« Était » car le collectif évolue fortement. Louis Fouché nous propose de nous expliquer ces grands changements : nous lui laissons donc la parole.
« Merci au Média en 442 de m’accueillir. Et merci de me permettre de préciser clairement les choses, si je peux...
Twitter s’est livré à une censure généralisée à l’encontre d’éminents scientifiques et experts médicaux pour avoir publié des contenus qui contredisaient le récit officiel de la COVID-19, selon le dernier dépôt de documents « dossiers Twitter », publié le 26 décembre 2022 par le journaliste d’investigation et auteur David Zweig.
Selon M. Zweig, une grande partie de cette censure a été mise en place à la demande de l’administration Biden, qui a déclaré que des documents internes ont révélé que l’administration Biden était « très en colère » que Twitter ne s’engage pas dans une plus grande censure.
La Hot-Line a de suite été renforcée car l’affluence est énorme. Les gens sont désespérés. Alors qu’ils étaient accueillis avec joie par les médecins lorsqu’ils voulaient se faire vacciner, maintenant qu’ils sont aux prises avec des problèmes de santé après l’injection, ils sont froidement ignorés. L’association fait le point – et tire une conclusion : l’accompagnement des victimes de la vaccination Covid sera désormais l’un des principaux sujets des médecins critiques.
En effet les médecins disent : « nous sommes au milieu d’une nouvelle pandémie, une pandémie de dommages causés par les vaccins dont on a longtemps été averti. La souffrance des personnes atteintes de dommages causés par les vaccins s’est vraiment abattue sur nous. Entendre les histoires de malheur dans un volume aussi dense vous fait crier de colère ou vous taire de désespoir. »
« Les gens se plaignent de symptômes neurologiques, de fatigue chronique, de problèmes cardiaques, de problèmes de coagulation, de sensations de brûlure dans tout le corps, de picotements nerveux et de douleurs chroniques. Beaucoup sont incapables de travailler depuis des mois et ont de grands besoins financiers. En plus des plaintes physiques, la déception et la perplexité face à l’ignorance dont ils font preuve sont particulièrement perceptibles. La plupart d’entre eux disent que les médecins ne les prennent pas au sérieux, c’est pourquoi ils dépendent de l’aide de proches ou essaient d’obtenir le soutien de ce type de hotline. »
Nous avons récemment alerté nos lecteurs sur la convocation de soignants suspendus par la police, pour des interrogatoires qui relèvent tous de l’intimidation. Olivier Soulier, fondateur du syndicat Liberté et Santé, fait le point de la situation avec nous et rappelle quelques conseils de précaution à suivre pour éviter d’être piégé. Il nous fait, au passage, quelques révélations ahurissantes.
J’imagine que vous pensez à Google, Twitter, Instagram ou TikTok… Eh bien non, il s’agit de Doctolib. Doctolib, un site de mise en relation entre soignants et patients, qui constitue désormais un quasi-monopole dans l’Hexagone. Paradoxalement, nous ne savons presque rien sur Doctolib, ce géant qui a réussi à se faire oublier.
Qui est à sa tête ? quels sont les projets de ses dirigeants ? Comment ont-ils réussi à s’imposer sur un terrain caractérisé au départ par une forte concurrence ? Qu’est-ce qu’ils monétisent ? Comment ils rentabilisent leur investissement ? En d’autres termes, puisque c’est gratuit, est-ce que c’est nous le produit ? Le journaliste Théophile Kouamouo a fait appel au journaliste Pierre-Philippe Berson, qui a enquêté, avec son collègue Victor Le Grand et pour le magazine Society, sur cette plateforme qui exerce désormais une forme d’ascendant sur notre système de soins.
Cette pratique proche de l'intimidation est généralement accompagnée de la forte suggestion de venir sans avocat... Dans le climat de répression qui s'abat actuellement sur la résistance, il devient évident que le pouvoir tente un dernière écrémage avant la purge du dernier carré.
Selon nos informations, la police nationale procède actuellement à une campagne perlée de convocations de certains soignants suspendus pour les interroger sur leur position concernant le vaccin. Pour l’instant, les conditions dans lesquelles cette campagne se déroulent sont encore obscures. Mais le mode opératoire paraît assez simple : la police convoque les suspendus officiellement pour un simple entretien, en précisant que c’est une formalité qui ne nécessite pas la présence d’un avocat.
Lors des entretiens, les policiers interrogent les personnes sur les raisons pour lesquelles elles ne veulent pas être vaccinées. On signale des cas où les policiers ont interrogé les soignants suspendus sur leurs opinions politiques.
Une partie de l’interrogatoire porte sur un éventuel exercice illégal de la profession depuis la suspension.
D’une manière générale, les policiers expliquent qu’ils agissent à la demande du Parquet. Plus rarement, il semblerait que certains hôpitaux publics aient pris l’initiative de dénoncer les personnels suspendus pour un hypothétique exercice illégal de la médecine.
D’aucuns considèrent que cette campagne d’information sous les radars et (précisons-le) d’une légalité extrêmement discutable, est un prélude à une campagne permettant de réintégrer les soignants les moins “dissidents”.
En 5 ans (entre 2014 et 2019), Big Pharma a débloqué 818 millions d’euros pour récompenser des médecins influenceurs en France, d’après une étude consultée par Lecourrier-du-soir.com et dont les résultats ont été publiés ce 02 février.
Les KOL (Key Opinion Leaders) ou l’arme redoutable utilisée par Big Pharma pour se remplir les proches. En tout cas, en pleine crise sanitaire où les liens entre laboratoires et scientifiques a déjà suscité une vive indignation, une étude menée par des chercheurs français risque de provoquer un vif tollé en France.
Les professionnels de la santé qui approuvent les hormones sexuelles croisées et les bloqueurs de la puberté chez les enfants seront tenus responsables de la maltraitance des enfants et de fautes professionnelles médicales. Les professionnels de la santé qui poussent les chirurgies transgenres et les mutilations génitales sur leurs patients seront bientôt l’objet d’une vague de poursuites judiciaires.
Toute la presse se précipite dans la brèche ouverte par on ne sait qui, mais on peut penser qu’il y a eu autorisation hiérarchique, entre la direction de la Santé, le ministère du même nom, et le Conseil de l’Ordre des médecins. La presse fait où on lui dit de faire.
On le voit avec Casasnovas, qui n’a rien fait de mal mais qui a été persécuté par l’ensemble des forces du Système, entre les médias mainstream, la justice et des représentants de la médecine allopathique. En France, aujourd’hui, on n’a pas le droit ou on a de moins en moins le droit de se soigner autrement, c’est-à-dire avec des remèdes de grand-mère, les plantes, l’homéopathie, les compléments alimentaires ou tout simplement une nourriture adaptée.
Dernièrement, des médecins libéraux ayant prescrit ces médicaments ont reçu une convocation par leur conseil départemental de l’Ordre des médecins. Mettant en cause leur décision de prescription, l’organisme prévoit rien de moins que des conseils de discipline. Le début d’une nouvelle « chasse aux sorcières à grande échelle », estime le médecin généraliste, Grégory Pamart, toujours suspendu depuis le 15 septembre suite à son refus de recevoir la vaccination contre le Covid-19.
« La chasse aux sorcières à grande échelle a commencée. L'ordre multiplie les convocations.
Mort annoncée de l'article 5 du code de déontologie (indépendance des médecins), un pas de plus vers une médecine de protocole.
Qui restera pour vous soigner ? »