Le système de production français est à la limite de craquer puisque nous avons de très nombreux réacteurs nucléaires en maintenance pas forcément programmée. Jamais dans ce pays autant d’impôts n’ont été payés pour une service rendu aussi faible.
Cependant, les banques qui opèrent le transfert vers la Russie transformeront elles-mêmes ces sommes en roubles avant de les verser.
Déjà en Ukraine, les habitants manquent de nourriture et de médicaments, et les retombées économiques se répercutent également sur le reste du monde.
Une décision pour le moins incompréhensible lorsque l’on sait que les forêts permettent de stocker du CO2 en plus de préserver la biodiversité. Mais à y regarder de plus près, derrière l’hypocrisie de la “croissance verte” se cache l’appât du gain d’une multinationale soutenue par l’État.
« Avant, il y avait de la tourbe[2] ici, maintenant c’est un chemin avec un mètre de pierres […] Des couloirs à batraciens ont été détruits au bulldozer sur des centaines de mètres ».