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Controligarchs

The DefenderControligarchs : Dénonciation de la classe des milliardaires et leurs accords secrets

The Defender - 09 déc 2023

L’auteur de “Controligarchs” dénonce “la classe des milliardaires, leurs accords secrets et le complot mondialiste visant à dominer votre vie.

   

Dans son nouveau livre, “Controligarcs: Exposing the Billionaire Class, their Secret Deals, and the Globalist Plot to Dominate Your Life,” (La classe des milliardaires, leurs accords secrets et le complot mondialiste pour dominer votre vie), l’auteur Seamus Bruner explore la longue histoire des eugénistes, des technocrates et des ingénieurs sociaux, des Rockefeller et du Club de Rome à Bill Gates, Jeffrey Epstein, Mark Zuckerberg, Klaus Schwab et autres membres du Forum économique mondial, (WEF) – qui utilisent leur fortune, souvent sous l’apparence de la philanthropiepour s’enrichir tout en promouvant un avenir antidémocratique et dystopique pour le reste d’entre nous.

“Imaginez un monde où vous ne possédez rien et où vous louez tout”, prévient M. Bruner dans les notes du livre. “La plupart des protéines de votre alimentation proviennent d’insectes. Vous n’avez pas le droit d’avoir plus d’un enfant et vos données financières et médicales sont instantanément transférées à une base de données gouvernementale centralisée au moyen d’une puce sous-cutanée“.

Seamus Bruner s’est entretenu avec The Defender pour discuter de son livre, de l’état du monde et de sa vision de l’humanité.

M. Bruner, directeur de recherche à l’Institut pour la responsabilté gouvernementale Government Accountability Institute (GAI), a déclaré qu’il avait perfectionné son art du journalisme d’investigation en aidant le fondateur du GAI, Peter Schweizer, à rédiger son livre de 2011,Throw Them All Out: How Politicians and Their Friends Get Rich Off Insider Stock Tips, Land Deals, and Cronyism That Would Send the Rest of Us to Prison.” (Jetez-les tous dehors: comment les hommes politiques et leurs amis s’enrichissent grâce à des conseils d’initiés, des transactions foncières et des pratiques de copinage qui enverraient le reste d’entre nous en prison”.

Ce projet a donné lieu à deux exposés dans le cadre de l’émission “60 Minutes” et, en fin de compte, à l’adoption de la loi “Stop Trading on Congressional Knowledge Act” ( STOCK Act), votée en 2012, selon M. Bruner. “Cette expérience m’a également dissuadé de me lancer dans la politique”, a-t-il déclaré.

“Suivre l’argent est notre devise ici [at GAI]”, a déclaré M. Bruner, dont les enquêtes ultérieures sont documentées dans ses livres “Compromised: How Money and Politics Drive FBI Corruption” (2018) et “Fallout: Nuclear Bribes, Russian Spies, and the Washington Lies That Enriched the Clinton and Biden Dynasties” (2020, avec John Solomon).

M. Bruner, qui étudie pour devenir un spécialiste certifié de la lutte contre le blanchiment d’argent, a déclaré : “Nous ne sommes pas contre les milliardaires sur le plan conceptuel, mais contre ceux qui veulent utiliser leur argent, leur pouvoir et leur influence pour exercer un contrôle sur votre vie”.

“Les dix hommes les plus riches de la planète – dont Gates, [Jeff] Bezos, Zuckerberg et [Elon] Musc – ont doublé leur valeur nette personnelle combinée au cours de pandémie Covid-19 “, écrit Seamus Bruner dans “Controligarchs”, “alors que la classe moyenne en déclin a souffert et que plus de 160 millions de personnes à travers le monde [worldwide] ont été poussées dans la pauvreté”.

“Controligarchs” retrace l’histoire de certaines des familles les plus riches de la planète et explique comment elles ont utilisé leur richesse et leur influence pour mettre en place des projets tels que Agenda 2030, l’Open Society, La grande remise à zéro ainsi qu’un mouvement transhumaniste – et des organisations telles que la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies et le Wellcome Trust, – qui se traduisent par une guerre virtuelle contre les agriculteurs et l’alimentation, contre le consentement éclairé et les options de guérison naturelle, contre l’énergie et l’emploi, contre la liberté d’expression et d’autres droits inaliénables.

Les Rockefeller et la prise de contrôle de la santé publique...

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ONU New-York

VoltairenetThierry Meyssan : Quel ordre international ?

Voltairenet - 10 nov 2023

Nous reproduisons le texte de l’intervention de Thierry Meyssan à Magdebourg (Allemagne), lors de la conférence organisée par le magazine Compact, « Amitié avec la Russie » , le 4 novembre 2023.

   

Il y explique ce qui constitue, selon lui, la différence fondamentale entre les deux conceptions de l’ordre du monde qui s’affrontent aujourd’hui du Donbass à Gaza : celle du bloc occidental et celle à laquelle se réfère le reste du monde. Il ne s’agit pas de savoir si cet ordre doit être dominé par une puissance (unipolaire) ou par un groupe de puissances (multipolaire), mais s’il doit être, ou non, respectueux de la souveraineté de chacun. L’auteur s’appuie sur l’histoire du Droit international, tel que le Tsar Nicolas II et le Prix Nobel de la Paix Léon Bourgeois l’ont conçu.

Nous avons vu les crimes de l’Otan, mais pourquoi affirmer notre amitié avec la Russie ? N’y a-t-il pas un risque de voir celle-ci se comporter demain comme l’Otan aujourd’hui ? N’allons-nous pas substituer un esclavage à un autre ?

Pour répondre à cette question, je m’appuierais sur mon expérience successive de conseiller de cinq chefs d’État. Partout, les diplomates russes m’ont dit : vous faites fausse route : vous vous engagez à éteindre un incendie ici, alors qu’un autre a débuté ailleurs. Le problème est plus profond et vaste.
Je voudrais donc vous décrire la différence entre un ordre mondial fondé sur des règles et un autre basé sur le Droit international. Il ne s’agit pas d’une histoire linéaire, mais d’un combat entre deux conceptions du monde ; un combat qu’il nous appartient de poursuivre.

Au XVII° siècle, les Traités de Westphalie ont posé le principe de la souveraineté des États. Chacun est égal aux autres et nul ne peut s’ingérer dans les affaires intérieures des autres. Ce sont ces Traités qui ont régi, durant des siècles, aussi bien les relations entre les actuels Länders que celles entre les États européens. Ils ont été réaffirmés par le Congrès de Vienne, en 1815, lors de la défaite de Napoléon Ier.

À la veille de la Première Guerre mondiale, le Tsar Nicolas II convoqua deux Conférences internationales de la Paix (1899 et 1907), à La Haye, afin de « rechercher des moyens les plus efficaces d’assurer à tous les peuples les bienfaits d’une paix réelle et durable ». Il les prépara avec le pape Benoît XV sur la base du droit canon et non pas sur le droit du plus fort. 27 États en signèrent les travaux finaux, après deux mois de délibérations. Le président du Parti [républicain] radical français, Léon Bourgeois, y présenta sa réflexion sur la dépendance réciproque des États et sur l’intérêt qu’ils ont à s’unir malgré leurs rivalités.
Sous l’impulsion de Léon Bourgeois, la Conférence créa une Cour internationale d’arbitrage chargée de régler des conflits par la voie juridique plutôt que par la guerre. Selon Bourgeois, les États n’accepteront de se désarmer que lorsqu’ils auront d’autres garanties de sécurité. Le texte final institue la notion de « devoir des États à éviter la guerre »… en recourant à l’arbitrage.

Sous l’impulsion d’un ministre du Tsar, Frédéric Fromhold de Martens, la Conférence convint que, durant un conflit armé, les populations et les belligérants doivent rester sous la protection des principes qui résultent « des usages établis entre nations civilisées, des lois de l’humanité et des exigences de la conscience publique ». Bref les signataires s’engageaient à ne plus se comporter en barbares.
Ce système ne fonctionne qu’entre États civilisés qui honorent leur signature et rendent des comptes à leur opinion publique. Il échoua, en 1914, parce que les États avaient perdu leur souveraineté en concluant des traités de Défense leur imposant d’entrer en guerre de manière automatique dans certaines circonstances qu’ils ne pouvaient apprécier eux-mêmes.

Les idées de Léon Bourgeois firent leur chemin, mais rencontrèrent des oppositions, dont celle de son rival au sein du Parti radical, Georges Clemenceau. Ce dernier ne croyait pas que les opinions publiques puissent empêcher des guerres. Les Anglo-Saxons, le président des États-Unis, Woodrow Wilson, et le Premier ministre britannique, Lloyd George, ne le croyaient pas non plus. Les trois hommes substituèrent la Force des vainqueurs au Droit international balbutiant à l’issue de la Première Guerre mondiale. Ils se partagèrent le monde et les restes des empires austro-hongrois, allemand, et ottoman. Ils rejetèrent l’entière responsabilité des massacres sur la seule Allemagne, niant les leurs. Ils lui imposèrent un désarmement sans garanties. Pour prévenir l’émergence d’un rival de l’Empire britannique en Europe, les Anglo-Saxons commencèrent à dresser l’Allemagne contre l’URSS et obtinrent le silence de la France en l’assurant qu’elle pourrait piller le II° Reich vaincu. D’une certaine manière, comme l’a dit le premier président de la République fédérale, Theodor Heuss, ils ont organisé les conditions du développement du nazisme.
Comme ils en étaient convenus entre eux, les trois hommes remodelèrent le monde à leur image (les 14 points de Wilson, les accords Sykes-Picot, la déclaration Balfour). Ils créèrent le foyer juif de Palestine, disséquèrent l’Afrique et l’Asie et tentèrent de réduire la Turquie à sa portion congrue. Ils organisèrent tous les désordres actuels du Moyen-Orient.

C’est pourtant sur la base des idées de feu Nicolas II et de Léon Bourgeois que la Société des Nations (SDN) fut instituée après la Première Guerre mondiale, sans la participation des États-Unis qui refusaient ainsi officiellement toute idée de Droit international. Cependant, la SDN échoua aussi. Non pas parce que les États-Unis refusèrent d’en faire partie, comme on le dit. C’était leur droit. Mais d’abord parce qu’elle fut incapable de rétablir une stricte égalité entre les États, le Royaume-Uni s’opposant à considérer égaux les peuples colonisés. Ensuite parce qu’elle ne disposa pas d’armée commune. Et enfin parce que les nazis massacrèrent leurs opposants, détruisant l’opinion publique allemande, violèrent la signature de Berlin et n’hésitèrent pas à se comporter en barbares.

Dès la Charte de l’Atlantique, en 1942, le nouveau président états-unien Franklin Roosevelt, et le nouveau Premier ministre britannique, Winston Churchill, se fixèrent comme objectif commun d’instaurer un gouvernement mondial à l’issue du conflit. Les Anglo-Saxons, qui s’imaginaient pouvoir gouverner le monde, ne furent pas pour autant d’accord entre eux sur la manière d’y procéder. Washington ne souhaitait pas que Londres se mêle de ses affaires en Amérique latine, tandis que Londres n’entendait pas partager l’hégémonie de l’Empire sur lequel « le soleil ne se couchait jamais ». Les Anglo-Saxons signèrent quantité de traités durant la Guerre avec les gouvernements alliés, notamment ceux, en exil, qu’ils hébergeaient à Londres.

Au demeurant, les Anglo-Saxons ne parvinrent pas à vaincre le III° Reich, ce furent les Soviétiques qui le renversèrent et prirent Berlin. Joseph Staline, le premier secrétaire du PCUS, était opposé à l’idée d’un gouvernement mondial, qui plus est anglo-saxon. Il souhaitait juste un organisme capable de prévenir de futurs conflits. Quoi qu’il en soit, ce sont les conceptions russes qui ont accouchées du système : celui de la Charte des Nations unies, lors de la conférence de San Francisco.

Dans l’esprit des conférences de la Haye, tous les États membres de l’Onu sont égaux. L’Organisation comprend un tribunal interne, la Cour internationale de Justice, chargé de régler les conflits qui surgissent entre ses membres. Cependant, compte tenu des expériences précédentes, les cinq puissances victorieuses disposent d’un siège permanent au Conseil de sécurité avec un veto. Vu qu’il n’y avait aucune confiance entre eux (les Anglo-Saxons avaient envisagé de poursuivre la guerre avec les troupes allemandes restantes contre l’URSS) et que l’on ignorait comment se comporterait l’Assemblée générale, les différents vainqueurs voulaient s’assurer que l’Onu ne se retourne pas contre eux (les États-Unis avaient commis d’effroyables crimes de guerres en lançant deux bombes atomiques contre des civils, alors que le Japon… préparait sa reddition aux Soviétiques). Mais les grandes puissances ne comprenaient pas du tout le veto de la même manière. Pour les uns, c’était un droit de censurer les décisions des autres, pour d’autres, c’était l’obligation de prendre les décisions à l’unanimité des vainqueurs.

Sauf que dès le début, les Anglo-Saxons n’ont pas joué le jeu : un État israélien s’est auto-proclamé (14 mai 1948) avant que l’on ait convenu de ses frontières, puis l’envoyé spécial du secrétaire général des Nations unies qui devait veiller à la création d’un État palestinien, le comte Folke Bernadotte, fut assassiné par des suprémacistes juifs, sous le commandement d’Yitzhak Shamir. En outre, le siège du Conseil de sécurité dévolu à la Chine, dans le contexte de la guerre civile chinoise finissante, a été donné au Kuomintang de Tchang Kaï-chek et non pas à Beijing. Les Anglo-Saxons proclamèrent l’indépendance de leur zone d’occupation coréenne sous le nom de « République de Corée » (15 août 1948), créèrent l’Otan (4 avril 1949), puis proclamèrent l’indépendance de leur zone d’occupation allemande sous le nom d’« Allemagne fédérale » (23 mai 1949).

Considérant qu’on l’avait bernée, l’URSS claqua la porte (politique du « siège vide »). Le Géorgien Joseph Staline avait cru, à tort, que le veto n’était pas un droit de censure, mais une condition d’unanimité des vainqueurs. Il pensait bloquer l’organisation en la boycottant.
Les Anglo-Saxons interprétèrent le texte de la Charte qu’ils avaient rédigé et profitèrent de l’absence des Soviétiques pour poser des « casques bleus » sur la tête de leurs soldats et ont livré une guerre aux Coréens du Nord (25 juin 1950) au « nom de la communauté internationale » (sic). En définitive, le 1er août 1950, les Soviétiques revinrent à l’Onu, après 6 mois et demi d’absence.

Si le Traité de l’Atlantique Nord est légal, le règlement intérieur de l’Otan viole la Charte des Nations unies. Il place les armées alliées sous le commandement des Anglo-Saxons. Son commandant-en-chef, le SACEUR, est obligatoirement un officier états-unien. Selon son premier secrétaire général, Lord Ismay, le véritable objectif de l’Alliance n’est ni de préserver la paix, ni de lutter contre les Soviétiques, mais de « Garder les Américains à l’intérieur, les Russes à l’extérieur et les Allemands sous tutelle ». Bref, c’est le bras armé du gouvernement mondial que Roosevelt et Churchill voulaient créer. C’est en application de ce but que le président Joe Biden a ordonné le sabotage du gazoduc Nord Stream qui reliait la Russie à l’Allemagne.

À la Libération, le MI6 et l’OPC (c’est-à-dire la future CIA) ont secrètement installé un réseau stay-behind en Allemagne. Ils y ont placé des milliers de responsables nazis qu’ils ont aidés à échapper à la Justice. Klaus Barbie, qui tortura le coordinateur de la Résistance française Jean Moulin, devint le premier commandant de cette armée de l’ombre. Puis ce réseau fut incorporé au sein de l’Otan où il fut largement réduit. Il fut alors utilisé par les Anglo-Saxons pour s’ingérer dans la vie politique de leurs prétendus alliés, en réalité de leurs vassaux.

Les anciens collaborateurs de Joseph Goebbels créèrent la Volksbund für Frieden und Freiheit. Ils persécutèrent les communistes allemands avec l’aide des États-Unis. Plus tard les agents stay-behind de l’Otan purent manipuler l’extrême-gauche pour la rendre détestable. C’est par exemple le cas de la bande à Bader. Mais comme ces hommes furent arrêtés, le stay-behind vint les assassiner en prison, avant qu’ils ne soient jugés et parlent. En 1992, le Danemark, a espionné la chancelière Angela Merkel sur instruction de l’Otan, comme en 2022, la Norvège, autre membre de l’Otan, a aidé les États-Unis à saboter Nord Stream…

Revenons au Droit international, progressivement les choses sont rentrées dans l’ordre jusqu’à ce que l’Ukrainien Léonid Brejnev fasse, en Europe centrale, en 1968 lors du printemps de Prague, ce que les Anglo-Saxons faisaient partout ailleurs : il interdit aux États alliés de l’URSS de choisir un autre modèle économique que le sein.

C’est à la dissolution de l’URSS que les choses commencèrent à empirer. Le sous-secrétaire à la Défense US, Paul Wolfowitz, élabora une doctrine selon laquelle, pour rester les maîtres du monde, les États-Unis devaient tout faire pour prévenir l’émergence d’un nouveau rival, à commencer par l’Union européenne. C’est en application de cette idée que le secrétaire d’État James Baker imposa l’élargissement de l’Union européenne à tous les anciens États du Pacte de Varsovie et de l’URSS. En se développant ainsi, l’Union se privait de la possibilité de devenir une entité politique. C’est toujours en application de cette doctrine que le Traité de Maastricht a placé l’UE sous la protection de l’Otan. Et c’est encore en application de cette doctrine que l’Allemagne et la France paient et arment l’Ukraine.

Vint alors le professeur tchéco-US Josef Korbel. Il proposa aux Anglo-Saxons de dominer le monde en réécrivant les Traités internationaux. Il suffisait selon lui de substituer le droit anglo-saxon, fondé sur la coutume, à la rationalité du droit romain. De la sorte, tous les Traités donneraient à long terme l’avantage aux puissances dominantes : les États-Unis et le Royaume-Uni, liés par une « relation spéciale », selon les mots de Winston Churchill. La fille du professeur Korbel, la démocrate Madeleine Albright devint ambassadrice à l’Onu, puis secrétaire d’État. Puis, lorsque la Maison-Blanche passa aux mains des Républicains, la fille adoptive du professeur Korbel, Condoleeza Rice, lui succéda en tant que conseillère nationale de Sécurité, puis secrétaire d’État. Pendant deux décennies, les deux « sœurs » ont patiemment réécrit les principaux textes internationaux, prétendument pour les moderniser, en fait pour en changer l’esprit.

Aujourd’hui, les Institutions internationales fonctionnent selon des règles édictées par les Anglo-Saxons, basées sur les précédentes violations du Droit international. Ce droit n’est écrit dans aucun code, puisqu’il s’agit d’une interprétation de la coutume par la puissance dominante. Tous les jours, nous substituons des règles injustes au Droit international et nous violons notre propre signature.

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Pierre Hillard vs Xavier Moreau

StratpolLa Russie est-elle un agent du mondialisme

Stratpol - 04 nov 2023

Débat entre Pierre Hillard et Xavier Moreau.

   

Libre Journal des controverses du 28 octobre 2023 animé par Mike Borowski.

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Poutine sur Schwab

Réseau InternationalPoutine avertit le «terroriste mondialiste» Klaus Schwab que ses «jours sont comptés»

Réseau International - 08 oct 2023

Le fondateur du Forum économique mondial (WEF), Klaus Schwab, est un «terroriste mondialiste» qui «rançonne l’humanité», selon le président russe Vladimir Poutine, qui a averti l’élite que son nouvel ordre mondial avait échoué et que ses «jours étaient comptés».

   

Le président russe Vladimir Poutine a prononcé un discours le 5 octobre lors de la session plénière de la 20ème réunion du Club de discussion international Valdai à Sochi et a souligné les changements tectoniques et irréversibles qui se produisent dans l’ordre mondial.

Selon Poutine, les mondialistes, dont Schwab et ses proches conseillers, sont des «cibles militaires légitimes» parce qu’ils ont activement tenté de prendre le pouvoir illégalement par le biais d’un coup d’État mondialiste.

Il y a seize ans, lors de la conférence de Munich sur la sécurité, Poutine a déclaré aux dirigeants occidentaux que le type naturel de système international était la multipolarité, montrant clairement que la Russie s’opposerait à la création d’un nouvel ordre mondial fondé sur l’ordre international libéral basé sur des règles et poussé agressivement par l’élite mondialiste et ses politiciens libéraux dans les démocraties occidentales.

L’heure de vérité a sonné, selon Poutine, et les plans de l’élite mondiale pour un nouvel ordre mondial reculent sous nos yeux tandis qu’un nouveau monde multipolaire, dans lequel les cultures traditionnelles conservent leur héritage à l’intérieur de leurs propres frontières, se lève comme un phénix.

Poutine expose six principes de civilisation pour le monde de l’après-Nouvel Ordre Mondial...

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phénomène OVNI

Profession GendarmeL’exploitation du phénomène Ovni : dernière cartouche des globalistes ?

Profession Gendarme - 03 oct 2023

E.T, la dernière carte de la cabale ?

   

Pour dissocier le faux du vrai dans les témoignages d’apparitions d’ovnis, les médias grand-public occidentaux s’appuient sur les conclusions d’organismes d’études officiels, dont le but essentiel est d’élaborer un dogme uniforme et policé auprès de leur population. En fonction des objectifs des gouvernements, ces comptes rendus peuvent soit nier l’évidence, soit alimenter la peur.

Ce résumé s’appuie sur la perception du phénomène aux Etats-Unis et en France, car aucun regroupement des commissions d’enquête n’a lieu à un niveau international. Le peu d’informations qui transpirent laisse à penser qu’il en est ainsi dans tout le monde occidental.

Les comités « Théodule » qui se sont succédé depuis 1950 ont tous employé des techniques équivalentes pour expliquer les phénomènes ovnis : décrédibiliser le témoin par ses antécédents, objecter un manque d’informations fiables, associer l’observation à un phénomène physique banal (ballon sonde, avion, météorite, reflet sur l’eau, lune, lampadaire…)

Le petit nombre d’événements qui ne rentre manifestement pas dans le cadre de ces explications simplistes est tout simplement ignoré.

Les commissions sont à sens unique, elles pompent tous les témoignages, mais ne restituent rien. La commission Majestic12, très secrète, a la particularité d’être privée, et agit pour le compte de Rockfeller and Co, au cas où il y aurait quelque chose à breveter.

Le phénomène Ovni a récemment été à juste titre requalifié en PAN (Phénomène Aérien Non-identifié) ou UAP (Unidentified Aerial Phenomena). Néanmoins, on n’a pas souhaité faire allusion dans le sigle au comportement intelligent du phénomène.

La solution radicale employée par les armées du monde entier est de lancer sans sommations la chasse aérienne avec ordre de tirer pour abattre l’intrus, alors qu’un ovni ne devient agressif que si le témoin est, le premier, l’agresseur. Vous avez dit fraternité galactique ?

La doxa officielle ignore que le phénomène UAP existe depuis la nuit des temps et a arbitrairement fixé à juin 1947 le début des premières observations. Tous les pays occidentaux (et wikipédia) centrent la genèse du phénomène essentiellement sur les Etats Unis, alors que les observations ont lieu dans le monde entier, sous les mers, dans l’espace, autour de la lune et des planètes.

Le profil en forme de soucoupe devient rare, alors qu’il était fréquent dans l’antiquité. Les très nombreuses observations actuelles font essentiellement référence à des sphères lumineuses ou métalliques, parfois à proximité de sites militaires sensibles, de centrales nucléaires ou lors de catastrophes (tremblements de terre, tsunami, incendies, Tchernobyl, 11 septembre, Fukushima…)

Cas des abductés (enlèvements) Seuls 7 cas d’enlèvement sont officiellement référencés (voir Wikipédia), bien que la plupart des 7 soient totalement bidonnés. Depuis 1997, aucun enlèvement ou contact rapproché n’a été officiellement enregistré, alors qu’ils se comptent par centaines. Il faut savoir que des revues spécialisées, comme LDLN de Joel Mesnard (1), ont pendant des années (1988 à 2014) enregistré tous les témoignages de terrain par l’intermédiaire d’un réseau d’ufologues indépendants. Ils n’ont jamais rencontré de cas similaires à l’affaire montée en icône par Betty et Barney Hill en 1961. Enlevés et violés dans une soucoupe carcérale, qui présente toutes les caractéristiques d’une séance satanique bien de chez nous. Les cas documentés d’enlèvements font plutôt état d’une inspection médicale bienveillante, quoique traumatisante.

A l’opposé du sensationnel malsain, la presse néglige les observations rapprochées d’ovnis multiformes et stupéfiants par leur originalité qui vont parfois jusqu’à la distorsion de l’espace-temps, la paralysie ou même une communication interactive intelligente de type hypnotique avec les témoins.

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N.O.M. personnalités et groupes

Réseau InternationalQui sont ces « inconnus » qui incarnent le nouvel ordre mondial ?

Réseau International - 21 août 2023

Dans cet article, je voudrais faire l’effort d’identifier clairement les personnes qui se trouvent derrière ces groupes «tout-puissants» qui prétendent nous imposer leur Nouvel Ordre Mondial.

   

Mais avant de savoir qui fait quoi, qui est derrière telle ou telle organisation, commençons tout d’abord par constituer le puzzle de ces organisations afin d’y voir plus clair ; afin de comprendre comment cette toile d’araignée totalitaire s’est tissée tranquillement avec l’approbation ignorante des peuples !

Première Partie

1 – Commission Trilatérale

En juillet 1973, les mondialistes créaient un parti politique transnational, une organisation de contrôle et de décisions politiques, économiques et policières, voire militaires, la Commission Trilatérale. Les fondateurs : David Rockefeller, Henry Kissinger, Zbigniew Brezinski, notamment…

Cette Commission se présentait comme un «Forum mondial de penseurs» qui allait très vite radicaliser le point de vue keynésien du capitalisme : l’hégémonie d’une économie multinationale, l’accélération de l’exploitation mondiale du travail, l’hégémonie militaire mondiale, (c’est l’objectif de l’OTAN), le contrôle absolu des énergies et des matières premières, le contrôle alimentaire de la Planète, le contrôle démographique mondial, le contrôle sanitaire des peuples…

Brezinski était un membre éminent du Club de Bilderberg et principal conseiller en politique extérieure d’Obama. (décédé en 2017)
Henry Kissinger, anciennement Secrétaire d’État des USA, était aussi membre éminent du club de Bilderberg et cheville organisatrice de cette oligarchie pour la gouvernance mondiale.

La Trilatérale est donc un «parti politique à l’échelle mondiale».

« La Nation État, en tant qu’unité fondamentale de la vie organisée de l’homme, a cessé d’être la principale force créatrice: les banques internationales et les corporations transnationales sont à présent les acteurs et les architectes au sens que prenaient autrefois ces termes appliqués à la Nation-État. »

Zbigniew Brezinski

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Civitas expose le satanisme mondialiste

CivitasActualités du satanisme dans la politique mondialiste

Civitas - 19 août 2023

Intervention d'Alain Escada lors de la Vè UDT du Pays Réel.

   

Lucifer et les anges déchus existent-ils ? Et s’ils existent ont-ils une quelconque influence sur notre monde ? Nous remercions nos ennemis de venir aujourd’hui à notre rescousse. Leurs allusions de moins en moins voilées à l’empire d’une spiritualité globale, et qui n’est certes pas celle de Jésus-Christ, ont plus de poids que nos prédications pour convaincre nos contemporains déchristianisés de l’existence de ces puissances nuisibles qui sont à l’œuvre dans l’histoire des sociétés et des hommes. Les chrétiens n’y croient plus mais les thuriféraires du mondialisme n’ont pas de doute à ce sujet et ont choisi leur camp. Donnons-leur la parole en cette première conférence ; recueillons leurs aveux.

C’est le Président de Civitas lui-même qui a réalisé les édifiantes collectes des témoignages de cette spiritualité inversée, antichrétienne, voire ouvertement satanique, professée par les mentors du mondialisme.

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ODD-16 de l'Agenda 2030

Réseau InternationalObjectif de développement durable 16 : Partie 1 – Construire l’État policier mondial

Réseau International - 18 juil 2023

Les Nations unies affirment que l’objectif de développement durable n°16 (ODD 16) a pour but de promouvoir des sociétés pacifiques et inclusives et d’assurer l’accès à la justice pour tous.

   

Derrière la rhétorique se cache le véritable objectif : renforcer et consolider le pouvoir et l’autorité du «régime de gouvernance mondiale» et exploiter les menaces – réelles ou imaginaires – afin de faire progresser l’hégémonie du régime.

Si nous acceptons l’hypothèse selon laquelle le «développement durable» est un développement mondial qui répond aux besoins des pauvres du monde, il est peu probable qu’une personne raisonnable soit en désaccord avec cet objectif déclaré.

Mais aider les pauvres n’est pas le but de l’ODD 16.

Le véritable objectif de l’ODD 16 est triple : (1) renforcer un régime de gouvernance mondiale, (2) exploiter les menaces, réelles et imaginaires, pour faire avancer les objectifs du régime, et (3) imposer à l’humanité un système mondial d’identité numérique (ID numérique) injustifié, indésirable et contrôlé de manière centralisée.

L’objectif de l’ONU en matière d’identité numérique est caché dans l’objectif 16.9 de l’ODD :

«D’ici à 2030, garantir à tous une identité juridique, ainsi que l’enregistrement des naissances».

Bien que l’ODD 16 ne fasse pas spécifiquement allusion à l’identification «numérique», c’est ce qu’il signifie.

Comme nous le verrons, les indicateurs de la cible de l’ODD 16 ne révèlent pas non plus la vérité. Par exemple, le seul «indicateur» permettant de mesurer les progrès de l’ODD 16.9 (16.9.1) est le suivant :

«La proportion d’enfants de moins de 5 ans dont la naissance a été enregistrée auprès d’une autorité civile, par âge».

On pourrait donc penser que la tâche de «fournir une identité légale» incombe en premier lieu auxdites «autorités civiles». Ce n’est pas le cas.

Au sein du système des Nations unies, tous les gouvernements (qu’ils soient locaux, de comté, provinciaux, d’État ou fédéraux) sont des «partenaires parties prenantes» d’un réseau mondial composé d’un large éventail d’organisations publiques et privées. Nombre d’entre elles sont explicitement soutenues par les Nations unies ou hébergées dans leurs locaux, et toutes prônent l’identification numérique comme mécanisme clé pour atteindre l’ODD 16.

Cet aspect de l’ODD 16 sera examiné plus en détail dans la partie 2.

Cet amalgame mondial d’organisations utilise souvent un terme pour se décrire : il s’agit d’un partenariat mondial public-privé (G3P).

Le G3P travaille sans relâche à créer les conditions nécessaires pour justifier l’imposition d’une gouvernance mondiale «avec des dents» et de son système d’identification numérique indispensable. Ce faisant, le G3P inverse la nature de nos droits. Il fabrique et exploite des crises afin de revendiquer la légitimité des «solutions» qu’il propose.

Le G3P comprend pratiquement toutes les organisations intergouvernementales, les gouvernements, les entreprises mondiales, les grandes fondations philanthropiques, les organisations non gouvernementales (ONG) et les groupes de la société civile. Collectivement, ils forment les «parties prenantes» qui mettent en œuvre le développement durable, et notamment l’ODD 16.

L’identification numérique déterminera notre accès aux services publics, à nos portefeuilles de monnaie numérique de banque centrale (CBDC), à nos certificats de «vaccin» – à tout, même aux aliments et boissons que nous sommes autorisés à acheter et à consommer.

Les citoyens méfiants sont attentifs aux abus potentiels de l’identification numérique par leurs autorités. Dans les pays où une carte d’identité numérique nationale n’est pas la bienvenue, comme au Royaume-Uni, la solution du G3P consiste à construire un système «interopérable» qui relie différents systèmes d’identification numérique entre eux. Cette approche de «plateforme modulaire» est conçue pour éviter les problèmes politiques que la délivrance officielle d’une carte d’identité numérique nationale susciterait autrement.

Établir l’identité numérique mondiale de l’ODD 16.9 est essentiel pour huit des dix-sept ODD de l’ONU. C’est le pivot au centre d’un panopticon numérique mondial qui est en train d’être conçu sous les auspices du «régime» de partenariat public-privé mondial de l’ONU.

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huit signes qui montrent le progrès des mondialistes

Réseau InternationalHuit signes indiquant que le contrôle des mondialistes progresse

Réseau International - 27 juin 2023

Huit signes indiquant que le programme futuriste de contrôle des mondialistes progresse rapidement

   

L’avenir est là, et si vous aimez être dominé par des fous du contrôle, vous allez l’adorer.

L’identification numérique est l’un des principaux domaines sur lesquels les mondialistes se concentrent actuellement et, comme vous le verrez ci-dessous, les changements radicaux qui sont actuellement proposés sont extrêmement effrayants. Mais la plupart des Américains n’ont aucune idée de ce qui se passe. Au lieu de cela, beaucoup d’entre eux sont obsédés par les drames relativement insignifiants que nos organes d’information corporatifs ne cessent de mettre en avant.

Pendant ce temps, les mondialistes atteignent leurs objectifs à la vitesse de l’éclair, et il n’y a pratiquement aucune résistance. Voici 8 signes qui montrent que le programme futuriste de contrôle des mondialistes progresse rapidement…

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Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
le Club de Rome fait la pluie et le beau temps

Géopolitique profondeLe Club de Rome : Le groupe secret à l’origine de l’hystérie climatique

Géopolitique profonde - 26 juin 2023

Comment l'hystérie climatique est utilisée pour créer une gouvernance mondiale.

   

Au cours du prochain siècle, les nations telles que nous les connaissons seront obsolètes ; tous les États reconnaîtront une autorité unique et mondiale… La souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout.

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destruction du travail

Égalité et RéconciliationObjectif euromondialiste : destruction du Travail à l’horizon 2030

Égalité et Réconciliation - 24 juin 2023

Beaucoup de Français n’ont pas encore pris conscience du plan d’ensemble qui s’abat depuis 3 ans sur le pays entier et qui va s’abattre sur leur propre personne sur les 7 prochaines années.

   

Le Great Reset, l’horizon 2030 promis par le mondialiste Klaus Schwab, signifie la destruction progressive du travail indépendant, du CDI, de l’industrie, et derrière, de la production nationale au profit d’une économie tertiaire numérisée qui rend la masse des travailleurs corvéable à merci, soit le retour au XIXe siècle de Marx. La crise énergétique a déjà mis à genoux des milliers de TPE.

Quand ils voient un petit commerce ou un artisan qui ferme, un agriculteur se pendre ou un marin-pêcheur pointer à Pôle emploi – rebaptisé France Travail par une inversion orwellienne de toute beauté –, beaucoup de Français ne voient pas le plan d’ensemble, la tendance statistique lourde. C’est l’histoire de la grenouille au fond de son trou qui prend le disque de ciel qu’elle voit pour le ciel tout entier.

Or, ce ciel entier est bien noir aujourd’hui, pour les Gaulois : Macron, qui veut renquiller un 3e mandat – la Banque cherche à imposer son employé zélé 5 ans de plus sur le trône –, avance à marche forcée vers ce fameux horizon, où l’on ne possédera plus rien, où l’on sera des nomades au sens attalien, où tout sera ubérisé, l’éducation comme la santé, c’est-à-dire désocialisé. On voit les germes de ce plan chaque jour, avec une insécurité grandissante à tous les niveaux, pas la peine de revenir sur la destruction programmée des services publics et le chaos qui en résulte.

Certes, un revenu universel (RU) sera octroyé aux (nouveaux) pauvres désœuvrés, mais il permettra tout juste de survivre, sous une surveillance administrative et policière de tous les instants : les JO 2024 dans un Paris en état de guerre serviront de laboratoire. Quel bénéficiaire du RU (fils du RSA) osera s’opposer à un Système qui le nourrit avec pitié et le flique avec dureté ?

Les naïfs demanderont pourquoi une économie choisit de se saborder. C’est l’oligarchie qui la sacrifie, pour dégager des superprofits là où c’est possible, rapide et facile : la France à la découpe, c’est le projet de Macron depuis 2014, le moment où le duo Minc-Attali l’a mis en selle. En d’autres termes, la production carbonée à l’ancienne, avec ses machines et ses hommes, ses usines et ses investissements, c’est du passé. Le profit contemporain, c’est celui de la finance, qui gagne de l’argent avec l’argent, et qui n’a plus besoin de l’emploi humain. D’où la neutralisation des lois du travail sous la houlette de Bornstein. Le XXe siècle a été celui de la disparition du métier ; le XXIe sera celui de la disparition de l’emploi, qui était déjà une dégradation du métier.

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Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
interview Deviers-Joncours

Le Media en 4-4-2Interview de Christine Deviers-Joncour par Le Média en 4-4-2

Le Media en 4-4-2 - 19 jan 2023

Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis !

   

Son nom ne vous est pas inconnu, cette femme a défrayé la chronique de toute la presse française dans les années fin 90- début 2000.
Connue sous le sobriquet de « la putain de la République », Christine Deviers-Joncour réapparaît dans la lumière par le biais de l’écriture.
A l’occasion de la sortie de son dernier roman In silico, Christine, comme elle aime se faire appeler, nous a accordé un entretien sincère et émouvant laissant transparaître une femme forte, pleine de conviction et assoiffée de liberté. Une bouffée d’oxygène loin des médisances du passé !

« J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète » car, disaient-ils, le peuple pollue et pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». »

Christine Deviers-Joncour

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