En procès le 19 septembre, il sera fixé sur son sort le 3 octobre. Un cas illustrant bien la complexité qui entoure les habitats légers.
Avec ses murs en terre-paille et ses formes arrondies, le logis d’Amalia et Harald ressemble à une maison de hobbit, tout droit sortie d’un film. Nichée dans une ancienne carrière, la maisonnette surplombe un petit coin de paradis où chèvres, oies, poules et chiens cohabitent en liberté. Protégé des animaux par une clôture, un espace est consacré au maraîchage en permaculture. Tomates, courges et butternut : le conte de fées continue dans ce potager, où tout n’est qu’abondance et profusion. « C’est la magie du compost fabriqué aux toilettes sèches ! » plaisante Amalia, en cueillant des tomates juteuses au goût sucré. Pourtant, l’aventure pourrait bientôt s’arrêter.
Le 19 septembre, Harald et Amalia ont été convoqués devant le tribunal correctionnel de Quimper : il leur est reproché d’avoir fait des aménagements sur une zone non constructible sans autorisation de la mairie. Leur maison risque d’être détruite, et leur beau projet abandonné. Sans avocat, et peu préparé aux rouages de la justice, le couple a eu du mal à se faire entendre pendant l’audience : « Ça a été un fiasco total... », témoigne Amalia au téléphone, la voix encore tremblante à la sortie du tribunal. Comment en sont-ils arrivés là ? Pour comprendre, il faut remonter trois ans en arrière.
Joe Biden a fait ces remarques lors d’une apparition dans l’émission 60 Minutes dimanche.
Ce n’est pas la première fois que la déclaration de M. Biden ne semble pas avoir été planifiée, et la Maison Blanche s’est précipitée pour limiter les dégâts.
À la grande surprise de tous, l’administration refuse de renoncer aux pouvoirs qu’elle s’est octroyés en imposant une urgence de santé publique, qui ne sera pas levée.
« Nous avons toujours un problème avec le Covid. Nous y travaillons encore beaucoup. C’est – mais la pandémie est terminée »
Les pays européens connaissent actuellement un taux de mortalité anormalement élevé, et les décès dus au coronavirus ne sont pas la raison directe de cette augmentation. Connue sous le nom de « surmortalité », la mortalité est anormalement élevée aux Pays-Bas, en Allemagne, en Espagne, au Portugal et en Grande-Bretagne.
Depuis avril, le taux de mortalité a fortement augmenté en Europe, de 11 % en moyenne. Ce qui intrigue les experts, c’est que ces décès ne sont pas directement liés à la pandémie de coronavirus.
Les normes de sécurité des essais cliniques et le consentement éclairé seront éradiqués car ils empêchent de libérer universellement les technologies d’édition de gènes nécessaires pour fusionner les humains avec L’IA. Afin d’atteindre les objectifs sociétaux du Nouvel Ordre Mondial, les crimes contre l’humanité ne sont pas seulement légaux, mais obligatoires.
Liste des participants : Rashid Buttar, Christian Perronne, Heiko Schöning, Chinda Brandolino, Nadiya Popel, Wolfgang Wodard, Alexandre Juving-Brunet, Alexandra Henrion-Caude, Alfonso Longo, Carlos Vara De Rey, Cristina Martin Jiménez, Luis Miguel Benito, Carlos Astiz, Fernando Lopez Mirones, Gerard Guillaume, German Sarlangue, Grégory Catteau, Javier Villamor, Jean-Dominique Michel, Jon Ander Etxebarria, Louis Aubouin, Luc Montagnier, Michel Maffesoli, Oscar Aguilera, Pablo Campra, Pierre Jovanovic, Pierre Barnérias, Vincent Pavan, Steve Ohana, Valérie Bugault, Xavier Azalbert, Reiner Fullmich. Thebigresetmovie, le 11/09/22 – Version française.
La BCE vient de révéler le panel des acteurs qu’elle s’apprête à charger de la mise en place de la première itération du futur « Euro numérique » ou E-Euro. Si la présence d’une banque espagnole ou de l’italien Nexi n’étonnera pas les observateurs, difficile d’en dire autant s’agissant de la présence surprise du géant américain… Amazon.
C’est une annonce qui fait l’effet d’une petite bombe et dont les implications iront probablement bien au-delà du simple périmètre technologique, voire même économique.
Si la mort de 6550 ouvriers esclavagisés est traitée comme un fait anodin, si les souffrances des millions de travailleuses et travailleurs au Qatar sont invisibilisées : que reste-t-il de notre dignité ?
Si on autorise, si on participe, si on collabore à une compétition aussi mortifère, aussi corrompue, aussi privatisée : que reste-t-il des valeurs du sport ?
« Le Mondial 2022 au Qatar, c’est un petit peu de sport, énormément d’argent, et des violations massives des droits humains »
Le lavage de cerveau par omission a une longue histoire. Le massacre de la Première Guerre mondiale a été autocensuré par des journalistes qui ont été anoblis pour leur conformité. Certains l’ont avoués dans leurs mémoires. En 1917, le rédacteur en chef du Manchester Guardian, CP Scott, confiait au premier ministre Lloyd George : « Si les gens savaient vraiment [la vérité], la guerre serait arrêtée demain, mais ils ne savent pas et ne peuvent pas savoir ».
Le refus de voir les gens et les événements comme ceux des autres pays les voient est un virus médiatique en Occident, aussi débilitant que le Covid. C’est comme si nous voyions le monde à travers un miroir sans tain, dans lequel « nous » sommes moraux et bienveillants et « eux » ne le sont pas. C’est une vision profondément impériale.
Ces dernières années, certains des meilleurs journalistes ont été écartés du grand public. « Défenestré » est le mot utilisé. Les espaces autrefois ouverts aux non-conformistes, aux journalistes à contre-courant, aux diseurs de vérité, se sont fermés.
Le 17 septembre 2022, l’armée ukrainienne a bombardé le centre de Donetsk, en RPD (République Populaire de Donetsk) avec des canons automoteurs Caesar et des canons TRF1 français de 155 mm, tuant quatre civils, et en blessant huit autres.
C’est à l’heure du déjeuner que l’armée ukrainienne a décidé de bombarder le cœur de Donetsk, la place Lénine, qui grouille de voitures à cette heure là, avec des canons français de 155 mm. Un premier obus touche la rue Artioma, juste à côté d’une fourgonnette Gazelle, qui prend feu, brûlant vif le conducteur qui se trouvait à bord.
D’autres obus frappent le bâtiment de la Poste, ainsi que celui de l’administration du district de Vorochilovski, les studios d’Oplot TV, et le monument dédié à Pouchkine, l’auteur russe, situé derrière le théâtre, à quelques mètres de la place Lénine. Là trois civils seront tués, dont une femme qui marchait juste à côté d’un parc pour enfants habituellement très fréquenté lorsqu’il fait beau comme aujourd’hui. Le bilan initial de trois civils blessés, est finalement monté à huit, dont un journaliste de TeleSur.
Et le bilan parmi les journalistes aurait pu être bien pire. Alors qu’ils arrivaient sur place rapidement après le bombardement les journalistes de War Gonzo ont assisté en direct à la deuxième frappe, qui a de nouveau visé la place Lénine, frappant une deuxième fois la fourgonnette déjà en flammes. Heureusement leur voiture se trouvait derrière un autre véhicule et ils ont pu s’extraire de là sains et saufs.
Le ministère de la Santé et des Affaires sociales de l’Idaho (IDHW) a mis en œuvre dans les écoles un programme d’éducation sexuelle approuvé par Planned Parenthood, qui encourage les jeunes enfants à étudier la pornographie et leur apprend à cacher aux parents l’historique de leur navigation sur les sites pornographiques.
Selon une vidéo publiée par la Fondation pour la liberté de l’Idaho, « les formateurs pensent que les élèves de troisième année tirent profit du porno » et note que certaines des activités « incluent des élèves qui regardent des dessins animés pornographiques ». Plus inquiétant encore, sur son site web, le gouvernement de l’Idaho enseigne « aux élèves comment cacher la navigation pornographique aux parents ».
Celui-ci ne se veut en aucun cas exhaustif : il détaille les différentes actions possibles ou déjà employées par des collectifs ou des personnes seules pour lutter contre l’installation de caméras dans nos rues. Il a aussi vocation à être modifié et critiqué. Aidez-nous à l’améliorer en nous envoyant un mail à ou directement sur le forum Technopolice.
Des médecins en Italie ont étudié le sang de patients qui avaient reçu une injection de vaccins à ARNm COVID-19 et ont trouvé des corps étrangers longtemps après la vaccination, selon étude récente.
Les trois médecins et chirurgiens, Franco Giovannini, MD, Riccardo Benzi Cipelli, MD et Giampaolo Pisano, MD, ont examiné le sang fraîchement prélevé de plus d’un millier de patients en utilisant l’observation directe au microscope pour observer ce qui se produit dans le sang.