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transfusion à risque

Réseau InternationalLes transfusions sanguines à partir de personnes vaccinées sont risque

Réseau International - 19 sep 2024

Les scientifiques mettent en garde contre les risques de transfusions sanguines à partir de personnes vaccinées contre le COVID-19.

   

Des chercheurs japonais ont publié un article en pré-impression qui met en garde contre les risques associés à l’utilisation de sang provenant de personnes vaccinées contre COVID-19 pour des transfusions sanguines et appellent les professionnels de la santé à être conscients de ces risques.

En outre, pour éviter ces risques et prévenir toute nouvelle contamination des produits sanguins et les complications qui en découlent, ils demandent la suspension des programmes de vaccination contre le COVID-19.

«Les dommages sanitaires causés par la vaccination génétique sont déjà extrêmement graves, et il est grand temps que les pays et les organisations concernées prennent ensemble des mesures concrètes pour identifier les risques, les contrôler et les résoudre», ont-ils déclaré.

De nombreux pays dans le monde ont signalé que les vaccins dits génétiques – tels que ceux qui utilisent un ARNm modifié codant pour la protéine spike et des nanoparticules lipidiques comme système d’administration du médicament – ont entraîné des thromboses post-vaccinales et des lésions cardiovasculaires ultérieures, ainsi qu’une grande variété de maladies touchant tous les organes et systèmes, y compris le système nerveux.

Sur la base de ces rapports et du volume de preuves qui a été mis en lumière, les chercheurs attirent l’attention des professionnels de la santé sur les divers risques associés aux transfusions sanguines utilisant des produits sanguins provenant de personnes ayant souffert d’une longue covidie et de personnes ayant reçu des vaccins génétiques, y compris des vaccins à ARNm.

Toutefois, «il convient également de souligner que les questions abordées ici concernent toutes les greffes d’organes, y compris les greffes de moelle osseuse, et pas seulement les produits sanguins», écrivent les chercheurs.

Le tableau 1 de l’article résume les six principales préoccupations identifiées par les chercheurs en ce qui concerne l’utilisation de produits sanguins provenant de receveurs de vaccins génétiques. Nous avons reproduit le contenu du tableau 1 ci-dessous.

1. Contamination par la protéine spike

La protéine spike, qui est l’antigène du SARS-CoV-2 et des vaccins génétiques, s’est déjà révélée présenter diverses toxicités, notamment des effets sur les globules rouges et l’agrégation plaquettaire, la formation d’amyloïdes et la neurotoxicité. Il est essentiel de reconnaître que la protéine spike elle-même est toxique pour l’homme. Il a également été rapporté que la protéine spike peut traverser la barrière hémato-encéphalique. Il est donc essentiel d’éliminer des produits sanguins la protéine spike dérivée du vaccin génétique lui-même.

2. Contamination par les agrégats amyloïdes et les microthrombi formés par les protéines spike

On ne sait pas encore exactement comment les agrégats amyloïdes et les microthrombi formés par les protéines spike se transforment en thrombus visibles. Cependant, une fois formés, les agrégats amyloïdes peuvent ne pas être facilement éliminés et doivent donc être retirés des produits sanguins. Il a également été démontré que ces agrégats amyloïdes sont toxiques.

3. Événements attribuables à une diminution du système immunitaire du donneur et à des anomalies immunitaires dues à l’imprégnation immunitaire ou au passage à la classe IgG4, etc. résultant de doses multiples de vaccins génétiques

Lorsque la fonction immunitaire d’un donneur est altérée par la vaccination génétique, il existe un risque que le donneur soit atteint d’une maladie infectieuse (subclinique) ou qu’il soit infecté par un virus pathogène et qu’il ait développé une virémie ou d’autres conditions, même si le donneur ne présente aucun symptôme subjectif. C’est pourquoi les professionnels de la santé qui pratiquent des interventions chirurgicales, y compris des prélèvements sanguins et des transplantations d’organes, et qui utilisent des produits sanguins, doivent manipuler avec soin le sang des receveurs de vaccins génétiques afin d’éviter toute infection par voie sanguine. Il sera également nécessaire d’informer tous les professionnels de la santé de ces risques.

4. Nanoparticules lipidiques («LNP») et ARNm pseudo-uridiné (vaccins ARNm uniquement)

Dans le cas des vaccins ARNm, les LNP et l’ARNm pseudo-uridiné peuvent rester dans le sang des receveurs si le sang est prélevé sans une période d’exclusion suffisante après la vaccination génique. Les LNP sont très inflammatoires et se sont révélés thrombogènes, ce qui présente un risque pour les transfusés. Les LNP eux-mêmes ont une puissante activité adjuvante et risquent d’induire un syndrome auto-immun induit par l’adjuvant («syndrome ASIA»). Un risque supplémentaire est que si l’ARNm pseudo-uridiné est incorporé dans le sang du receveur alors qu’il est encore emballé dans des LNP, une protéine de pointe supplémentaire peut être produite dans l’organisme du receveur.

5. Contamination par des globules rouges ou des plaquettes agrégés

La protéine spike provoque l’agrégation des globules rouges et des plaquettes et, par conséquent, ces agrégats seront transportés dans le sang du receveur à moins qu’ils ne soient éliminés du produit sanguin.

6. Cellules B à mémoire produisant des IgG4 et IgG4 produites à partir d’elles

De grandes quantités (concentration sérique généralement supérieure à 1,25-1,4 g/L) de plasmocytes IgG4 positifs non inflammatoires peuvent provoquer une inflammation chronique telle qu’une maladie fibro-inflammatoire.

IgG4 est un anticorps et l’acronyme de l’immunoglobuline G4. Plus haut dans l’article, les auteurs ont écrit que «l’exposition à long terme à un antigène identique spécifique (dans ce cas, la protéine spike) provoque la transformation des immunoglobulines en IgG4 et que certaines des cellules B [ou lymphocytes] qui les produisent sont susceptibles de se différencier en cellules B mémoires qui survivent dans le corps pendant une période prolongée, le dysfonctionnement immunitaire des receveurs de vaccins génétiques devrait être prolongé (tableau 1, points 3 et 6). De plus amples détails sur ces points devraient être révélés à l’avenir».

Les chercheurs suggèrent également des tests spécifiques, des méthodes de test et des réglementations pour faire face à ces risques.
Dans leur conclusion, les auteurs écrivent

L’impact de ces vaccins génétiques sur les produits sanguins et les dommages réels qu’ils causent sont inconnus à l’heure actuelle. Par conséquent, afin d’éviter ces risques et d’empêcher l’expansion de la contamination du sang et la complication de la situation, nous demandons instamment que la campagne de vaccination utilisant des vaccins génétiques soit suspendue et qu’une évaluation des dommages et des bénéfices soit effectuée le plus tôt possible.

Comme nous l’avons répété à maintes reprises, les dommages sanitaires causés par la vaccination génétique sont déjà extrêmement graves, et il est grand temps que les pays et les organisations concernées prennent ensemble des mesures concrètes pour identifier les risques, les contrôler et les résoudre.

Concerns regarding Transfusions of Blood Products Derived from Genetic Vaccine Recipients and Proposals for Specific Measures, Jun Ueda, Hideyuki Motohashi, Yuriko Hirai, Kenji Yamamoto, Yasufumi Murakami, Masanori Fukushima, Akinori Fujisawa, Version non revue par les pairs publiée le 15 mars 2024.

Les sources de cet article comprennent :

• Japanese Researchers Warn About Risks Associated with Blood Transfusions From Covid-19 mRNA Vaccinated Individuals, Thailand Medical News, 16 March 2024

• Ueda, J.; Motohashi, H.; Hirai, Y.; Yamamoto, K.; Murakami, Y.; Fukushima, M.; Fujisawa, A. Concerns regarding Transfusions of Blood Products Derived from Genetic Vaccine Recipients and Proposals for Specific Measures. Preprints 2024, 2024030881. https://doi.org/10.20944/preprints202403.0881.v1

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ondes brevets

NexusComment vivre avec les ondes ?

Nexus - 18 sep 2024

Danger et solutions avec P. Jaulent et N. M.-Bouzeroura

   

Nexus reçoit Patrick Jaulent, docteur en électronique, et Nacima Mdhafar-Bouzeroura, médecin.

Leur livre 31 octobre 2023 est disponible. Les ondes sont peu évoquées, quels sont les problèmes et quelles solutions ?

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L'iode - ses pouvoirs

Nouveau MondeLes pouvoirs de l’iode

Nouveau Monde - 14 sep 2024

La rentrée n’est plus une menace, c’est devenu du réel. Le temps de s’alanguir est terminé, tout le monde a besoin de retrouver un niveau de forme optimal et surtout de ne pas tomber malade, que ce soit de pathologies vénielles ou catastrophiques. Le Dr Vincent Reliquet fomentait un livre de longue date, il voulait explorer les tréfonds désastreux des carences en iode, il l’a réalisé avec Alix Lefief-Delcourt (*). Il fallait un grand homéopathe très au fait de la cancérologie pour pouvoir disséquer ce livre afin de tenter d’en coincer l’auteur : le Dr Éric Ménat s’est prêté à l’exercice, les jeux de questions-réponses font depuis longtemps tout le support des belles controverses. Rangez vos claquettes devenues inutiles depuis la semaine dernière et bonne lecture.

1 – Comment expliques-tu qu’il y ait autant de carences en iode actuellement dans la population ? Est-ce que ça pourrait être en lien avec des erreurs de dosages ou des critères de « normalité » à revoir ?

Ta question a l’air de sous-entendre que les critères de normalité seraient trop élevés, ce qui expliquerait que nous soyons à un niveau facticement trop bas, mais c’est exactement le contraire, je prétends depuis que j’ai terminé mon livre que les préconisations OMS ne nous proposent que de couvrir le centième de nos besoins, et nous ne les atteignons même pas ! Il faut cesser d’attendre une explosion de goitres ou de crétins au sens historique du mot pour réveiller nos élites à ce sujet, cancers, maladies infectieuses et dysimmunitaires, cardio-vasculaires, explosion de l’obésité, des dépressions, effondrement des QI, il y a vraiment le feu au lac et tout le monde s’en fiche !

2 – Les carences en iode peuvent-elles être expliquées par d’autres facteurs que la nutrition et lesquels ?

La question est compliquée, je vais essayer d’apporter une réponse simple. Nous avons barre sur un élément fondamental du problème, ce sont bien nos carences abyssales d’apport en iode. Ensuite le problème posé par les perturbateurs endocriniens halogénés (chlorures, fluor et brome) demeure manifeste, mais il ne sera résolu qu’aux échelles supranationales, on peut toujours rêver pour voir arriver une interdiction du fluor et du brome dans l’espace public. À nos niveaux individuels, nous devons nous appliquer à consommer des doses adéquates d’iode, on sait que cet élément peut reprendre sa place dans les molécules polluées par les halogénés et que ceux-ci peuvent être excrétés par voie urinaire. Pas d’iode, toujours plus de perturbateurs endocriniens à sa place dans les cellules.

3 – Tu parles des relations entre iode et développement cérébral de l’enfant et les chiffres semblent inquiétants. Peut-il y avoir un biais avec l’évolution du système éducatif qui peut aussi impacter le QI des enfants ?

Cette histoire du recul du QI de nos enfants actuels par rapport à ceux de 1889 dans une Angleterre victorienne malnutrie, c’est une bombe1. Elle frappe les esprits, évidemment elle ne permet absolument pas de désigner l’iode comme seul responsable de ce phénomène, mais d’autres travaux australiens2 ou encore de l’ALSPAC3 ont permis de tirer ces conclusions. Pas assez d’iode pendant la grossesse et les lésions fœtales se fixeront définitivement par défaut des migrations neuronales4. Pas assez d’iode pendant l’enfance et les lésions continuent de s’aggraver, je veux surtout tirer la sonnette d’alarme en direction de cette immense population d’enfants soumise au biberon, déclarée intolérante au lait de vache et qui du coup n’a absolument plus accès à l’iode, pendant des mois, voire des années…

4 – Est-ce qu’une supplémentation en iode devrait être systématique chez les enfants (elle l’est déjà chez les femmes enceintes en théorie) ?

Il faut changer de paradigme, oublier cet effet Wolff-Chaikoff totalement imaginaire (c’est dur à croire, je l’explique dans ce livre) et ioder sérieusement toute la population, pense donc que dans les années 1950 les Américains iodaient leurs pains et recevaient 150 µg d’iode dans un seul toast, soit tout l’apport quotidien recommandé actuel ! Étaient-ils devenus tous phosphorescents ? Pas du tout, quand on leur a facticement expliqué que leurs sels d’iode étaient dangereux, ils l’ont remplacé par du bromure de potassium, interdit en Europe, car cancérigène notoire, on délire… Donc pour te répondre, oui il faut édicter des apports minimums journaliers pour tous les âges, mais sans les calculer avec les connaissances de 1950, aujourd’hui on sait que de très nombreux organes, peut-être même tous, sont authentiquement iodo-nécessitants, et pas seulement la thyroïde comme on le croyait alors.

5 – Quelle est, pour toi, la bonne supplémentation en iode pour un adulte ? Les AQR5 actuels semblent bien bas par rapport aux carences constatées ?

J’explique en fin d’ouvrage que mon statut de modeste médecin généraliste ne me permet pas de répondre à cette question, l’empirisme le plus absolu règne partout à ce sujet et la réponse doit se trouver comme pour le taux idéal de cholestérol sanguin : elle n’existe pas, car ici trop de paramètres rentrent dans l’équation : poids, sexe et cancers iodo-dépendants intercurrents, état infectieux, certainement. Mais imagine, probablement que le volume mammaire influe énormément et devrait être pris en compte dans le calcul des AQR, car ce tissu se comporte comme un véritable piège à iode, comme à brome ou à fluor d’ailleurs, ce qui peut expliquer la fréquence déraisonnable des cancers du sein en présence de brome6. Attention de plus à un point capital que j’ai abondamment souligné dans ce livre, certains tissus nécessitent de l’iode moléculaire, d’autres de l’iodate de potassium, et la protection anticancéreuse semble essentiellement conférée par cet iode moléculaire I2, totalement absent de l’écrasante majorité des compléments alimentaires mis sur le marché à ce jour ! Inutile donc de se supplémenter avec un mauvais produit, de plus insuffisamment dosé, il n’y aura aucune chance que l’état de santé de nos populations s’améliore drastiquement dans ce cas.

6 – L’importance des carences en iode est connue depuis des décennies. Elle avait été pointée du doigt par l’Institut Français de Nutrition il y a plus de 20 ans. Comment expliques-tu que des recommandations claires sur la supplémentation en iode tardent à venir de la part des agences de santé, du ministère ou de l’académie de médecine ?

Je l’explique par la trouille atavique qui saisit chaque expert de se retrouver en butte avec ce fameux effet Wolff-Chaikoff qui n’existe pas, mais qu’on leur a inculqué quand ils étaient jeunes et crédules, ça aussi j’en parle dans mon livre. L’iode 131 (radioactif) est toxique, les iodes organiques peuvent devenir toxiques aussi (amiodarone, produits de contrastes iodés, etc.), mais l’iode inorganique minéral alimentaire, l’iode 127, jamais. Et comme jamais n’existe pas, quand une fois on soupçonne une hyperthyroïdie de provenir d’une supplémentation alimentaire, ce fait demeure si rare qu’on en fait même un (très mauvais) article, qu’on le publie, et on décore même l’auteure pour son remarquable travail !7

7 – Tu dis que l’iode contenu dans le sel marin ou le sel iodé « s’évapore » et que ces sels ne sont donc pas efficaces pour participer à l’apport quotidien. Pourtant, il semble que c’est l’ajout d’iode dans le sel qui a permis de faire reculer le crétinisme des Alpes. Comment expliques-tu ce paradoxe ?

Je vois que la fin de l’interview approche alors tu cherches à me coincer avec tes questions vicieuses, mais toujours intelligentes… Je vais te répondre sans détour : au XIXe siècle, la Santé Publique naissante avait compris que la fréquence des goitres et des crétins augmentait de manière parfaitement proportionnelle avec le niveau des carences en iode, donc par une politique adroite de microsupplémentation en iode, on a réussi à effacer les deux problèmes, mais ces deux problèmes-là seulement. En 1840 l’espérance de vie des Françaises culminait à 40 ans, un peu tôt pour voir apparaître la multiplication des cancers du sein qui frappent nos compatriotes aujourd’hui. Je l’explique dans mon livre, j’ai retrouvé le premier penseur qui a pondu ce dramatique taux d’apport idéal en iode à 150 µg/j : lui aussi ne se référait qu’à la peur de l’effet Wolf-Chaikoff et il convint que pour ces faibles apports on voyait juste disparaître les goitres, mais sans réveiller le monstre WC. Ces apports sont des cache-misère propres à faire taire toute manifestation thyroïdienne liée à un manque en iode, mais ouvrent la porte à toutes les pathologies iodo-carentielles extra-thyroïdiennes, qui du coup explosent.

La médecine moderne nous fait sempiternellement vivre sous l’ère de la misère physiologique, 150 µg d’iode par jour au lieu de 10 à 50 mg, 400 UI de D3 pour éloigner l’ostéomalacie quand certains en consomment 20 000 UI sans souci et effacent de nombreuses pathologies dysimmunitaires, 300 mg de vitamine C pour éviter le scorbut alors qu’avec 100 g/j en intraveineuse, on a largement documenté la guérison de certains cancers, de certaines maladies infectieuses, de certains empoisonnements… Personne ne s’occupe de notre statut en chrome, pas beaucoup plus de celui lié au sélénium, nous sommes tous carencés en magnésium et pourtant aucune campagne de supplémentation ne se fait jour. Médecine, population, réveillez-vous !

[...]

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Dr. John Campbell

Jeanne TraductionInjections graphène et nanotech

Jeanne Traduction - 11 sep 2024

Étude officielle sur l’auto-assemblage en temps réel de constructions artificielles dans des échantillons incubés de vaxins ARNm.

   

Autoassemblage en temps réel de constructions artificielles visibles au microscope stéréoscopique dans des échantillons incubés de produits ARNm provenant principalement de Pfizer et Moderna : Une étude longitudinale complète. Un long titre, qui vient enfoncer le clou sur la présence de nanotechnologies dans les injections covid. Car cette fois, cette étude est publiée dans un journal officiel, révisée par les pairs et disponible pour tous en libre accès.

Accès à l'étude scientifique : https://nouveau-monde.ca/wp-content/uploads/2024/09/20082024Lee_Broudy_2_07042024.pdf

Capsule sauvegardée sur Odysee : https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/John-Campbell-mRNA-Nanotech-VF:f

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vaccination et autisme

The Defender5 découvertes scientifiques expliquent le lien entre les vaccins et l'autisme

The Defender - 08 sep 2024

Pourquoi les agences de santé les ignorent-elles ?

   

Les agences fédérales de santé publique continuent d'ignorer les avancées scientifiques, réalisées en grande partie par d'éminents scientifiques travaillant en dehors des États-Unis, malgré les appels lancés par ces derniers aux agences pour qu'elles étudient le lien et cessent de dire aux parents que l'aluminium contenu dans les vaccins est inoffensif.

Cinq découvertes scientifiques majeures, prises ensemble, expliquent comment les vaccins déclenchent l'autisme, a écrit l'auteur J.B. Handley sur son site Substack. La cause est enracinée dans la réponse du corps à l'adjuvant d'aluminium utilisé dans six vaccins du calendrier de vaccination des enfants.

Les agences fédérales de santé publique continuent d'ignorer ces avancées scientifiques - réalisées en grande partie par d'éminents scientifiques travaillant en dehors des États-Unis au cours de la dernière décennie - malgré les appels lancés par les scientifiques aux agences pour qu'elles étudient le lien et cessent de dire au public américain que l'aluminium contenu dans les vaccins est sans danger.

Selon Handley, le déclencheur de l'autisme et d'autres troubles du développement neurologique est l'activation du système immunitaire qui peut altérer le cerveau en développement lorsque cette activation se produit chez une mère enceinte ou un jeune enfant.

Cela se produit parce que l'aluminium neurotoxique contenu dans les vaccins se déplace facilement jusqu'au cerveau. Il peut alors provoquer une inflammation chez les personnes vulnérables en déclenchant la production d'une cytokine clé, l'interleukine 6 ou IL-6, une protéine qui affecte le système immunitaire. L'IL-6 a été associée à l'autisme.

Handley, auteur du best-seller « How to End the Autism Epidemic », cofondateur du site web Age of Autism et père d'un fils autiste, s'appuie largement sur le site web Vaccine Papers, qui recueille et analyse les données scientifiques pertinentes, pour présenter les principaux résultats scientifiques qui plaident en faveur de cette thèse.

Ces recherches importantes se déroulent en grande partie en dehors des États-Unis, car il est impossible de financer ou d'approuver des recherches sur l'autisme qui sont « un tant soit peu controversées », écrit-il.

Les recherches citées par M. Handley ont commencé à émerger en 2004, et la plupart d'entre elles ont été publiées après 2009, c'est-à-dire après que le Tribunal des vaccins a rejeté l'hypothèse de l'autisme-vaccin et refusé à des milliers de familles l'indemnisation de leurs blessures causées par les vaccins.

Citant les « Vaccine Papers », M. Handley écrit que les vaccins doivent faire l'objet d'une analyse objective des risques et des avantages et ne doivent être considérés comme un traitement médical que s'ils font plus de bien que de mal :

« Le problème des vaccins est que les risques ont été sous-estimés et les bénéfices surestimés. En particulier, le risque de lésions cérébrales dues aux vaccins est beaucoup plus élevé qu'on ne le croit généralement.
« Les lésions cérébrales peuvent avoir un effet dévastateur sur la vie d'un enfant et sur sa famille. Les coûts personnels et financiers des lésions dues aux vaccins sont souvent énormes. C'est pourquoi le moindre risque de lésion cérébrale doit être pris au sérieux. Et les données scientifiques suggèrent fortement que le risque n'est pas faible.

 

L'adjuvant aluminium : les données manquantes pour une « explication hermétique » de l'autisme induit par les vaccins

Handley a commencé son article par la découverte qui, selon lui, relie les recherches sur les vaccins et l'autisme : un article publié en 2018 par Christopher Exley, Ph.D., et ses collègues, montrant des niveaux « scandaleusement élevés » d'aluminium dans 10 spécimens de cerveau d'autistes.

Selon Exley, l'emplacement de l'aluminium suggère qu'il pénètre dans le cerveau par l'intermédiaire de cellules pro-inflammatoires qui se sont chargées de la neurotoxine. Les résultats obtenus par Exley sont similaires à ceux de recherches antérieures montrant ce qui se passe avec les monocytes - un type de globules blancs - aux points d'injection des vaccins.

C'est important, écrit Handley, parce qu'il deviendrait évident que les macrophages (un type de monocyte) déplacent l'aluminium du site d'injection vers le cerveau.

Selon Handley, l'étude d'Exley « a fourni les seules données qui manquaient à une explication étanche » de ce qui est arrivé aux innombrables familles dont les enfants sont devenus autistes après avoir été vaccinés.

L'adjuvant d'aluminium est un additif qui « sert à réveiller » le système immunitaire afin qu'il reconnaisse l'antigène de ce contre quoi le vaccin est censé protéger, a-t-il expliqué.
Selon une étude réalisée en 2016, la quantité d'aluminium à laquelle les enfants sont exposés est montée en flèche depuis les années 1990, car les taux de vaccination de tous les enfants ont considérablement augmenté et davantage de vaccins ont été ajoutés au calendrier des enfants.

« Au milieu des années 1980, un enfant aurait reçu 1 250 microgrammes d'aluminium de ses vaccins avant son 18e mois s'il avait été complètement vacciné », écrit-il. « Aujourd'hui, ce chiffre est de 4 925 microgrammes, soit un quasi quadruplement de l'aluminium total.

Pourtant, la sécurité de l'aluminium dans les vaccins pour bébés n'a jamais été testée. Il s'agit d'une neurotoxine avérée qui comporte un risque d'auto-immunité, selon les scientifiques canadiens Chris Shaw et Lucija Tomljenovic.

L'aluminium est l'adjuvant le plus courant des vaccins, même si les mécanismes par lesquels il agit en tant qu'adjuvant restent inconnus.

Malgré le manque de données sur sa toxicologie, « la notion d'innocuité de l'aluminium dans les vaccins semble être largement acceptée », écrivent Shaw et Tomljenovic.

Même les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et les Instituts nationaux de la santé (NIH) ont admis qu'ils ne disposaient pas de données démontrant que les injections répétées d'un adjuvant à base d'aluminium étaient sans danger, écrit Handley.

Aujourd'hui, un volume croissant de littérature scientifique montre que ces injections répétées ne sont pas sûres. La littérature montre que « cinq découvertes claires, reproductibles et liées expliquant comment l'autisme est déclenché ont formé une image indéniablement claire de la causalité de l'autisme », écrit Handley.

Cinq découvertes clés :

1. Il existe une activation permanente du système immunitaire dans le cerveau des personnes autistes.

Les recherches menées par le Dr Paul Patterson, scientifique du Caltech aujourd'hui décédé, auteur de « Pregnancy, Immunity, Schizophrenia, and Autism », ont démontré que le système immunitaire interagit avec le cerveau d'une manière qui peut affecter le développement neurologique.

Patterson et ses collègues ont découvert que si le système immunitaire d'une femme enceinte est soumis à une forte activation - par exemple, à la suite d'une infection virale ou bactérienne grave pendant la grossesse - il peut affecter le développement neurologique de l'enfant, entraînant des problèmes neurologiques ultérieurs.
Patterson a noté que les cerveaux des personnes atteintes d'autisme montrent qu'une telle activation du système immunitaire s'est produite, citant des médecins de la faculté de médecine de l'université Johns Hopkins qui ont trouvé une « inflammation neuronale » lors d'un examen post-mortem des cerveaux de patients atteints d'autisme. Cette découverte a depuis été reproduite à plusieurs reprises, écrit Handly, y compris par des chercheurs japonais.

Patterson et ses collègues ont émis l'hypothèse que l'inflammation neuronale chronique était due à des cytokines, produites par les globules blancs à des taux plus élevés en cas d'infection, qui interagissent avec le cerveau du fœtus. Une cytokine en particulier, l'IL-6, a un effet particulièrement puissant, selon eux.
Ils ont déclenché cette inflammation neuronale lors d'une expérience consistant à injecter de l'IL-6 à des souris et ont constaté des changements dans la neurologie de leur progéniture. Plus tard, ils ont également établi un lien spécifique entre l'activation immunitaire maternelle et les symptômes de l'autisme chez les souris et les singes. D'autres scientifiques ont reproduit leurs études.
En 2006, Patterson a établi un lien entre la vaccination maternelle et une éventuelle activation immunitaire. Il a déclaré que les recherches actuelles soulevaient la question suivante : « Devrions-nous vraiment promouvoir la vaccination maternelle universelle ?

2. L'adjuvant aluminium est hautement neurotoxique et provoque une activation immunitaire.

La Food and Drug Administration (FDA) et le CDC fondent leurs recommandations concernant l'utilisation de l'aluminium dans les vaccins sur une étude de 2011 qui conclut que l'aluminium s'accumule dans le système squelettique plutôt que dans les tissus mous et qu'il est sans danger.
Cependant, Handley a écrit que les « suppositions » sur l'aluminium sont basées sur des études portant sur l'aluminium dissous, et non sur l'hydroxyde d'aluminium utilisé dans les vaccins.
Des recherches plus récentes ont montré que l'hydroxyde d'aluminium est une nanoparticule absorbée par les macrophages du corps, qui peuvent facilement la transporter jusqu'au cerveau.
Un article publié en 2007 par Shaw a démontré un lien entre l'adjuvant d'aluminium et la mort des motoneurones. Shaw et ses collègues ont publié plusieurs articles montrant que l'hydroxyde d'aluminium est neurotoxique, en particulier dans les populations pédiatriques.
Ils ont appelé à une réévaluation « urgente » du profil de sécurité des vaccins contenant un adjuvant en aluminium.
Plusieurs études françaises ont également montré que l'adjuvant d'aluminium injecté dans l'organisme se retrouve souvent dans le cerveau, provoquant une neurotoxicité.
Une étude française de 2017 publiée dans Toxicology a révélé que l'adjuvant avait une « biopersistance durable » - ce qui signifie que le corps ne pouvait pas s'en débarrasser - et était lié à plusieurs maladies, notamment « le syndrome de fatigue chronique, le dysfonctionnement cognitif, la myalgie, la dysautonomie et les caractéristiques auto-immunes/inflammatoires ».
Les auteurs de l'étude française ont également constaté que des doses faibles et régulières étaient plus neurotoxiques qu'une seule dose élevée et ont exprimé leur inquiétude quant au fait que le « développement massif de stratégies vaccinales dans le monde entier » nécessite une réévaluation de la sécurité de l'adjuvant.

3. L'activation immunitaire qui déclenche l'autisme peut se produire in utero ou après la naissance d'un enfant, alors que son cerveau est encore en développement.

Des chercheurs du Moyen-Orient et d'Europe, qui ont utilisé l'aluminium pour induire la maladie d'Alzheimer chez des rats vivants, ont montré que l'aluminium provoquait une multiplication par quatre de l'IL-6, ainsi qu'une augmentation d'autres cytokines.

Si les chercheurs admettent l'existence d'une désorganisation dans le cerveau des personnes autistes, ils ne s'accordent pas sur le fait de savoir si cette désorganisation se produit in utero ou après la naissance.
Beaucoup de ceux qui refusent l'hypothèse de l'autisme-vaccin, comme le Dr Peter Hotez, nient la possibilité d'une réorganisation postnatale du cerveau.
Cependant, les preuves de l'existence de déclencheurs postnatals de l'autisme sont solides, écrit Handley. Il a cité Vaccine Papers pour expliquer que chaque activation immunitaire chez un enfant sensible rend le système immunitaire plus sensible et plus réactif aux stimuli immunitaires. Cela peut se produire à la fois in utero et après la naissance, alors que le cerveau de l'enfant se trouve à des stades clés de son développement.

Des études ont montré que des souris auxquelles on avait injecté de l'IL-6 après la naissance présentaient plus tard des capacités cognitives altérées. Des études de cas menées auprès d'enfants ont montré que l'autisme apparaissait à la suite d'une infection et d'une inflammation du cerveau.

4. L'IL-6 induite par le vaccin contre l'hépatite B chez les rats postnatals.

Des chercheurs chinois ont testé les effets de l'activation immunitaire induite par le vaccin sur le développement du cerveau des rats. Le vaccin contre l'hépatite B, qui contenait un adjuvant en aluminium, a augmenté l'IL-6 dans l'hippocampe. Fait significatif, les effets ne sont apparus qu'à l'âge de 8 semaines, alors que les rats sont presque adultes. La plupart des études sur l'innocuité des vaccins portent sur des résultats à court terme.

Selon Handley, cela pourrait contribuer à expliquer l'apparition de maladies mentales beaucoup plus tard dans la vie chez l'homme et étayer l'hypothèse selon laquelle les vaccins contribuent à l'augmentation des maladies mentales aux États-Unis au cours des 25 dernières années.

« Il s'agit d'une preuve biologique du lien entre un vaccin - administré à un animal post-natal - induisant une activation immunitaire, y compris la cytokine marqueur de l'autisme, l'IL-6. Une première scientifique », écrit Handley.

5. Plusieurs analyses ont révélé des niveaux élevés d'aluminium dans le cerveau des personnes autistes.

Comme nous l'avons vu précédemment, des études comme celle d'Exley ont révélé par la suite des niveaux très élevés d'aluminium dans des échantillons de cerveau de personnes atteintes d'autisme. Cette découverte a permis de comprendre une des causes principales de l'inflammation dans le cerveau des personnes autistes, écrit Handley.

L'explication la plus récente et la plus complète du rôle des vaccins contenant de l'aluminium, de l'inflammation et du système immunitaire dans l'autisme se trouve dans un article publié en 2022 dans la revue Toxics.

Cette étude, réalisée par des chercheurs français, montrait les voies par lesquelles un enfant vulnérable pouvait être atteint d'autisme lorsqu'il était exposé à des adjuvants à base d'aluminium.

Qu'en est-il du vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole) ?

Selon Handley, les adjuvants à base d'aluminium peuvent également induire d'autres maladies auto-immunes et inflammatoires, y compris des problèmes gastro-intestinaux rencontrés par de nombreux enfants autistes.

Par ailleurs, de nombreuses familles d'enfants autistes ont vu leurs enfants régresser après avoir reçu le vaccin ROR, qui ne contient pas d'adjuvant en aluminium.
Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour expliquer pleinement les raisons de ce phénomène, écrit Handley. Mais les recherches indiquent que les effets du ROR peuvent être liés au fait qu'il s'agit du premier vaccin vivant que les enfants reçoivent, vers l'âge de 12 à 18 mois, après avoir reçu de nombreux vaccins contenant des adjuvants en aluminium.
Un « système immunitaire baignant dans l'adjuvant d'aluminium et peut-être déjà en proie à des événements d'activation » pourrait être poussé à bout par la rencontre avec le virus vivant. Cela pourrait même déclencher le passage de l'aluminium dans le corps vers le cerveau, a-t-il écrit.

Handley déplore que les agences de santé publique continuent de refuser d'étudier la question.

« Ce qui a été vrai tout au long de l'épidémie d'autisme reste vrai aujourd'hui : un nombre écrasant (des dizaines de milliers) de rapports parentaux faisant état d'une régression de leurs enfants vers l'autisme après la vaccination.

Ces parents ont observé les changements chez leurs enfants, mais n'avaient pas d'explication scientifique à ce qui se passait, écrit Handley.
Il existe aujourd'hui suffisamment de preuves scientifiques pour élaborer une théorie plus rigoureuse sur la manière dont les vaccins et les adjuvants en aluminium qu'ils contiennent déclenchent l'autisme et d'autres maladies.

« Il est temps que le CDC, la FDA (Food and Drug Administration), Autism Speaks et l'Académie américaine de pédiatrie fassent face aux preuves biologiques qui nous regardent tous en face », écrit-il.

Brenda Baletti, Ph.D.

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Carnage parmi les soignantes

Profession GendarmeCarnage parmi les soignantes

Profession Gendarme - 06 sep 2024

33 infirmières américaines sont décédées subitement cette semaine, dans un contexte de hausse « sans précédent » des décès parmi les personnes vaccinées contre le Covid.

   

Trente-trois infirmières à qui l’on avait dit que les injections d’ARNm du COVID étaient « sûres et efficaces » sont décédées subitement et de manière inattendue aux États-Unis cette semaine alors que le nombre de morts continue d’augmenter parmi les personnes vaccinées et renforcées.

De nombreux infirmiers sont morts d’un arrêt cardiaque, d’un accident vasculaire cérébral ou d’un turbo-cancer à apparition rapide, alors que les médecins préviennent qu’ils constatent désormais régulièrement des troubles « uniques » chez les jeunes patients en bonne santé.

« C’est la nouvelle norme… les turbo-cancers sont morts subitement. Mon ami a perdu trois amis en une semaine ! Les turbo-cancers comme celui-ci étaient pratiquement inexistants avant les injections de COVID », a expliqué Steve Kirsch, scientifique et chercheur en vaccins au MIT.

Combien de temps avant que nous puissions, en tant que société, avoir une discussion honnête sur ce qui arrive sous nos yeux aux vaccinés contre le Covid ?

[...]

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mpox un variant du Covid vaxx

Sott : Sign of The TimesMPOX est en fait un effet secondaire connu du COVID Vax

Sott : Sign of The Times - 05 sep 2024

Les meilleurs médecins du monde entier se mobilisent pour dénoncer la peur de la variole du singe lancée par l'Organisation mondiale de la Santé, qui sert à dissimuler les effets secondaires connus liés aux vaccins à ARNm contre la COVID.

   

Selon le Dr Poornima Wagh, virologue de premier plan, nous ne sommes pas confrontés à une épidémie de variole du singe dans le monde, comme le prétend l'OMS. Comme l'explique le Dr Wagh, les symptômes ressentis par les personnes diagnostiquées avec la variole du singe sont en fait un effet secondaire connu des injections de Covid : la maladie vésiculeuse auto-immune.

Des cas de variole du singe sont actuellement signalés dans les pays hautement vaccinés du monde entier, tandis que les pays moins vaccinés ne signalent aucun cas.

Les maladies vésiculeuses auto-immunes sont un groupe d'affections cutanées rares qui surviennent lorsque le système immunitaire de l'organisme attaque les protéines cutanées, provoquant des ampoules et une inflammation. Les deux types les plus courants sont le pemphigus et la pemphigoïde bulleuse :

- Pemphigus : Cette affection provoque la formation de cloques sur la peau et les muqueuses, comme la bouche, le nez, la gorge, les organes génitaux et les yeux. Les ampoules peuvent être molles et se briser facilement, formant des plaies douloureuses. S'il n'est pas traité, le pemphigus peut être mortel.
- Pemphigoïde bulleuse : Cette condition provoque des lésions ressemblant à de la ruche et de grosses cloques qui démangent et qui sont remplies de liquide. Les ampoules peuvent s'ouvrir et former des ulcères. La pemphigoïde bulleuse survient souvent chez les personnes âgées et disparaît généralement dans les cinq ans.

D'autres types de maladies vésicantes auto-immunes comprennent la pemphigoïde gestationnelle, la pemphigoïde des muqueuses et les dermatoses bulleuses auto-immunes à IgA.

Les complications des maladies vésiculeuses auto-immunes comprennent :

- Infections causées par des ampoules qui s'ouvrent - Cicatrices après la guérison des ampoules
- Difficulté à manger, à avaler ou à respirer dans la gorge ou les poumons
- Maladie des gencives et perte des dents dans la bouche
- Problèmes de vision dans les yeux

Les traitements des maladies vésiculeuses auto-immunes comprennent :

- Médicaments anti-inflammatoires comme les corticostéroïdes
- Antibiotiques comme la tétracycline
- La niacine, une vitamine du complexe B
- Crèmes anti-inflammatoires appliquées sur la peau

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le mans enfants vaccins surdose

Michel DognaJapon : des « Nanobots » retrouvés dans 96 millions de citoyens

Michel Dogna - 04 sep 2024

Vaccins Covid : Le Japon déclare l'état d'urgence

   

Le 11 août 2024, le Japon a présenté des excuses à ses citoyens pour les conséquences désastreuses des vaccins à l'ARNm de la COVID-19 (ce que la France ne fera jamais…) et a lancé des enquêtes scientifiques de grande portée ainsi que des enquêtes criminelles pour établir la vérité et punir les auteurs. L'élite mondialiste et Big Pharma paniquent, terrifiés par ce que les Japonais trouvent, et font tout ce qu'ils peuvent pour discréditer ces enquêtes, y compris ordonner aux médias traditionnels de lancer un black-out total sur toute nouvelle sortie du Japon. Mais nous n'allons pas permettre à l'élite de continuer à mentir au public. Le Japon a mis au grand jour leurs crimes contre l'humanité et le monde entier doit entendre ces informations.


Une nouvelle étude japonaise publiée dans l'International Journal of Vaccine Theory Practice and Research prouve que les vaccins Pfizer et Moderna contiennent des entités (vers animés) non connues, invisibles à l’œil nu, qui nagent, se tortillent et s'assemblent en structures complexes. Les Dr. Young Mi Lee et Daniel Broudy de l'université chrétienne d'Okinawa expliquent que ces entités chimériques sont responsables de la formation de caillots à l'intérieur de millions de corps humains dans le monde depuis le déploiement de l'ARNm. Lorsque ces conditions sont reproduites, les résultats sont toujours identiques.


Mais pire encore : les Dr. Young Mi Lee et Daniel Broudy ayant isolé des flacons de vaccins pendant trois semaines, les ont ensuite examinés avec un grossissement de 400X et ont trouvé des composants spéciaux supplémentaires de nanotechnologie. Comme Lee et Broudy l’ont fait remarquer, lorsque de la nanotechnologie est excitée, elle crée des disques, des chaînes, des spirales, des tubes et des structures à angle droit.
Que sont exactement ces nano-constructions minérales qui paraissent vivantes ? Et pourquoi Pfizer et Big Pharma ont-ils introduit subrepticement ces milliards de « choses » dans le corps des humains ? Lee et Broudy ont été stupéfaits de constater des réactions de ces « composants supplémentaires » lorsqu'ils sont placés à proximité de téléphones portables ou d'ordinateurs. Il s'agit en fait de nanobots qui communiquent avec une base de données centrale dont l'IP ne peut pas être suivi jusqu'à un emplacement ou un ordinateur défini.

Nota : En décembre 2021, j’avais déjà édité un article de la même veine relatant la découverte impressionnante au microscope, dans les vaccins de Pfizer et Moderna, de nano-bestioles inconnues à trois tentacules semblant dotées d’une conscience. Ce fait fut présenté par le Dr Carrie Madej, chercheuse bien connue aux USA, lors d’une interview sur la chaîne de Stew Peters.

Parmi les nombreux chercheurs qui s’interrogeaient sur la composition réelle des « vaccins » ARNm contre le Coronavirus, le Dr Franck Zalewski, célèbre chercheur polonais, a lui aussi découvert grâce à un microscope high tech, une forme de vie inconnue inquiétante qu’il dénommait « LA CHOSE ». La description de sa découverte confirmait les observations du Dr Carrie Madej ainsi que celles d’autres chercheurs indépendants déjà connus, tels les Docteurs Robert Young, Zandre Botha, etc. Il soupçonnait que le vaccin contienne des œufs de « la chose » qui semblent éclore grâce à la chaleur de l’organisme et la présence de graphène.

Il a ajouté que la nano-bestiole se fixe sur des neurones ceci permettant au flux nerveux de capter des programmes psychiques pouvant être envoyés par la 5G via le graphène récepteur injecté avec les « vaccins » ARNm.

On réalise maintenant que l’élite a déjà mis en œuvre son plan concocté et financé depuis longtemps pour faire de la race humaine une vaste réserve de balises vivantes devant être exploitée en secret. Malheureusement pour l'élite, ce secret vient d’être largement éventé par les chercheurs japonais. L'étude japonaise conclut que les composants microscopiques intelligents correspondent à un plan d’installation d’un internet biologioque intra-humain, faisant fonction de système nerveux central mondial synthétique et transformant les humains en robots magnétiques biohybrides totalement contrôlables.

Un brevet délivré à Bill Gates lui a attribué un « droit exclusif » autoproclamé sur un « soutien sanitaire mondial » des corps humains et à leur utilisation comme réseaux sans fil locaux. Microsoft a obtenu pour cela le brevet US 6 7544 472, qui est intitulé : Méthode et appareil de transmission de puissance et de données utilisant le corps humain.
Ceci pourrait être de la science-fiction ! Or, quelqu'un vous a-t-il consulté pour savoir si vous étiez disposé à transférer à Bill Gates les droits exclusifs sur votre corps ? L'élite nous dit toujours ses plans mais personne n’y croit. C'est ce qu'on appelle l'Apocalypse de la Méthode, un outil de guerre psychologique subliminal qui sert de façon occulte à maintenir les masses dans la peur et l’obéissance et accroître les pouvoirs des élites. Il est temps que nous commencions à prendre ces psychopathes totalitaires au mot et de réagir en fonction.

Pour finir sur une note positive, il a été enfin exigé que les étiquettes « vaccin » et « sûr et efficace » soient retirées parce que la « soupe » injectée à des milliards de personnes dans le monde n'est ni un vaccin ni sûre ni efficace.

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Next Dose - le clip

Revolution 2030 : autre sourceNext Dose Agenda 2030 – Le clip

Revolution 2030 : autre source - 28 août 2024

Suppression immédiate sur YouTube par ordre de l’OMS.

   

Le clip sur le contenu réel des injections.

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Senta Depuydt d’Essentiel News

Revolution 2030 : autre sourceCarte de vaccination européenne : pourquoi la refuser ?

Revolution 2030 : autre source - 15 août 2024

Interview du média indépendant belge BAM de Senta Depuydt d’Essentiel News.

   

La Carte de vaccination européenne sera lancée dès septembre 2024 dans 5 pays pilotes. Elle consolidera non seulement toutes les données de vaccination en un seul endroit, mais aussi des «métadonnées» téléchargeables que l’on pourra partager avec un code QR.

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Vera Sharav - grippe de 1918

pandémEchelle de JacobLa grippe de 1918 : « seuls ceux qui ont été vaccinés ont péri »

Echelle de Jacob - 12 août 2024

Vera Sharav : La grippe de 1918 n’était pas une grippe : « seuls ceux qui ont été vaccinés ont péri »

   

Vera Sharav est née en 1937 en Roumanie. En 1941, avec 145.000 juifs roumains et hongrois, dont sa famille, elle a été déportée en Transnistrie, le long de la frontière ukrainienne.

Le 6 mars 2022, elle a présenté des preuves du programme eugéniste lancé en 1915 aux USA, entreprise commune de John D. Rockefeller, Andrew Carnegie, Alexandre Graham Bell et d’autres, dont l’objectif déclaré était de réduire la population des USA de 10%, soit 15 millions d’hommes et de femmes.
Dans son livre écrit en 1957, “The poisoned Needle, Suppressed facts about vaccination”, le Dr Eleana McBean, médecin, a été le témoin oculaire de l’épidémie de 1918. Elle écrit « Seuls les vaccinés ont péris. ».

La grippe de 1918 n’était pas une grippe

Dans le rapport qu’il a publié en 1918, il note que le vaccin a été administré en 3 doses aléatoires, ce qui n’est pas exact.

En 1915, une entreprise commune d’eugénisme a été organisée par John D. Rockefeller, fondateur de la Standart oil, Andrew Carnegie détenant l’industrie américaine de l’acier et Alexander Graham Bell, inventeur du téléphone.

Ils avaient déjà consolidé leur monopole dans le pétrole, les chemins de fer, l’acier et les industries bancaires. Ils ont donc cherché à préserver leurs vastes richesses et à faire progresser leurs intérêts en investissant dans des méthodes de contrôle et de réduction des populations.

L’objectif de l’eugénisme était et reste d’éliminer les personnes que l’élite jugeait inférieures sur le plan génétique. Ils ont financé une campagne de lobbying massive pour la promulgation de lois visant à stériliser ceux qu’ils jugeaient inaptes. Les lois sur la stérilisation ont d’abord été promues seulement dans 28 états des USA. Leur objectif était de stériliser 10% de la population américaine soit 15 millions de personnes.

Cet objectif devait être atteint sous prétexte d’améliorer la santé publique et la race humaine. Ces lois sur la stérilisation ont servi de modèles aux nazis sur l’hygiène sociale. Pendant plus d’un siècle, les Rockefeller ont continué à être les plus grands bailleurs de fonds et les moteurs de l’eugénisme et du programme de dépopulation. Voilà donc surtout de quoi je veux surtout parler :

La grippe espagnole de 1918

On estime qu’elle a tué entre 50 et 100 millions de personnes dans le monde. « Cette pandémie catastrophique a été entourée d’un faux récit pendant plus d’un siècle ».

Un examen des faits révèle une pléthore de similitudes entre ce faux récit de pandémie de 1918 et celle du coronavirus de 2020 !

« La pandémie de 1918 n’a pas émané d’Espagne ! . Ce n’était pas une grippe. Elle n’a pas été causé par un virus. En l’identifiant à tord comme une grippe venant d’Espagne, on a contribué à en dissimuler la véritable nature et l’origine ».

En 1918, alors que les USA entraient dans la première guerre mondiale, les effectifs militaires ont été portés à 6 millions d’hommes dont 2 millions ont été envoyés sur les champs de bataille en Europe. Les scientifiques de l’institut Rockefeller ont saisi l’occasion de « tester » un vaccin expérimental sur ce nouveau groupe de cobayes humains désormais disponibles. Peu de gens réalisent que la maladie a tué bien plus de soldats de tous les camps que les mitrailleuses et le gaz moutarde ou tout autre élément associé à la première guerre mondiale.

En janvier 1918, un vaccin expérimental contre « la méningite », fabriqué à partir de chevaux, a été testé sur des soldats. C’est Frédérick. T. Gates (1853-1929), (aussi théologien !) président du conseil d’administration de l’institut Rockefeller et administrateur de la fondation Rockefeller qui a lancé l’expérience au Kansas en janvier 1918.

4792 hommes ont reçu la première dose.
4257 hommes ont reçu la seconde dose
3702 hommes ont reçu les trois doses.

Le Dr Gates ne dit pas ce qui est arrivé aux 1090 hommes qui ne se sont pas présentés à la troisième dose. Gates écrit que peu de temps après avoir été injectés, les soldats présentaient certains des symptômes semblables à ceux de la grippe, notamment de la toux, des vomissements et de la diarrhée. Ses réactions simulaient selon lui le début d’une « méningite épidémique » mais le Dr Gates a balayé cela d’un revers de main et a déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une véritable méningite.

On peut se demander sur quelle science il s’est appuyé.

Des épidémies de grippe ont été enregistrées dans 14 des plus grands camps d’entrainement des forces armées. Les troupes récupérées ont porté et transmis l’infection à des soldats sains sur les champs de bataille d’Europe. Un rapport de 2008 a étudié les taux de mortalité et d’invalidité dans le monde entier pendant la pandémie. Ils ont décrit comment « les bactéries » se propageaient rapidement des personnes infectées à d’autres en particulier dans des environnements surpeuplés, tels que les services hospitaliers, les casernes des camps militaires, les navires de transport de troupes.

Quelques 9000 personnes dans le monde ont été autopsiées pour trouver que « la grippe de 1918 n’était pas une grippe » D’après les cultures longues des autopsies, la « bactérie pneumonia » a tué au moins 92,7% d’entre eux.

Lorsque la première guerre mondiale s’est terminée le 11 novembre 1918, les soldats sont rentrés chez eux, propageant la « pneumonia bactérienne meurtrière » dans le monde entier.

L’un des témoins oculaires les plus importants était le Dr Eleana Mac Bean. Elle fut témoin du carnage humain à l’âge de 13 ans. Elle et sa famille afro-américaine ne se sont pas faits vacciner. Ils sont restés en bonne santé tout le long de la pandémie. Elle est devenue médecin et a écrit plusieurs livres dont :

- « L’aiguille empoisonnée », en 1957.
- « Vaccination : le tueur silencieux », en 1977.
- « Exposé sur la grippe porcine », en 1977.

Elle a fourni des descriptions très vivantes et je vais en lire un extrait :

« Lorsque la grippe était à son apogée, tous les magasins étaient fermés ainsi que les écoles, les entreprises, l’hôpital, car les médecins et les infirmiers avaient été vaccinés et étaient atteints de « la grippe… ». Il n’y avait personne dans la rue. C’était comme une ville fantôme. Il semblait que la seule famille qui n’avait pas attrapé cette « grippe… » était ma famille. Mes parents sont donc allés de maison en maison faisant ce qu’ils pouvaient pour soigner les malades car il était impossible de trouver un médecin.

S’il était possible que les germes des bactéries et des virus ou des bacilles provoquaient des maladies, ils avaient tout loisir d’attaquer mes parents alors qu’ils passaient tant d’heures par jour dans les chambres des malades ! Mais ils n’ont pas eu la grippe. Ils n’ont pas ramené le germe à la maison pour nous contaminer, nous leurs enfants. Aucun membre de notre famille n’a eu la grippe… ni un rhume. C’était en hiver avec de la neige épaisse au sol. »

Un document a identifié le vaccin expérimental contre la « méningite bactérienne » comme principal coupable. Il y est écrit que « seuls ceux qui ont été vaccinés ont péri ».

Cela vous semble familier ?!

Une telle catastrophe générée par un vaccin peut-elle se reproduire ?

Je pense vraiment que cet exemple est extrêmement important, mais ensuite les acteurs.

En 2018, la Radio diffusion publique a diffusé un documentaire. La première vague qui compte certaines lacunes que le Dr Gates n’a pas dites. Nous avons appris que le 11 mars, le chirurgien du camp militaire de Fort Sill était confronté à la première vague d’une épidémie. 100 hommes par jour entraient à l’infirmerie avec la même maladie. Quelques 2 millions de soldats américains ont reçu le vaccin expérimental de Rockefeller. C’était « pour affaiblir leur système immunitaire » avant qu’ils ne soient envoyés en Europe. Et lorsque la guerre a pris fin, l’institut Rockefeller a envoyé la « concoction mortelle » de la méningite pour qu’elle soit utilisée chez les civils en Angleterre, en France, en Belgique, en Italie, et dans d’autres pays d’Europe occidentale, propageant ainsi l’épidémie dans le monde entier.

La décision d’expédier le vaccin mortel à l’étranger était prise alors qu’ils savaient déjà ce qu’ils faisaient.

Etait-ce simplement pour aider les autres ou cela faisait-il partie d’un plan de génocide eugénique ?!

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L'OMS planifie sa prochaine plandémie

Le Media en 4-4-2Virus « ultra-mortel » : Un pass sanitaire mondial dans un an

Le Media en 4-4-2 - 12 août 2024

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de lancer des alertes maximales concernant la résurgence du COVID-19 et l'apparition d'une nouvelle souche de la variole du singe.

   

Ces annonces interviennent en plein été, une période où la vigilance citoyenne tend à se relâcher, notamment à cause des JO. Explications de Florian Philippot.

L’OMS a mis en garde contre une augmentation des cas de COVID-19, encore lui, soulignant que la situation « ne devrait pas s’améliorer dans un avenir proche ». La directrice de la préparation et de la prévention des épidémies et pandémies à l’OMS, Maria von Kerkhove, a alerté sur le risque de nouveaux variants plus sévères. Elle a insisté sur l’importance de la « vaccination » pour réduire le risque d’infection et de maladie grave…

Parallèlement, l’OMS a convoqué une réunion d’urgence face à la flambée de la variole du singe. Tremblez : une nouvelle souche, identifiée en République démocratique du Congo, serait plus mortelle et plus transmissible que les précédentes. L’agence de santé de l’Union africaine a déclaré une urgence de santé publique, et l’OMS a actualisé sa liste des agents pathogènes les plus dangereux, triplant le nombre de pathogènes surveillés.

Ces alertes interviennent dans un contexte où l’OMS tente de relancer le traité mondial sur les pandémies, qui a été retardé, et de promouvoir un pass sanitaire mondial.

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