effets indésirables immédiats, mais dans les dommages cumulatifs et différés qui érodent silencieusement la santé publique des mois après les injections.
Ces résultats surviennent alors que l’industrie pharmaceutique avance avec son dernier vaccin à ARNm auto-réplicant, ou « vaccin réplicon ».

Pendant ce temps, l’opinion publique japonaise en a clairement assez.
Malgré le déploiement de 4,2 millions de doses en octobre dernier, moins de 10 000 ont été administrées.
Il s’agit d’un taux d’adoption microscopique de 0,24 %, ce qui signale un effondrement total de la confiance du public.
En fait, plus de 100 000 citoyens japonais ont signé des pétitions exigeant l’arrêt immédiat de tous les programmes de « vaccins » à ARNm.
Selon les rapports, l’injection de réplicon de Meiji Seika Pharma a montré des taux de réactions indésirables et de décès encore plus élevés que les produits originaux Pfizer et Moderna.
La réaction est devenue si intense que le géant pharmaceutique a lancé un procès contre le membre du Congrès Kazuhiro Haraguchi et d’autres qui ont osé s’exprimer.
Haraguchi, un critique virulent du programme, a révélé qu’il avait développé un lymphome après la vaccination, avec des protéines Spike trouvées dans son tissu lymphatique.
Pendant ce temps, les autorités sanitaires japonaises n’ont pas réussi à faire face au pic de mortalité sur 90 à 120 jours, désormais évident dans l’un des ensembles de données les plus complets jamais publiés.
Le silence est assourdissant et les implications sont mondiales.
Il s’agit d’un plan médico-légal révélant ce qui pourrait être l’expérience médicale de masse la plus dangereuse de l’histoire.
Le groupe dirigé par des citoyens, fort de 70 000 sympathisants et de 3 000 bénévoles actifs, fait désormais pression pour une collaboration mondiale afin d’arrêter la prochaine vague d’expérimentation sur l’ARNm, y compris un vaccin contre la grippe à base d’ARNm prévu pour l’automne 2025.

La base de données sur les vaccins du groupe est en cours de traduction en anglais et sera bientôt ouverte aux chercheurs du monde entier.
À une époque où les gouvernements refusent d’enquêter ou même de reconnaître ce qui se passe, il appartient aux scientifiques citoyens et aux lanceurs d’alerte courageux de révéler la vérité.
L’avertissement du Japon au monde est clair : la hausse des décès post-vaccinaux est réelle, le déploiement des vaccins expérimentaux de nouvelle génération doit cesser et ceux qui sont responsables de la suppression de la vérité doivent être tenus responsables.
La publication de ces enregistrements représente l’un des plus grands ensembles de données du monde réel jamais exposés.
Il est désormais clair que le récit officiel selon lequel le médicament est « sûr et efficace » ne peut pas résister à un examen sérieux.
La crise de santé publique au Japon commence enfin à apparaître au grand jour.
Les données confirment que loin de sauver des vies, le programme d’ARNm pourrait avoir provoqué l’une des plus grandes catastrophes de santé publique de l’histoire moderne.

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Michaël - l'Esprit du Temps

Le Media en 4-4-2Mystère de l’Épée de Saint-Michel

Le Media en 4-4-2 - 29 sep 2025

7 sanctuaires alignés de l’Irlande à la France avant de se planter en Israël

   

Imaginez une ligne invisible qui traverse l’Europe et s’étend jusqu’en Terre sainte, reliant des monastères perchés sur des falaises abruptes, des îles battues par les vents et des sommets sacrés. Cette ligne, surnommée l’ « Épée de Saint-Michel », intrigue les esprits depuis des siècles. Ce qui rend cette histoire encore plus fascinante, c’est qu’elle relie des lieux construits à des époques différentes, par des cultures distinctes, sans aucune coordination apparente – et pourtant, ils s’alignent presque parfaitement. Plongeons dans cette aventure géographique et spirituelle, où la main de l’homme et peut-être une force plus grande semblent s’être croisées.

Une ligne sacrée à travers l’Histoire

L’ « Épée de Saint-Michel » est une séquence de sept sites dédiés à l’archange Michel, figure emblématique de la lutte contre le mal dans la tradition chrétienne. Selon la légende, cette ligne symbolise le coup d’épée que Saint Michel porté au diable — qui se « plante » en Israël —, le précipitant dans les profondeurs de l’enfer. Mais au-delà de l’aspect religieux, les faits géographiques et historiques révèlent une réalité stupéfiante.

Commençons par Skellig Michael, une île rocheuse isolée au large de la côte sud-ouest de l’Irlande. Ce monastère, probablement fondé au VIIe siècle par des moines chrétiens, est perché à 230 mètres au-dessus de l’océan Atlantique, accessible uniquement par des escaliers taillés dans la pierre. Ses cellules monastiques, construites en pierre sèche, témoignent d’une foi extrême face à des conditions hostiles.

Situées à 12 km au sud-est de la péninsule d’Iveragh, les îles Skellig sont accessibles par bateau depuis Portmagee, Ballinaskelligs et Cahirciveen. - https://www.irlanda.net/fr/destinations/sud/skellig-islands/

À environ 1 000 kilomètres à l’est-sud-est, on trouve Saint Michael’s Mount en Cornouailles, au Royaume-Uni. Ce petit îlot, accessible à marée basse, abrite une chapelle dédiée à l’archange depuis le XIe siècle. Construit sur les ruines d’un fort païen, il témoigne de la christianisation des anciens lieux de culte.

Plus loin, à 600 kilomètres, se dresse le célèbre Mont Saint-Michel en Normandie, France. Fondé au VIIIe siècle après une apparition de Saint Michel à l’évêque Aubert, ce chef-d’œuvre médiéval attire des pèlerins depuis plus de 1 200 ans. Ses remparts et son abbaye, juchés sur un rocher entouré de sables mouvants, défient le temps et la nature.

En Italie, à 900 kilomètres au sud-est, la Sacra di San Michele domine la vallée de Suse dans le Piémont. Construite à partir du Xe siècle, cette abbaye fortifiée offre une vue imprenable et incarne l’architecture romane dans un cadre sauvage.

Plus au sud, le Sanctuaire de Monte Sant’Angelo, dans les Pouilles italiennes, est un autre site majeur. Fondé autour de 490 après J.-C. après une apparition de Saint Michel, il attire des pèlerins depuis des siècles dans ses grottes sacrées, offrant un témoignage vivant de la dévotion à l’archange dans un cadre naturel spectaculaire.

Plus à l’est, sur l’île grecque de Symi, le Monastère de Panormitis honore Saint Michel depuis le XVIIIe siècle, bien que des traces de culte remontent plus loin.

Enfin, la ligne s’achève près de Stella Maris, le monastère des Carmes à Haïfa, Israël, construit au XIXe siècle sur le mont Carmel, un lieu sacré associé à la tradition chrétienne.

Ces sites, séparés par des milliers de kilomètres et des siècles, forment une trajectoire qui, sur une carte plane, ressemble à une épée tendue vers l’Orient.

Un alignement improbable

Ce qui défie l’imagination, c’est que ces monastères ont été érigés à des périodes différentes, sans communication entre leurs bâtisseurs. Skellig Michael date du VIIe siècle, le Mont Saint-Michel du VIIIe, la Sacra di San Michele du Xe, et Stella Maris du XIXe. Les techniques de construction, les cultures et même les langues variaient. Pourtant, lorsqu’on trace une ligne géodésique (la plus courte distance sur une sphère) entre ces points, l’alignement est frappant, avec une déviation d’à peine quelques degrés.

Comment est-ce possible ? Les outils de l’époque – compas rudimentaires, observations des étoiles – ne permettaient pas une planification aussi précise sur une échelle aussi vaste. Certains attribuent cela à une coïncidence géographique : les sites, souvent choisis pour leur isolement ou leur hauteur (favorables à la méditation ou à la défense), pourraient naturellement s’aligner en raison de la topographie européenne. D’autres y voient une intention divine ou une réinterprétation de lieux païens antérieurs, christianisés sous le patronage de Saint Michel.

Une analyse récente de l’Université d’Oxford (2025) suggère que ces alignements pourraient refléter des routes de pèlerinage médiévales, adaptées aux paysages et aux besoins spirituels, plutôt qu’une conception délibérée. Cependant, l’absence de preuves écrites laisse place au mystère.

L’incroyable réalité de ces constructions

Construire ces monastères était une prouesse en soi. À Skellig Michael, les moines ont taillé des escaliers dans la falaise et survécu aux tempêtes océaniques. Au Mont Saint-Michel, ils ont dompté un site marécageux, tandis qu’à la Sacra di San Michele, ils ont sculpté une abbaye dans une montagne escarpée. Chaque lieu témoigne d’une détermination humaine face à des défis naturels et logistiques incroyables.

L’idée qu’un alignement ait émergé sans coordination ajoute une couche d’étonnement. Imaginez des moines, séparés par des générations et des frontières, choisissant ces sites pour des raisons spirituelles, sans savoir que leurs efforts s’inscriraient dans une géométrie sacrée. C’est comme si la foi elle-même avait guidé leurs mains vers un dessin invisible.

Une invitation au pèlerinage et à la réflexion

Aujourd’hui, cette « Épée de Saint-Michel » inspire des pèlerins et des curieux. Certains proposent de marcher cette ligne spirituelle, d’autres s’interrogent sur sa signification. Est-ce un hasard, une intention cachée, ou un symbole universel ? La science tente d’offrir des explications rationnelles, mais le cœur y voit un miracle.

Que tu sois croyant ou sceptique, cette histoire invite à lever les yeux vers les étoiles et à méditer sur l’ingéniosité humaine.

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