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Viginum agence d'état

Echelle de JacobLa France devient la Chine de l’Europe !

Echelle de Jacob - 25 fév 2024

L'agence d'État Viginum, sous couvert de lutte contre les fake news et les ingérences numériques étrangères, surveille en France nos publications sur les réseaux sociaux.

   

Elle est même "autorisée à mettre en œuvre un traitement informatisé et automatisé des données à caractère personnel". Une mise sous surveillance de toute la population.

Déjà, dès 2021, les pouvoirs publics s'immisçaient dans Facebook, Instagram, Twitter ou Linkedin, mais aussi Ebay, Rakuten ou LeBonCoin en matière de fraude fiscale. À présent, "de telles collectes potentiellement très larges", piloté par le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN), dépendant directement de Matignon, n'ont même pas nécessité de loi : un simple décret, avec l'aval du Conseil d'État, sans débat parlementaire, dont la mise en œuvre fait appel à des prestataires privés (Sahar et Storyzy notamment).

Sur quels critères juger que des allégations sont "manifestement inexactes ou trompeuses" ?

Quand peut-on parler d' "atteinte aux intérêts fondamentaux de la nations"? Et ce, pendant combien de temps ? "Notamment durant les périodes électorales". Donc un flicage à durée indéterminée, qui ne concerne pas du reste que le diffuseur d’information, mais tous ceux avec lesquels il est en contact.

La CNIL s’inquiète aussi de ce que "ces informations sont susceptibles de révéler des informations sur un nombre important d’aspects de la vie privée des personnes concernées, y compris des informations sensibles, telles que les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques ainsi que l’état de santé ou l’orientation sexuelle".
Ainsi, celui qui qualifiera tel personnage de l’Etat de pédéraste, de dépravé sexuel, verra ses communications décortiquées jusqu’à la dernière avec beaucoup d’autres éléments jugés compromettant qui pourront être utilisé pour faire pression sur son auteur, le faire chanter.

La preuve ?

On la trouve dans ce qui suit : "la collecte automatisée d’un grand nombre de données à partir des plateformes concernées, selon certains paramètres déterminés par avance (au sein des fiches dites de "traçabilité", implique la collecte et le traitement de données non pertinentes au regard des finalités poursuivies". Cela signifie que l’on ne collectera pas seulement les données d’ordre politique mais toutes les autres, fichant ainsi tous les opposants, mieux que le faisait la Stasi ou le KGB. D’ailleurs, la CNR, n’est pas dupe et écrit : "certaines données à caractère personnel, présentes dans les notes d’analyse précédemment évoquées, seront adressées à de multiples services étatiques et administrations ainsi qu’à des homologues étrangers".

En termes clairs ces collectes permettront des "notes d’analyse", c’est-à-dire de fiches de police constituées sur tout un chacun et utilisables par tout service de l’Etat qui le jugera utile à son action.

Sachant que les infoxs sont avant tout tricolores, et non le résultat de puissances étrangères, on comprend aussi l'intérêt des autorités à accroître en interne la détection de toute dissidence, à des fins électorales, liberticides ou sécuritaires. D'autant que le problème est de savoir ce qu'est un message "trompeur", qui le signale, et dans quel but.

La France peut aussi manipuler l'information. Et elle le fera d'autant mieux par le traitement du maximum de renseignements "hostiles" en amont. Attention donc au faux fact checking ou fausses fake news, surtout si cela est présenté avec toute la légitimité de l'autorité publique d'une agence d'État.

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Tucker - Benz

Quantum LeapL'entrevue historique de Mike Benz avec Tucker Carlson

Quantum Leap - 21 fév 2024

L’État de sécurité nationale et l’inversion de la démocratie

   

L’État de sécurité nationale est le principal moteur de la censure et de l’ingérence électorale aux États-Unis.

Une synthèse historique compréhensible et éclairante sur la guerre de l'information.

« Ce que je décris est un régime militaire, c’est l’inversion de la démocratie. »

Mike Benz

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Meta inculpation apologie du terrorisme

France SoirLa Russie inculpe le groupe Meta pour “promotion d’activités terroristes”

France Soir - 02 déc 2023

La Russie inculpe et recherche un porte-parole du groupe Meta pour “promotion d’activités terroristes”.

   

Pour les autorités judiciaires russes, il apparaît inacceptable que Meta relaye des contenus appelant au meurtre de citoyens russes.

Un porte-parole du groupe américain Meta, société mère de Facebook, Instagram et WhatsApp, est inculpé par contumace en Russie. Un tribunal russe a ordonné lundi 27 novembre 2023 le placement d’Andy Mark Stone en détention provisoire, au lendemain de son inscription dans la liste des personnes recherchées par Moscou, qui considère Meta comme organisation “extrémiste". Andy Mark Stone est accusé de “promouvoir des activités terroristes” et les faits qui lui sont reprochés remontent à mars 2022. Stone est le deuxième haut responsable du groupe californien à subir des représailles de la part Moscou, qui accuse la firme d’avoir adopté des pratiques hostiles à la Russie. Le premier n’est autre que Mark Zuckerberg, placé sur une liste noire des personnes interdites d’entrée sur le territoire russe.

Les autorités russes, qui ont bloqué peu après l’invasion de l’Ukraine les réseaux sociaux de Meta, ont qualifié, dès mars 2022, la firme américaine “d’extrémiste”. Un tribunal moscovite a affirmé avoir “constaté que la société diffusait des contenus appelant à la violence extrémiste contre les citoyens russes”, en “violant” leurs droits et en constituant “une menace pour le système constitutionnel de la Fédération de Russie”. La cour reproche également à la société mère de Facebook son “incapacité à bloquer les contenus appelant à la violence” et ce, malgré les demandes des autorités, politiques et judiciaires, de les retirer.

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liberté d'expression en occident

HashtableLes élites occidentales n’en peuvent plus de cette odieuse liberté d’expression

Hashtable - 04 mai 2023

En France, pays de la Liberté et des Droits de l’Homme, on peut tout dire à condition de chuchoter ce qui pourrait agacer, et seulement à des oreilles qui l’acceptent.

   

Sinon, on s’attire de gros problèmes : la Liberté et les Droits de l’Homme, c’est très bien tout ça, mais faut pas pousser.

C’est ainsi qu’apostropher le Chef de l’État en lui reprochant plus ou moins vertement sa politique et la façon dont son gouvernement gère les affaires courantes, ce n’est pas très bien vu et cela peut même vous mener au tribunal. Rien ne crie plus fort “Démocratie !” qu’embastiller ceux qui ne vous montrent pas de respect, n’est-ce pas.

Eh oui : alors que la liberté d’expression fut jadis un pilier des démocraties, il apparaît que la France – qui n’a jamais fait vraiment l’effort d’en être une particulièrement appliquée – est maintenant en pointe pour bien faire comprendre à tous ses citoyens que la question va se poser dans des termes très différents à mesure que les mois vont passer.

C’est ainsi qu’on apprend de source de moins en moins officieuse qu’au prétexte de lutter contre la haine en ligne, le gouvernement envisage de plus en plus sérieusement des mesures coercitives pour éliminer certains internautes des réseaux sociaux.

Bien évidemment et comme d’habitude pour faire passer ce qui apparaît de plus en plus comme une atteinte constitutionnelle grave au droit d’expression fondamental, il s’agira d’enrober la mesure dans une bonne couche de sécurité : afin de conserver les réseaux sociaux propres sur eux, on va en bannir les harceleurs et autres cybercriminels. Il suffira de s’appuyer sur la nouvelle bordée de directives et de règlements en cours d’application dans l’espace européen empaquetées dans le nom de “Digital Service Act”, vaste fourre-tout sécuritaire où tout pourra être prétexte à restreindre et limiter les allers et venues des internautes européens.

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Algocratie : la nouvelle idiocratie des réseaux sociaux

Mr Mondialisation« Algocratie » : la nouvelle idiocratie des réseaux sociaux

Mr Mondialisation - 07 mars 2023

Addiction, désinformation de masse, polarisation des débats, dévoiement démocratique… Les griefs à l’attention des plateformes numériques sont nombreux.

   

Malgré leur pouvoir informationnel jamais égalé, les réseaux sociaux restent pourtant amplement façonnés par les intérêts financiers de sociétés monopolistiques. Dans son ouvrage Algocratie, vivre libre à l’heure des algorithmes publié aux éditions Actes Sud, Arthur Grimonpont dresse avec rigueur et pédagogie le tableau dantesque de l’impact des réseaux sociaux sur l’ensemble de la société du XXIème siècle. Afin d’associer intelligence artificielle et enjeux actuels, Arthur Grimonpont plaide pour une véritable révolution de l’attention.

Vous êtes-vous déjà demandé à quoi ressemblerait notre vie sans les réseaux sociaux ? Que se passerait-il si, le premier réflexe d’une majorité d’individus au saut du lit n’était pas de consulter leur smartphone ? S’ils ne pouvaient pas se contenter d’admirer les dernières photos de vacances de leurs proches pour considérer « avoir pris de leurs nouvelles » ? Si la moitié de notre garde-robe ne leur avait pas été directement recommandée par les publicités ciblées de Facebook ou leur influenceur préféré ? Si leur source d’information principale ne se déclinait pas sous forme de feed, de post et de short ?

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CIA et FBI avec les réseaux sociaux


Comment les réseaux sociaux sont devenus des « filiales » du FBI et de la CIA

Réseau International - 25 fév 2023

Les « Twitter Files » ont levé le voile sur une alliance secrète entre la Silicon Valley, les agences de renseignement et le pouvoir politique.

   

Il y a près d’un demi-siècle, le Congrès américain a tenté pour la dernière fois de se pencher sur les activités des services de sécurité en pleine expansion du pays.

En 1975, la commission Church a réussi à prendre un instantané fugace, mais loin d’être complet, du monde souterrain dans lequel opèrent des agences telles que la Central Intelligence Agency (CIA), le Federal Bureau of Investigations (FBI) et la National Security Agency (NSA).

À la suite du scandale du Watergate, la commission du Congrès et d’autres enquêtes connexes ont révélé que les services de renseignement du pays disposaient de pouvoirs de surveillance étendus et étaient impliqués dans toute une série d’actes illégaux ou anticonstitutionnels.

Ils subvertissaient et assassinaient secrètement des dirigeants étrangers. Ils ont coopté des centaines de journalistes et de nombreux médias à travers le monde pour promouvoir des informations fabriquées de toutes pièces. Ils ont espionné et infiltré des groupes politiques et de défense des droits civils. Et ils ont manipulé le discours public pour protéger et étendre leurs pouvoirs.

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confinement - peur

Anguille sous rocheL'armée pour espionner les citoyens sur leurs peurs pendant le Covid

Anguille sous roche - 02 fév 2023

Le gouvernement britannique a utilisé une unité de l’armée pour espionner les citoyens afin de savoir « à quel point les gens avaient peur » pendant le Covid

   

Le rapport, intitulé « Ministry of Truth: The Secretive Government Units Spying On Your Speech » (Ministère de la vérité : les unités gouvernementales secrètes espionnant vos propos) – une plongée approfondie de plus de 100 pages dans le sujet, a notamment analysé comment le gouvernement britannique a utilisé l’armée du pays pour savoir « à quel point les gens avaient peur » pendant le Covid.

Pour le groupe de défense de la vie privée et des droits civiques Big Brother Watch – qui affirme que le rapport est basé sur des réponses à la loi sur la liberté d’information et des témoignages de dénonciateurs – il s’agissait de créer une façade pour traiter les « fake news », alors qu’en réalité, il s’agissait de mener « une surveillance à grande échelle du public britannique sur les médias sociaux ».

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cerveaux d'ados accros aux réseaux sociaux

Aube DigitaleChoses étranges dans les cerveaux d’enfants accros aux médias sociaux

Aube Digitale - 02 fév 2023

Des scientifiques ont découvert quelque chose d’étrange dans des scans cérébraux d’enfants accros aux médias sociaux

   

Ce n’est un secret pour personne que l’utilisation des médias sociaux peut modifier l’anatomie du cerveau des adultes, mais une nouvelle étude suggère qu’elle pourrait également avoir un impact profond sur le cerveau en développement des adolescents.

Des chercheurs de l’université de Caroline du Nord ont découvert, dans l’une des premières études de ce type, que la consultation habituelle des flux sociaux peut modifier la façon dont les jeunes adolescents traitent les récompenses et les punitions sociales – des changements suffisamment concrets pour être perçus comme des voies neurales distinctes et divergentes dans les scanners cérébraux.

Publiée dans le Journal of the American Medical Association Pediatrics, l’étude a révélé des changements significatifs au niveau de l’amygdale, une partie de la matière grise du cerveau associée à la mémoire et aux émotions, dans le cerveau des 169 adolescents participant à l’étude dans un collège rural de Caroline du Nord.

Ces modifications cérébrales semblaient être associées à la sensibilité aux conditions sociales, les sujets qui consultaient les médias sociaux plus de 15 fois par jour devenant de plus en plus réactifs aux récompenses et aux punitions sociales au fil du temps, alors que leurs homologues ont connu la tendance inverse.

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esclavage de la dette

Aube DigitaleLe Forum économique mondial veut contrer la « mésinformation »

Aube Digitale - 05 jan 2023

Le Forum économique mondial se penchera sur la manière de contrer la « mésinformation » lors de sa réunion annuelle de 2023

   

Le Forum économique mondial (FEM), une organisation mondiale non élue qui cherche à « façonner les agendas mondiaux, régionaux et industriels », a annoncé le programme de sa réunion annuelle de 2023, qui comprend un panel sur la lutte contre la « mésinformation. »

Le panel s’intitule « Countering Threats in the Age of Black Swans » et aura lieu le 18 janvier 2023 à 9 heures, heure normale de l’Est (HNE).

La description de la table ronde ne définit pas la mésinformation, mais affirme qu’un « large éventail d’acteurs » a accès à « une capacité toujours plus grande de diffusion de la mésinformation. » Cette capacité, selon le FEM, est censée aggraver les « menaces qui étaient autrefois considérées comme aberrantes ».

Au cours de la table ronde, les intervenants discuteront de la manière de prévoir, d’atténuer et de contrer ces menaces qui sont censées être aggravées par la mésinformation.

Alors que la description du panel ne définit pas la mésinformation, un récent post promouvant la réunion annuelle du FEM suggère que le groupe considère la critique du FEM et la remise en question des récits dominants du Covid-19 comme de la mésinformation.

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se déconnecter

NexusLe Luddite Club : un endroit sans téléphone ni réseaux sociaux

Nexus - 16 déc 2022

Aujourd’hui, il peut être difficile d’imaginer la vie sans les smartphones et les réseaux sociaux. Ces technologies font désormais partie intégrante de notre quotidien, mais de plus en plus d’adolescents commencent à se sentir dépassés et stressés par celles-ci.

   

La connexion continue peut être fatigante et entraîner des sentiments d’anxiété et de peur de manquer. Pour se déconnecter, certains jeunes ont décidé de se mettre au tricot ou adoptent les téléphones à clapet des années 2000. D’autres encore n’hésitent pas à se réclamer du luddisme.

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Musk Twitter et les bots

Anguille sous rocheLa bataille d’Elon Musk contre les bots : C’est une guerre et nous allons la gagner

Anguille sous roche - 07 déc 2022

Plus d’un million de personnes se sont branchées sur les espaces Twitter pour entendre l’homme le plus riche du monde s’exprimer alors qu’il était en vol dans son jet privé samedi.

   

Au cours de ce podcast en direct animé par des personnalités indépendantes du monde des médias et de la société, suite à la publication des « Twitter Files » la semaine dernière, Elon Musk a été interrogé par un groupe important de détenteurs de coches bleues sur une variété de sujets relatifs à la plateforme de réseau social.

Le milliardaire de la technologie a été interrogé sur son plan pour gérer les bots sur Twitter 2.0. Les bots représentent 50 % du trafic internet mondial.

« Je vais vaincre les bots », a-t-il déclaré, « C’est une guerre, et nous allons la gagner. »

« Nous allons démasquer ceux qui veulent manipuler les gens », a-t-il ajouté.

Il a expliqué que les bots agissaient « de concert », mais il a l’intention de développer un logiciel qui lui permettra de contrôler l’influence des bots.

« Ces outils logiciels n’ont pas été écrits, mais nous les ferons », a-t-il dit.

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rachat de Twitter par Elon Musk

Anguille sous rocheMusk pourrait posséder Twitter dès la semaine prochaine

Anguille sous roche - 25 oct 2022

Les dernières nouvelles concernant la prise de contrôle de Twitter sont, comme toujours, pleines de drama et de confusion.

   

Elon Musk devrait prendre les clés de Twitter d’ici la fin de la semaine prochaine, après une série de batailles juridiques, de prises de bec en ligne et de négociations complexes. Quel que soit le propriétaire de la plateforme, le géant des médias sociaux semble prêt à procéder à des coupes sombres dans ses effectifs.

C’est ce qui ressort d’un nouveau rapport du Washington Post, qui a enquêté sur le rachat de Twitter au moyen d’un certain nombre d’entretiens et de documents obtenus. M. Musk aurait déclaré à des investisseurs potentiels que son rachat de l’entreprise impliquerait le licenciement de près de 75 % des 7 500 employés de Twitter. En réponse à cette information, le principal avocat de Twitter, Sean Edgett, a envoyé un courriel aux employés jeudi pour leur dire que l’entreprise n’avait pas prévu de licenciements, rapporte Reuters.

Musk et Twitter souhaitent tous deux conclure l’accord d’ici le 28 octobre, à l’issue d’une période de négociation controversée qui s’est étalée sur plusieurs mois.

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