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missiles hypersoniques - Iran

VoltairenetLes missiles hypersoniques iraniens instaurent la dissuasion par la terreur

Voltairenet - 22 avr 2024

Malgré l’offensive de la propagande israélienne persuadant les médias occidentaux que la riposte iranienne n’a pas fait de dégâts, la vérité se fait jour.

   

Téhéran n’a pas cherché à attaquer la population civile israélienne, mais à tester les défenses des FDI. Pour la première fois, il a utilisé des missiles hypersoniques que ni les alliés d’Israël, ni son armée, n’ont pu intercepter.

es représailles iraniennes attendues avaient été largement télégraphiées 72 heures à l’avance et même calibrées, selon le Financial Times, par crainte de la flambée des prix du pétrole.

Larry Johnson, ancien agent de la CIA, a fait remarquer que malgré l’insistance de l’Occident sur l’échec de l’Iran - le chant des « palefreniers » occidentaux, dont les multimédias sont largement contrôlés par le "lobby israélien" - l’Iran a opéré ce qu’il prévoyait de faire en Israël et a démontré une capacité remarquablement sophistiquée, avec des ogives manœuvrables.

Le journal le plus populaire d’Israël, Yediot Aharonot, a critiqué l’échec stratégique d’Israël, tandis que le Washington Times a dénoncé « L’échec de la dissuasion » de l’administration Biden dans la prévention d’un conflit entre l’Iran et Israël.

Hayman Tamir, directeur du groupe de réflexion israélien Institute for National Security Studies (INSS), a déclaré que l’Iran était en mesure de causer des dommages à Israël sans que les États-Unis ne s’engagent dans une contre-attaque - ce qu’aurait vivement souhaité le Premier ministre Netanyahou.

Ilya Tsukanov de Sputnik – média de Russie, l’une des deux superpuissances en matière de missiles hypersoniques, à l’unisson avec la Chine - rapporte que les multimédias iraniens confirment l’utilisation de missiles hypersoniques indétectables.

Quant à la chaîne iranienne PressTV, elle a montré, vidéo à l’appui, que tous les missiles hypersoniques utilisés ont réussi à atteindre leurs cibles : les bases aériennes très importantes de Nevatim, où sont installés les F-35, et de Ramon, tout près de la centrale nucléaire clandestine de Dimona.

PressTV affirme que l’Iran fait partie des quelques pays qui possèdent la technologie nécessaire pour produire des missiles hypersoniques capables de se déplacer à des vitesses stupéfiantes et d’atteindre leurs cibles avec une grande précision.

D’autres sources iraniennes affirment que ses missiles hypersoniques (Fattah 2) ont touché une base militaire secrète du Mossad sur le plateau du Golan syrien, qui appartient à la Syrie et a été annexé par Israël - ce qui aurait coûté la vie à 44 (sic) espions - et ont même touché un bâtiment du Mossad à Tel-Aviv.

Au-delà de la guerre de propagande dominée par le "lobby israélien" en Occident, qui vante l’exploit d’Israël, aidé par les États-Unis, le Royaume-Uni, la France et même la Jordanie, d’avoir abattu 99 % (sic) de la panoplie de drones/missiles de croisière/missiles balistiques de l’Iran, l’ancien officier d’espionnage des Marines américains Scott Ritter - qui s’était illustré en démystifiant les balivernes de Baby Bush et des armes de destruction massive de Saddam Hussein qui n’ont jamais existé - affirme que « L’Iran a rétabli la dissuasion » (du latin deterrere, dissuader par la terreur) de façon à tenir désormais Israël et les États-Unis en échec, alors qu’Israël pensait pouvoir lancer une attaque contre l’Iran sans avoir à en subir les conséquences. C’est désormais chose faite, même si l’Iran n’a délibérément pas infligé à Israël une action excessivement meurtrière. Il s’agissait d’un message de dissuasion, et non pas d’une attaque !

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JO 2024 - papir bitte

HashtableJeux Olympiques 2024 : de bien belles perspectives !

Hashtable - 22 avr 2024

À moins de 100 jours des prochains Jeux Olympiques à Paris, on sent nettement l’excitation et la joie s’emparer de tout le pays.

   

La capitale et ses habitants se réjouissent très manifestement des festivités et jamais le mot “épreuves olympiques” n’aura trouvé une aussi belle résonance avec ce que traversent actuellement les Parisiens qui goûtent maintenant chaque minute d’anticipation de ces futurs grands moments.

Futurs grands moments qu’il faut minutieusement préparer et qui ont déjà été l’occasion, notamment pour la maire de Paris, d’aller visiter les lieux des différentes épreuves dans lesquels on trouve – assez commodément – Papeete, cette petite localité qui jouxte Paris et qui accueillera notamment les épreuves de surf.

Moyennant un petit déplacement en avion (cela jouxte à 15.000 kilomètres près) dont la compensation carbone n’a pas été évoquée – mais dont on peut être sûr qu’elle a été réalisée tant Anne Hidalgo est forcément éco-consciente – et une petite facture pour le contribuable parisien de l’ordre de 60.000 euros, les installations ont pu être vérif…ah non, finalement, le voyage déclenchant des démangeaisons pour l’opposition, les contribuables parisiens, une partie de la presse et pas mal de Français en général, la maire n’aura pas poussé jusqu’au site de l’épreuve de surf.

Tout ceci nous amènera quelques mois plus tard à une petite enquête et des perquisitions pour ramasser les éléments de preuve d’une éventuelle prise illégale d’intérêts et détournement de fonds publics (oh, ça alors) dont on ne doute pas qu’elles permettront de totalement laver l’honneur de l’équipe municipale.

La préparation ne s’arrête pas là puisque, rappelons-le, elle comporte aussi le déménagement furtif des encombrants étudiants qui prennent le pain le logement des athlètes : les expulsions ont commencé. Ouf, la place est libérée, les sportifs sont soulagés, l’Olympisme respire.

De même, la déportation le déplacement discret des centaines de migrants et autres vagabonds en dehors de la ville et leur relocalisation, toujours aux frais du contribuable, un peu partout dans le reste du pays, se passe plutôt bien même si certains maires (celui d’Orléans par exemple) s’en offusquent de façon un peu verte. Ouf, la place est nettoyée, les organisateurs se détendent, l’Olympisme retrouve le sourire.

Mais que serait cette belle cérémonie sans une belle organisation et surtout une solide sécurité garantissant à tous de profiter d’un spectacle à nul autre pareil ?

Et justement, en la matière, on sait déjà que tout sera mis en oeuvre pour obtenir un niveau de sécurisation des individus. Comme jamais auparavant… ou presque, puisqu’on va finalement remettre en place ce qui fut une véritable réussite en 2021 et 2022, à savoir affubler les Parisiens et les spectateurs d’un solide petit QR code lors de leurs déplacements (l’auto-attestation ne devrait plus tarder, maintenant).

On se réjouit déjà de savoir qu’une plateforme internet sera bientôt disponible, qui laissera à tous les Parisiens concernés l’opportunité de saisir tout un tas de petites informations pertinentes sur leurs allées et venues, et on souhaite un courage olympique à tous nos seniors dont la maîtrise des outils numériques est largement suffisante pour garantir que ces petits QR codes seront correctement distribués.

Et franchement, qui ne se réjouit pas déjà d’un retour des contrôles et des patrouilles policières dans une partie de la capitale ? Voilà qui permettra d’assurer la légendaire sécurité des rues parisiennes au moins pendant la période des jeux. Les habitants concernés vont a-do-rer !

Enfin, toutes ces considérations ne seraient pas complètes sans mentionner que tout ceci se déroulera avec une maîtrise presque totale des coûts et des dépenses.

En effet, lorsqu’on lit l’article consacré aux coûts de ces Jeux Olympiques, il apparaît que le calcul du total est particulièrement pointu : entre le budget initial, le budget courant, les dépassements, les cautions de l’État, les différents postes de dépenses et de recettes, on est tout à fait rassuré sur ce qui sera inévitablement du ressort final du contribuable.

Mais si.

Il apparaît cependant que le total devrait osciller autour de 11 milliards d’euros selon différentes estimations, dont 3, 4 ou 5 milliards resteraient à la charge des moutontribuables pardon de l’État selon Moscovici, l’actuel président de la Cour des Comptes, le tout pour un budget initial de 3,8 milliards d’euros, déjà supérieur au 3,2 milliards du dossier de candidature. On ne pourra qu’admirer la précision véritablement diabolique de ces chiffres et de l’organe officiel chargé des Comptes : pour un total à 11 milliards, cela nous fait 7 milliards de petits dépassements dodus, et de 3 à 5 milliards d’euros d’argent public, ça nous fait une enveloppe qui varie allègrement de plus de 60% sur des dépassements de plus de 100%. C’est coquet.

Rassurez-vous cependant : les équipes de propag journalistiques sont déjà sur le pont pour bien nous rappeler que même avec une facture de 11 milliards d’euros (que la Nation Française tout entière peut très bien se permettre en ces temps de croissance et d’opulence macronienne), ces jeux seront probablement parmi les moins coûteux de l’histoire récente.

Mais si.

En fait, on se demande même, devant ces chiffres si modestes, pourquoi on mégote tant, à tel point même que la région Île-De-France a par exemple refusé de prendre à sa charge les déplacements de 200.000 accrédités (athlètes, officiels, journalistes…) alors qu’elle avait été courtoisement sollicitée par le comité officiel des Jeux et que ce budget ne représente qu’un peu moins de 10 petits millions d’euros.

Il n’y a pas à dire, cet événement fleure bon la précision millimétrique et la maîtrise des coûts jusqu’au plus petit poste de dépense ! Voilà qui met dans les meilleures dispositions pour imaginer ce que pourrait donner l’organisation des épreuves elles-mêmes, de la cérémonie d’ouverture et celle de clôture, et qui laisse présager d’un niveau de qualité exceptionnel pour la sécurité et l’accompagnement des joueurs, des spectateurs et de l’ensemble des corps de métiers autour de cet événement. Les supporters anglais vont a-do-rer !

Pas de doute, cela va très très bien se passer. Tout va même être olympique, pour sûr.

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Stratpol : bulletin n°182

StratpolCapitulation sans condition, Telegram vs FBI, Stoltenberg vide les stocks

Stratpol - 21 avr 2024

STRATPOL : bulletin n°182 de Xavier Moreau

   

Au sommaire de ce cent quatre-vingt-deuxième bulletin :

03:32– Économie :
• Stratpolisation du FMI
• Restauration des raffineries russes
• Sanctions US vs tankers russes
• Sanctions US vs LNG russe
• Sanctions US vs Japon
• Sanctions US vs métaux russes
• Sanctions US vs nucléaire français
• Pillage polonais

12:30 – Politico-diplomatique :
• Scholz à Pékin
• Capitulation sans condition

13:33 – Empire du mensonge :
• Foreign Policy veut négocier

15:43 – Terrorisme :
• Maïdan à Tbilissi

18:19 – Armement :
• Stoltenberg vide les stocks
• Obus tchèques ?
• F-35 d’occasion en Suisse
• Pas de F-16 grecs pour Kiev

20:30 – Considérations militaires générales
• Richoux : Gamelin humilié
• Canal Donbass-Donetsk
• Pravy Sektor en fuite
• Désertions en masse ?
• Légion étrangère à Slaviansk

27:15 – Carte des opérations militaires

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Protocol des sages de Sion

Nouveau MondeLe plan dirigé contre l’Esprit

Nouveau Monde - 18 avr 2024

La lutte pour la supériorité et les spéculations continuelles dans le monde des affaires créera une société démoralisée, égoïste et sans cœur. Cette société deviendra complètement indifférente à la religion et à la politique dont elle aura même le dégoût. La passion de l’or sera son seul guide et elle fera tous ses efforts pour se procurer cet or qui, seul, peut lui assurer les plaisirs matériels dont elle a fait son véritable culte.

   

Le plan connu sous le nom de « Protocoles des Sages de Sion » est un sujet tabou. Le Prix Nobel de littérature Alexandre Soljenitsyne a rédigé en 1966 une pertinente étude des Protocoles. Israël Shamir écrit :

« Soljenitsyne a bravé le régime soviétique, il a osé écrire et publier son mammouth, l’Archipel du Goulag, implacable condamnation de la répression soviétique, et pourtant, même lui, il a calé : il n’a pas publié sa recherche sur les Protocoles. Il a demandé que cette étude ne soit publiée qu’après sa mort. C’est contre sa volonté qu’elle fut imprimée en un nombre très réduit d’exemplaires, en 2001 ».

Le livre interdit

On a beaucoup fantasmé sur l’origine de cet écrit, attribué à une loge « d’initiés israélites » recevant les instructions de « supérieurs inconnus ». Il fut donc utilisé par les antisémites comme preuve manifeste d’un « complot judéo-maçonnique ». Or, les illuminati ne sont ni juifs ni Aryens, mais peuvent être de tous les bords, exacerbant les conflits pour faire avancer leur stratégie selon l’adage « diviser pour régner ».

Quels que soient les auteurs de ces « protocoles », ils étaient dotés d’une ruse politique et psychologiques qui dépasse les capacités de l’intelligence normale.

Le problème n’est pas de savoir qui a rédigé ce programme d’hégémonie mondiale, mais comment il est possible que des hommes du 19e siècle aient anticipé l’instauration de l’ordre mondial dans les moindres détails ?

Les détracteurs disent qu’il s’agit d’un « faux » — ce qui ne veut rien dire, car tout écrit anonyme peut être un « faux ». La Bible est-elle un faux ? On voit l’absurdité de ce raisonnement. Les universitaires ne lisent pas les Protocoles, car cela est jugé politiquement incorrect. On craint même de les ouvrir au cas où cela se saurait ! Il ne s’agit plus de prudence, mais de terreur envers un écrit interdit par le système. Cela évite de savoir ce qu’il contient et de se poser la bonne question : comment expliquer que ce programme soit au détail près le même que le plan mis en application depuis la Révolution française par les illuminati ?

A-t-on voulu faire endosser la responsabilité de ce manifeste à des juifs en spéculant sur les réactions d’antisémitisme qu’il ne manquerait pas de générer ? En mettant de côté les connotations racistes envers les goïm — les non-juifs selon le Talmud — qu’il recèle, force est de constater que ce texte nous éclaire tout spécialement sur les financiers du nouvel ordre mondial — dont l’éminente famille Rothschild qui exerce un chantage sur les juifs.

Révolutions, internationalisme, socialisme, disparition de l’initiative individuelle, contrôle des médias, argent-roi, culture mondiale, parodie de démocratie, puissance de la technocratie, déstabilisation des religions et des traditions, pensée unique, matérialisme, scientisme, et jusqu’au messianisme du New Age… Toutes les idées du gouvernement de l’ombre sont présentes dans ces « Protocoles », et ces idées s’imposeront tout au long du 20e siècle. Qui peut le nier ?

Sachant qu’en politique rien n’est improvisé, nous devons admettre que nous sommes en présence d’un document révélant une stratégie de conquête visant à établir une théocratie totalitaire sous le masque du messianisme d’Israël. Or, ici, ce n’est plus de religion dont il s’agit, ni de l’attente d’un royaume spirituel, mais de l’établissement d’une tyrannie au profit d’une caste « d’élus » — les fameux illuminati de « l’élite noire ».

La perfidie de ce document est troublante, d’abord à cause de sa forme provocatrice qui a généré une polémique faisant oublier le fond. Perfide par la ruse inouïe de ceux qui ont pensé ce programme politique, mais aussi à cause de l’inévitable réaction antisémite qu’il a déclenchée et par laquelle il est devenu un document tabou, une sorte de littérature honteuse qu’on se passe sous le manteau.

On a prétendu que les agents du tsar avaient inventé ces « Protocoles des Frères Aînés de Sion » à des fins contre-révolutionnaires, mais les policiers sont rarement des génies politiques doublés de visionnaires. Aussi la fabrication artificielle des « protocoles » est injustifiable pour qui connaît un tant soit peu les arcanes de la politique occulte, car l’idéologie qu’ils véhiculent est trop étroitement liée aux loges mondialistes.

Ce programme des dirigeants de l’ordre mondial n’est pas le fruit de cerveaux malades, comme on a voulu le faire croire, car les idées politiques qu’il expose se sont réalisées dans les faits, et ceci bien après sa rédaction, ce qui ne peut pas être fortuit. Seuls les naïfs préfèrent croire que la politique planétaire suit les aléas de circonstances hasardeuses.

Un lecteur attentif, libre de préjugés, découvrira dans ces Protocoles la matrice de toutes les menaces contre la conscience — au plan politique, social, économique, scientifique et religieux. Tout y est annoncé explicitement. Ce plan réussira-t-il ? Question vaine, puisqu’il a déjà amplement abouti sur la plupart des points de son agenda, sauf en ce qui concerne l’apparition du « messie », ce souverain international, dont la tradition chrétienne a prédit la venue sous le nom de l’Antéchrist.

Nous pensons que cette mystification suprême ne saurait tarder, tant les cercles qui veulent réaliser ce dessein sont actifs depuis plusieurs décennies.

Indéniablement, les Protocoles émanent de l’élite luciférienne, laquelle manipule les nations, les races et les religions — et le peuple d’Israël comme les autres — pour instaurer son ordre à travers le chaos.

Le peuple juif est sans doute la première victime de cette manipulation — le « peuple élu » prend ici son sens dramatique.

Les juifs ont été soumis à une culture de la terreur par des chefs occultes qui sont responsables des cruelles persécutions cycliques. C’est pourquoi les juifs qui s’émancipent de ce conditionnement séculaire sont souvent les premiers à dénoncer l’oppression de la culture rabbinique et talmudique. Il en est des anciens prophètes condamnant avec véhémence les « péchés d’Israël » — comme des révisionnistes, dont les idées historiques subversives émanent souvent de chercheurs juifs écœurés par la récupération commerciale de la Shoah.

Il faut beaucoup de recul et d’intelligence pour comprendre la véritable mission d’Israël, et les manœuvres dont le peuple juif fut victime — depuis l’époque archaïque de l’Atlantide.

L’étymologie d’Israël peut s’interpréter comme « l’homme élevé jusqu’à Dieu », ou encore « la vision céleste ». Chaque âme noble peut donc s’identifier à cet idéal et prétendre à l’élection divine, qu’elle soit née en milieu juif, chrétien, papou, ou dans n’importe quel « peuple élu », sachant que chaque civilisation ancienne a prétendu détenir une légitimité divine.

Y aurait-il autre chose dans l’univers que des races élues, appelées à un destin spécial ? C’est pourquoi, nous ne condamnons pas les illuminait, car ils sont dans l’illusion de se croire élus au-dessus de tous, et ils luttent misérablement pour survivre comme toutes les créatures qui rampent sous le soleil.

À l’endroit des nazis ou des sionistes, nous pourrions dire : même combat ! Musulmans, juifs, chrétiens ou hindous, chez tous, l’instinct de survie domine. Pour les fanatiques, Dieu n’est qu’un prétexte à l’affirmation partisane. Pourquoi prendre parti dans cette folie ? Celui qui cherche Dieu ou l’Absolu, ne veut détruire personne, excepté ses propres chaînes intérieures. Toute autre approche de la religion est de la démence.

Enfin, ces Protocoles n’auraient-ils pas pour effet de rendre les gens encore plus fatalistes devant la tyrannie mondialiste ? Pourquoi sont-ils en circulation lorsqu’on sait que les illuminati ne laissent rien traîner de compromettant et qu’il est interdit de les lire ?

Joël Labruyère, « Le livre interdit », Undercover n° 5.

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ARCOM - police de la pensée

Égalité et RéconciliationArcom cherche balances : la Gestapo européiste recrute

Égalité et Réconciliation - 17 avr 2024

Dans le cadre du Règlement sur les services numériques (RSN), ou Digital services act (DSA), les associations, entités, organisations, reconnues pour leurs expertises et leurs compétences (protection de l’enfance, lutte contre le cyber-harcèlement, ...), sont invités à postuler au statut de « signaleurs de confiance ».

   

Ainsi commence l’offre d’emploi – non rémunéré – de balance pour l’Arcom. L’Arcom est le régulateur de la communication audiovisuelle et numérique. C’est le nouveau nom de l’officine gouvernementale de surveillance et de punition des pensées non conformes à la ligne officielle.

Le DSA, Digital Service Act, c’est le nouveau projet anti-liberté d’expression de la maison mère, pondu par le couple diabolique Breton-Leyen, à la tête de l’Union soviétique européiste, qui peut s’enorgueillir de trois grandes réalisations :

- la paupérisation de dizaines de millions de travailleurs européens ;
- une invasion migratoire délirante et dénaturante ;
- l’entrée dans une guerre apocalyptique contre la Russie.

L’Arcom cherche donc des individus à l’âme sordide pour dénoncer ceux qui seraient taxés de complotisme, par exemple les Français qui ne croient pas que

- Armstrong a marché sur la Lune
- BHL est un philosophe humaniste
- Haziza est un grand journaliste odieusement blacklisté sur une radio communautaire sans audience
- Israël a raison de riposter jour après jours contre tous ses voisins antisémites
- la fonte vertigineuse de notre caddy moyen correspond à l’inflation de l’INSEE
- Macron est un président sain de corps et d’esprit
- Brigitte est une femme dont on tombe automatiquement amoureux
- le gouvernement est sexuellement neutre
- Séjourné a obtenu son poste grâce à ses compétences intellectuelles
- Karine Lacombe a énormément souffert du harcèlement sexuel
- l’UE c’est la paix, la croissance et la démocratie
- la pédocratie n’existe que dans l’imagination des paranoïaques
- la presse mainstream est l’amie du peuple
- il faut mourir pour l’Ukraine
- Breton ne s’est jamais fait changer le sang en Italie
- Leyen a sauvé 450 millions d’Européens d’une mort certaine grâce à Bourla et son injection Pfizer miracle

N’est pas balance qui veut

Les signaleurs de confiance auront priorité sur les particuliers en matière de signalement. Par exemple, si un BHL ou un Enthoven vous insulte ou insulte votre communauté, votre religion, sur Twitter (X), vous aurez peu de chance de voir votre signalement accepté si un signaleur de confiance décide de ne pas le faire. Les balances sont donc choisies par le pouvoir.

La liste des balances autorisées à dénoncer les mal-pensants nous a bien fait rire, on a vu se dessiner les visages de nos quatre cavaliers de l’apocalypse communautaire !

Entités publiques, organisations non-gouvernementales, organismes privés ou semi-publics tels que (liste non exhaustive) :

- fédérations industrielles et des associations commerciales
- ONG
- membres de réseaux établis de vérificateurs de faits
- syndicats
- entités publiques non réglementaires (ex : Europol) ou de réglementation
- organismes semi-publics
- réseaux ou alliances d’entités, aux niveaux national et européen.

Pour devenir une sale balance-Système, une qualité principale est requise :

Disposer d’une expertise et de compétences particulières aux fins de détecter, d’identifier et de notifier des contenus illicites

Il faut avoir un flair de chien policier ! Ensuite, une fois que la balance aura détecté le résistant, il faudra monter un petit dossier clair et net pour la maison mère :

- Soumettre des signalements respectant certaines conditions : explication étayée, indication claire de l’emplacement du contenu, nom et adresse du signalant, déclaration de bonne foi.
- Publier un rapport annuel détaillé avec des informations sur le nombre de signalements effectués (classés par plateforme, type de contenu illicite et action prise)

On imagine que nos 4 balances déjà stipendiées par le Système, Tristan Mendès, Rudy Rends l’argent Reichstadt, Julien Pain et Thomas Huchon se sont bousculés pour obtenir leur étoile de shérif, leur droit de dénoncer les résistants.

« Le ministère de la Paix fait la guerre,
le ministère de la Vérité produit des mensonges,
le ministère de l’Amour pratique la torture,
et le ministère de l’Abondance crée la famine »

1984

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Iran - missiles

Réseau InternationalLes missiles d’avril

Réseau International - 16 avr 2024

Scott Ritter : L’attaque de représailles de l’Iran contre Israël restera dans l’histoire comme l’une des plus grandes victoires de ce siècle.

   

J’écris sur l’Iran depuis plus de vingt ans. En 2005, j’ai fait un voyage en Iran pour vérifier la «vérité de terrain» sur ce pays, une vérité que j’ai ensuite incorporée dans un livre, «Target Iran», exposant la collaboration américano-israélienne pour élaborer une justification d’une attaque militaire contre l’Iran destinée à faire tomber son gouvernement théocratique. J’ai fait suivre ce livre d’un autre, «Dealbreaker», en 2018, qui met à jour cet effort américano-israélien.

En novembre 2006, dans un discours prononcé à l’École des relations internationales de l’Université de Columbia, j’ai souligné que les États-Unis n’abandonneraient jamais mon «bon ami» Israël, jusqu’à ce que, bien sûr, nous le fassions. Qu’est-ce qui pourrait précipiter une telle action, ai-je demandé ? J’ai fait remarquer qu’Israël était un pays ivre d’orgueil et de puissance, et qu’à moins que les États-Unis ne trouvent un moyen de retirer les clés de l’allumage du bus qu’Israël conduisait vers l’abîme, nous ne rejoindrions pas Israël dans son voyage suicidaire à la manière d’un lemming.

L’année suivante, en 2007, lors d’un discours devant le Comité juif américain, j’ai souligné que mes critiques à l’égard d’Israël (dont de nombreuses personnes dans l’auditoire se sont vivement offusquées) provenaient d’une préoccupation pour l’avenir d’Israël. J’ai souligné le fait que j’avais passé la majeure partie d’une décennie à essayer de protéger Israël des missiles irakiens, à la fois pendant mon service dans Tempête du désert, où j’ai joué un rôle dans la campagne de lutte contre les missiles SCUD, et en tant qu’inspecteur en désarmement des Nations unies, où j’ai travaillé avec les services de renseignement israéliens pour m’assurer que les missiles SCUD irakiens étaient bien éliminés.

«La dernière chose que je souhaite voir», ai-je déclaré à la foule, «c’est un scénario dans lequel des missiles iraniens percuteraient le sol d’Israël. Mais à moins qu’Israël ne change de cap, c’est le résultat inévitable d’une politique davantage dictée par l’arrogance que par le bon sens».

Dans la nuit du 13 au 14 avril 2024, mes craintes se sont concrétisées en direct devant un public international : des missiles iraniens se sont abattus sur Israël et ce dernier n’a rien pu faire pour les arrêter. Comme cela avait été le cas un peu plus de 33 ans auparavant, lorsque les missiles SCUD irakiens avaient surmonté les défenses antimissiles Patriot américaines et israéliennes pour frapper Israël des dizaines de fois en l’espace d’un mois et demi, les missiles iraniens, intégrés dans un plan d’attaque conçu pour submerger les systèmes de défense antimissiles israéliens, ont frappé en toute impunité des cibles désignées à l’intérieur d’Israël.

Malgré l’utilisation d’un vaste système intégré de défense antimissile composé du système dit «Dôme de fer», de batteries de missiles Patriot fabriquées aux États-Unis et d’intercepteurs de missiles Arrow et David’s Sling, ainsi que d’avions américains, britanniques et israéliens et de défenses antimissiles embarquées américaines et françaises, plus d’une douzaine de missiles iraniens ont frappé des aérodromes et des installations de défense aérienne israéliens lourdement protégés.

L’attaque de missiles iraniens contre Israël n’a pas été lancée à l’improviste, pour ainsi dire, mais plutôt en représailles à l’attaque israélienne du 1er avril contre le consulat iranien à Damas, en Syrie, qui a tué plusieurs hauts commandants militaires iraniens. Bien qu’Israël ait déjà mené des attaques contre le personnel iranien à l’intérieur de la Syrie, l’attaque du 1er avril s’est distinguée non seulement par la mort de très hauts responsables iraniens, mais aussi par le fait qu’elle a frappé ce qui était légalement parlant un territoire iranien souverain – le consulat iranien.

Du point de vue iranien, l’attaque du consulat constituait une ligne rouge qui, en l’absence de représailles, effacerait toute notion de dissuasion, ouvrant la voie à une action militaire israélienne encore plus audacieuse, pouvant aller jusqu’à des attaques directes contre l’Iran. Les représailles sont toutefois contrebalancées par un ensemble complexe d’objectifs politiques imbriqués qui seraient probablement remis en question par le type de conflit à grande échelle entre Israël et l’Iran qui pourrait être précipité par une attaque iranienne significative en représailles contre Israël.

Tout d’abord, l’Iran s’est engagé dans une politique stratégique fondée sur un pivot qui s’éloigne de l’Europe et des États-Unis et se rapproche de la Russie, de la Chine et de la masse continentale eurasienne. Ce changement est dû à la frustration de l’Iran face à la politique de sanctions économiques menée par les États-Unis et à l’incapacité et/ou au manque de volonté de la part de l’Occident collectif de trouver une voie qui permettrait de lever ces sanctions. L’échec de l’accord sur le nucléaire iranien (le Plan d’action global conjoint, ou JCPOA) à produire le type d’opportunités économiques qui avaient été promises lors de sa signature a été un moteur majeur de ce pivot iranien vers l’Est. À la place, l’Iran a rejoint l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) et le forum des BRICS et a consacré son énergie diplomatique à l’intégration complète et productive de l’Iran dans ces deux groupes.

Une guerre générale avec Israël compromettrait ces efforts.

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Iran Israël

Le Media en 4-4-2L’Iran frappe fort

Le Media en 4-4-2 - 15 avr 2024

Retour sur la riposte iranienne historique suite à l’agression israélienne contre son ambassade.

   

L'Iran a répondu avec force à l'agression israélienne contre son ambassade à Damas en menant une opération militaire historique. Cette riposte a pris Israël au dépourvu et a placé l'Iran dans le livre d'histoire.

Dans la nuit du 13 au 14 avril, l’Iran a lancé une offensive d’envergure sur le sol israélien qui a durée au moins cinq heures, démontrant ainsi sa capacité à déployer des drones de haute technologie Shahed et des missiles Kheibar capables de parcourir plus de 1 300 km. Cette démonstration de force a pris l’État hébreu au dépourvu et semé la panique parmi la population.

Cette attaque survient en réponse à une agression israélienne contre la section consulaire de l’ambassade iranienne à Damas, considérée comme une violation du territoire souverain iranien. Selon l’article 51 de la Charte des Nations Unies, cette riposte iranienne est légitime et conforme au droit international.

Selon le journal chinois « Global Times », en réponse à l’échec des organisations internationales, en particulier du Conseil de sécurité de l’ONU, à condamner les attaques israéliennes contre les installations diplomatiques iraniennes, l’Iran a riposté en utilisant des renseignements stratégiques, des missiles et des drones pour détruire avec succès des cibles militaires majeures en Israël.

Les pays occidentaux ont condamné l’attaque iranienne. Les États-Unis avaient demandé à l’Iran de cesser immédiatement son attaque, mais Téhéran avait non seulement ignoré cette demande, mais également menacé de bombarder les bases américaines en cas d’intervention de la Maison Blanche.

Et gros coup dur pour l’entité sioniste, selon CNN, le Président des États-Unis, Joe Biden a informé le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu par téléphone que les États-Unis ne participeraient pas aux opérations offensives contre l’Iran.

De son côté, le vice-président de la Douma d’État russe, Piotr Olegovitch Tolstoï, a exprimé son soutien à l’Iran sur Twitter en publiant un poème faisant l’éloge de l’amitié entre les deux pays et de leur lutte commune pour une cause noble.

Selon des sources de la chaîne de télévision américaine ABC, l’attaque iranienne a impliqué 400 à 500 drones et environ 150 missiles. Les drones ont été lancés depuis les provinces occidentales de l’Iran, tandis que les Houthis ont lancé des drones depuis le Yémen et des frappes de missiles depuis des unités du Hezbollah basées au Liban. La coordination parfaite entre ces pays a démontré une capacité incroyable à répondre efficacement à l’entité sioniste, qui n’a pas réussi à arrêter tous les missiles avec son système de défense antimissile, connu sous le nom de Dôme de fer.

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Scholtz puppet de l'OTAN

GéopolintelL’OTAN et le « Coup d’Etat » européen

Géopolintel - 12 avr 2024

L’OTAN tente de réaliser un « Coup d’Etat » qui vise à détruire notre souveraineté pour créer une supra nation sous la direction de l’Allemagne. L’Union européenne ne sera pas une union politique et économique, elle sera placée sous les intérêts de l’économie de guerre voulue par Washington.

   

La guerre de la souveraineté nationale aura lieu

Union Européenne

La feuille de route présentée officiellement par l’Allemagne et la France, mardi 19 septembre, pour simplifier l’Union européenne, est le point d’aboutissement d’un travail mené par le «  Groupe des 12  », six experts français et six experts allemands. C’est une feuille de déroute, une véritable trahison pour les intérêts nationaux de la France. Elle accélérerait, si elle était mise en place, l’effondrement politique en cours de l’Union européenne. En effet, au lieu de tirer lucidement les leçons de l’échec de la méthode suivie depuis Maastricht – élargissement, fédéralisation, violation de la subsidiarité –, le Groupe des 12 en arrive à la conclusion que pour «  simplifier  », il faut continuer comme avant, et même accélérer.

Sur la forme, le fait que le rapport ne soit présenté qu’en anglais, et ne soit disponible ni en français ni en allemand, démontre que cette proposition ne s’adresse pas aux opinions publiques des deux pays concernés. C’est déjà un mauvais point, lorsque l’on prétend réconcilier l’UE et les peuples. Elle démontre, au choix, soit une forme de masochisme – car communiquer dans une seule langue, celle du pays qui a quitté et fragilisé l’UE, est quand même intéressant d’un point de vue freudien –, soit une démonstration de l’assujettissement linguistique et politique d’un ensemble qui persiste à nier la pluralité qui est la sienne pour adopter la langue de sa puissance suzeraine, les États-Unis d’Amérique. Quelle tristesse…
La vision américaine de l’Europe : un grand espace commercial de débouchés pour sa propre économie

Sur le rapport de forces politiques, le texte des experts est le décalque absolu de ce qu’a proposé le chancelier Scholz, à Prague, le 29 août 2022, et démontre au mieux que la France est dans une attitude de suivisme à l’égard de Berlin, au pire qu’elle est incapable d’avoir sa propre vision de l’Europe. À Prague, Scholz avait brossé le tableau d’une «  Europe géopolitique  » destinée à s’élargir, une grande Europe, ouverte aux Balkans occidentaux, à l’Ukraine, à la Moldavie, et même à la Géorgie. Laurence Boone, secrétaire d’État chargée des Affaires européennes, s’est empressée de déclarer que la question n’était plus de savoir si elle devait s’élargir, mais quand. Cela rejoint évidemment la vision américaine qui est de faire de l’UE un grand espace commercial de débouchés pour sa propre économie, dont les frontières coïncideraient avec celles de l’Otan qui en assurerait la sécurisation. Un enclos, une chasse gardée.

Sur le fond, enfin, le rapport et la proposition franco-allemande sont d’une indigence frappante, car ils reviennent à fédéraliser encore un peu plus l’UE, dans la droite lignée des propositions de Scholz : extension de la majorité qualifiée, à laquelle le général de Gaulle s’était opposé ; conditionnalité des aides fédérales, ce qui revient à traiter la Hongrie et la Pologne comme des parias ; réduction du nombre de commissaires, ce qui de facto supprime le principe d’un commissaire par État ; harmonisation des lois électorales nationales, ce qui revient à soumettre les nations au fonctionnement européen, comme si elles en étaient des subdivisions ; chambre mixte de cours et de tribunaux suprêmes de l’UE, ce qui revient à entamer la fusion des ordres de juridiction ; augmentation du budget fédéral ; mise en place d’une dette commune, c’est-à-dire la fin de toute souveraineté financière.

Au lieu de simplifier – ce qui était l’objectif affiché –, on voit apparaître une nouvelle couche de complexité avec des «  quintettes  » de présidences du Conseil, des processus participatifs citoyens intégrés aux procédures composés… de gens extérieurs à l’UE, de nouvelles institutions (comme un bureau de la transparence et de la probité).

Il s’agit de dissiper les dernières bribes de souveraineté nationale. Il faut être aveugle pour ne pas comprendre que chaque fois qu’on a couplé plus de fédéralisme avec plus d’élargissement, les opinions publiques se sont dressées avec violence. La dernière fois, cela nous a coûté la Grande-Bretagne.

Il faut arrêter cette folie au plus vite. Cela commence par ne pas renouveler madame von der Leyen, dont le mandat qui s’achève a été catastrophique pour la France et l’UE. Cela signifie aussi infliger à la liste Renaissance, qui soutient ces propositions, le désaveu le plus grand aux prochaines élections européennes.

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Trump next

Echelle de JacobL’Europe panique tandis que Trump sort de sa tombe politique

Echelle de Jacob - 11 avr 2024

La semaine dernière a été riche en rebondissements. Elle a commencé avec la condamnation par la Cour suprême des États-Unis (9-0) de l’utilisation du 14e amendement pour punir les opposants politiques.

   

Ensuite, la méchante sorcière de Kiev, Vic(Toria) “Cookies” Nuland, a été évincée du département d’État après avoir torturé le monde pendant des décennies avec sa psychopathie.

Ensuite, Donald Trump a pratiquement renvoyé Nikki Haley à son Waffle House près de Greenville.

Enfin, le président français Emmanuel Macron a tenté de convaincre le monde entier que l’OTAN était prête à envoyer des troupes en Ukraine. Lesquelles ? Clairement pas des troupes françaises, qui ne sont bonnes à ce stade que pour “faire un safari en Afrique du Nord” , selon le colonel Doug MacGregor.

Et pas non plus les navires britanniques, qui ne semblent pas pouvoir quitter le port. Je pense qu’il y a une sorte de compétition entre les échecs des compagnies aériennes Boeing et les échecs des navires britanniques… mais je peux aussi être conspirationniste.

*bong*

Non, la réponse a toujours été que ce seraient des troupes américaines en Europe qui mèneraient la guerre de l’Europe dont tout le monde – le Royaume-Uni, Davos et ses apparatchiks de l’UE, et les néoconservateurs américains – pensait qu’elle serait un succès retentissant pour saigner la Russie.

Et je suis sûr que c’est exactement la façon dont ils l’ont planifié dans leur fichier Microsoft Project au Globalist Central.

Cela n’a manifestement pas eu lieu et c’est l’Ukraine qui est aujourd’hui en grande difficulté. La vérité, qui se fait rare depuis le début de la guerre il y a deux ans, c’est que l’Ukraine a toujours été en grande difficulté.

Et cela a conduit, comme on pouvait s’y attendre, à la situation que nous connaissons aujourd’hui. Le soutien des États-Unis au projet Ukraine touche à sa fin, si ce n’est déjà fait. Et la panique en Europe est palpable.

Tout cela était très prévisible si l’on acceptait le cadre d’une scission au sommet de la hiérarchie américaine. Une faction attachée à la vision de l’avenir de Davos, qui impliquait des États-Unis dociles, voire battus, et une autre faction qui levait les yeux de son écran et disait : “Euh… non” .

Tout était évident il y a environ huit mois, lorsque le grand sommet de l’OTAN à Vilnius s’est terminé par les gémissements du ministre britannique de la Défense de l’époque, Ben Wallace. Wallace était censé remplacer Jens Stoltenberg au poste de secrétaire général de l’OTAN, mais il a été écarté par Joe Biden (JOAH Bii-Den !).

Après cela, il n’a plus été question de l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN. Zelensky est retourné à Kiev avec les larmes aux yeux après que Biden ne lui a rien donné non plus. Puis, en octobre, le président de la Chambre des représentants Kevin McCarthy a été évincé lors d’un putsch par Matt Gaetz et une poignée de partisans de la ligne dure du GOP en matière de fiscalité.

Ils ont immédiatement obtenu du nouveau président de la Chambre, Mike Johnson (Républicain de Louisiane), qu’il lie tout nouveau financement de l’aide étrangère à des réductions de dépenses et à l’affectation de fonds à la sécurité des frontières, dans la mesure où la faible majorité du Congrès le permettrait.

Depuis lors, Joe Biden a été contraint de chercher sous les canapés du Pentagone quelques millions de dollars à envoyer à l’Ukraine. Il en a trouvé 300 l’autre jour. Aussi mauvaise que soit la situation, le fait que ce soit des millions plutôt que des milliards doit être considéré comme une victoire.

Le Sénat a tenté de faire chanter Johnson avec son ridicule projet de loi d’aide de 95 milliards de dollars et Johnson a simplement fait pression sur le patron Chuck Schumer en demandant une suspension de séance de deux semaines. Aujourd’hui, le mieux qu’ils puissent espérer, c’est un projet de loi plus modeste, avec une clause de prêt/location, sans que l’argent ne soit affecté à l’“aide humanitaire” – un euphémisme pour se remplir les poches.

Et malgré son rapprochement avec les faucons du Sénat, Johnson continue d’utiliser l’aide à l’Ukraine comme un moyen de faire passer en premier les réformes de financement national. Chaque jour où l’on marchande sur ces questions est un jour de plus qui annonce la fin du Projet Ukraine, alors que les forces russes prennent chaque jour des villes et des villages dans le Donbass occidental.

Encore une fois, ce n’est pas une solution idéale, loin s’en faut, mais c’est une victoire à la Pyrrhus.

Mais telle est la situation après la semaine dernière et elle est bien meilleure qu’au début de l’année, puisque cet argent était déjà attendu il y a six mois.

L’Europe est désormais en mesure d’ôter complètement le masque. En effet, à mesure que les États-Unis se retirent lentement de l’Ukraine, les appels de l’UE pour que l’Amérique maintienne le cap se font de plus en plus forts et stridents.

Rappelez-vous qu’en 2022-23, lorsqu’il semblait que les États-Unis étaient déterminés à aller de l’avant en Ukraine, les dirigeants européens comme Macron et d’autres étaient plus circonspects. Ils voulaient donner un avertissement sur les dangers d’une escalade en Ukraine. Ils ont pu passer pour des modérés dans la salle de crise, tout en continuant à envoyer des milliards d’euros d’aide et d’armes, en obligeant tout le monde à se plier à leurs exigences.

Le véritable événement révélant la position réelle de l’Europe sur cette guerre a été la menace vis-à-vis de Viktor Orban, de la Hongrie, d’une dévastation économique complète s’il ne permettait pas à leur programme d’aide de 50 milliards de dollars de passer au Conseil européen.

Maintenant que tous les plans militaires de Nuland ont échoué, que l’armée ukrainienne a été détruite pour la troisième fois et que toutes leurs tentatives de saper les États-Unis juridiquement et économiquement (Powell doit Pivoter !) ont capoté, l’Europe se retrouve dans une panique aveugle.

“Le gouvernement Démocrate américain et les dirigeants de l’UE, ainsi que les dirigeants des plus grands États membres de l’UE, sont des gouvernements favorables à la guerre. Donald Trump est pour la paix, la Hongrie est pour la paix. Cette différence est à la base de tout”

Viktor Orban

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Ukraine - Sophie Décrypte

RT FrancePatrouchev : l'Alliance atlantique veut affaiblir et démembrer la Russie

RT France - 04 avr 2024

Dans une interview publiée ce 2 avril en amont de l'anniversaire de l'Alliance atlantique, le secrétaire du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie a critiqué son rôle déstabilisateur. Il s'exprimait dix jours à peine après les attentats du Crocus City Hall, alors que Moscou n’a cessé de souligner la complicité potentielle de Kiev.

   

«Je ne vais pas approfondir l'histoire sanglante de l'OTAN mais il faut la connaître pour comprendre que l'Alliance est depuis de nombreuses années une source constante de dangers, de crises et de conflits», a déclaré Nikolaï Patrouchev dans une interview au journal Argoumenty i Fakty parue ce 2 avril. Il s'exprimait en amont du 4 avril, date marquant les 75 ans de la création de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord.

Le secrétaire du Conseil de sécurité russe a souligné le rôle de l'OTAN pour contraindre ses membres à «se plier de manière obéissante à la mise en place de sanctions économiques, au "gel" d'actifs financiers, à pratiquer l'espionnage, des opérations psychologiques, des cyberattaques et à s'associer à des actions qui compromettent les systèmes de gouvernement des États en désaccord avec la politique des Anglo-Saxons».

«Toutes les politiques de l'OTAN sont basées sur les instructions de Washington», a-t-il poursuivi. Avant d'ajouter : «[Washington] utilise l'Alliance pour maintenir sa présence armée en Europe et démontrer à ses satellites son caractère indispensable, pour assurer la sécurité de ce continent.»

L’Alliance «est de facto partie prenante au conflit ukrainien et participe activement à l’organisation des bombardements néo-nazis sur les territoires russes», a encore dénoncé Nikolaï Patrouchev. L'Ukraine a en effet tenté plusieurs incursions dans les régions russes de Koursk et Belgorod au mois d'avril. Ces régions sont aussi quasi-quotidiennement bombardées par les forces ukrainiennes.

Le dirigeant russe a ajouté que l'Alliance ne «dédaignait pas d'utiliser à son profit des organisations terroristes». Des propos lourds de sens alors que Moscou a subi un attentat terroriste ayant fait 144 morts le 22 mars dernier.

Nikolaï Patrouchev, lors de la même interview, a estimé que la chute de l'Union soviétique n'avait été pour les Occidentaux qu'une «étape» sur la voie de l'«affaiblissement politique et économique de la Russie». Un affaiblissement déclaré explicitement par les dirigeants de l'OTAN.

L'affaiblissement de la Russie comme but de l'Alliance

«L'OTAN renforce de manière systématique son potentiel militaire à nos frontières», a noté Nikolaï Patrouchev. Selon le secrétaire du Conseil de sécurité, le but ultime de l'Alliance serait de «supprimer la Russie de la carte politique du monde en la démembrant». Il a noté que les dépenses militaires des membres de l'OTAN atteignaient 50% des dépenses mondiales dans ce domaine, en augmentation pour la neuvième année consécutive et dépassant en 2023 1 100 milliards de dollars.

Il a également affirmé que la technique consistant à encourager la russophobie et à faire peur aux citoyens européens «avec une fausse "menace russe"» était une tentative de leurs dirigeants de leur faire oublier les problèmes internes et économiques croissants auxquels ils étaient confrontés.

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attaque baltimore

Réseau InternationalBrillante attaque stratégique

Réseau International - 03 avr 2024

Lara Logan a dit la messe, pour elle, l’affaire du pont de Baltimore est une attaque militaire.

   

Je lui laisse cette appréciation, en notant toutefois que ses arguments sont diablement convaincants, et qu’il suffit d’avoir fait un peu de géostratégie pour arriver à la même conclusion qu’elle.

Contrairement au 11 septembre, ce n’est pas l’État profond, US, israélien ou britannique, qui eux, finalement, ne savent faire que dans l’hémoglobine en masse, et les multiples attentats causés par leurs faux nez ne sont que de meurtres à grande échelle. Mais dans quel but ? Finalement aucun, les victimes sont enterrées, au mieux, ce sont des justifications de choses déjà décidées.

Ici, n’importe quelle personne un peu informée peut voir une onde de choc tout à fait importante.

«Ne vous y trompez pas : il s’agissait d’une attaque extraordinaire en termes de planification, de timing et d’exécution».

«Le pont a été construit spécifiquement pour transporter des matières dangereuses – carburant, diesel, gaz propane, azote, matériaux hautement inflammables, produits chimiques et cargaisons surdimensionnées qui ne peuvent pas entrer dans les tunnels – que la chaîne d’approvisionnement est maintenant paralysée».

«La destruction structurelle est probablement absolue».

Visiblement, c’est autre chose que l’attaque de Crocus, qui, elle, en termes d’impact économique, est quasi nulle, mais en termes de remobilisation des Russes, totalement contre-productive. De fait, c’est une attaque bête et méchante. Sans parler d’être stupide. Si un Russe doutait de la nécessité d’écraser l’Ukraine et l’OTAN, il n’en doute plus.

Donc, dans le post complet, on voit une analyse dont on ne peut finalement, rien contester. Le port est bloqué, pour longtemps, il est stratégique et le pont l’est par lui-même. Les USA sont aussi, diablement dépendant de leurs ports, avec une économie largement recentrée par la globalisation sur les imports (beaucoup) et les exports (nettement moins), mais devenus totalement indispensables, et les villes centre et ports (aéroportuaires aussi), sont les seuls points d’ancrage du système et financier et politique, totalement gouvernés par le parti démocrate. L’intérieur, lui, est devenu trumpiste par nécessité et laissé à l’abandon.

Le message peut être finalement très clair. «On peut vous paralyser totalement en quelques accidents», dont il n’y a aucune trace, et il faut le reconnaitre beaucoup plus habile que les attentats à la kalach. Ici, le pouvoir politique s’empresse de dire que ce n’est pas un attentat, dans la précipitation, et même s’il n’en sait rien. Cette vitesse est ce qui m’a fait douter en premier du caractère fortuit.

En face, qu’est-ce qu’on a ? On veut livrer «des centaines de VAB», véhicules militaires vieux de 40 ans, et qui sont, au mieux, totalement inadaptés au champ de bataille… De fait, ces VAB, n’auraient jamais dus être construits, ni livrés. Construits à l’économie, ils ne sont pas aptes à combattre. Des véhicules 6 roues, mais plus chers, auraient été plus indiqués.

Visiblement, on balaie les fonds de stocks, et on livre de la ferraille. De fait, vue la réduction des tailles des armées, ces vieux véhicules obsolètes à la naissance, n’ont plus d’utilité. Si c’est comme ça qu’on veut faire gagner les Ukrainiens…

Côté infrastructures, en France, on n’est pas tellement mieux qu’aux USA. Tous ceux qui ont été en région parisienne, ont pu constater que le RER C, c’était pas tout à fait ça. Et ça empire. Mais c’est pas sur la route des JO.

Côté débilité mentale profonde, on est aussi pas mal doté avec certains «humoristes» dont le caractère humoristique m’échappe un peu. Comme ils sont vraiment cons, ils viennent de se mettre une cible sur le dos.

Côté économie réelle, on voit l’UE s’effondrer : «Les importations européennes de gaz et de pétrole en forte baisse». Les Zécolos vont être contents. On voit d’ailleurs, que l’indispensable pétrole, pour les transports, baisse nettement moins (en volume) que le gaz.

L’indispensable en Europistan, d’ailleurs, révèle des divergences à l’américaine, entre des métropoles démocrates et un reste du pays, de plus en plus opposé. La valeur des passoires thermiques chute (crise en «tâche de léopard»), qui touche tout le monde, et j’ai vu aussi, des personnes très bien portant économiquement, arrêter de se chauffer pour limiter les factures. Et qui se demandent quand c’est que ça va s’arrêter.

Pas besoin, finalement d’envoyer un Kinzal sur une cible. Une équipe chinoise-russe-iranienne-yémenite-etc., bien formée, peut très bien prendre le contrôle d’un navire et l’envoyer dans le décor. Cerise sur le gâteau, les gouvernements occis-dentés, ne peuvent même plus crier au loup ou plutôt, «à l’attentat».

Après, les forces de déclin internes prennent le relais.

«L’effondrement du pont de Baltimore était une «attaque stratégique absolument brillante» contre les infrastructures critiques américaines – très probablement cybernétique – et nos agences de renseignement le savent. En termes de guerre de l’information, ils ont simplement divisé les États-Unis le long de la ligne Mason Dixon, exactement comme pendant la guerre civile».

Lara Logan

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Stratpol : bulletin n°179

StratpolPoutine vs CIA, Serbie vs OTAN, 12 000 FAB.

Stratpol - 31 mar 2024

STRATPOL : bulletin n° 179 de Xavier Moreau

   

01:00 – Économie
Le lent déclin du charbon (Bloomberg)
Micro-électronique russe
Mark Rutte en Chine
Alliance Framatom – Rusatom
Social ou militaire (Wall Street Journal) ?

06:45 – Politico-diplomatique
Il y a 25 ans, victoire de la Serbie contre l’OTAN

08:45 – Terrorisme
Ukraine : repaire de terroristes
Attentat du Crocus City Hall

18:10 – Empire du mensonge
Jubilation gaucho-terroriste
Guerre de religions

20:05 – Armement
Patriot pour tous
Challenger II
12 000 FAB/mois

22:07 – Considérations militaires générales
Pas de guerre contre l’OTAN
La chute de Kiev
Offensive d’été russe
Conscription générale

29:09 – Carte des opérations militaires