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Candace Owens

Égalité et RéconciliationUSA : Candace Owens lance le BrigitteGate

Égalité et Réconciliation - 13 mar 2024

USA : Candace Owens, la jolie trumpiste aux 8M d’abonnés, lance le BrigitteGate.

   

Un petit air de Rihanna, un positionnement blacko-trumpiste, un podcast qui cartonne, un dossier bien potassé (merci F&D), et voilà une magnifique rampe de lancement au cœur de la politique US. L’affaire Brigitte vient de traverser l’Atlantique, thanks to Candace Owens.

Son podcast sur YouTube totalise 3M d’abonnés, et son compte X monte à 4,8M. Candace, plus honnête que les journalistes français mainstream, qui pompent et ne citent jamais F&D, a cité et relayé sa source.

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Tucker - Benz

Quantum LeapL'entrevue historique de Mike Benz avec Tucker Carlson

Quantum Leap - 21 fév 2024

L’État de sécurité nationale et l’inversion de la démocratie

   

L’État de sécurité nationale est le principal moteur de la censure et de l’ingérence électorale aux États-Unis.

Une synthèse historique compréhensible et éclairante sur la guerre de l'information.

« Ce que je décris est un régime militaire, c’est l’inversion de la démocratie. »

Mike Benz

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Mojeek - moteur de recherche

Echelle de JacobCensure massive des moteurs de recherche : Testez Mojeek

Echelle de Jacob - 19 fév 2024

Mojeek est un des projets les plus intéressant dans le domaine des moteurs de recherche.

   

Et pour cause : c’est un des rares moteur de recherche face à Google, Bing etc…

Qwant, Ecosia, Duckduckgo… ce sont des méta-moteur de recherche. Ils tirent leurs résultats de Bing. Ce ne sont pas des moteurs de recherche.

Mojeek, lui, construit ses propres résultats de recherche, avec ses propres robots qui fouillent le web.

Et en plus de ça, l’entreprise derrière ne collecte pas de données superflues, ne fait pas de l’analyse de données personnelles, de comportement etc… et elle est financé proprement.

Bref, un vrai bon projet (j’en avais parlé un peu plus en détail ici)

Évidemment, dû à sa jeunesse et à ses moyens limités Mojeek n’est pas aussi pertinent que Google. (et encore plus sur les résultats de recherche en français)

Trop souvent il ne trouve pas ce que je lui demande.

C’est pour ça que ce n’est pas mon moteur de recherche par défaut.

Mais dernièrement, je lui ai trouvé une un point fort :

Mojeek est très bon pour trouver de petits blogs/sites indépendants ! Et ça même dans les recherches en français

Ces derniers jours, j’ai fait tout un tas de petites découvertes grâce à Mojeek. Découvertes que je ne faisais pas (alors que je faisais la même recherche) sur Swisscows (qui utilise Bing) ou Qwant (qui utilise Bing aussi et un chouilla de son propre index)

(pour les curieux : j’ai fait des recherches avec le titre de livres que j’ai bien aimé, pour voir s’il y a des blogs qui en parlaient)

Bing s’en fout des petits blogs/sites indépendants !

Tu ne les trouves pas dans les résultats de recherches.

Alors que sur Mojeek, tu peux les trouver !

C’est vraiment super cool. C’est comme découvrir une partie de l’internet qui est caché !

Bing a aussi tendance à mettre des résultats en Anglais, alors que ta recherche et en français (et que tu as paramétrer le moteur de recherche pour qu’il soit en français)

Alors que si tu règles Mojeek pour te sortir des résultats en français, il va vraiment te sortir des résultats en français.

En fait, ça donne l’impression que Bing essaye de te sortir des résultats un peu universels, qui pourrait convenir à un peu tous le monde, et en même temps exclu tout ce qui est trop « petit » ou « spécifique »

Alors que Mojeek laisse de la place pour le petit et le spécifique.

Et ça c’est vraiment cool !

Parce que ça veut dire que tu peux à nouveau découvrir de nouveaux sites/blogs avec un moteur de recherche.

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censored

Réseau InternationalCensure des chaînes Telegram le jour où l’Ukraine fait un massacre à Belgorod

Réseau International - 17 fév 2024

par Christelle Néant

   

Le 15 février 2024, alors que l’Ukraine bombarde lourdement la ville russe de Belgorod (tuant plusieurs civils dont un bébé), la France censure une vingtaine de chaînes Telegram francophones pour «désinformation». Le moment choisi pour cette censure indique clairement que Paris ne veut plus que les Français puissent savoir que l’Ukraine tue délibérément des civils avec les armes que les pays occidentaux lui fournissent.

En pleine journée ce 15 février 2024, l’armée ukrainienne a tiré 18 roquettes avec des lance-roquettes multiples Vampire fournis par la république Tchèque (la portée des roquettes utilisées et de 40 km). La défense anti-aérienne russe abat 14 roquettes, mais quatre continuent leur vol vers la ville. Le résultat est un véritable bain de sang. Six personnes, dont un bébé, sont tuées, et 17 blessées. Plusieurs personnes étant dans un état grave, le nombre de morts pourrait encore évoluer.

Les cibles visées (un centre commercial, le stade d’une école et autres zones résidentielles) n’ont rien de militaire, et prouvent encore une fois, que l’Ukraine utilise les armes occidentales pour commettre des crimes de guerre, des faits qui dérangent le narratif occidental, alors pour éviter que les gens se posent des questions, la France (avec l’Allemagne et la Pologne) a décidé d’opter pour la censure pure et simple d’une vingtaine de chaînes Telegram francophones qui faisaient prétendument de la « désinformation russe ».

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Poutine - Tucker

Égalité et RéconciliationTucker Carlson : l’entretien avec Vladimir Poutine en français !

Égalité et Réconciliation - 10 fév 2024

Voici l’interview de Vladimir Poutine par Tucker Carlson sous-titrée en français.

   

2 heures…

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Tucker Carlson in Moscow

France SoirAprès l’interview de Poutine, Tucker Carlson est sur une liste « à éliminer »

France Soir - 09 fév 2024

Après l’interview de Poutine, Tucker Carlson est placé sur une liste « à assassiner » par un site ukrainien.

   

Ce weekend, le journaliste américain Tucker Carlson est arrivé à Moscou pour interviewer le président Vladimir Poutine. Une interview importante et attendue par bien des citoyens tant américains que d’autres nationalités.

Sur les réseaux sociaux, les spéculations sur le contenu de l’interview vont bon train. Celle-ci ayant fait l’objet d’une fake news, immédiatement soulevée par France-Soir après confirmation auprès de l’équipe de Tucker Carlson à Moscou.

Ce lundi 6 février, Tucker Carlson a publié une vidéo sur son compte X expliquant les raisons de cet entretien avec le chef du Kremlin, rappelant avant tout le devoir du journaliste et le droit du public de savoir. Carlson a bien sûr taclé les médias mainstream qui ne font plus un travail d’information pour le public, mais de propagande. Tucker Carlson a aussi confirmé qu’Elon Musk avait accepté de publier cette interview sur le réseau social X afin de garantir au plus grand nombre l’accès à ce contenu qui sera probablement censuré par les médias mainstream. Un tweet vu par 47 millions d'internautes...

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Digital Service Act - EU

Le courrier des stratègesLa censure de Bruxelles repose sur un nouveau système d’espionnage

Le courrier des stratèges - 28 jan 2024

Les protestations persistantes en France ou en Allemagne constituent une menace pour les élites de l’UE.

   

Le mécontentement a atteint la classe moyenne et donc le pilier de l’économie nationale. L’artillerie à Bruxelles s’alourdit. Le Digital Service Act établit de nouvelles autorités et un système d’espionnage moderne pour lutter contre les informations indésirables. Le « discours de haine », quoi que l’on entende par-là, sera désormais un « crime de l’UE ». Cette division de la société coûtera aux États membres plusieurs millions d’euros pour sa mise en œuvre et surchargera complètement les autorités : rien qu’en Allemagne, l’Office fédéral de la police criminelle s’attend à 720.000 cas suspects par an, contre 6.000 jusqu’à présent. Tout cela n’intéresse pas les institutions européennes. Elles continuent à se mettre au service de la technostructure et de ses intérêts de lobbying. Car le contrôle prétexte de la technostructure ne peut fonctionner qu’avec les outils de la technostructure, n’est-ce pas?

C’est désormais un modèle bien connu de tous les observateurs critiques : des « situations d’urgence » et des « scénarios de menace » proclamés par le biais de réseaux d’élites sont utilisés par les décideurs politiques comme base et justification de mesures restrictives et d’atteintes à différents droits de la liberté.

Pour contrôler la souveraineté d’interprétation, il est important de présenter de telles situations de danger aux décideurs politiques (et à ceux qui veulent encore le devenir). C’est ce qui s’est passé, une fois de plus, lors du Forum économique mondial. Le « Global Risk Report 2024 » met en garde avec insistance contre le plus grand risque global – la mauvaise information.

La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a donc attrapé cette balle lors de son discours à Davos :

« Il y aura toujours des tentatives de désinformation et de mésinformation destinées à nous déstabiliser. Et jamais nous n’en avons connu autant qu’au sujet de l’Ukraine…La Russie n’atteint pas ses objectifs stratégiques. Elle échoue avant tout sur le plan militaire…La Russie a également échoué sur le plan économique. Les sanctions ont isolé son économie des technologies modernes et de l’innovation. Le pays dépend désormais de la Chine. Enfin, la Russie a échoué sur le plan diplomatique. La Finlande a rejoint l’OTAN. Elle sera bientôt suivie de la Suède. Et l’Ukraine est plus proche que jamais, sur son chemin vers l’Union européenne. »

Un contrôle sans faille

Laissons de côté la question légitime de savoir qui a réellement recours à la désinformation. Tournons-nous plutôt vers la question de savoir pourquoi le risque global de désinformation évoqué par le Forum économique mondial est si important pour l’UE.

Actuellement la Commission construit ses nouvelles super-autorités afin de garantir l’application de la loi sur les services numériques (DSA). En avril dernier, le Centre européen pour la transparence algorithmique (ECAT) a été créé à Séville pour aider la Commission et les autorités nationales à contrôler le respect de la DSA. L’ECAT effectuera notamment des tests techniques sur les systèmes algorithmiques afin de comprendre leur fonctionnement, ainsi que des évaluations des risques liés aux plateformes et aux moteurs de recherche. Un accord de coopération a été signé à cet effet avec le centre français « PEReN » (Pôle d’expertise du Régime du Numérique).

La Commission européenne vise les « informations indésirables » sur Internet et introduit à cette fin de nouveaux organes de contrôle étatiques et supranationaux dotés de pouvoirs essentiels. Afin de garantir la mise en œuvre complète (et en temps voulu) de la structure de gouvernance de la DSA, les États membres doivent désigner leurs coordinateurs de services numériques et autres autorités nationales chargées d’assurer la conformité avant le 17 février 2024. Il n’est donc pas étonnant qu’il faille une « situation de risque » pour que les États membres en retard agissent. En effet, selon les propres informations de la Commission, seuls deux États membres, l’Italie et la Hongrie, ont à ce jour désigné valablement leurs autorités nationales.

Collapsus de la justice

L’Allemagne travaille encore à la mise en œuvre nationale de la loi européenne sur les services numériques (DSA). Le Bundestag allemand a débattu de cette question pour la première fois le 18 janvier. Selon le projet de loi du gouvernement fédéral, l’Agence fédérale des réseaux (Bundesnetzagentur) sera responsable de la surveillance des fournisseurs et de l’application de la DSA.

Dans ce contexte, les détails dont on n’aime pas parler publiquement sont toujours intéressants, et ce sont les coûts de mise en œuvre : ainsi, en Allemagne, les coûts annuels ( !) pour l’Agence fédérale des réseaux sont estimés à au moins 17 millions d’euros (frais de personnel, informatique, frais matériels et autres). Pour l’administration fédérale, la charge d’exécution annuelle augmente d’environ 8 millions d’euros, auxquels s’ajoute une charge d’exécution unique d’environ 2,1 millions d’euros.

Mais ce n’est pas tout. Celui qui se penche sur les explications détaillées trouvera ce qu’il cherche. L’Office fédéral allemand de la police criminelle s’attend à une nette augmentation des coûts annuels d’environ 44 millions d’euros et des coûts uniques d’environ 21 millions d’euros. En effet, l’Office fédéral de la police criminelle doit recevoir les déclarations concernant les cas suspects de contenus punissables sur Internet et les transmettre aux autorités de poursuite pénale compétentes. En raison de la nette extension des services de médiation soumis aux obligations de diligence, l’Office fédéral de la police criminelle s’attend à une augmentation des cas de traitement annuels, qui passeront d’environ 6 000 actuellement à quelque 720 000 ( !).

C’est là que s’arrêtent les estimations de coûts – à tort, car pour être correct, il faudrait également calculer les coûts supplémentaires pour les autorités de poursuite pénale et la justice. Si seulement une partie des 720.000 cas suspects estimés est poursuivie, la justice allemande risque de s’effondrer définitivement. Elle est en effet chroniquement surchargée depuis des années et le nombre de procédures non traitées atteint un niveau record.

Division de la société

Cependant, les institutions européennes ne s’intéressent pas à la question de savoir si et comment les États membres peuvent supporter les coûts de la mise en œuvre de la DAS. Elles ne s’intéressent pas non plus à la capacité des services répressifs à traiter l’énorme quantité de nouveaux dossiers.

Au contraire, la semaine dernière seulement, le Parlement européen a fait une nouvelle avancée en la matière : le Conseil devrait prendre une décision d’ici la fin de la législature actuelle afin d’inclure le discours de haine et les crimes de haine parmi les infractions visées à l’article 83, paragraphe 1, du TFUE (appelés « crimes de l’UE »). Le droit à la liberté d’expression ne doit pas être utilisé comme un bouclier pour le modèle économique des plateformes de médias sociaux visant à diffuser et à amplifier les discours de haine, a-t-on déclaré dans l’entourage des députés.

La division de la société par les institutions européennes se poursuit. Déjà, les « signaleurs de confiance » prévus par l’article 22 de la DSA, c’est-à-dire des informateurs qui surveillent les communications sur les plateformes en ligne et qui interviennent dès qu’ils soupçonnent une infraction, se forment. Nous savons que certains d’entre eux font partie de l’ « International Fact Checking Network » (IFCN) , un réseau qui est lui-même affilié au Poynter Institute. Parmi ses bailleurs de fonds figurent – entre autres – le Democracy Fund, la Lumina Foundation for Education, le National Endowment for Democracy (NED), l’Omidyar Network Fund ou les Open Society Foundations (OSF).

On ne saurait trop avertir et souligner avec force : les élites de l’UE ont fait des institutions de Bruxelles des auxiliaires des intérêts de la technostructure. Car ce qu’elles veulent nous vendre comme un « contrôle » de la technostructure, elles ne peuvent le réaliser qu’avec les outils de la technostructure. Les États membres surchargent leurs capacités et leurs ressources en mettant en œuvre cette politique – c’est particulièrement vrai pour les autorités judiciaires. Mais lorsque le pouvoir de l’État s’érode et que la société se divise, de grands malheurs se préparent en Europe.

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médias - hécatombe

Réseau InternationalC’est une hécatombe pour les grands médias

Réseau International - 27 jan 2024

Faut-il s’étonner que l’industrie de l’information soit frappée par une vague massive de licenciements ?

   

Les enquêtes successives montrent que les Américains ont perdu confiance dans les grands médias et que des millions d’entre nous ont décidé de se tourner vers d’autres sources d’information. Depuis des années, les grands médias perdent des téléspectateurs et des lecteurs, et aujourd’hui, bon nombre des plus grands noms de l’industrie de l’information perdent des sommes colossales. Ce n’était qu’une question de temps avant que nous n’assistions à des licenciements à grande échelle, et c’est désormais chose faite.

Bien entendu, les médias grand public ne sont pas les seuls à licencier. Selon Challenger, Gray & Christmas, le nombre de licenciements aux États-Unis en 2023 était supérieur de 98% à ce qu’il était en 2022…

Le rythme des suppressions d’emplois par les employeurs américains s’est accéléré en 2023, le nombre de licenciements ayant bondi de 98% par rapport à l’année précédente.

C’est ce qui ressort d’un nouveau rapport publié par Challenger, Gray & Christmas, selon lequel les entreprises ont prévu 721 677 suppressions d’emplois l’année dernière, soit une augmentation considérable par rapport aux 363 832 licenciements signalés en 2022.

Le problème pourrait s’aggraver en 2024, car le marché de l’emploi continue de s’affaiblir face à des taux d’intérêt élevés et à une inflation tenace.

Mais il est vrai que l’industrie de l’information est particulièrement touchée. Par exemple, Time Magazine vient d’annoncer qu’il allait licencier des travailleurs «dans plusieurs départements, notamment la rédaction, la technologie, les ventes et les studios TIME»…

Time Magazine a licencié mardi un nombre incertain d’employés dans plusieurs départements, une décision que la PDG Jessica Sibley a qualifiée de «mesure nécessaire que nous devons prendre pour faire avancer notre entreprise et améliorer notre situation financière».

Dans un mémo interne au personnel, obtenu par Max Tani de Semafor, Sibley a annoncé les réductions.

«Nous avons pris la décision difficile de supprimer aujourd’hui des postes dans plusieurs départements, notamment la rédaction, la technologie, les ventes et les studios TIME», a écrit M. Sibley au personnel. «Nous sommes immensément reconnaissants de la contribution de ces membres talentueux de l’équipe au cours de leur mandat chez TIME».

Lorsque j’étais enfant, Time Magazine était très respecté et mes parents en avaient souvent un exemplaire sur la table basse.

Mais aujourd’hui, il est en train de mourir, tout comme le reste des grands médias.

Il suffit de regarder ce qui arrive au plus grand journal de Californie. Le Los Angeles Times a décidé de supprimer «un peu plus de 20% de sa rédaction»…

Le Los Angeles Times, confronté à ce que la direction a décrit cette semaine comme une «crise financière», a entamé mardi une série de licenciements douloureux dans la salle de rédaction, une réduction d’effectifs qui s’annonce comme l’une des plus sévères des 142 ans d’histoire du journal.

Les suppressions de postes toucheront au moins 115 journalistes, a indiqué à CNN une personne au fait du dossier, soit un peu plus de 20% de la rédaction. Quelque 94 de ces suppressions concerneront des employés syndiqués, a déclaré le chef du syndicat Matt Pearce, ce qui signifie qu’un quart du syndicat sera licencié.

Devons-nous être tristes que le Los Angeles Times implose ?

Je ne le pense pas.

Ailleurs, Paramount prévoit de licencier des centaines de travailleurs…

Dans un contexte de spéculation sur son avenir, Paramount Global procède à une nouvelle vague de réduction de personnel en février, selon des sources qui se sont confiées à Deadline. J’ai entendu dire que ces réductions concerneraient des centaines d’employés dans l’ensemble de la société.

Depuis plusieurs jours, des rumeurs circulent sur l’imminence d’un licenciement d’environ 800 personnes au sein de Paramount. Cela fait suite à un rapport du WSJ [Wall Street Journal] en décembre selon lequel la société envisageait la suppression potentielle de plus de 1000 emplois au début de l’année 2024 afin de réduire les coûts.

Paramount est la société mère de CBS, et il est donc probable que la division de l’information de CBS soit sur le point de devenir encore plus petite.

Bien sûr, la division de l’information de NBC se réduit elle aussi…

NBC News a licencié plusieurs dizaines d’employés, la dernière des dizaines d’entreprises à commencer la nouvelle année avec de mauvaises nouvelles pour ses employés, a confirmé USA TODAY vendredi.

Une source au fait de ces projets [de licenciement] a déclaré que les employés ont reçu un préavis de 60 jours et qu’ils recevront des indemnités de départ et des services de reclassement.

Le journalisme sportif a lui aussi connu des temps difficiles.

À l’heure actuelle, il semble que l’avenir de Sports Illustrated soit très incertain et que de nombreux employés du magazine soient à la recherche d’un nouvel emploi…

L’avenir du célèbre magazine Sports Illustrated s’est assombri vendredi après que l’éditeur a annoncé des licenciements massifs.

Le groupe Arena – qui avait été ébranlé par des informations selon lesquelles le célèbre magazine publiait du contenu généré par l’intelligence artificielle – a admis qu’il n’avait pas effectué le paiement trimestriel de 3,75 millions de dollars au groupe Authentic Brands, qui devait être effectué cette semaine.

En conséquence, la société Arena, cotée en bourse, a annoncé jeudi qu’elle allait procéder à une «réduction significative» de ses effectifs, qui comptent plus de 100 journalistes.

Toutes les histoires que je viens de vous raconter se sont produites au cours des sept derniers jours.

C’est fou comme les choses évoluent rapidement aujourd’hui.

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Mike Dickson

Gateway PunditMort subite du journaliste qui avait tenté d'annuler Novak Djokovic

Gateway Pundit - 22 jan 2024

Le journaliste qui avait tenté d'annuler Novak Djokovic parce qu'il n'était pas vacciné s'effondre et meurt subitement à l'Open d'Australie.

   

La communauté du journalisme sportif est en deuil suite au décès soudain de Mike Dickson, un rédacteur respecté du Daily Mail.

M. Dickson, qui se trouvait à Melbourne pour couvrir l'Open d'Australie, s'est tragiquement effondré et est décédé peu avant son 60e anniversaire.

Mike Dickson a eu une carrière riche en histoire qui s'est étendue sur près de quatre décennies, au cours desquelles il est devenu un pilier des tribunes de presse du monde entier. Son parcours au sein du Daily Mail a commencé en 1990, lorsqu'il a assumé pour la première fois le rôle de correspondant pour le cricket, avant de devenir une voix éminente dans le monde du tennis.

La triste nouvelle de son décès a été annoncée par son épouse, Lucy, au nom de leurs enfants, Sam, Ruby et Joe, dans un message très émouvant publié sur les réseaux sociaux. La déclaration de la famille se lit comme suit :

"Nous sommes dévastés d'annoncer que notre merveilleux mari et père, Mike, s'est effondré et est décédé alors qu'il se trouvait à Melbourne pour l'Aus Open. Pendant 38 ans, il a vécu son rêve en couvrant le sport dans le monde entier. C'était un homme vraiment formidable et il nous manquera terriblement. Lucy, Sam, Ruby et Joe".

— Mike Dickson (@Mike_Dickson_DM) 17 janvier 2024


Le Daily Mail l'a rapporté :

Mike Dickson, le légendaire correspondant de tennis du Daily Mail, est décédé tragiquement à l'âge de 59 ans.

Dickson était un journaliste extrêmement respecté et admiré qui a passé 38 ans dans l'industrie - 33 au Mail, où il a commencé en 1990 - et sa perte sera profondément ressentie par ses collègues.

Il a travaillé comme correspondant du Mail pour le cricket avant de passer au tennis. Au cours de sa riche carrière, il a couvert 30 sports différents dans près de 50 pays.

M. Dickson se trouvait à Melbourne pour couvrir l'Open d'Australie lorsqu'il est décédé, à quelques jours de son 60e anniversaire, le 27 janvier.

Il vivait à Wimbledon avec sa famille et aimait suivre Tranmere et Everton, ayant grandi dans le Wirral. Sa femme Lucy a annoncé la nouvelle de son décès sur X dans un message commun avec la famille.


Récemment, M. Dickson a attiré l'attention sur ses critiques concernant la position de Novak Djokovic sur le vaccin COVID-19. Dans divers articles, il a non seulement remis en question les décisions de Djokovic, mais il a également souligné les implications potentielles pour son héritage et son image publique.

Dans l'un de ses articles, Dickson écrit : "MIKE DICKSON : Novak Djokovic pourrait ruiner ses chances de devenir le GOAT en refusant de se faire vacciner... c'est une drôle de colline sur laquelle mourir pour un joueur qui a tellement besoin d'être aimé".

Dickson a écrit de nombreux articles, insultant Novak, et a même dit ceci. Encore une fois, je suis très reconnaissant à Novak d'être aussi classique et d'avoir retweeté la mort de Dickson en lui disant "Repose en paix". J'aime cet homme. pic.twitter.com/Any2nQwHsP

— Erin Elizabeth Health Nut News (@unhealthytruth) 20 janvier 2024


Il a également rédigé un article de questions-réponses intitulé "NOVAK DJOKOVIC Q&A : Pourquoi le numéro un mondial est-il si catégorique sur le fait de ne pas se faire vacciner ? À quoi renonce-t-il dans ce processus ? Et surtout... que se passe-t-il maintenant ?"

Sa position critique était claire dans un autre article où il déclarait : "MIKE DICKSON : Novak Djokovic restera un héros pour certains, mais pour beaucoup d'autres, il a détruit sa réputation de manière irrémédiable... le numéro un mondial pensait qu'il pouvait travailler avec le système, mais il s'avère qu'un traitement de faveur ne va pas plus loin".

Malgré leurs divergences, Novak Djokovic a fait preuve d'esprit sportif et de respect en reconnaissant la mort de Dickson. La star du tennis a retweeté l'annonce du décès de Dickson avec un message simple mais poignant : Condoléances à la famille de Mike Dickson [emoji de prière] Repose en paix.

Condoléances à la famille de Mike Dickson Repose en paix https://t.co/skSMgwvBcZ

— Novak Djokovic (@DjokerNole) 18 janvier 2024


Pendant ce temps, Novak Djokovic a dû faire face au chahut d'un public qui lui demandait de se faire vacciner. Sans se décourager, Djokovic a répondu sur le court avec ses prouesses habituelles, claquant un ace pour s'assurer une victoire en trois sets contre Tomas Martin Etcheverry.

Regarder Novak Djokovic servir un as après avoir été chahuté par la foule "GET VACCINATED" est incroyablement satisfaisant.

Souvenez-vous qu'ils n'ont pas laissé le champion du monde et l'une des personnes les plus en forme de la planète jouer au tennis parce qu'il a refusé plusieurs doses d'une thérapie génique ARNm expérimentale pour un... pic.twitter.com/2YqMPkTOi5

— Concerned Citizen (@BGatesIsaPyscho)  20 janvier 2024

 

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en plein génocide palestinien

Égalité et RéconciliationEn plein génocide palestinien, Arte diffuse La Shoah des ghettos

Égalité et Réconciliation - 21 jan 2024

La chaîne franco-allemande de la Shoah a mis ses très gros sabots, en pleine guerre Israël/Hamas et en plein génocide palestinien (déjà 26 000 morts, 60 000 blessés et 1 800 000 « déplacés ») : elle diffuse La Shoah des ghettos, une variante de la Shoah après la Shoah dans les camps, la Shoah par balles, etc.

   

Il y a de la Shoah à gogo mais les internautes, au vu des commentaires non trafiqués, n’ont pas apprécié le timing. Nous en avons sélectionné une vingtaine. Mais d’abord, le doc qui tombe bien.

La voix off à 30’08 : « L’espoir d’une existence autonome à l’abri de la terreur allemande n’est que de courte durée. Les ghettos ne sont pas conçus par les nazis comme des lieux de vie. Qualifiés de caissons de la mort par Josef Goebbels, ce sont des espaces où l’occupant expérimente une mise à mort lente par la faim, la maladie et le travail forcé. Les habitants sont à la merci des décrets et limitations qu’impose l’administration allemande, à commencer par l’approvisionnement de la nourriture, strictement réglementé. »

Naturellement, il nous vient une idée farfelue :

« L’espoir d’une existence autonome à l’abri de la terreur juive n’est que de courte durée. Gaza n’est pas conçu par les Israéliens comme un lieu de vie. Qualifié de caisson de la mort par Benjamin Netanyahou, c’est un espace où l’occupant expérimente une mise à mort lente par la faim, la maladie et le travail forcé. Les Gazaouis sont à la merci des décrets et limitations qu’impose l’administration israélienne, à commencer par l’approvisionnement de la nourriture, strictement réglementé. »

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UE espionner internet

Aube DigitaleL’UE veut espionner l’utilisation de l’internet par les Européens

Aube Digitale - 20 jan 2024

Ces dernières années, la censure pure et simple sous toutes ses formes a augmenté. Pendant la folie du covid, le gouvernement et l’industrie se sont associés pour créer un complexe censure-industrie afin de promouvoir plus efficacement de faux récits et de faire taire les dissidents.

   

La Commission européenne est un organe législatif de l’UE doté d’une autorité réglementaire en matière de technologie numérique. L’article 45 de la proposition de règlement eIDAS de la CE affaiblirait délibérément certains aspects de la sécurité de l’internet que l’industrie a soigneusement développés et renforcés depuis plus de 25 ans. Cet article accorderait en fait aux 27 gouvernements de l’UE des pouvoirs de surveillance très étendus sur l’utilisation d’Internet.

La règle exigerait que tous les navigateurs Internet fassent confiance à un certificat racine supplémentaire émanant d’une agence (ou d’une entité réglementée) de chacun des gouvernements nationaux de chacun des États membres de l’UE. Pour les lecteurs non spécialistes, je vais expliquer ce qu’est un certificat racine, comment la confiance dans l’internet a évolué et ce que l’article 45 apporte à cet égard. Ensuite, je mettrai en lumière certains commentaires de la communauté technologique sur cette question.

La section suivante de cet article explique comment fonctionne l’infrastructure de confiance de l’internet. Ce contexte est nécessaire pour comprendre à quel point l’article proposé est radical. L’explication est destinée à être accessible à un lecteur non technicien.

Le règlement en question porte sur la sécurité de l’internet. Par « internet », on entend ici, dans une large mesure, les navigateurs qui visitent des sites web. La sécurité de l’internet comporte de nombreux aspects distincts. L’article 45 vise à modifier l’infrastructure à clé publique (ICP), qui fait partie de la sécurité de l’internet depuis le milieu des années 90. L’ICP a d’abord été adoptée, puis améliorée sur une période de 25 ans, afin de donner aux utilisateurs et aux éditeurs les garanties suivantes :

Confidentialité de la conversation entre le navigateur et le site web : Les navigateurs et les sites web conversent sur l’internet, un réseau de réseaux exploités par des fournisseurs d’accès à l’internet et des opérateurs de niveau 1, ou des opérateurs cellulaires si l’appareil est mobile. Le réseau lui-même n’est pas intrinsèquement sûr ni digne de confiance. Votre fournisseur d’accès à Internet à domicile, un voyageur dans la salle d’attente de l’aéroport où vous attendez votre vol, ou un fournisseur de données cherchant à vendre des prospects à des annonceurs peuvent vouloir vous espionner. Sans aucune protection, un acteur malveillant pourrait consulter des données confidentielles telles qu’un mot de passe, le solde d’une carte de crédit ou des informations sur la santé.
Garantissez que vous visualisez la page exactement comme le site web vous l’a envoyée : Lorsque vous consultez une page web, celle-ci a-t-elle pu être modifiée entre l’éditeur et votre navigateur ? Un censeur peut vouloir supprimer un contenu qu’il ne veut pas que vous voyiez. Les contenus qualifiés de « désinformation » ont été largement supprimés pendant l’hystérie du covid. Un pirate informatique qui a volé votre carte de crédit pourrait vouloir supprimer les preuves de ses dépenses frauduleuses.
Garantissez que le site web que vous voyez est bien celui qui figure dans la barre d’adresse du navigateur : Lorsque vous vous connectez à une banque, comment savez-vous que vous voyez le site web de cette banque, et non une version falsifiée qui semble identique ? Vous vérifiez la barre d’adresse de votre navigateur. Votre navigateur pourrait-il être piégé et vous montrer un faux site web qui semble identique au vrai ? Comment votre navigateur sait-il – avec certitude – qu’il est connecté au bon site ?

Dans les premiers temps de l’internet, aucune de ces garanties n’existait. En 2010, un plugin de navigateur disponible dans le magasin de modules complémentaires permettait à l’utilisateur de participer au chat d’un groupe Facebook d’une autre personne dans un café hotspot. Aujourd’hui, grâce à l’ICP, vous pouvez être pratiquement sûr de ces choses.

Ces caractéristiques de sécurité sont protégées par un système basé sur des certificats numériques. Les certificats numériques sont une forme d’identification – la version Internet d’un permis de conduire. Lorsqu’un navigateur se connecte à un site, ce dernier lui présente un certificat. Le certificat contient une clé cryptographique. Le navigateur et le site web travaillent ensemble à l’aide d’une série de calculs cryptographiques pour établir une communication sécurisée.

Ensemble, le navigateur et le site web fournissent les trois garanties de sécurité :

- confidentialité : en chiffrant la conversation.
- signatures numériques cryptographiques : pour s’assurer que le contenu n’est pas modifié en vol.
- vérification de l’éditeur : grâce à la chaîne de confiance fournie par l’ICP, que j’expliquerai plus en détail ci-dessous.

Une bonne identité doit être difficile à contrefaire. Dans l’Antiquité, le moulage en cire d’un sceau servait à cette fin. Les identités humaines reposent sur la biométrie. Votre visage est l’une des formes les plus anciennes. Dans le monde non numérique, lorsque vous devez accéder à un lieu où l’âge est limité, par exemple pour commander une boisson alcoolisée, on vous demandera une pièce d’identité avec photo.

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Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
interview 442 - Crowdbunker

Le Media en 4-4-2Le Média en 4-4-2 : À la rencontre des créateurs de CrowdBunker

Le Media en 4-4-2 - 16 déc 2023

Le rempart technologique contre la censure sur les réseaux sociaux.

   

Nous avons le plaisir d'accueillir Hayssam et Matthieu, les esprits visionnaires derrière CrowdBunker. Au cours de cette interview, nous plongerons dans la genèse de CrowdBunker, son modèle de fonctionnement financièrement atypique reposant exclusivement sur des dons volontaires, les défis rencontrés et les aspirations futures de cette plateforme, véritable rempart pour la liberté d'expression.

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Hayssam et Matthieu, bienvenue sur Le Média en 4-4-2 ! Avant de nous pencher sur CrowdBunker qui sera le sujet principal de notre entretien, pouvez-vous vous présenter en quelques mots pour ceux qui ne vous connaissent pas ?

Matthieu : Bonjour Yoann, merci pour cet entretien. Pour ma part, je suis Matthieu, entrepreneur et ingénieur informatique. Passionné par les technologies depuis très jeune, j’essaye de les mettre au service de l’humain en créant des projets utiles et impactants. Fin 2020, j’ai donc créé CrowdBunker. Quelques semaines après son lancement, j’ai eu la chance de croiser la route d’Hayssam, que je laisserai se présenter, sans qui cette plateforme n’aurait, très probablement, pas pu évoluer et atteindre une telle audience aussi rapidement.

Hayssam : Hello Yoann! Merci de nous permettre de parler de CrowdBunker, un projet remarquable et vital pour notre avenir ! Je suis coach holistique, basé au Maroc, et je suis partisan d’un monde sans argent où l’Être est au Cœur de Tout. J’accompagne des individus, des projets du Nouveau Monde et des entreprises en quête d’Esprit pour co-créer Ensemble un nouveau paradigme sociétal où l’Amour – le vrai, notre Nature, la Conscience – redevient la Loi universelle, remplaçant toutes les règles tordues qui ont déréglé le monde.

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