La moutarde est faite à partir de graines qui contiennent de l’isothiocyanate d’allyle (AITC). Il a été scientifiquement démontré que ce dernier « inhibe fortement le développement du cancer de la vessie», selon une étude publiée en 2010 dans la revue scientifique Cercinogenesis.
Mais ce qui est encore plus étonnant, c’est que l’AITC présent dans les graines de moutarde bloque les composés cancérigènes des composants présents notamment dans les viandes transformées – d’où l’importance de rajouter de la moutarde dans son hot dog !
Mais les graines ne sont pas le seul composant anti-cancérigène de la moutarde. En effet, si on analyse l’étiquette de composition d’un pot de moutarde (exemple ici de la Moutarde French’s, composée de : vinaigre distillé, eau, graines de moutarde, sel, curcuma, paprika, arômes naturels et poudre d’ail), on se rend compte qu’au moins 5 des ingrédients contenus dans la moutarde aurait des propriétés anti-cancérigènes ! Le vinaigre, la moutarde, le curcuma, le paprika et l’ail.
De même, la haute teneur en oxydants et en sélénium contenu dans la moutarde protège contre le cancer colorectal, le cancer de la prostate, le cancer du poumon, de même que certaines maladies cardiovasculaires.
Lorsqu’un gouvernement est incapable d’organiser ou d’assurer les conditions d’un bon approvisionnement, il rationne et organise la pénurie.
Comme pour tout bon gouvernement socialisto-communiste, en France nous ne faisons pas exception à la règle et tout se termine toujours dans la pénurie, le manque, et l’absence.
Cette pénurie actuelle de médicament ne doit strictement rien au hasard et tout à l’action publique, et les médias cachent l’essentiel de la vérité.
Oui.
C’est le gouvernement qui est responsable des pénuries.
Pourquoi ?
Parce que dans un monde globalisé, mondialisé, où l’on a délocalisé volontairement nos usines, et où l’on a abandonné volontairement tous les droits de douane, on a décidé (en réalité on nous l’a imposé) de laisser jouer la concurrence internationale.
Le marché français du médicament n’est plus qu’un petit marché de 67 millions d’habitants dans un océan de 8 milliards de gens à soigner. Dans un tel monde et quand la demande est forte, l’ajustement se fait toujours par le prix… et la pénurie.
Ceux qui peuvent payer ou veulent payer sont servis. Les autres, se voient imposer la pénurie.
Afin de garantir la sécurité énergétique cet hiver, la Suisse pourrait devenir le premier pays à limiter la conduite et l’utilisation des VE, rapporte le quotidien allemand Der Spiegel, citant de multiples médias sur le plan d’action suisse en quatre étapes visant à éviter les pannes d’électricité.
La conduite de VE pourrait être interdite en Suisse, sauf en cas de « trajets absolument nécessaires », selon la troisième étape des plans d’économie d’énergie. Le pays prévoit également une limitation de vitesse plus stricte sur les autoroutes dans le plan d’action récemment proposé, qui doit encore être adopté.
La Suisse importe généralement de l’électricité de France et d’Allemagne pour répondre à l’ensemble de ses besoins en électricité, mais cette année, l’offre de ses voisins est limitée.
En 2021, ils ont consommé quatre à sept fois plus d’eau que ce qui avait été consigné dans les engagements, soit 84 millions de litres d’eau potable.
Les centres de stockage de données, plus communément appelés "data centers", sont les lieux où sont regroupés tous les équipements et constituants d’un système d’information. Occupé par Microsoft, le site de Middenmeer s’était engagé à ne consommer qu’entre 12 et 20 millions de litres d’eau potable par an, en accord avec la municipalité de Hollands-Kroon.
Or, bien que l’information ait été classifiée, le média local Noordhollands Dagblab a eu accès aux chiffres réels, et a révélé que 84 millions de litres d’eau ont été dépensés pour l’année 2021. Dans le détail, l’enquête indique que Microsoft a consommé 75 millions de litres d’eau pour refroidir ses centres de données, et neuf millions de litres pour d’autres usages.
Ils le préparent depuis des années sous vos yeux qui n’en croient pas une miette, après le Covid et les injections mortelles, la guerre en Ukraine repris à grand renfort médiatique par les mondialistes satanique qui leur procure là, la meilleure couverture et excuse pour poursuivre leurs plans de dépopulation mondiale, voici la famine organisée sous vos yeux.
Pourtant, en juillet 2020, la Fondation Rockefeller l’avait déjà prédit et appelait à une refonte du système alimentaire dans son ensemble pour y remédier.
Il semble que rien n’échappe aux esprits prophétiques des concepteurs autoproclamés de l’avenir. Ils prévoient avec précision les « catastrophes naturelles » et prédisent les « actes de Dieu » fortuits. Ils savent tout avant que cela n’arrive. Peut-être sont-ils vraiment des prophètes. Ou peut-être décrivent-ils simplement les résultats inévitables de leurs propres actions.
Le document en question, intitulé « Reset the Table: Meeting the Moment to Transform the U.S. Food System « 1, publié par la Fondation Rockefeller le 28 juillet 2020, décrit comment la pandémie de COVID a provoqué « une crise de la faim et de la nutrition » aux États-Unis « sans équivalent dans ce pays depuis des générations ».
« Qui contrôle l’approvisionnement alimentaire contrôle le peuple ; qui contrôle l’énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l’argent peut contrôler le monde. »