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Trump - Biden : du grand théâtre

Réseau InternationalDe l’«assassinat» de Trump à la disparition de Biden… que du théâtre

Réseau International - 27 juil 2024

Les remakes et les suites ont presque tué le cinéma hollywoodien, transformant chaque film en une collection de méta références et d’appâts de nostalgie… «Hé, vous vous souvenez quand ceci s’est passé dans cet autre film ! C’était cool, non ?»

   

Aujourd’hui, il semble qu’ils essaient la même tactique en politique. C’est ce que nous avons avec la «tentative d’assassinat» de Trump – un remake d’un vieux classique – l’assassinat de JFK – pour un public moderne.

Les gars, vous vous souvenez du deuxième tireur ? Vous vous souvenez du bouc émissaire ? Vous vous souvenez quand les services secrets ont reçu l’ordre de se retirer ?

Hé, vous tous, libertaires et adeptes de la vérité, voyez, Donald est exactement comme JFK, il est de VOTRE côté. Il s’oppose à ce bon vieil État profond que vous n’aimez pas. Honnêtement.

Le remake est bien sûr moins cher, plus ringard et s’adresse aux petits esprits modernes meurtris et confus qui ne sont plus tout à fait capables de se souvenir de ce à quoi ressemble la vraie réalité et qui ne remarqueront pas facilement que : a) Trump ne s’est pas vraiment fait exploser la tête. b) au cours de ses quatre années de mandat, il ne s’est jamais opposé à l’État profond ; et c) la Commission Warren n’était pas une collection de questions scénarisées postées sur Twitter au coup par coup par des équipes de relations publiques essayant de faire passer leurs candidats pour des durs.

Le pseudo-courroux républicain s’est retourné contre Kimberly Cheatle, chef des services secrets – clairement désignée comme la méchante de l’affaire, et contrainte d’assister à une série de rituels d’humiliation de plus en plus fréquents, qui ont abouti à sa démission hier.

Twitter est inondé de clips de Républicains lui posant des questions auxquelles elle a refusé de répondre.

Cela ne peut être pris pour la réalité que par les esprits modernes brutalisés et confus susmentionnés.

Tout comme l’apparition de Mme Cheatle lors de la récente Convention nationale républicaine, où elle a été «accidentellement filmée» alors que des membres du Congrès républicain l’ont «confrontée avec colère».

Nous avons donc un joli petit binaire avec la droite qui veut savoir comment elle a pu laisser faire cela, et la gauche qui s’indigne qu’une fonctionnaire (femme) soit traitée de la sorte, Et bien sûr, personne ne pose la seule question pertinente :

Pourquoi était-elle là ?

Pourquoi la directrice de l’USSS assistait-elle à la CNR1 juste après que son agence ait soi-disant failli faire tuer le candidat républicain ? Pour que le film ait lieu, bien sûr. Pour que nous puissions obtenir des clips d’action TikTok que la génération des poissons rouges partagera et applaudira.

C’est de la prestation. Tout est prestation. Tout le temps.

Pendant ce temps, dans l’équipe bleue, Creepy Uncle Joe2 s’est retiré de la course… via un tweet, pour une raison inconnue. Personne ne l’a vu pendant quelques jours, jusqu’à la fin de la journée d’hier, ce qui a amené les gens à spéculer qu’il était mort quelque part, ce qui a donné lieu à un théâtre politique encore plus artificiel, lorsque Kamala Harris a prétendument mis Joe sur haut-parleur lors d’une conférence de presse pour lui donner une preuve de vie.

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l'invincibilité du Yémen

Réseau InternationalLe pays invincible du Moyen-Orient c’est le Yémen, et non Israël

Réseau International - 24 juil 2024

Un an après le début de la guerre, le Yémen continue de causer des dommages importants à Israël et à ses alliés au Moyen-Orient.

   

Lorsque les hostilités entre la Résistance palestinienne et le régime sioniste ont commencé à la fin de 2023, le Yémen a été le seul pays à déclarer la guerre à Israël, faisant ainsi le plus grand geste de solidarité avec les Palestiniens de tous les pays de la région. À l’époque, les militants sionistes et pro-occidentaux ont affirmé à plusieurs reprises que les Yéménites seraient détruits en quelques jours par la force militaire conjointe supposée «invincible» d’Israël et des États-Unis. Près d’un an plus tard, la réalité s’est révélée très différente des prédictions fantaisistes des sionistes.

Tout d’abord, il est nécessaire de préciser que le terme «Houthi» a été couramment utilisé par les médias occidentaux de manière péjorative, pour différencier le gouvernement de facto du pays – qui est contrôlé par l’aile politique du groupe ethnique houthi – du gouvernement «officiel» – déjà militairement vaincu sur le champ de bataille et qui s’est exilé en Arabie saoudite. Il est inutile d’éviter d’utiliser le nom du pays – «Yémen» – pour faire référence aux actions menées par le gouvernement houthi, tout simplement parce que les Houthis ont déjà gagné la guerre civile et qu’ils sont actuellement le gouvernement légitime du pays.

Ainsi, lorsque les «Houthis» ont entamé des opérations militaires contre Israël et ses alliés en mer Rouge, c’est l’État-nation du Yémen qui a déclaré la guerre aux sionistes – et non une simple milice ethnique. Induite par la propagande occidentale et sioniste, l’opinion publique mondiale pensait qu’une milice de «chiites primitifs» ne pouvait causer aucun dommage aux solides structures américaines et israéliennes au Moyen-Orient. Il y avait fort à parier que Washington et Tel-Aviv détruiraient rapidement les «Houthis» et rétabliraient le gouvernement saoudien par procuration afin de neutraliser le Yémen en tant qu’adversaire régional. Tout cela s’est avéré totalement faux. La guerre entre le Yémen et les alliés d’Israël est une guerre entre États – et dans ce conflit, les forces armées yéménites se sont révélées suffisamment fortes pour causer de profonds dommages à l’ennemi.

Récemment, des drones suicides lancés par le Yémen ont frappé Tel-Aviv, touchant un nombre encore imprécis de cibles. Tel-Aviv affirme évidemment qu’il ne s’agissait que de cibles civiles, mais on ne peut se fier à de telles affirmations en l’absence de preuves concrètes. Bien que «civiles», les cibles pourraient être des installations utilisées à des fins stratégiques ou militaires par les forces sionistes, ce qui en ferait des cibles légitimes au regard du droit international, qui autorise les attaques contre des infrastructures civiles utilisées pour des manœuvres de guerre.

Coïncidence ou non, peu après l’attaque yéménite contre la capitale israélienne, un cyber black-out s’est produit dans plusieurs pays occidentaux. Israël, les États-Unis et l’Europe ont été fortement touchés par ce que l’on pense être un problème technique avec CrowdStrike – un système de sécurité qui fournit des services au réseau Microsoft. La panne a eu un impact significatif sur la structure informatique mondiale. Des vols ont été annulés ou retardés dans les aéroports. Les systèmes numériques des banques ont été affectés. Les multinationales qui dépendent du réseau Microsoft ont subi de lourdes pertes.

À l’ère de l’internet et des médias sociaux, l’activité la plus simple consiste à répandre des rumeurs et des «théories du complot». Immédiatement, certains internautes ont commencé à dire que la panne informatique était liée d’une manière ou d’une autre à l’attaque yéménite, qui aurait détruit d’importantes installations technologiques à Tel-Aviv. En réponse, des «experts en cybersécurité» attachés à l’image d’Israël et de l’Occident ont affirmé qu’il s’agissait d’un simple problème technique, invalidant ainsi les récits des dissidents.

Cependant, il y a de bonnes raisons de croire que l’attaque yéménite est à l’origine de la panne. Peut-être que les drones n’ont pas touché des installations vraiment stratégiques pour générer un tel impact global. Cependant, il existe d’autres possibilités à analyser. Peut-être l’attaque était-elle une manœuvre de diversion pour attirer l’attention de la défense israélienne pendant que d’autres agents menaient une cyberattaque contre Microsoft. La grande puissance cyber de l’Iran, par exemple, est bien connue de l’Occident. L’Iran étant le plus grand allié du Yémen, on peut penser qu’il s’agissait d’une opération conjointe, combinant une attaque de drone de diversion et une action cybernétique.

Il convient de rappeler que depuis l’année dernière, plusieurs analyses d’experts ont été publiées sur la possibilité que le Yémen ait coupé des câbles internet lors de ses opérations navales. Les analystes estiment que même sans couper complètement les câbles, les Yéménites pourraient provoquer des problèmes techniques et des pannes en raison de l’impact partiel causé collatéralement ou intentionnellement par leurs actions militaires.

C’est le genre de situation dans laquelle le monde ne saura certainement jamais ce qui s’est réellement passé. Les questions relatives aux services de sécurité, aux services de renseignement et aux cyberforces resteront toujours obscures pour l’opinion publique mondiale. Cependant, toute cette controverse montre que le Yémen des Houthis est aujourd’hui l’un des principaux acteurs du scénario géopolitique du Moyen-Orient. Les soupçons et les théories sur les questions d’impact mondial tombent sur les Yéménites, tout simplement parce qu’aujourd’hui personne ne doute que les Yéménites soient réellement capables de provoquer quelque chose de cette nature.

Un an après la déclaration de guerre du Yémen à Israël, la mer Rouge est devenue un lac yéménite, la force navale dirigée par les États-Unis a été vaincue, Tel-Aviv est attaquée et l’on soupçonne même maintenant que la cyber stabilité mondiale dépend des Houthis.

Il est clair que le pays invincible au Moyen-Orient n’est plus Israël.

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Donald Trump et Kamala Harris

StratpolPourquoi Trump vient de perdre l’élection à la présidence Américaine

Stratpol - 24 juil 2024

Il y a quelques jours de cela, le candidat Trump surfait sur une dynamique de campagne incroyable, suite à la tentative d’attentat dont il avait été la victime, son image s’était améliorée dans l’esprit des américains ne faisant pas partie de sa base électorale traditionnelle.

   

Son sacre lors du congrès Républicain de Milwaukee de mi-juillet et le “ticket” qu’il incarne désormais avec le très conservateur JD Vance lui assure un plébiscite chez les électeurs de droite. Surtout il mettait en lumière le dynamisme et la détermination d’un candidat qui tout juste miraculé, dans un geste extraordinaire d’un aspect marketing et communication, levait le poing en l’air pour exhorter les américains à le suivre dans cette guerre pour la Maison Blanche. Ce côté messianique, défiant toute rationalité faisait de Donald Trump le vainqueur assuré de cette présidentielle dans la tête de tous les américains comme dans toutes les rédactions aux USA.

Oui mais voilà, cette incroyable dynamique ne valait que par le fait que son adversaire était un Président en activité tout aussi clivant que lui, au bilan décrié de tous et dont la situation médicale inquiétait au plus haut point même les Democrats les plus convaincus. Trump dans ce duel, était en fait favori non pas par sa capacité à être élu au-delà de sa base mais bien par l’incapacité à motiver et fédérer de son adversaire. La médiocrité de ce dernier fut mise au grand jour notamment lors du fameux débat du 27 juin dernier. L’humiliation subit par le camp de gauche et la soudaine compréhension que Joe Biden ne réussirait jamais dans les mois de campagne restants à renverser les sondages eurent en interne l’effet d’une bombe au parti des Ânes (rappelons que le “Donkey” est le symbole du Democratic Party). C’est alors que s’est mise en place une incroyable machine de guerre électorale. Dans un premier temps, l’opération consistait à faire accepter au Président sortant la réalité factuelle de ses chances, à opérer auprès de ce dernier un travail de déstabilisation que ce soit auprès de ses sponsors ce qui aux USA est le nerf de la guerre, que dans ses soutiens politiques, médiatiques ou people. La chose fut simple et habilement réussie avec en point d’orgue l’annonce d’un bien soudain et inquiétant covid pour l’octogénaire ! Qu’importe le fait que plus personne ne décède de ce virus désormais, l’impression donnée de fragilité et de risque vital pour le candidat démocrate à la Présidentielle était actée dans l’imaginaire collectif.

La deuxième phase du plan était donc de trouver le candidat idoine à même de prendre au débotté la relève. La encore le plan était parfaitement huilé puisque en la personne de la Vice-Présidente Kamala Harris, les Democrats combinaient une personnalité connue nationalement et internationalement, qui du fait de ses fonctions inspirait la confiance quand à savoir exercer le poste tant convoité et qui par dessus tout était jeune (au regard des candidats en lice), issue des minorités et de sexe féminin ! En d’autres mots, un combos idéals de critères pour s’assurer le soutien de la 5ème colonne.

Si Biden était facilement attaquable sur son effroyable bilan, notamment concernant les questions de sécurité aux frontières et pour l’International, sa vice-présidente elle, aura tout loisir de se dédouaner des actions de ce dernier en expliquant avec fourberie qu’elle ne cautionnait pas les décisions prises mais qu’ elle avait su rester fidèle à la fonction exercée et à son parti ce qui renforcera sa crédibilité vis à vis de l’américain indécis qui justement est l’enjeu plus que jamais de cette élection.

À celà, la désormais candidate va pouvoir, et c’est là le plus important, s’appuyer sur la machine médiatique américaine qui va quotidiennement intégrer le narratif du rêve américain et de tout ce que représente cette candidate dans le combat du “camp du bien” contre “l’obscurité” représenté par le populisme, l’ultra patriotisme des MAGA ou devrait-t’on désormais dire des MAGOA (Make America Great Once Again – RNC 2024).

Et c’est là qu’est le cœur de la victoire qui désormais s’annonce plus que jamais pour Kamala Harris. Des acteurs prendront la parole, des chansons réuniront des artistes, la gauche caviar de la Silicone Valley investira dans un “avenir plus humaniste”, les minorités vont se soulever pour soutenir la diversité (cf Obama 2008). Mais plus encore, les médias pèseront de tout leur poids (et ils en ont) pour soutenir, valoriser, créer un mythe fantastique à Kamala. Pour tous ceux qui ont suivi les élections françaises de 2017, rien de ce qui va se passer dans les semaines à venir ne vous surprendra, pour les naïfs qui croient encore que le meilleur gagne… prenez la pilule bleue et restez dans la Matrice parce que à l’instar des derniers grands rendez-vous politiques en Europe comme en France, le “camp du bien” a cette force d’avoir noyauté en profondeur les institutions tout comme le vote des masses par un travail de sape et de longue haleine, par une manipulation mentale des foules qui tend à l’hypnose collective et c’est ainsi que depuis des décennies qu’il soit nommé Deep state, Young leaders, Macronisme ou tout autre appellation, il assure inéluctablement sa survie démocratiquement.

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JOde Paris, billets invendus

RT FranceJO de Paris 2024 : 1,2 million de billets invendus

RT France - 20 juil 2024

Polémique sur les QR codes, les inquiétudes s’accentuent...

   

À huit jours du début des Jeux olympiques de Paris, plus d’un million de billets ne sont toujours pas vendus. Les organisateurs se veulent rassurants et rappellent que ces JO ont déjà battu le record du nombre de billets vendus, alors que de nombreuses voix s’élèvent contre le dispositif sécuritaire qui se met en place.

«Plus de 50 000 nouveaux billets vont être remis en vente [ce 18 juillet] dans plus de 30 sports». L’annonce faite par le directeur général délégué du comité d’organisation des Jeux de Paris, Mickaël Aloïsio, le 17 juillet à propos de la vente de billets le lendemain a mis les réseaux sociaux en émoi, à huit jours des JO.

Les organisateurs affirment néanmoins que les Jeux olympiques de Paris auraient déjà dépassé le record du nombre de billets vendus lors de Jeux modernes avec 8,7 millions de tickets vendus, contre 8,3 millions pour Atlanta en 1996. Sur ces ventes, plus de 60% auraient été réalisées pour des visiteurs français.

Mickaël Aloïsio a également fait savoir qu’à partir du 22 juillet des billets seront quotidiennement mis en vente et qu’il y aurait «des opportunités jusqu’à la fin des Jeux».

«Jamais vu un bordel aussi indescriptible dans Paris»

Derrière ces chiffres des ventes de billets pour les Jeux, se trouvent ceux moins reluisants pour les Jeux paralympiques pour lesquels 1,7 million de billets sont toujours en vente. Fin mai, seulement 800 000 places avaient été vendues pour ces épreuves qui se dérouleront du 28 août au 8 septembre.

Mais c’est surtout face au dispositif sécuritaire que la colère gronde : «Jamais vu un bordel aussi indescriptible dans Paris». Sur X (ex-Twitter), le très médiatique avocat Charles Consigny n’y est pas allé par quatre chemins à propos du dispositif sécuritaire mis en place dans la capitale. Pour lui, «la liberté de circuler n’existe plus. Des policiers bloquent tout, partout. Retour au délire des QR codes et autres absurdités administratives».

QR code : des Parisiens et des personnalités excédés

Un agacement partagé par le président des Patriotes Florian Philippot qui dénonce le QR code sur le réseau social X (ex-Twitter), un procédé «même pas utilisé par la Chine pour ses JO ou le Qatar pour la Coupe du monde de football».

Le journaliste Alexis Poulain parle lui de «servitude volontaire et d’aveuglement devant ce qui s’avère être l’antichambre d’une société totalitaire» alors que la chaîne de télévision BFMTV a fait sensation en révélant que même «des éboueurs de la ville sans QR code» avaient été «empêchés d’accéder à la zone».

Les inquiétudes sur l’usage du QR code pour cet événement sportif se doublent d’une crainte en matière de sécurité dans un contexte politique rendu particulièrement incertain en France après la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron.

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JFK Junior

Égalité et RéconciliationJohn F. Kennedy Jr. et la malédiction kabbalistique

Égalité et Réconciliation - 18 juil 2024

Laurent Guyénot : John Fitzgerald Kennedy, Jr. est mort il y a 25 ans, avec sa femme et sa belle-sœur. Ce n’était pas un accident, mais un assassinat.

   

JFK Jr. a été assassiné parce qu’il était le fils de JFK, et qu’il avait des ambitions politiques motivées par une intense piété filiale.

Il devait mourir pour la même raison que son oncle Robert Francis Kennedy (RFK) devait mourir en 1968 : aucun Kennedy ne devait plus jamais s’approcher de la Maison-Blanche – à moins de s’appeler aussi Schlossberg, selon l’avis du rabbin Jeffrey Salkin. Et JFK Jr. aurait pu accéder à la Maison-Blanche en huit ans (il aurait eu 48 ans en novembre 2008 ; son père était devenu président à 43 ans). Je vais expliquer cela aussi.

« La famille Kennedy est un clan, une tribu, une souveraineté et une dynastie », a écrit Arthur Krock, qui les a bien connus [1]. Aucun des Kennedy ne peut être compris comme un simple individu. Ainsi, dans un sens plus profond, la raison pour laquelle JFK Jr. devait mourir est qu’il était le petit-fils du patriarche fondateur, Joe Kennedy. Ce point a été souligné sans ambiguïté par John Podhoretz dans un éditorial pour le New York Post, publié le jour même où le corps de JFK Jr. a été retrouvé au fond de l’océan, avec ceux de sa femme et de sa belle-sœur. Dans cette fiction des plus dégoûtantes, Podhoretz imagine que le Diable s’adresse à Joe en enfer : « Chaque fois que tu crois que ta famille est à nouveau sur le chemin de la gloire, je dois faire quelque chose, comme je l’ai fait ce week-end, avec ton petit-fils John. » Selon Podhoretz, JFK Jr. est mort en représailles pour ce que son grand-père a fait aux juifs, « lorsqu’il était ambassadeur des États-Unis en Angleterre, disant toutes ces gentillesses sur Hitler, et faisant son possible pour empêcher l’émigration juive de l’Allemagne nazie ». « Des milliers de juifs sont morts à cause de toi », selon le Diable parlant par Podhoretz.

Notez que, logiquement, c’est le dieu des juifs Yahvé, et non le Diable, qui devrait vouloir punir Joe en tuant son petit-fils. À moins bien sûr que Yahvé soit le Diable. Podhoretz n’a pas pris le temps de réfléchir à cette question ; il ne pouvait pas attendre un jour de plus pour exprimer sa joie, alors que l’Amérique pleurait le prince de Camelot.

John Podhoretz est le fils de Norman Podhoretz, l’homme qui en 2004 voulait déclencher la quatrième guerre mondiale. Les Podhoretz aiment les guerres mondiales parce que les guerres mondiales sont toujours bonnes pour Israël. C’est pour cela qu’ils ont une haine éternelle envers Joe Kennedy, l’homme qui a presque réussi à éviter la Seconde Guerre mondiale. Comme je l’explique dans le chapitre que je lui consacre dans Qui a maudit les Kennedy ?, Joe Kennedy n’était pas un ami de Hitler, mais un ami de la paix, tout comme Neville Chamberlain. « Je suis pour la paix, je prie, j’espère et je travaille pour la paix », déclara-t-il à son premier retour de Londres en décembre 1938 [2].

Pour avoir tenté d’empêcher les juifs d’entraîner l’Amérique dans la guerre, Joe Kennedy était considéré comme un antisémite de dimension holocaustique. Il est d’ailleurs étonnant que ses fils aient pu réussir si bien dans la politique américaine, malgré la réputation de leur père comme partisan de l’apaisement avec Hitler. Joe a dû déployer des trésors d’ingénuité pour laver sa descendance de la tâche antisémite.

Du point de vue d’Israël, JFK était définitivement un partisan de l’apaisement, comme son père. Israël avait eu besoin de la Seconde Guerre mondiale, et Israël avait maintenant besoin de la Troisième Guerre mondiale (c’est ainsi que Norman Podhoretz appelle la guerre froide). « Qu’est-ce qu’ils ont, tous ces Kennedy ? Pourquoi veulent-ils toujours empêcher ou mettre fin aux guerres dont Israël a besoin ? Que Yahvé les maudisse ! »

La malédiction des Kennedy est un concept kabbalistique qui a été présenté au public dans des livres tels que Les Péchés du père (Ronald Kessler) et La Malédiction des Kennedy (Edward Klein). Le titre du premier livre, écrit en 1997, fait référence à Exode 20:5 : « Moi, Yahvé, ton dieu, je suis un dieu jaloux qui punis la faute des pères sur les enfants, les petits-enfants et les arrière-petits-enfants de ceux qui me haïssent. » Le second livre, publié en 2004, évoque en introduction l’histoire « racontée dans les cercles juifs mystiques » selon laquelle, en « représailles » pour une remarque que Joe aurait faite à « un pauvre rabbin Loubavitch, et six de ses étudiants de yeshiva qui fuyaient les nazis » à la veille de la Seconde Guerre mondiale, « le rabbin a jeté une malédiction sur Kennedy, le condamnant, lui et toute sa progéniture mâle, à des destins tragiques » [8]. On voit bien le rapport entre cette « malédiction des Kennedy » et le texte de John Podhoretz : mettez la malédiction sur le compte du diable, mais sachez qu’il s’agit du pouvoir (surnaturel) des juifs.

Il est implicite dans l’histoire de Klein que la malédiction est d’abord entrée en action par la mort de Joe Kennedy Jr., l’aîné de la fratrie, tué au combat le 12 août 1944, aux commandes d’un bombardier dans une mission à haut risque. Le destin présidentiel est alors passé au deuxième fils.

La malédiction des Kennedy frappa à nouveau le 22 novembre 1963. J’ai évoqué dans mon livre cet homme de 39 ans nommé Louie Steven Witt qui était venu reprocher silencieusement au président Kennedy le soutien de son père à la politique d’apaisement de Chamberlain, en se tenant avec un parapluie noir à l’endroit et au moment précis de son exécution. Cette coïncidence entre le geste symbolique de Witt et l’assassinat n’était qu’une… malheureuse coïncidence, assura Witt au House Select Committee on Assassinations en 1978, et on ne lui posa pas d’autre question.

Je n’avais pas prêté attention au fait que Witt n’était pas le seul à faire sa « mauvaise blague ». Sur le film Zapruder et sur d’autres photos, on peut voir, devant lui à droite, un homme saluant JFK. Cet homme n’a jamais été identifié, et c’est étrange, car il était visiblement avec Witt. Quelques minutes après avoir vu la tête de JFK exploser sous leurs yeux, ils étaient assis l’un à côté de l’autre au même endroit. Cela suggère que leurs actions étaient un acte symbolique coordonné et que le salut du compère de Witt était censé être un salut nazi. Le parapluie noir en lui-même n’était peut-être pas un message assez clair, et donc le salut nazi rendait le message beaucoup plus clair.

Louie Steven Witt et ses collègues étaient-ils des agents sionistes conscients de la portée de leur geste ? Je ne pense pas. Le fait qu’ils se soient assis ensemble après coup suggère qu’ils étaient stupéfaits et se demandaient ce qu’ils avaient bien fait. Je suppose qu’ils avaient été envoyés pour transmettre un message symbolique, sans savoir que cela pimenterait l’assassinat. Qui serait assez fou pour se mettre dans cette situation en connaissance de cause et se placer, de surcroît, si prêt de la ligne de mire du tireur du Grassy Knoll ? Peut-être avaient-ils été convaincus de le faire pour de l’argent, ou dans le cadre d’un pari, ou comme service rendu au patron juif de Witt à la Rio Grande National Life Insurance Co où Witt travaillait.

Je pense en tout cas que, s’il restait le moindre doute sur le fait qu’Israël était l’instigateur principal de l’assassinat de John Kennedy, Umbrella Man et Nazi-Salute Man en sont la signature ultime. Mais pour voir cela, il faut une certaine perspicacité spirituelle.

Les Podhoretz, fondateurs du mouvement néoconservateur, incarnent l’âme maléfique des États-Unis. Les Kennedy incarnaient le meilleur de l’Amérique : des valeurs familiales ancrées dans le christianisme, et le culte du service rendu au pays jusqu’au sacrifice. La famille Kennedy symbolisait l’Amérique que les Américains et le monde aimaient. Aucune autre famille américaine n’avait une telle aura dynastique.

C’est pourquoi John F. Kennedy, Jr. était le « prince héritier charismatique de la famille royale américaine », comme l’écrivait le New York Daily News au lendemain de sa mort. Il était le prince Hamlet hanté par le fantôme de son père assassiné, destiné à le venger et à sauver le royaume des usurpateurs. La tragédie de Kennedy est l’histoire la plus shakespearienne, la plus mythique, la plus paradigmatique, la plus emblématique de toute l’histoire américaine. Et l’Amérique n’a pas un seul monument digne en leur honneur. Tant de musées de l’Holocauste pour honorer les morts juifs, et pas une seule chapelle pour prier pour les Kennedy.

En fait, seul Israël a construit un mémorial Kennedy relativement important. Il a été explicitement conçu pour ressembler à « la souche d’un arbre abattu », et c’est effectivement le cas. Vous voyez l’idée ? Il symbolise le projet d’Israël pour la dynastie Kennedy. Vous pouvez faire confiance aux juifs pour choisir les symboles avec précision. Et n’imaginez pas qu’on puisse voir une statue ou même une seule photo de Kennedy à l’intérieur du monument ; il est creux comme une souche morte. C’est un mémorial pour effacer la mémoire de Kennedy, ce qui me rappelle le commandement paradoxal de « ne pas oublier d’effacer la mémoire d’Amalek » (Deutéronome 25:19 et Exode 17:14).

La haine des sionistes envers les Kennedy est ancienne et éternelle. Lors de sa rencontre avec le nouveau président le 30 mai 1961 à New York, Ben Gourion ne pouvait s’empêcher de voir en lui le fils d’un pacificateur hitlérien. Abraham Feinberg (qui organisait la rencontre) se souvient que « Ben Gourion pouvait être vicieux et qu’il avait une telle haine envers "le vieux" [Joe Kennedy] » [9]. Ben Gourion ne se faisait aucune illusion sur le fait que John était vraiment le fils de son père. N’avait-il pas, dans son livre Profiles in Courage, lauréat du prix Pulitzer en 1956, donné raison au sénateur Robert Taft pour avoir dénoncé les procès de Nuremberg comme une parodie de justice, et la pendaison de responsables allemands comme « une tache sur l’histoire américaine que nous regretterons longtemps » ? Il n’échappa certainement pas aux sionistes que, le 11 mai 1962, le président Kennedy invita à la Maison-Blanche Charles Lindbergh, celui qui en 1940 avait accusé publiquement les juifs de pousser l’Amérique à la guerre, et vivait depuis la fin de la guerre en reclus pestiféré.

De plus, JFK voulait empêcher Israël de se doter de la dissuasion nucléaire indispensable pour empêcher les Arabes de commettre un nouvel Holocauste. C’est ce que Ben Gourion voulait dire en décrivant Nasser comme un nouveau Hitler et les Arabes comme les nouveaux nazis, dans l’une de ses dernières lettres à Kennedy, le 12 mai 1963, en réponse à la demande de Kennedy d’inspecter immédiatement Dimona : « Les connaissant, je suis convaincu qu’ils sont capables de suivre l’exemple nazi… Monsieur le Président, mon peuple a le droit d’exister… et cette existence est en danger. » Il termina sa lettre par une remarque cryptique sur le roi Hussein de Jordanie : « Il y a toujours le risque qu’une balle mette fin à sa vie et à son régime. » [10]

Ben Gourion avait de bonnes raisons de craindre, non seulement une présidence de John Kennedy jusqu’en 1968, mais la dynastie Kennedy, car on imagine aisément que Robert Kennedy prenne sa succession pour huit ans et, pourquoi pas, Ted Kennedy ensuite. Il fallait non seulement éliminer John Kennedy, mais détruire la dynastie Kennedy. Pour cela, il fallait également tuer le fils unique du président Kennedy. Tuer son avenir politique n’était pas suffisant, et probablement pas possible.

J’ai écrit un très long article sur JFK Jr. en janvier 2019, intitulé « Le destin présidentiel brisé de John Kennedy Junior », que je vais maintenant résumer.

Les preuves de l’assassinat

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Trump - Vance

Le courrier des stratègesPourquoi Trump a choisi James David Vance comme vice-président

Le courrier des stratèges - 17 juil 2024

A peine remis de l’attentat qui a failli lui coûter la vie, Donald Trump a désigné celui qui entrerait comme vice-président à la Maison Blanche avec lui en janvier 2025. Il s’agit de James David Vance, sénateur de l’Ohio.

   

Il est intéressant de regarder de plus près les raisons pour lesquelles l’ancien président a fait ce choix. Un célèbre libertarien américain, Wayne Roote, a son idée sur la question.

Le choix d’un vice-président est toujours complexe pour un candidat à la présidence des Etats-Unis. Et Donald Trump a fait une mauvaise expérience, puisqu’il a été trahi, en fin de premier mandat, par Mike Pence, un homme politique catholique, très opposé à l’avortement mais qui a refusé d’aider Trump à démasquer la fraude du camp Biden lors de l’élection présidentielle de 2024.

Certains s’étonnent, pour cette raison, que l’ancien président ait chois, cette fois, un homme qui le critiquait durement il y a quelques années. Mais écoutons ce qu’a à en dire Wayne Root, célèbre libertarien américain...

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Tubiana Blackrock

Égalité et RéconciliationBlackRock présente : Laurence Tubiana !

Égalité et Réconciliation - 17 juil 2024

La probable future première ministre proposée par la gauche, Laurence Tubiana, est comme par hasard proche de BlackRock et des élites mondialistes. Les électeurs voulaient dégager le système, il se renforce.

   

Je vous présente Laurence Tubiana. Elle a été choisie par le NFP (hors LFI) pour devenir 1° ministre. Laurence Tubiana porte le pin’s de Bill Gates « global goals» et participe au forum de Davos.

«Il faut que tout change pour que rien ne change »

Le Guépard de Visconti

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Stratpol : bulletin n°194

StratpolLe nationalisme c’est la paix ! Sauvagerie kiévienne, dette socialiste

Stratpol - 16 juil 2024

STRATPOL : Bulletin n°194 de Xavier Moreau

   

00:00 – Ukraine pourquoi la Russie a gagné
Géopolitique profonde
Octobre 1795 : décret des deux tiers
La dette

07:50 – Économie
MBS vs les voleurs européens
Ariane VI & RD 191-M
KAMAZ : robotisation

12:10 – Politico-diplomatique
Orban : nationaliste pour la paix
Visite de Narendra Modi à Moscou
Sommet de l’OTAN
Géorgie : le chemin vers la liberté

19:05 – Empire du mensonge
Kiev : bombardement de l’hôpital pour enfants
ISIDA et le trafic d’esclaves
Pertes russes sur la BBC

25:10 – Terrorisme
Sauvagerie kiévienne vs christianisme russe

27:40 – Armement
Drones US en mer Noire
Chine : fournisseur de l’US Army
Thierry Breton : bureaucrate incompétent

30:52 – Considération militaire général
Azov : guerre totale !

32:22 – Carte des opérations militaires

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Pourquoi avoir voulu assassiner Trump ?

Nouveau MondeDonald Trump échappe à un attentat lors d’un meeting politique

Nouveau Monde - 15 juil 2024

Comment un homme a-t-il pu se trouver sur un toit, avec une arme, à moins de 200 mètres d’un ancien président américain et lui tirer dessus ?

   

La question de la sécurité autour de Donald Trump agite l’Amérique après la tentative d’assassinat qui a visé le candidat républicain à la présidentielle ce samedi 13 juillet, lors d’un meeting à Butler, en Pennsylvanie. « Clairement, nous allons avoir beaucoup de questions à poser sur ce qu’il s’est passé », a réagi Steve Scalise, chef de la majorité républicaine à la Chambre des représentants.

Donald Trump a été touché à l’oreille. Exfiltré par les agents du Service secret, l’ancien président a été examiné par des médecins et se porte bien. Mais un militant présent dans le public, également touché, est décédé. Le FBI dit avoir identifié le tireur comme étant « Thomas Matthew Crooks, 20 ans, de Bethel Park, Pennsylvanie ». Il a été abattu après avoir tiré.

[…]

Plusieurs témoins ont affirmé avoir aperçu le tireur avant qu’il n’ouvre le feu et avoir tenté d’alerter la police de la ville, qui a rapporté avoir « répondu à un certain nombre de rapports d’activité suspecte », sans donner plus de précisions. Un témoin interrogé par la BBC assure avoir vu « un homme ramper sur le toit » et l’avoir montré « pendant plusieurs minutes » aux forces de l’ordre. « On pouvait clairement le voir avec son arme », a-t-il ajouté, expliquant que la police semblait ne pas comprendre ce qu’il se passait. Selon lui, l’inclinaison du toit faisait que les agents du Service secret ne pouvaient probablement pas le voir de là où ils se trouvaient.

[…]

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who is they

Profession GendarmeLa mafia mondiale : Qui sont-ils ?

Profession Gendarme - 14 juil 2024

Corey Lynn : Qui sont ceux qui Dirigent le Monde Discrètement, à Travers de Nombreuses Organisations Internationales, pour mettre en Place le « Nouvel Ordre Mondial » ?

   

La question numéro un qui circule constamment sur les réseaux sociaux et qui exaspère des millions de personnes est : « Qui sont-ils ? »

Non pas « qui sont-ils », mais « qui sont-ils », comme si « ils » était une force unique fonctionnant comme un seul.

Alors que « ils » fonctionnent souvent comme une force unique, de nombreux individus et acteurs sont impliqués.

Les gens veulent savoir qui se cache derrière l’argent, le pouvoir, le contrôle, les récits et la destruction du monde – les guerres incessantes, l’inflation artificielle, les attaques contre le système alimentaire et l’agriculture, les grandes sociétés pharmaceutiques et la folie médicale, la surveillance constante, l’IA et le transhumanisme, l’ensemble du système financier, etc.

Cela ne se limite pas à un ou même à dix pays – c’est un programme mondial qui remonte à des siècles et même les chercheurs, historiens et enquêteurs les plus brillants ne peuvent pas nommer toutes les personnes impliquées au sommet de cette hiérarchie.

Cependant, il y en a des milliers qui peuvent être nommés, et presque tout le monde a reconnu le fait qu’il s’agit d’un très petit pourcentage qui tente de diriger le monde sous son « Nouvel Ordre Mondial ».

Il existe plusieurs termes utilisés pour désigner ces mauvais acteurs, tels que « État profond », « cabale mondiale », « Illuminati » et « gouvernement de l’ombre ».

Les individus qui orchestraient cette tentative de prise de contrôle mondiale opèrent en secret au sein du gouvernement pour modifier les politiques publiques et les lois tout en façonnant la culture et les récits. Plus récemment, beaucoup de ces mauvais acteurs n’opèrent plus en secret – ils ont plutôt adopté un style plus direct.

Ils sont tous impliqués, essayant désespérément d’éliminer les masses grâce à leur manuel de jeu, et bien qu’ils semblent avoir un plan A, B et C pour chaque programme, les gens ripostent et voient clair dans leurs tactiques de manipulation.

Il est vrai que cela crée un champ de dissonance cognitive assez large, mais chaque mois qui passe, de plus en plus de gens prennent conscience du jeu qui se joue sur l’humanité et refusent de le tolérer.

C’est la grande arnaque et ils ne peuvent y arriver que si vous y croyez, si vous tombez dans le panneau, si vous acceptez qu’ils ont du pouvoir sur vous et que vous vous laissez devenir l’esclave obéissant qu’ils veulent que vous deveniez.

C’est la plus grande dose de vérité. Ils ont besoin que tout le monde croie qu’ils sont l’autorité, qu’ils ont vos intérêts à cœur et que ce qu’ils vous disent est vrai.

Ils veulent que vous vous sentiez impuissant et dépendant d’eux.

C’est leur plus grand obstacle et c’est celui auquel vous ne devriez jamais céder.

Plus on remonte loin dans le temps, plus il est difficile de les suivre. Pourquoi ?

Parce que les lignées riches ont tendance à se mélanger, changeant souvent de nom et d’orthographe, d’origine et de liens familiaux.

Pour couronner le tout, des centaines de campagnes psychologiques sont menées simultanément, provenant de plusieurs pays et sources, pour semer encore plus la confusion.

Une chose est sûre : ces gens planifient cette prise de pouvoir ultime depuis très longtemps, ont tous leurs sbires et leurs outils utiles pour se coordonner, ont lavé le cerveau de millions de personnes avec leurs plans, sont astucieux et calculateurs avec leurs méthodes et bien plus intelligents que la plupart ne voudraient l’admettre.

Les gens veulent des noms, alors commençons par là.

C’est une grande partie de la hiérarchie, qui laisse quelques inconnues cachées derrière la Banque des règlements internationaux (« BRI »).

Dans le rapport en trois parties de Corey Lynn sur « Le blanchiment avec immunité« , il explique en détail comment et quand la BRI est née et comment la BRI et 63 banques centrales ont conçu un plan pour détenir des immunités et des privilèges.

Peu de temps après, en 1945, l’ONU a été manifestée par certains des comploteurs de cette grande prise de contrôle, et les immunités et privilèges sont arrivés avec elle le lendemain.

C’était le début du cadre de contrôle et de la façon dont ils seraient en mesure de mener à bien leurs programmes tout en opérant entièrement en dehors de la loi.

Toutes les branches de l’ONU bénéficient de ces immunités et peuvent les étendre aux organisations qui travaillent avec elles.

Bien avant la création de l’ONU, l’Organisation des États américains (« OEA ») a été créée.

Eux aussi ont été les premiers à bénéficier d’immunités et de privilèges, aux côtés de l’ONU, car ils travaillent en collaboration les uns avec les autres.

Elles peuvent également étendre ces immunités aux organisations avec lesquelles elles travaillent.

Outre les banques, l’ONU et l’OEA, le Fonds mondial, Gavi et le Forum économique mondial ont également bénéficié de ces immunités, ainsi que de nombreuses autres organisations internationales clés.

Au total, 76 organisations internationales bénéficient de ces immunités et privilèges, sans compter la BRI et les banques centrales.

Alors que l’ONU et l’OEA ont conclu des traités avec de nombreux pays qui leur confèrent des niveaux de protection à toute épreuve, les autres organisations internationales détiennent des immunités, des privilèges et des accords de siège de manière indépendante avec chaque pays qui a choisi de le faire, et ils sont nombreux !

Les États-Unis ont préparé le terrain pour cela, en les distribuant à 76 organisations au cours de chaque présidence, à l’exception de celles de Trump et de Biden.

Lisez « Blanchir avec immunité » pour saisir toute l’étendue de ce que ces immunités et privilèges impliquent.

Pour commencer, toutes leurs archives sont inviolables, leurs biens et actifs sont à l’abri des perquisitions et saisies, ils sont exemptés de tout type d’impôt que paient les citoyens ordinaires, y compris les impôts fonciers, les dirigeants et employés sont exemptés de poursuites judiciaires, les employés et les membres de leur famille peuvent voyager dans le monde entier sans contrôle des douanes, les militaires et la police ne sont pas autorisés à entrer dans leur quartier général, et bien plus encore.
Une fois que les gens comprennent que CECI est le cadre de contrôle – la structure qui a été créée il y a près de 80 ans pour qu’ils puissent opérer en dehors de la loi et ne jamais être tenus responsables, il est facile de voir comment tous les autres éléments se mettent en place.

Qui sont-ILS ?

Voilà à elle seule la liste des 76 organisations, de la BRI et des 63 banques centrales au sommet de la pyramide, sachant que derrière cette pyramide se trouvent des acteurs riches et stratégiques dont nous ne connaîtrons peut-être jamais les noms.

Ceux qui dirigent ces organisations sont les noms clés délibérément placés en position de pouvoir pour mener à bien des programmes spécifiques.

Ces acteurs clés se déplacent au sein de ce groupe d’organisations et dirigent parfois des organisations affiliées afin de maintenir leur stratégie.

Certains de ces programmes proviennent directement des organisations pyramidales, tandis que d’autres sont sous-traités à leurs affiliés dans des ONG, des entreprises, des universités, des législateurs, des gouvernements, des agences de presse à trois lettres, des médias d’information et des sociétés de capital-investissement. Par exemple, les agents de la CIA accèdent souvent à des postes dans les médias d’information, les directeurs de la FDA passent souvent dans les grandes sociétés pharmaceutiques, les directeurs des CDC passent à la Fondation Rockefeller ou à la Fondation Bill & Melinda Gates, etc.

Ils maintiennent leurs acteurs clés à des postes dont ils ont besoin à des moments précis, puis les déplacent vers d’autres postes de direction lorsqu’ils ont besoin que certaines actions soient menées.

Jim Yong Kim en est un parfait exemple, depuis la cofondation de Partners in Health jusqu’à la fonction de conseiller auprès du directeur général de l’OMS et du directeur du département VIH/SIDA, puis à la réalisation des résultats requis à Harvard à divers postes, jusqu’à la présidence du Dartmouth College, puis à la présidence de la Banque mondiale – démissionnant par coïncidence début 2019, et maintenant associé chez Global Infrastructure Partners.

Kim a joué un rôle déterminant dans des actions néfastes en Haïti, dans le programme de lutte contre le sida, dans les vaccins, dans la recherche des contacts du covid, dans la pression exercée sur les pays pour qu’ils reçoivent un financement de la Banque mondiale et dans le programme climatique, et chaque poste était au bon moment.

Ce n’est pas une coïncidence si BlackRock acquiert Global Infrastructure Partners au 3e trimestre 2024.

Vous pouvez en savoir plus sur les relations et l’implication de Jim Yong Kim dans les rapports de Corey Lynn ICI , ICI et ICI.

Ils ont fait un travail incroyable pour tenter d’enterrer son enfance et sa famille.

Le PDG de BlackRock, Larry Fink, a également fait des pieds et des mains pour cacher ses liens familiaux et son enfance, avec un père qui semble être un fantôme.

Il est compréhensible de vouloir garder sa famille à l’abri des regards du public lorsqu’on occupe des postes importants, mais ces chats ont bien plus à offrir que ce que l’on voit.

Il existe d’innombrables petites entreprises qui ont eu la bonne volonté de fournir des produits et des services de qualité aux gens ou à la terre, mais à mesure qu’elles ont commencé à se développer et à attirer l’attention, ces organisations corrompues sont intervenues pour tenter de les récupérer et finalement de les acquérir.

Le rachat de Whole Foods par Amazon en est un bon exemple.

Ces organisations, y compris les soi-disant philanthropes milliardaires, sont derrière chaque grande industrie et la « réimaginent » pour essentiellement exclure tout le monde de la prospérité financière afin que tout le monde puisse devenir la proie de leur système d’esclavage planifié.

En fin de compte, le Congrès doit révoquer ces immunités et privilèges.

Tout législateur qui affirme que les États-Unis doivent retirer le financement de l’OMS (qui fait partie de l’ONU) ou de l’ONU elle-même n’est manifestement pas au courant de ce cadre de contrôle, car s’il l’était, il saurait que retirer le financement ne résoudra rien.
Comment « Ils » opèrent et listes de qui « Ils » sont !

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les qataries à Paris

Le Media en 4-4-2Les forces qataries sont déployées à Paris pour sécuriser des Jeux Olympiques 2024

Le Media en 4-4-2 - 13 juil 2024

Les Jeux Olympiques de Paris 2024 bénéficient de la sécurité renforcée par le Qatar.

   

Alors que les préparatifs des Jeux Olympiques de Paris 2024 battent leur plein, l’arrivée des forces de sécurité qataries dans la capitale française suscite autant d’intérêt que de questionnements. En effet, ces derniers jours, des vidéos montrant des véhicules de sécurité qatariens circulant dans les rues de Paris ont émergé sur internet, témoignant de l’implication directe du Qatar dans la sécurisation de cet événement planétaire.

Une coopération renforcée entre la France et le Qatar

Comme le souligne Qatar News Agency, cette présence s’inscrit dans le cadre des accords signés en mars dernier, lors de la visite officielle de l’Émir du Qatar, Son Altesse Cheikh Tamim bin Hamad Al Thani, en France. Les ministres de l’Intérieur des deux pays, Cheikh Khalifa bin Hamad Al Thani pour le Qatar et Gérald Darmanin pour la France, ont paraphé une série d’accords visant à renforcer leur coopération en matière de sécurité. L’objectif principal : garantir la sécurité optimale des Jeux Olympiques de Paris 2024, prévus du 26 juillet au 11 août.

Un déploiement stratégique des forces qataries

Conformément à ces accords, les forces de sécurité qataries joueront un rôle clé dans diverses missions. Elles participeront notamment à des patrouilles à pied, au renforcement du centre national des opérations, à des interventions à cheval et fourniront un appui aérien par drones. Leur expertise en déminage, cybersécurité, détection canine d’explosifs, lutte antiterroriste et gestion des foules sera également mise à profit.

Une délégation qatarie s’était déjà rendue à Paris pour se familiariser avec les installations et la logistique nécessaire. Leur contribution ne se limitera pas seulement aux JO 2024, mais s’étendra à un plan d’action quinquennal (2024-2027) visant à renforcer la collaboration sécuritaire bilatérale entre les deux nations.

Sécurité ou stratégie géopolitique ?

L’implication du Qatar dans la sécurité des Jeux Olympiques soulève des interrogations. Certains analystes se demandent si ce choix ne reflète pas une volonté de prévenir des menaces d’attentats, qu’ils soient islamistes ou issus d’autres acteurs internationaux. En effet, la présence des forces qataries pourrait être perçue comme un message fort de coopération et de dissuasion envers d’éventuelles tentatives de déstabilisation, qu’elles soient d’origine terroriste ou orchestrés par des entités comme le Mossad utilisant des opérations sous faux drapeau, dans une manœuvre pour influencer l’opinion mondiale et justifier le conflit en cours à Gaza.

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renouvellement état profond français

GéopolintelMcKinsey et la CIA renouvellent l’Etat Profond en France

Géopolintel - 11 juil 2024

La French American Foundation a depuis trente ans pour fonction de recruter les jeunes leaders appelés à occuper des postes de dirigeants pour les former au soutien de la politique atlantiste.

   

Cette organisation gérée par la CIA et depuis 2015 est partenaire du Cabinet McKinsey qui a réorganisé l’agence sous le mandat de John Brennan et l’administration Obama.
L’autre relais de ces organisations est Joel Benenson, qui a formé Emmanuel Macron. Il est le fondateur et PDG du Benenson Strategy Group, qui est l’un des plus grands stratèges politiques et d’entreprises au monde.
M. Benenson a dirigé les campagnes de 2008 et 2012 du président Obama. Benenson a été le stratège principal d’Hillary Clinton.

Marguerite Cazeneuve est spécialiste française des affaires sociales, de la santé et des retraites. Elle a été conseillère d’Emmanuel Macron et est actuellement directrice déléguée de l’Assurance maladie. Elle est la fille de Jean-René Cazeneuve, député du Gers et de Béatrice Cazeneuve, ancienne cadre chez Eli Lilly France. Elle est en couple avec Aurélien Rousseau, ancien directeur du cabinet de la Première ministre et ministre de la Santé et de la Prévention du 20 juillet au 20 décembre 2023.

Ariane Komorn ancienne de McKinsey, passée par En marche d’Emmanuel Macron, est la cofondatrice de La Solive, un centre de formation consacré à la rénovation énergétique.

Cyrielle Villepelet, 36 ans, ancienne de l’Essec Business School, a passé 11 ans chez McKinsey et a été nommée directrice associée de Téthys Invest, une filiale de Téthys (holding de la famille Bettencourt et première actionnaire de L’Oréal).

Young Leaders français : le bon cru McKinsey

Elles sont 3 alumni de McKinsey, 3 femmes, dans la dernière promotion, la 43e, des 12 Young Leaders français 2024 de la French American Fondation : Marguerite Cazeneuve, Ariane Komorn, et l’ancienne partner Cyrielle Villepelet.

Depuis 1981, ce programme d’échange franco-américain sélectionne ainsi 12 Français et 12 Américains âgés de 30 à 40 ans et considérés comme remarquables dans leur domaine d’activité ou de compétence. « Ces 6 femmes et 6 hommes, issus de milieux, de parcours et de professions variés, ont été choisis parmi près de 170 candidats. Les lauréats mettent en lumière les atouts de la France, son savoir-faire et son engagement dans un monde en mutation et alors que nos deux pays viennent de rappeler leur lien indéfectible. Cette promotion incarne l’excellence française, avec un engagement significatif pour l’intérêt général, aussi bien dans les services de l’État, dans la diplomatie, que dans les engagements sociétaux. Au travers de leurs actions, ils incarnent le leadership d’aujourd’hui et de demain », partage ainsi la direction de la fondation.

Un titre honorifique certainement. Une mise en lumière de plus parmi les différentes sélections comme le prestigieux Young Global Leaders du Forum économique mondial (FEM) ou le franco-français Choiseul 100 des leaders de moins de 40 ans… Les 20 sélectionnés français et américains reçoivent en « cadeau » deux séminaires de 5 jours chacun sur 2 années consécutives en France et aux États-Unis « afin d’échanger sur des thèmes majeurs, communs aux deux pays, et d’approfondir leurs champs d’intérêts mutuels », comme le précise la fondation.

Ces anciennes consultantes de McKinsey ont toutes trois commencé leur carrière à la sortie de leurs études, à quelques mois d’intervalle.

Marguerite Cazeneuve, diplômée de HEC en 2013, a débuté sa carrière chez McKinsey, consultante junior durant près d’un an et demi avant d’intégrer la fonction publique : Secrétaire générale du Comité de pilotage de l’ONDAM (Objectif national de dépenses d’assurance maladie), au sein du ministère des Affaires sociales et de la Santé, conseillère au cabinet du ministre de l’Économie et des Finances et du secrétaire d’État au Budget (2016-2017), conseillère au sein des cabinets du Président de la République et du Premier ministre (2017-2021). Directrice déléguée de la CNAM depuis 3 ans, Marguerite Cazeneuve est entrée cette année directement à la 40e place du classement Choiseul 100.

Ariane Komorn a été collègue apprentie consultante chez McKinsey durant une année de Marguerite Cazeneuve ; elle a débuté sa carrière chez McKinsey en janvier 2014. Cette diplômée de l’École Normale Supérieure (2013) y a été consultante 3 ans et demi, a atteint le grade d’associate, avant de s’engager en 2017 dans la campagne du candidat Macron. Depuis 2012, elle est à la tête de La Solive, un institut de formation dédié aux métiers de la rénovation énergétique des bâtiments.

La managing director de Téthys Invest depuis mars 2023, Cyrielle Villepelet, a passé plus de 11 ans chez McKinsey, nommée partner en 2020. Une fois diplômée de l’ESSEC en 2012 et après un stage de fin d’études chez McKinsey, Cyrielle Villepelet est entrée comme consultante au sein du bureau de New York et y reste jusqu’à sa promotion comme partner en 2020, date à laquelle elle intègre le bureau parisien. En 2023, l’experte Consumer Goods/Luxe avait quitté McKinsey pour le fonds créé en 2016 par Françoise Bettencourt Meyers et Jean-Pierre Meyers, Téthys Invest, filiale de Téthys, principal actionnaire de L’Oréal, dédié à des investissements de long terme dans des projets entrepreneuriaux.

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