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Les JO de Paris vus par le groupe russe Little Big

Égalité et RéconciliationLes JO de Paris vus par le groupe russe Little Big

Égalité et Réconciliation - 24 juil 2024

En plus d’être méchants, les Russes sont drôles !

   

Et le tout en musique...

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Tubiana Blackrock

Égalité et RéconciliationBlackRock présente : Laurence Tubiana !

Égalité et Réconciliation - 17 juil 2024

La probable future première ministre proposée par la gauche, Laurence Tubiana, est comme par hasard proche de BlackRock et des élites mondialistes. Les électeurs voulaient dégager le système, il se renforce.

   

Je vous présente Laurence Tubiana. Elle a été choisie par le NFP (hors LFI) pour devenir 1° ministre. Laurence Tubiana porte le pin’s de Bill Gates « global goals» et participe au forum de Davos.

«Il faut que tout change pour que rien ne change »

Le Guépard de Visconti

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obéir à un fou ?

Égalité et RéconciliationEst-on tenu d’obéir à un fou ?

Égalité et Réconciliation - 04 juil 2024

l y a bien sûr plusieurs formes de folie, d’ailleurs, même les psychiatres s’y perdent. On parlera donc plutôt d’incohérence structurelle, de délire de domination et de dérapage d’ego, tout cela formant une personnalité politique qui génère des décisions contraires ou néfastes aux intérêts du pays.

   

Notre président est atteint de cette forme de pathologie mentale, qui se transmet au pays à travers institutions et médias. Le risque, dans le cas d’un régime présidentiel fort comme celui de la Ve (qui est morte le 30 juin), c’est d’avoir un Macron à la place d’un de Gaulle, un immature à la place d’un homme structuré. On pourrait résumer la problématique en disant que Macron n’est pas un homme, tout simplement, au sens où il faut disposer d’une autorité naturelle (il n’en a aucune, personne ne le respecte) et d’un certain charisme. Macron n’a pas la solidité mentale qui couronne un parcours de combats, gagnés et perdus ; son rapport au réel est faussé par sa méconnaissance totale des autres, qui lui permet de les mépriser, voire, de les haïr et de leur faire du mal.

Au fond, ce pistonné médiocre manque de connaissance profonde de la vie et des gens. Il a été placé à ce poste par des gens intelligents et cyniques, de ce côté-là, il n’y a aucun doute. Nous avons affaire à un petit garçon perdu qui joue à Président.

La question, pour le corps politique en particulier et le corps social en général, se pose d’obéir à cet individu au noyau psychique fêlé (on sait tous pourquoi, à l’origine). Et pourtant, en 2020, 80 % des Français ont obéi, par peur, par calcul, par instinct de troupeau, à ce malade mental, qui certes transmettait les ordres du pouvoir profond, dont il est le pantin – mais il fallait quelqu’un pour jouer ce rôle ignoble, un homme de théâtre, capable de théâtraliser une crise majeure en transformant une grippe saisonnière légèrement trafiquée en peste noire.

La question ne se pose donc plus en ces termes, doit-on obéir à un fou ?, mais pourquoi autant de Français ont-ils obéi à ce fou ?, ce qui est plus grave encore. On nous répondra confiance dans les institutions, croyance dans l’élection divine d’un homme qui a sauvé le pays, toutes ces balivernes. En réalité, Macron ne peut exister que sur un fond de lâcheté et de méconnaissance. C’est parce que 80 % des Français sont sous-informés ou lâches qu’ils ont suivi les ordres d’un « taré », selon le qualificatif utilisé par Ruffin.

Comme la mauvaise herbe est le produit d’un sol malade, mais aussi sa traduction, un signal envoyé !, un mauvais président est la sanction d’un pays immature, crédule et lâche. Sept ans plus tard, après avoir bien souffert physiquement, psychologiquement et économiquement, le pays se réveille et expulse le virus. Mais il a vraiment fallu aller très loin. Le virus, lui, a compris qu’il n’était plus désiré, et se venge en organisant une guerre civile et une guerre contre la Russie. C’est le prix que les Français, sauf sursaut de lucidité et de courage, payeront pour leur ignorance et leur lâcheté.

Débat : Hitler était-il fou ?

Le peuple allemand a obéi à Hitler, et il a eu plein d’ennuis, mais pas que. La propagande occidentale a fait passer Adolf pour fou, mais au fur et à mesure que le temps passe, on comprend que cet homme, issu du chaos de la défaite de 1918, était un pur produit de son temps.

Autrement dit, si ça n’avait pas été Hitler, ça aurait été forcément un autre, un Goering ou un Heydrich, avec quasiment la même politique. Ce n’est pas un seul homme qui fait une politique, l’homme ne fait qu’incarner l’esprit d’une nation à un moment donné, et c’est la nation qui le choisit, parce qu’elle est une force de la nature.

L’Allemagne des années 30 était fortement nationaliste et antijuive (ou anticapitaliste), et Hitler était le candidat idéal pour endosser l’habit de berger. Macron, c’est un peu différent au sens où la démocratie occidentale, fondamentalement, est construite sur l’interdiction qu’un Hitler arrive au pouvoir. Le bas n’a plus son mot à dire, c’est le haut qui décide de qui va incarner la nation, au bas de s’y plier. Tout en mettant les formes, bien entendu, c’est pourquoi le candidat, dans cette fausse démocratie, doit mentir en permanence. Ce sera sa qualité principale, mentir sur la durée, et sans vergogne.

Hitler, lui, ne mentait pas. Son programme a toujours été clair : l’Allemagne d’abord, et gare à ceux qui se mettent sur le chemin de sa renaissance.

La question à poser devient donc : le pays était-il fou ? Non, un pays n’est pas fou, il souffre. Et aujourd’hui, peut-être pas autant que l’Allemagne de 1929, mais la France de 2024 souffre, et envoie un message très clair en ce sens à l’oligarchie. Qui jusqu’à présent a fait la sourde oreille, un comportement dangereux.

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Branco l’anti-Attal

Égalité et RéconciliationJuan Branco : "J’ai vécu le fascisme sous Emmanuel Macron"

Égalité et Réconciliation - 20 juin 2024

J’ai vécu le fascisme sous Emmanuel Macron.

   

J’ai été ciblé par des procédures politiques lancées par un membre du pouvoir, Aurore Bergé, pour avoir écrit un livre, Crépuscule, qu’elle considérait comme une incitation à la commission de crimes et délits. Un livre que personne n’éditait. Un livre qui ouvrait la voie, enfin, à une critique d’un régime avarié, face auquel tout le monde se taisait.

J’ai été, de ce fait, ciblé par des « agences d’intelligence économique », des barbouzes, des opérations d’influence, montées par des êtres payés des fortunes pour détruire ma vie, ma réputation, mon intimité.

J’ai été placé sur écoute, géolocalisé, physiquement suivi par des services de police, puis de renseignement, mobilisés pour me surveiller, m’intimider, m’impressionner, parce que j’avais osé défendre des êtres qui avaient révélé l’impudeur du pouvoir.

J’ai eu droit à des opérations visant à détruire mon intimité, relayées par des années d’instructions judiciaires en continu, qui, y trouvant prétexte, iraient jusqu’à chercher mes relevés de note universitaires pour les faire fuiter, convoquer ma mère, ma soeur, mes amoureuses pour leur faire parler de mon intimité.

J’ai connu l’isolement, la brisure que cela suscitait.

Jusqu’à entendre une femme, dans mon lit, me susurrer : « j’ai été envoyée ».

En tant qu’avocat, défendant tout ce que la terre de France générait de dissidents et d’opposants, j’ai vu des dossiers pénaux disparaitre, des personnes condamnées pour des actes qu’elles n’avaient pas commis.

Des fausses accusations pulluler.

Je l’ai dénoncé.

L’impunité. La laideur. La violence.

L’indifférence à la vérité.

J’ai dû partir en exil, après une énième convocation aux fins de placement en garde à vue. Après d’interminables campagnes de calomnies et de pressions, orchestrées par une presse aux ordres qui s’indifférait de la vérité, des années durant, en un harcèlement permanent.

Moi qui étais avocat, docteur en droit, diplômé des plus grandes écoles de ce pays, courtisé et recruté en ses plus puissantes institutions, j’ai vu mille mensonges se déployer dans le seul but de rompre, isoler, briser.

Jusqu’à me voir menacé d’être radié, là encore, pour avoir dit la vérité.

Jusqu’à me voir menacé de quinze ans de prison pour des faits qui en rien ne le justifiaient.

Engagé auprès de mes clients, qui eux-mêmes s’opposaient au pouvoir, j’ai été ciblé pour les fragiliser.

Enlevé et emprisonné à cinq mille kilomètres de chez moi, cagoulé, menoté, accusé de terrorisme, de complot et d’attentat, menacé de prison à perpétuité, par un régime croupion que l’Elysée soutenait, qui mille autres déjà détenait, et qui massacrait dans l’indifférence de ceux qui nous gouvernaient.

J’ai vu à mon retour la censure. L’intimidation.

Les journalistes qui tremblaient, hésitaient, effaçaient.

Des articles disparaître. D’autres, ne jamais paraître.

Des journalistes tout abandonner.

Dans le cadre de ces procédures bidons, j’ai été convoqué à des expertises psychiatriques et psychologiques dont les auteurs admettaient à voix basse être sous intense pression et ne pas savoir comment s’en dépêtrer.

Tremblant pour eux, pour moi, pour nous.

J’ai vu la rumeur croître, puis s’imposer.

Je n’ai, longtemps, au cours de cette période, pas même pu ouvrir un compte, parce que j’avais défendu un dissident, Julian Assange, et que TRACFIN avait décidé qu’il s’agissait là de quelque chose qui devait inquiéter, plus que les milliards qui chaque année sont siphonnés.

Ce n’est pas du complotisme. Ce n’est pas de la psychopathologie.

Ce sont des faits, documentés, accumulés, année après année.

J’ai connu le fascisme, sous Emmanuel Macron.

Alors, on pourra me raconter tout ce qu’on voudra. Il n’y a rien qui désormais ne puisse m’inquiéter, à moi et à ceux qui ont traversé ces mondes sans céder. A tous ces êtres qui auront eu le privilège, au cours de ces années, d’y résister.

Nous savons ce qu’est ce pouvoir. Sa brutalité. Son usage de la violence, l’intimidation, la corruption, pour faire taire, acheter, effacer, qui le menacerait.

Nous savons ce que sont ces êtres, derrière les visages maquillés, les costumes bien ajustés.

Nous savons leur laideur, leur absence de limites et respectabilité.

Ces êtres sans honneur qui n’ont que faire de la République et de sa démocratie.

Des Français.

Eux et leurs marchands d’idées, ces employés que vous ne cessez d’entendre bêler à la radio et à la télévision, invoquant des spectres du siècle passé, des concepts abstraits, pour vous orienter par l’angoisse et l’inquiétude, vous parlant « d’extrêmes » alors qu’ils vivent en une abondance sans pareil à l’échelle de l’histoire, doivent être ignorés.

Ce sont eux qui, extrêmes, servent un pouvoir avarié.

Eux qui ont tout pillé. Eux qui, avec nos finances, se sont gavés, tandis que tout autour de nous, chacun des piliers de notre société, s’effondrait.

Eux qui nous ont distrait, jour après jour, semaine après semaine, mois après mois, avec des polémiques orchestrées pour semer la haine et nous diviser.

Nous sommes à la veille de la liberté, et d’une nouvelle forme de souveraineté. Demain une nouvelle ère. Je vous ai fait part du chemin qui me semblait le plus indiqué.

Mais face à la sauvagerie de nos élites, seul le premier pas compte :

Les dégager.

Il sera bien temps ensuite de tout le reste féconder. En une terre à nouveau libre.

En une terre où il sera à nouveau possible d’agir et de penser.

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macron va-t-en guerre

VoltairenetParis 2024 et Berlin 1936 au service d’un impossible rêve impérial

Voltairenet - 09 mai 2024

Thierry Meyssan : Emmanuel Macron n’a jamais eu d’égard pour la culture française.

   

Lors de sa première campagne électorale, il n’a cessé de la brocarder. Son ambition passait par la présidence de la République française, mais, à ses yeux, elle ne prenait de sens que dans l’Union européenne. Durant ses deux mandats, il n’a résolu que peu de problèmes français, mais a construit avec patience la transformation de l’UE en un empire d’une trentaine d’États.

Dans son esprit, les prochains Jeux Olympiques seront l’occasion de manipuler les masses pour magnifier les « États-Unis d’Europe » de sorte qu’elles seront spontanément prêtes à la dissolution des États-membres de l’UE.

Lors de son discours programmatique de La Sorbonne, il y a sept ans, il déclamait : « Quelques semaines après les élections européennes [de 2024], Paris accueillera les Jeux olympiques. Mais ce n’est pas Paris qui reçoit. C’est la France et avec elle, l’Europe qui feront vivre l’esprit olympique né sur ce continent. Ce sera un moment de rassemblement unique, une occasion magnifique de célébrer l’unité européenne. En 2024, l’Hymne à la joie retentira, et le drapeau européen pourra être fièrement arboré aux côtés de nos emblèmes nationaux ».

Oui, les Jeux Olympiques de 2024 à Paris seront l’occasion pour lui de mettre en scène sa vision du monde : à chaque victoire d’un État-membre, l’hymne européen devrait être joué, si rien n’entrave ce dessein. Sans aucun doute, l’UE serait alors la puissance victorieuse. Il réaliserait ainsi le rêve du chancelier Aldolf Hitler à Berlin en 1936. Il en a d’ailleurs déjà repris les codes. Ainsi, le relais de la flamme olympique, qui n’existait pas lors des Jeux originels, est une survivance du nazisme. Le chancelier allemand avait souhaité magnifier les corps des Aryens et traverser les Balkans, préfigurant ses conquêtes à venir. Le président français entend mobiliser les Français derrière son impossible rêve européen pour mieux les manipuler dans les semaines à venir. Il a d’ailleurs confié la réalisation de la torche à Usinor, désormais dénommé ArcelorMittal, comme son prédécesseur l’avait confiée au groupe d’armement Krupp.

Ne vous inquiétez pas, je ne compare pas Emmanuel Macron à Adolf Hitler pour sous-entendre que le président français serait raciste, mais cette allusion historique sera utile à la suite de mon propos. Pour le moment, retenez qu’il y aura des athlètes russes, mais pas d’hymne russe, et aucun champion inscrit au nom de l’Union européenne, mais des hymnes européens.

Pour comprendre le piège qui se prépare et dans lequel nous allons probablement tous tomber, il faut retracer ses étapes précédentes.

Lors de son discours du 27 septembre 2017, il déclarait : « Nous avons tourné la page d’une forme de construction européenne. Les pères fondateurs ont construit l’Europe à l’abri des peuples, parce qu’ils étaient une avant-garde éclairée, parce qu’on pouvait peut-être le faire, et ils ont avancé prouvant ensuite que cela fonctionnait ». Il posait alors les principes d’une mise en scène à laquelle nous avons assisté, parfois participé, sans comprendre.

• Le 25 juin 2018, il lançait l’Initiative européenne d’intervention. Il ne s’agissait pas d’un programme de l’UE. Au moins la moitié des États membres n’en voulait pas, y compris l’Allemagne. Aussi au départ, neuf États seulement y participèrent, dont le Royaume-Uni pourtant sur le départ de l’UE. Ils sont 14 aujourd’hui. Cette initiative est aujourd’hui à l’œuvre dans le Golfe persique (European Maritime Awareness in the Strait of Hormuz ou EMASoH). Elle initie une « capacité d’action autonome de l’Europe, en complément de l’Otan ».
La Mission européenne de l’Allemagne était, selon les nazis, de protéger les peuples d’Europe du bolchévisme. Aujourd’hui, la Mission de l’Union européenne, selon Emmanuel Macron, est de les protéger de la Russie.

Comprenez bien : il n’a jamais été question de créer une armée pour la défense collective des États-membres. C’est même tout le contraire auquel on assiste : la guerre en Ukraine est le prétexte à de gigantesques transferts d’armes, de sorte qu’aujourd’hui plus aucun État-membre n’a les moyens de se défendre plus de deux jours s’il était attaqué conventionnellement par un État développé. Contrairement aux discours sur le renforcement de la puissance militaire, le ministère français des Armées a, selon la Cour des Comptes, supprimé 3 599 postes de militaires l’année dernière. En définitive, nous sommes déjà, et deviendrons encore plus, dépendants des États-Unis et du Royaume-Uni, c’est-à-dire de l’Otan.

• Le 4 mars 2019, Emmanuel Macron publiait une tribune libre appelant à la création d’une « Conférence pour l’Europe afin de proposer tous les changements nécessaires à notre projet politique ». Elle devait « associer des panels de citoyens, auditionner des universitaires, les partenaires sociaux, des représentants religieux et spirituels ». Afin de définir « une feuille de route pour l’Union européenne traduisant en actions concrètes ces grandes priorités ». Notez que le président Macron écrivait « ces grandes priorités » avec un « c » et non pas un « s », afin de préciser que la Conférence devait exprimer les moyens de parvenir à un but qu’elle ne choisirait pas elle-même, mais qui lui était imposé.

Il s’agit de la reprise du Grand débat national qui a suivi la révolte des « Gilets jaunes ». 10 134 réunions publiques furent organisées, 19 899 cahiers de doléances furent ouverts, 16 337 mairies y participèrent, 569 000 contributions détaillées furent rédigées. Toutes ces discussions et cette paperasse finirent à la poubelle.

• Quelques mois plus tard, l’Allemande Ursula von der Leyen, présenta le programme de son administration, le 16 juillet 2019, en disant que « L’Europe est comme un long mariage. L’amour ne se développe pas nécessairement dès le premier jour, mais cela dépend ».

À partir de ce moment-là, l’Élysée et l’administration bruxelloise commencèrent à travailler à la transformation de l’Union en un « Empire », les communiquants disent plus joliment en une « fédération ». Il était clair qu’il ne serait pas possible de faire adopter ce bouleversement par voie de référendum. Aussi, l’administration Von der Leyen entendait procéder par étape : modifier les règles d’adoption par une procédure simplifiée puis, plus tard, dissoudre les États-membres et leur substituer un État centralisé.

• Durant son premier mandat, le président Emmanuel Macron a visité chacune des 28 capitales de l’UE. C’était sa campagne électorale pour justifier sa désignation à venir.

• D’avril 2021 à mai 2022, 830 « citoyens » européens se réunirent pour débattre de « L’avenir de l’Europe ». Cette conférence, ouverte par le président Emmanuel Macron, produisit 49 propositions et 326 mesures adressées aux présidents du Parlement, du Conseil et de la Commission.

Premières remarques : cette présentation des faits masque de vrais problèmes. Pour donner une apparence de légitimité au processus en cours, il s’agit de donner l’illusion que l’Empire européen n’est pas une idée venant d’en haut, mais un ardent désir des populations européennes. On parle donc de « citoyens » européens alors qu’il n’y a ni État européen, ni Peuple européen, donc pas de « citoyens » du tout. Les participants furent tirés au sort, ce qui donne l’illusion de leur représentativité et de la légitimité de leurs décisions. Or, dans la pratique, ils ont été rémunérés avec nos impôts alors qu’ils ne formaient pas une institution européenne. Ils ont adoptés certaines mesures dont ils ont longtemps discutées, mais ont aussi voté à la va-vite ce que Paris et Bruxelles souhaitaient qu’ils adoptent et qui va à l’encontre de leurs intérêts.

• Le 25 mars 2022, le Conseil européen, alors présidé par Emmanuel Macron, adoptait la Boussole stratégique. Celle-ci a d’abord défini des menaces, d’où elle a tracé les lignes directrices de sa stratégie. Elle a débouché sur la mise en place d’une Force de réaction rapide de 5 000 hommes.

• Le 9 juin 2022, le Parlement européen, après avoir adopté divers textes relatifs à la Conférence pour l’avenir de l’Europe, adopta une résolution (P9_TA(2022)0244) convoquant une Convention pour la révision des Traités, en application de l’article 48 du traité UE (Traité de Nice).

• Les 10 et 11 mars 2022, Emmanuel Macron convoquait une réunion informelle du Conseil européen à Versailles. Les chefs d’État et de gouvernement y ont approuvé la création d’un budget de soutien à l’Ukraine et le programme de changement de dépendance énergétique.

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l'effacement de la France

Égalité et RéconciliationMacron ou l'effacement de la France (extrait SAPTR 26)

Égalité et Réconciliation - 16 mar 2024

Episode complet disponible en VOD chez Kontre Kulture : kontrekulture.com/produit/soral-a-presque-toujours-raison-episode-26-mars-2024/

   

Au sommaire de ce SAPTR #26

00:27 – Suite de l’affaire « Grosse lesbienne »
02:34 – Plainte de la « Jeunesse française juive »
07:08 – Macron ou l’effacement de la France
15:47 – La destruction d’un pays par sa langue (1)
18:48 – La destruction d’un pays par sa langue (2)
20:24 – Rachida Dati ou la négation de la culture française
24:08 – Attal ou l’alliance de l’étoile et de la rondelle
28:40 – Attal vs Bardella : jeunisme contre jeunisme
37:14– BHL et Yakovleff : le déni pathologique de la victoire russe en Ukraine
42:50 – Terroir et mondialisme : le monde paysan en lutte pour sa survie
54:00 – Hautement symbolique : une famille de paysans écrasée par des OQTF
56:44 – Quand Todd dit (presque tout) comme Soral
01h03:34 – Gaza ou le grand révélateur
01h07:59 – La fin de la rente Shoah ?
01h17:33 – Le discrédit de la communication sioniste
01h25:38 – Jeunisme : les identitaires sont des gauchistes mentaux
01h29:57 – Quand Julien Dray se redécouvre hébreu
01h33:12 – Ni pardon ni oubli : la religion de la haine
01h37:26 – La purification ethnique a toujours été le projet sioniste
01h46:29 – L’avenir d’Israël ne peut être que l’Afrique du Sud
01h51:26 – Le retour aux fondamentaux de la gauche et de la droite
01h56:40 – L’honneur retrouvé de Jean-Luc Mélenchon
02h04:51 – L’incohérence utile des LGBT
02h07:34 – L’abjection sioniste d’une certaine droite catholique
02h12:26 – Les conséquences pour la France de demain ?
02h16:29 – Les solutions pour la France de demain ?
02h18:31 – La communauté juive dans la France de demain ?
02h23:12 – À l’aube d’une troisième guerre mondiale ?
02h29:29 – De la conscience malheureuse du Français d’extrême droite
02h35:02 – Élections américaines : comment voler encore Trump en 2024 ?
02h41:49 – Ne pas se tromper de choc de civilisations

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Le professeur Trouposol s’adresse à la nation

InsolentiaePour votre sécurité vous aurez la guerre !

Insolentiae - 16 mar 2024

Le professeur Trouposol s’adresse à la nation.

   

Haaaaaa…. dans la série Tintin chez les Popovs (ceux qui ont connu la guerre froide et les expressions de l’époque comprendront), notre professeur Trouposol nous a doctement expliqué que pour notre sécurité il fallait penser à faire la guerre… sinon nous pourrions avoir la guerre.

En tant que membre émérite de la 7ème compagnie, avec le chef Chaudard, sur le terrain, nous avons une autre perception de la situation.

Vous êtes assis j’espère… non parce que l’intro du grand chef est en mesure de vous faire tomber par terre !

« Vous êtes assis » dit-il aux journalistes. « Vous n’excluez pas de vous lever à la fin de l’émission » ? Donc les troupes au sol, c’est pareil. Voilà.

C’est simple la guerre.

Simple comme une bonne vanne.

Simple comme un « bon mot ».

Les manuels (pas les Emmanuels hein) retiendront donc, que la troisième guerre mondiale a eu lieu parce que Trouposol, ce jour-là n’excluait pas de se lever. Vous écouterez. C’est lunaire.

Un Mozart de l’ambiguïté stratégique.

Mais ce n’est pas tout…

Ensuite le Professeur Trouposol nous a expliqué qu’il produit 100 obus par jour et 75 canons César par an, et je suis heureux de même que nos ennemis les Russes de l’apprendre. Voilà des statistiques utiles pour gagner un guerre d’attrition. Y a personne à l’état-major pour expliquer au Tintin de l’Elysée qu’il ne faut pas donner certains éléments chiffrés ? Ou alors on intoxique et il fallait qu’il dise le professeur Trouposol que nous allions sortir dès 2025 750 canons César. Là le Kremlin aurait tremblé.

Bref.

Selon Trouposol il ne faut pas être lâche et il faut empêcher la Russie à tout prix de gagner en Ukraine, ce qui revient à dire qu’il faut faire perdre la Russie.

Si personne n’accepte au moins de perdre un peu alors il n’y a par définition aucune paix ou négociation possible, il n’y a que plus de guerre.

Macron n’a pas les moyens de cet adage. D’abord avec nos 3 100 milliards de dettes et nous y reviendrons, le professeur Trouposol du Palais, n’est pas fort. Notre armée peut potentiellement tenir un front de 80 à 200km en haute intensité pendant une semaine. Un peu court pour défier la Russie. Evidemment l’idée de génie de Trouposol c’est d’y aller « en Européens » avec les autres « copains ».

Nous n’avons donc pas la sagesse d’être fort.

Enfin l’enfant gâté du Palais n’est pas sage du tout parce qu’engager l’armée contre la Russie, nécessitera de passer par le Parlement. Et non, Macron, ne peut pas s’arroger le droit de décider seul d’emmener la France vers la guerre contre la Russie, de la même manière qu’il ne peut pas avoir la bêtise de tenter de nous faire croire que les intérêts vitaux « existentiels » de l’Europe sont menacés en Ukraine. C’est faux. Les frontières de l’Union Européenne sont connues, par les Russes également. Attaquer un pays membre de l’Union Européenne serait un casus belli. Nous sommes bien d’accord là-dessus.

L’Ukraine n’est pas dans l’Union Européenne. C’est peut-être très triste pour les Ukrainiens, mais ils ne sont en aucun cas dans nos intérêts vitaux et il est important de dire ce que signifie un affrontement potentiel avec la Russie. Nous ne perdrons pas 50 ou 80 soldats sur 8 ans comme en Afrique. Nous perdrons 50 à 60 % d’un corps expéditionnaire de 10 000 hommes. Voilà la réalité. Nous aurons des morts par milliers, pour terminer par la signature d’un traité de paix. Absurde. Sans sagesse.

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Candace Owens

Égalité et RéconciliationUSA : Candace Owens lance le BrigitteGate

Égalité et Réconciliation - 13 mar 2024

USA : Candace Owens, la jolie trumpiste aux 8M d’abonnés, lance le BrigitteGate.

   

Un petit air de Rihanna, un positionnement blacko-trumpiste, un podcast qui cartonne, un dossier bien potassé (merci F&D), et voilà une magnifique rampe de lancement au cœur de la politique US. L’affaire Brigitte vient de traverser l’Atlantique, thanks to Candace Owens.

Son podcast sur YouTube totalise 3M d’abonnés, et son compte X monte à 4,8M. Candace, plus honnête que les journalistes français mainstream, qui pompent et ne citent jamais F&D, a cité et relayé sa source.

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Poutine répond à l'Occident et Macron

Réseau InternationalVladimir Poutine répond à Emmanuel Macron

Réseau International - 12 mar 2024

Conséquences des déclarations de Macron.

   

« L’Occident continue de mentir et de terroriser le monde. Aujourd’hui, l’Occident prétend sans vergogne que la Russie aurait l’intention d’attaquer l’Europe. Mais vous et moi savons qu’ils racontent n’importe quoi ».

Vladimir Poutine

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macron va-t-en guerre

Le Media en 4-4-2Envoyer les civils français à la guerre ou alors la prison

Le Media en 4-4-2 - 02 mar 2024

Une loi permet à Macron d’envoyer les civils français en guerre ou à les emprisonner pendant 5 ans et 500.000€ d’amende s’ils refusent.

   

Qui s'en souvient de ce qu'il s'est passé à l'Assemblée nationale le 1er août 2023 ? Le gouvernement Macron a fait voter la possibilité de réquisitionner les biens et les personnes "en cas de menace", par décret en conseil des ministres. Cette décision suscite des inquiétudes quant à son potentiel d'abus et de restriction des libertés individuelles. Surtout depuis les déclarations complètement folles de notre Président concernant l'envoi de troupes au sol en Ukraine...

Selon les termes de cette loi, toute personne ou entité, physique ou morale, ainsi que tout bien ou service nécessaire, pourra être réquisitionné si une menace, actuelle ou prévisible, pèse sur les activités essentielles à la vie de la nation. Le gouvernement justifie cette mesure en affirmant qu’elle est cruciale pour faire face à d’éventuelles crises majeures, qu’elles soient d’ordre sécuritaire, sanitaire ou autre.

Ce texte législatif, intégré au projet de loi relatif à la programmation militaire pour les années 2024 à 2030, a été adopté en première lecture par l’Assemblée Nationale le 7 juin 2023. Les députés et sénateurs se sont réunis en commission mixte paritaire le 6 juillet 2023 pour discuter d’une version finale du projet de loi, avec l’espoir du gouvernement de le promulguer aux alentours du 14 juillet.

Art. L. 2212‑1
En cas de menace, actuelle ou prévisible (…) la réquisition de toute personne, physique ou morale, et de tous les biens et les services nécessaires pour y parer peut être décidée par décret en Conseil des ministres.

Art. L. 2212‑2
Lorsqu’il n’est pas fait application de l’article L. 2212‑1, en cas d’urgence, si la sauvegarde des intérêts de la défense nationale le justifie, le Premier ministre peut ordonner, par décret, la réquisition de toute personne, physique ou morale, de tout bien ou de tout service.

Art. L. 2212‑5
Les personnes physiques sont réquisitionnées en fonction de leurs aptitudes physiques & psychiques et de leurs compétences professionnelles ou techniques.

Art. L. 2212‑6
Dans le respect du présent titre, peut être soumis à une mesure de réquisition :
1° Toute personne physique présente sur le territoire national
2° Toute personne physique de nationalité française ne résidant pas sur le territoire national

Art. L. 2212‑9
Est puni d’un emprisonnement de 5 ans et d’une amende de 500.000€ le fait de ne pas déférer aux mesures légalement ordonnées en application des articles L. 2212‑1 et L. 2212‑2.

Les éléments essentiels de l’Article 23

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liquider Macron

Profession GendarmeLes ukrainiens avaient prévu de liquider Macron en Ukraine

Profession Gendarme - 20 fév 2024

Les autorités ukrainiennes préparaient une tentative d’assassinat contre le président français Emmanuel Macron lors de sa visite ratée à Kiev.

   

C’est cette circonstance qui a provoqué l’annulation soudaine du voyage du dirigeant français.

“France24” note que la liquidation de Macron a été préparée par le chef de la Direction principale du renseignement du ministère de la Défense de l’Ukraine, Kirill Budanov, sur ordre du président Vladimir Zelensky. Le plan d’assassinat a été déjoué par l’ancien commandant en chef des forces armées ukrainiennes Valery Zaluzhny, qui a transmis des informations aux Français par ses canaux. A Paris, les services de renseignement ont eu accès à la correspondance des organisateurs et des auteurs de cet attentat terroriste.

Les ukrainiens envisageaient de tuer le président français lors de sa visite à Kiev afin de provoquer un écho en Occident, car ils voulaient imputer la tentative d’assassinat aux « services spéciaux russes ». Des « preuves » fabriquées par les renseignements ukrainiens avaient été préparées.

Selon le plan des organisateurs, après l’attaque, l’Occident était censé tourner à nouveau son attention vers Kiev et y accroître ses livraisons d’armes. A Kiev, Macron entendait signer un accord bilatéral dans le domaine de la défense et de la sécurité.

Il a été rapporté précédemment que le président français allait aller visitez l’Ukraine les 13 et 14 février et visitez Kiev et Odessa. L’Elysée a annulé pour une durée indéterminée la visite de deux jours du chef de l’Etat pour des raisons de sécurité. Ce voyage était censé être tout à fait national et dirigeant pour Macron, et non international et solidaire. Depuis la création de la Région militaire Nord de la Russie, il est venu en Ukraine uniquement en compagnie des chefs de gouvernement allemand et italien.

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Macron veut des guerres

Égalité et RéconciliationPourquoi Macron veut-il tellement pousser le monde à la guerre ?

Égalité et Réconciliation - 06 fév 2024

Pourquoi la guerre ? Pourquoi Macron veut il tellement forcer le monde à la guerre ? C’est peut-être la question que nous devrions nous poser, pour résoudre un problème il faut en connaitre les raisons. Elles sont multiples mais convergentes.

   

Blanchiment d’argent. Le problème essentiel d’un gouvernement est de faire rentrer de l’argent dans son économie réelle. Comment ? par exemple le RMI, l’argent est donné aux clochards qui le dépensent tout de suite (les clochards ne capitalisent pas) et ainsi est créé du cash-flow pour l’économie. C’est bien mais les sommes sont ridicules. Sur le même principe, l’État vote des aides à l’Ukraine ; l’argent est donné à des pions qui le dépensent tout de suite en armements et ainsi créent du cash-flow pour le militaro-industriel.

Mais la masse monétaire de l’économie réelle, vous, votre boulanger, le restaurant, le plombier, a une fuite ; à savoir la capitalisation et les paradis fiscaux. Quand un riche planque ses sous aux Caraïbes, c’est autant de masse monétaire en moins dans le circuit réel. Et ce n’est pas un petit ruisseau qui coule, ni une rivière, ami lecteur, une rivière que dis-je, c’est un fleuve, l’Amazone, c’est le Gulf Stream.

- Mais quand l’État donne de l’argent, aux clochards, à l’industrie militaire, aux agriculteurs, d’où vient cet argent ? De la création ex nihilo, c’est-à-dire de rien. La monnaie est créée d’une ligne sur un ordi. Mais qui a ce pouvoir ? Qui a le pouvoir de faire des lignes de plusieurs milliards de mille sabords ? Qui est le bon dieu ?

Le bon Dieu appartient à ceux qui y croient. L’argent existe parce que on y croit. De la nécessité de croire c’est autre chose. Croire c’est être actif, ne pas croire est une position passive. Les bœufs ne croient pas. Une population qui ne croit en rien est le rêve du pouvoir totalitaire. La nécessité de croire est réelle pour construire une civilisation ; n’en déplaise à Harari, la croyance est réelle. Voir la fabrique du réel.

Mais revenons à pourquoi la guerre. Qui fabrique la monnaie ? Ce pouvoir a été enlevé aux rois, il appartient théoriquement aux nations, mais ce pouvoir a été soustrait aux nations. Le pouvoir de créer de la monnaie appartient aux banques privées. Les banques privées garantissent la valeur de la monnaie. Mais qui garantit les banques privées ?

Un peu d’histoire, la vraie. Depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, depuis les accords de Bretton Woods ; 22 juillet 1944, la FED – La Réserve fédérale des États-Unis – gère la quantité d’or de l’Occident.

Comme la masse monétaire se réduit perpétuellement du fait du Gulf Stream, il faut perpétuellement la recréditer, comment ? Les banques font la cavalcade, ce pas de charge des chevaux de l’armée napoléonienne. La cavalcade dans le jargon de la finance c’est l’acte de payer un crédit en prenant un autre crédit, qui sera financé par un autre crédit.

C’est-à-dire que la fortune des banques consiste en quantité de… crédits. Les banques ne possèdent que des dettes, et avec ces dettes, impriment des billets qui représentent de la valeur.

Ce qui permet d’exporter de la monnaie et de recevoir des marchandises en retour. Cela a donné à l’Occident une énorme puissance financière et lui a permis de fonctionner comme un parasite de l’économie mondiale.

Ce mécanisme d’augmentation de la dette arrive à un niveau tel que nous avons essentiellement mis en débit tout ce que nous possédons, y compris nos maisons et nos terres, pour maintenir notre niveau de vie. Nous ne possédons plus rien, maintenant que la dette a été soustraite. La dette est depuis longtemps devenue inutilisable – bien au-delà de notre capacité à payer des intérêts – ce qui explique pourquoi les taux d’intérêt en Occident sont proches de zéro. Toute augmentation rendrait la dette irréparable et nous ferions tous officiellement faillite en un jour. Nous sommes en 15 août 1971, Nixon met fin au régime de Bretton Woods, tout le monde sait cela.

Nixon signe l’arrêt de mort de Bretton Woods. La monnaie mondiale peut et doit être fabriquée en abondance, ce qui sape la confiance dans le dollar. Mais le dollar, pour recréer de la confiance, s’appuie sur le mécanisme du pacte du Quincy, soit la rencontre du 14 février 1945 du roi Saoud et de Roosevelt. Le pacte mentionne la protection de l’Arabie Saoudite par la force militaire US en contrepartie de quoi, le royaume Saoud s’engage à vendre son pétrole uniquement en dollars.

Ce pacte est fondamental car il contient l’équilibre du monde. En effet, acheter son énergie en dollars est une garantie que le dollar sera toujours demandé, donc toujours valable. Par extension, les US et leur armée ont forcé le monde à tout négocier en dollars, se garantissant le fait que le dollar soit toujours demandé. Les États-Unis s’installent dans la position de débiteurs à l’égard du reste du monde, et laissent les autres pays les financer en accumulant des dollars, concrètement c’est une position de prédateur, ou de parasite. Obama a poussé le bouchon jusqu’à imposer l’extra-territorialité de la loi américaine. C’est-à-dire quiconque utilise le dollar se trouve sous la loi américaine. Loi toute relative sur qui celle-ci s’exerce. Ce sont les fameuses règles du Nouvel Ordre mondial. « Le monde a besoin de règles » chantonnent toutes les marionnettes du pouvoir, ces règles ne sont que les ordres des dominants.

Ceci permet aux banques américaines – car la Fed appartient à un petit conglomérat de banques privées – de mettre le monde en coupe réglée. D’asservir le monde, c’est le plan. Toutes les nations refusant de se soumettre sont détruites, alimentant le militaro-indus US. Double bénéfice.

Par ailleurs les USA prennent bien soin de diviser, diviser pour mieux régner, tout groupe de nations qui pourrait faire bloc pour résister. Triple bénéfice. Seulement voilà.

Voila, tout le monde n’est pas d’accord.

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