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Discours de la servitude volontaire

Echelle de JacobDiscours de la servitude volontaire - Étienne de La Boétie

Echelle de Jacob - 11 nov 2023

« Il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres ; n’en ayons qu’un seul ; Qu’un seul soit le maître, qu’un seul soit le roi. »

   

Voilà ce que déclara Ulysse en public, selon Homère.

S’il eût dit seulement : « Il n’est pas bon d’avoir plusieurs maîtres », c’était suffisant. Mais au lieu d’en déduire que la domination de plusieurs ne peut être bonne, puisque la puissance d’un seul, dès qu’il prend ce titre de maître, est dure et déraisonnable, il ajoute au contraire : « N’ayons qu’un seul maître... »

Il faut peut-être excuser Ulysse d’avoir tenu ce langage, qui lui servait alors pour apaiser la révolte de l’armée : je crois qu’il adaptait plutôt son discours aux circonstances qu’à la vérité.

Mais à la réflexion, c’est un malheur extrême que d’être assujetti à un maître dont on ne peut jamais être assuré de la bonté, et qui a toujours le pouvoir d’être méchant quand il le voudra. Quant à obéir à plusieurs maîtres, c’est être autant de fois extrêmement malheureux.

Je ne veux pas débattre ici la question tant de fois agitée, à savoir « si d’autres sortes de républiques sont meilleures que la monarchie ». Si j’avais à la débattre, avant de chercher quel rang la monarchie doit occuper parmi les divers modes de gouverner la chose publique, je demanderais si l’on doit même lui en accorder aucun, car il est difficile de croire qu’il y ait rien de public dans ce gouvernement où tout est à un seul. Mais réservons pour un autre temps cette question qui mériterait bien un traité à part, et qui provoquerait toutes les disputes politiques.

Pour le moment, je voudrais seulement comprendre comment il se peut que tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations supportent quelquefois un tyran seul qui n’a de puissance que celle qu’ils lui donnent, qui n’a pouvoir de leur nuire qu’autant qu’ils veulent bien l’endurer, et qui ne pourrait leur faire aucun mal s’ils n’aimaient mieux tout souffrir de lui que de le contredire. Chose vraiment étonnante — et pourtant si commune qu’il faut plutôt en gémir que s’en ébahir -, de voir un million d’hommes misérablement asservis, la tête sous le joug, non qu’ils y soient contraints par une force majeure, mais parce qu’ils sont fascinés et pour ainsi dire ensorcelés par le seul nom d’un, qu’ils ne devraient pas redouter — puisqu’il est seul — ni aimer — puisqu’il est envers eux tous inhumain et cruel.

Telle est pourtant la faiblesse des hommes : contraints à l’obéissance, obligés de temporiser, ils ne peuvent pas être toujours les plus forts. Si donc une nation, contrainte par la force des armes, est soumise au pouvoir d’un seul — comme la cité d’Athènes le fut à la domination des trente tyrans —, il ne faut pas s’étonner qu’elle serve, mais bien le déplorer. Ou plutôt, ne s’en étonner ni ne s’en plaindre, mais supporter le malheur avec patience, et se réserver pour un avenir meilleur.

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Le grand Inquisiteur

Nouveau MondeDostoïevski et le grand inquisiteur

Nouveau Monde - 15 août 2023

Dostoïevski : La légende du grand inquisiteur dans Les Frères Karamazov.

   

Avec ces temps modernes, les hommes n’aiment pas la liberté. Ils préfèrent le pain, la télé et la sécurité, et mourir à l’eau tiède.

« Sans nous, ils seront toujours affamés. Aucune science ne leur donnera du pain, tant qu’ils demeureront libres, mais ils finiront par la déposer à nos pieds, cette liberté, en disant : “Réduisez-nous plutôt en servitude, mais nourrissez-nous.” Ils comprendront enfin que la liberté est inconciliable avec le pain de la terre à discrétion, parce que jamais ils ne sauront le répartir entre eux ! Ils se convaincront aussi de leur impuissance à se faire libres, étant faibles, dépravés, nuls et révoltés. »

Dostoïevski

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business enfants

Réseau InternationalLa maternité de substitution en Ukraine est en plein essor

Réseau International - 28 juil 2023

L’Ukraine devient de plus en plus un centre d’approvisionnement en produits vivants : de la chair à canon pour la guerre avec la Russie, des morts et des blessés pour les transplantologues noirs, des nouveau-nés pour les riches familles occidentales. Il n’y a plus d’industrie, plus d’éducation, plus de médecine, plus de science – il n’y a plus que la traite des êtres humains.

   

Il était une fois, à l’aube de l’indépendance, les autorités de Kiev qui promettaient de faire de l’Ukraine une seconde France et l’une des principales économies européennes. En réalité, il s’est agi d’une seconde Somalie : en l’espace de trente ans, le pays a sombré dans une pauvreté abjecte, la population mettant ses biens en gage chez les prêteurs sur gages pour vivre quelques jours de plus, et la gestation pour autrui est devenue quasiment le seul secteur en croissance de l’économie ukrainienne.

«Au cours de la dernière décennie, la maternité de substitution est devenue une industrie mondiale en plein essor. Si la maternité de substitution est légale dans la plupart des États des États-Unis, elle reste illégale dans la majeure partie de l’Europe et dans de nombreuses autres parties du monde, ce qui signifie que les personnes intéressées doivent chercher des mères porteuses en dehors de leur propre pays. En Ukraine, cependant, l’industrie est en plein essor. Car même dans les pays où ces services sont autorisés, les prix peuvent atteindre des sommets astronomiques», écrit la publication multimédia américaine Politico.

Les femmes ukrainiennes viennent en aide à l’Occident ; elles sont prêtes à porter les enfants d’autrui pour une récompense très modeste. C’est en Ukraine que se trouve l’une des plus grandes agences de trafic d’enfants au monde.

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un commerce de 150 milliards

Le Media en 4-4-2The Sound of Freedom : Un film qui dévoile l’horreur du trafic d’enfants

Le Media en 4-4-2 - 07 juil 2023

Un commerce à 150 milliards de dollars.

   

Le film "The Sound of Freedom" a récemment captivé les spectateurs, dont le tiktoker Marc Mercier, qui en est ressorti profondément ému. Ce long-métrage rappelle la réalité horrifiante du marché des enfants victimes de trafic. Ce film suscite des réactions intenses chez les spectateurs qui vont le voir, les plongeant dans un état de choc et de larmes.

« The Sound of Freedom », réalisé par Alejandro Monteverde, met en scène l’acteur Jim Caviezel, connu pour son rôle de Jésus-Christ dans « La Passion du Christ » de Mel Gibson. L’histoire tourne autour d’un agent fédéral qui, après avoir sauvé un jeune garçon de trafiquants impitoyables, découvre que la sœur du garçon est toujours captive. Déterminé à la sauver, il se lance dans une mission périlleuse.

« The Sound of Freedom » aborde un marché dont l’ampleur est méconnue : l’esclavage moderne, un commerce estimé à 150 milliards de dollars et en augmentation de 5 000 % ces dernières années. La majorité des victimes sont des enfants, surpassant ainsi tous les records historiques de l’esclavage. Contrairement aux idées reçues sur une évolution positive de notre société, notre planète est un enfer sur terre pour des millions d’enfants.

« Ils ne veulent pas que les gens voient ce film. Je me bats pour ma vie en ce moment, vous comprenez ? »

Jim Caviezel

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Sound of Freedom - film

Echelle de Jacob«Sound of Freedom» : film n°1 en Amérique le 4 juillet

Echelle de Jacob - 07 juil 2023

"Sound of Freedom" est sorti en salles mardi, et grâce à la technologie "Pay It Forward" utilisée par Angel Studios, ce thriller de la vraie vie a été rapporté comme lié a en fait battu "Indiana Jones et le cadran du destin" de Disney/Lucasfilm, le géant des studios, pour la première place au box-office, le jour de l'indépendance.

   

Comme enregistré par Box Office Mojo, "Sound of Freedom" a rapporté plus de 14 millions de dollars au total : 11,5 millions de dollars en ventes directes au box-office et 2,6 millions de dollars provenant des billets Pay It Forward vendus pendant les vacances du 4 juillet. Selon Deadline, "Indiana Jones" a rapporté 11,698 millions de dollars au total, malgré le double de nombre de salles.

"Sound of Freedom", diffusé dans seulement 2.600 salles, raconte l'histoire vraie du parcours d'un homme pour lutter contre le trafic sexuel d'enfants. Le film d'Angel Studios est basé sur la vie de Tim Ballard, un ancien agent du Département américain de la sécurité intérieure, qui a quitté son emploi parce qu'il voulait faire plus pour sauver les enfants de l'esclavage moderne.

Le film délivre un message audacieux appelant à la liberté de millions d'enfants réduits en esclavage dans la traite des êtres humains, déclarant que "les enfants de Dieu ne sont pas à vendre".

Réalisé par Alejandro Monteverde, "Sound of Freedom" met en vedette Jim Caviezel ("Passion of The Christ"), l'actrice oscarisée Mira Sorvino ("The Final Cut"), Bill Camp ("12 Years a Slave") et José Zúñiga ("Twilight "). En plus d'agir dans le film, Eduardo Verástegui ("Unplanned") est le producteur du film.

Le film a reçu un A+ CinemaScore, un score de critiques de 85% et un score d'audience de 99% sur Rotten Tomatoes.

"Grâce aux fans de tout le pays, 'Sound Of Freedom' a remporté la première place en tant que film américain numéro un le jour de l'indépendance. Nous avons reçu de nombreux messages nous informant que les cinémas sont pleins à craquer. Ce film a maintenant pris vie de lui-même pour devenir quelque chose de plus, un mouvement populaire", a partagé Neal Harmon, PDG d'Angel Studios, dans un communiqué avec The Christian Post.

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destruction du travail

Égalité et RéconciliationObjectif euromondialiste : destruction du Travail à l’horizon 2030

Égalité et Réconciliation - 24 juin 2023

Beaucoup de Français n’ont pas encore pris conscience du plan d’ensemble qui s’abat depuis 3 ans sur le pays entier et qui va s’abattre sur leur propre personne sur les 7 prochaines années.

   

Le Great Reset, l’horizon 2030 promis par le mondialiste Klaus Schwab, signifie la destruction progressive du travail indépendant, du CDI, de l’industrie, et derrière, de la production nationale au profit d’une économie tertiaire numérisée qui rend la masse des travailleurs corvéable à merci, soit le retour au XIXe siècle de Marx. La crise énergétique a déjà mis à genoux des milliers de TPE.

Quand ils voient un petit commerce ou un artisan qui ferme, un agriculteur se pendre ou un marin-pêcheur pointer à Pôle emploi – rebaptisé France Travail par une inversion orwellienne de toute beauté –, beaucoup de Français ne voient pas le plan d’ensemble, la tendance statistique lourde. C’est l’histoire de la grenouille au fond de son trou qui prend le disque de ciel qu’elle voit pour le ciel tout entier.

Or, ce ciel entier est bien noir aujourd’hui, pour les Gaulois : Macron, qui veut renquiller un 3e mandat – la Banque cherche à imposer son employé zélé 5 ans de plus sur le trône –, avance à marche forcée vers ce fameux horizon, où l’on ne possédera plus rien, où l’on sera des nomades au sens attalien, où tout sera ubérisé, l’éducation comme la santé, c’est-à-dire désocialisé. On voit les germes de ce plan chaque jour, avec une insécurité grandissante à tous les niveaux, pas la peine de revenir sur la destruction programmée des services publics et le chaos qui en résulte.

Certes, un revenu universel (RU) sera octroyé aux (nouveaux) pauvres désœuvrés, mais il permettra tout juste de survivre, sous une surveillance administrative et policière de tous les instants : les JO 2024 dans un Paris en état de guerre serviront de laboratoire. Quel bénéficiaire du RU (fils du RSA) osera s’opposer à un Système qui le nourrit avec pitié et le flique avec dureté ?

Les naïfs demanderont pourquoi une économie choisit de se saborder. C’est l’oligarchie qui la sacrifie, pour dégager des superprofits là où c’est possible, rapide et facile : la France à la découpe, c’est le projet de Macron depuis 2014, le moment où le duo Minc-Attali l’a mis en selle. En d’autres termes, la production carbonée à l’ancienne, avec ses machines et ses hommes, ses usines et ses investissements, c’est du passé. Le profit contemporain, c’est celui de la finance, qui gagne de l’argent avec l’argent, et qui n’a plus besoin de l’emploi humain. D’où la neutralisation des lois du travail sous la houlette de Bornstein. Le XXe siècle a été celui de la disparition du métier ; le XXIe sera celui de la disparition de l’emploi, qui était déjà une dégradation du métier.

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Nanobots and Mind Control

Echelle de JacobUtilisation des nanoparticules pour contrôler à distance notre comportement

Echelle de Jacob - 01 mai 2023

Les scientifiques savent depuis plus de 10 ans comment utiliser les nanoparticules pour contrôler à distance le comportement

   

Allons-nous vers une époque où les progrès extraordinaires qui ont été réalisés dans les domaines de la nanotechnologie, de la neurologie, la psychologie, l'informatique, les télécommunications et l'intelligence artificielle seront utilisés par les autorités gouvernementales pour contrôler la population ?
Déjà, les gouvernements du monde entier se servent de la "lutte au terrorisme" comme prétexte pour nous observer, pour nous pister, pour numériser l'ensemble de nos communications électroniques, pour nous faire subir des "mesures de sécurité", qui sont si extrêmes que même George Orwell (auteur du livre "1984") ne les a pas imaginées !

Qu'arrivera-t-il le jour où des individus poseront une arme de destruction massive dans une grande ville ?

La tentation d'utiliser ces nouvelles technologies pour contrôler le public devient presque irrésistible et à ce point, on peut même envisager un "contrôle de l'esprit" (mind control). Même si ce mot évoque une fiction, il ne s'agirait que de deux autres événements de type 11 septembre 2001 pour que la population réclame des mesures de sécurité jugées extrêmes pour l'instant, mais devenues souhaitables et impératives dans un tel contexte.

Quand la société connaîtra un effondrement complet et total dans les années à venir, les gouvernements du monde entier seront tentés de prendre des mesures extrêmes, y compris le contrôle à distance des individus, pour rétablir l'ordre. C'est pourquoi quelques unes des avancées les plus récentes dans le domaine des nanotechnologies font froid dans le dos...

Une équipe de chercheurs de l'Université de Buffalo a fait une découverte alarmante. Ce qui suit est un extrait de leur communiqué :

"Des nanoparticules magnétiques visant les membranes cellulaires peuvent contrôler à distance les canaux ioniques, les neurones et même le comportement des animaux", selon un document publié par des physiciens de l'Université de Buffalo dans la revue scientifique "Nature Nanotechnology".

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usines à bébés

Profession GendarmeDes « usines à bébés » en Ukraine

Profession Gendarme - 21 avr 2023

Des soldats russes découvrent des « usines à bébés » en Ukraine où de jeunes enfants sont élevés pour des bordels sexuels et pour le prélèvement d’organes

   

Une vidéo a fait surface de soldats russes décrivant comment ils ont trouvé une « usine à bébés » en Ukraine où de jeunes enfants sont élevés pour les bordels d’enfants pédophiles, ou assassinés pour prélever leurs organes et les vendre au marché noir.

La vidéo a été publiée par The People’s Voice , et ils mentionnent comment d’autres sources en Russie ont couvert cette question, et que les médias occidentaux l’excusent simplement comme de la désinformation ou de la propagande.

Mais les Russes ne sont pas les seuls à avoir documenté cette horrible pratique de trafic de bébés et de jeunes enfants à des fins sexuelles, puis de les assassiner pour leurs parties du corps.

Il y a deux ans, nous avons publié le documentaire publié par le producteur de films polonais Patryk Vega , intitulé « Les yeux du diable ».

Dans ce documentaire, Vega est en mesure d’interviewer l’un des trafiquants d’enfants qui trafique des bébés de Pologne et d’Ukraine vers des bordels pour enfants en Allemagne, où les enfants, généralement âgés de 5 à 7 ans, travaillent pendant quelques années dans les bordels. jusqu’à ce que leurs minuscules corps commencent à se décomposer, puis ils sont assassinés pour prélever leurs organes qui sont vendus aux riches et aux puissants.

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soutenir ou non la tyrannie

Le Media en 4-4-2Pourquoi certains soutiennent-ils la tyrannie alors que d’autres la défient ?

Le Media en 4-4-2 - 13 avr 2023

Il existe une question fondamentale qui hante les pages de l’histoire et qui n’a jamais été traitée de manière satisfaisante.

   

Il existe de nombreuses écoles de pensée sur le pourquoi et le comment de l’émergence de la tyrannie dans une société donnée et toutes ratent la cible en termes d’explications, principalement parce qu’elles laissent toutes leurs préjugés gouverner leurs conclusions et les aveugler sur les aspects plus profonds du pouvoir et de la conspiration.

En d’autres termes, ils ne sont prêts à descendre dans le terrier du lapin que jusqu’à un certain point, puis ils nient l’existence même de ce terrier.

L’hypothèse commune en matière d’autocratie ou d’oligarchie est que les gens sont « stupides » et facilement manipulés pour suivre des personnalités convaincantes qui font des promesses qu’elles n’ont pas l’intention de tenir. Il s’agit d’une simplification excessive et stupide. En vérité, le niveau de manipulation nécessaire pour attirer une majorité de personnes dans une dictature est si complexe qu’il requiert une compréhension avancée de la psychologie humaine.

Dans notre ère moderne, on ne peut pas simplement ordonner aux gens de se soumettre sous la menace d’une arme, du moins pas tout de suite. Il faut les inciter à se conformer, et non seulement cela, mais il faut aussi leur faire croire que c’était LEUR idée depuis le début. Sans cette dynamique d’autocensure et d’auto-asservissement, la population finira par se rebeller, quelle que soit l’oppression du régime. Une tyrannie de mille ans ne peut exister que si un certain nombre de personnes sont amenées à l’applaudir, ou si elles en bénéficient directement.

Et c’est là que se trouve la véritable clé du totalitarisme : il ne prospère que parce qu’une partie inhérente de toute société donnée l’aime secrètement et souhaite qu’il existe. Nous pourrions appeler ces gens des idiots utiles, mais c’est bien plus que cela. Ils ne sont pas nécessairement inconscients de ce qu’ils font ; ils comprennent dans une certaine mesure qu’ils contribuent à la destruction des libertés d’autrui… et ils s’en délectent. Bien sûr, il y a des élitistes et des globalistes qui lancent des conspirations de base et cherchent à exercer de plus en plus de contrôle, mais ils ne pourraient pas accomplir grand-chose sans l’aide de l’armée d’aberrations sociopathes qui vivent parmi nous.

Cette caractéristique étrange et destructrice est toujours visible aujourd’hui à la lumière des confinements covid et de la pression pour les vaccinations forcées. Il est clair que certaines personnes sont trop préoccupées par les décisions de santé personnelle des autres. La science et les statistiques prouvent que le virus ne devrait pas être une crainte pour eux, mais ils ignorent la science. Ils ont soif du goût du pouvoir. Ils sont devenus un culte qui ignore toute logique et exige la fidélité à leur récit frauduleux. Ils ne se soucient pas des faits, ils se soucient seulement que nous nous conformions.

Eh bien, comme je l’ai dit maintes et maintes fois : nous ne nous plierons pas !

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délire smartphone

L'âge de faireSmartphone… Toc Toc Toc… Ouvrez, c’est le progrès !

L'âge de faire - 07 jan 2023

Sera-t-on bientôt obligés d’avoir un smartphone en fonctionnement pour recevoir des ami·es dans son propre appartement ?

   

2021 : 77 % de la population française de plus de 15 ans possédait déjà un ordiphone (INSEE).

Ce taux d’équipement est en progression constante, et tout est fait pour faire craquer celles et ceux qui résistent encore et toujours à l’envahisseur connecté : acheter un billet de train, accéder à une administration, lire la carte d’un restaurant qui ne propose plus qu’un QR code à ses client·es… Les embûches du quotidien se multiplient pour les non-smartphonisés. Voici un autre exemple de contrainte délirante, découverte en rendant visite à mon vieux pote Béber, installé à Paris. Locataire d’un petit appartement situé dans le 12e arrondissement, il a vu un jour débarquer un technicien chargé de remplacer l’interphone de l’immeuble. « On est tous locataires, c’est la régie (Gecina, bailleur au patrimoine évalué à 20 milliards d’euros, Ndlr) qui s’occupe de ce genre de choses. Ils ne te demandent pas ton avis », m’explique-t-il. Une fois tout le matos bien installé, le type lui en révèle le fonctionnement : lorsque les gens sonneront à l’interphone, la sonnerie ne retentira plus sur son vieux combiné accroché à côté de la porte, mais directement sur son smartphone ! Heureusement, pour le bon fonctionnement du truc, le Béber en question en est équipé.

Cela-dit il a fallu ouvrir la porte parisienne depuis la Roumanie ?!

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pulsion de mort

MondialisationLégalisation de l’euthanasie et pulsion de mort de notre société

Mondialisation - 20 nov 2022

La légalisation de l’euthanasie nous enferme dans une société de la pulsion de mort.

   

Ne nous laissons pas instrumentaliser une énième fois pour aboutir à une décision déjà prise par le président au prétexte d’un retard sur la Belgique ou autre, pays dans lequel les dérives lourdes sont pourtant bien souvent signalées.

« L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures.Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. »

Jacques Attali

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EHPAD - libérez les prisonniers

Profession GendarmeLibérez les « prisonniers » des EHPADs

Profession Gendarme - 18 oct 2022

L’enfermement inhumain des personnes âgées dans les EHPADs est la démonstration la plus aboutie du déshonneur de certains humains, dès qu’on leur donne un petit pouvoir et qu’on les manipule par la peur..

   

Il n’y a jamais eu AUCUNE raison d’enfermer un vieillard dans sa chambre sans visites, ni contact avec ses « codétenus », sans sortie dans le jardin …

***
Voici ce témoignage reçu d’un proche d’un résident EHPAD, accrochez-vous …

Je suis Marie

De nombreux mois maintenant
Que je vis dans cette résidence
Où le temps passe lentement
Entre le vide et le silence

 

Trois ans passés déjà qu’on m’y a remisée
Dans cet endroit nouveau qu’on appelle foyer
Trois longues, pénibles et monotones années
Passées loin de chez moi, perdue, déracinée

 

Les jours pareils, je les regarde passer
Par ma fenêtre, je vois le vent souffler
Le soleil tant aimé ne me réchauffe même plus
Derrière ces murs livides, tout n’est que superflu

 

Mes journées sont longues, ennuyeuses à pleurer
Pas de lecture, de jeux, juste un écran télé
Que je regarde d’un œil sans même m’intéresser
Quand je patiente assise entre déjeuner et dîner

 

Et puis il y a ces jours un petit peu animés
Quand j’aperçois la bouille de l’un d’mes bien-aimés
Mon regard est tout de suite rallumé, éclairé
Et sur mes lèvres soudain un sourire est posé

 

Il y a mes enfants fidèles et réguliers
Et les petits-enfants un peu plus espacés
Tous ces moments précieux me réchauffent le cœur
Dans cet endroit bien glauque envahi de froideur

 

Les accolades et les petits baisers
Font de ces visites moments privilégiés
Et même si là-haut, du mal à me rappeler
Mes familiers se lassent jamais de répéter

 

Puis un jour, les voilà se présentant masqués
Leur beau sourire d’un tissu habillé
Plus que nos yeux pour quelques émotions
Quand leurs visages avaient avant tant d’expressions

 

Je n’ai jamais compris pourquoi cette mascarade
Enfermée seule ici hors de cette parade
Pourquoi mes proches ne veulent plus m’embrasser
Quand mes années commencent pourtant à s’décompter

 

Mais qu’ont-ils donc tous bien pu faire
De mon monde où il faisait bon vivre
Est-ce vraiment à ce point devenu un enfer
Où plus personne n’a de chance de survivre

 

Alors on m’a parlé d’un très méchant virus
Tueur impitoyable, contagieux et bien plus
Qu’il s’attaquait à tous et spécialement au vieux
Que c’était en prison que je serai le mieux

 

Puis les visites fréquentes sont devenues bien rares
Mes enfants mes chéris m’avaient-ils oubliée
Plus le bruit de leurs pas arrivant dans l’couloir
Et cette porte verte désespérément fermée

 

Et c’est bien une prison que l’on m’a imposée
Avec interdiction de voir mes bien-aimés
Avec même privation de toute liberté
Quand nos repas de groupe nous sont même retirés

 

Enfermée dans cette chambre à longueur de journée
Quelle était donc ma faute pour y être condamnée
Exemplaire toute ma vie désormais en prison
Même la moindre visite se heurtait à un non !

 

Et sans le moindre mot de mes geôliers en blouse
Je ne savais même pas qu’ils refoulaient mes proches
Les jours si longs sans eux me refilaient le blues
Et dans ma tête en boucle, les idées les plus moches

 

Puis vint l’heure du parloir à des heures encadrées
Derrière ces murs de verre comme en maison d’arrêt
Pourquoi ne plus pouvoir toucher mes fils mes filles
Quand c’est tout ce qu’il reste d’une vie qui s’effile

 

Mais qu’y avait-il donc à redouter comme ça
Était-ce l’hécatombe narrée dans les médias
Même mon écran monotone ne parlait que de ça
Des chiffres en tous sens et des morts à tout va

 

Je ne comprenais plus ce qu’il s’passait dehors
Pourquoi vivre recluse abandonnée de tous
Qu’avais-je donc commis pour mériter tel sort
Pour finir ma vie, bannie que l’on repousse

 

Et puis on m’a piquée à multiples reprises
Pour mon bien parait-il, pour ma santé fragile
J’ai subi tout ce cirque sans aucune maîtrise
Avec l’accord éclairé de mes enfants serviles

 

Les vieux comme cobayes, c’est tellement plus pratique
Même si dans nos entrailles, ça semble si sadique
Pourquoi n’pas nous laisser finir nos vies en paix
N’avons rien demandé sauf dignité, respect

 

Et puis les jours passant, mon souffle devenu court
Mes jambes lourdes maintenant, serrées dans mes collants
Mes forces disparaissant, plus faible de jour en jour
C’était bien leur poison qui me tuait lentement

 

J’ai continué ainsi sans la moindre complainte
À l’image de ma vie, femme discrète et simple
Mais jusqu’à l’épuisement, l’inéluctable malaise
Quand la mort vous attire au bord de la falaise

 

Je ne me relèverai pas de ce terrible coup
Embolie pulmonaire, ma vie ne vaut plus rien
Je vais finir mes jours, épuisée, presque à bout
Aujourd’hui plus qu’hier, dépérir vers la fin

 

On me dit qu’aujourd’hui pour me rendre visite
Il faut être classé comme aux heures les plus sombres
Mais moi j’en connais un qui quand l’Histoire hésite
Ne cédera jamais à une nation qui sombre

 

Mais qui sont donc ces gens pour me priver de lui
Que sont devenues nos lois dans une telle folie
Faudra-t-il sortir d’ici les 2 pieds en avant
Pour qu’il puisse à nouveau me serrer tendrement

 

On m’a privée des sourires en cette fin de vie
De la chaleur des miens en cette fin d’chemin
Des bisous, des câlins, d’la famille, des amis
Quand chaque heure qui passe menace le lendemain

 

Moi qui croyais en dieu, je ne crois plus personne
De ces sombres années, je veux que mon glas sonne
Je n’ai donc plus la force de continuer ici
N’importe où mais ailleurs, sera le paradis

 

C’est donc ainsi ici que l’on chérit nos aïeux
Avec tant de mépris, parfois même sans adieux
J’avais rêvé finir, entourée par les miens
Non pas au cri d’Je suis Marie[1], détruite de chagrin…

Par Ity le dimanche 10 octobre 2021, 22:22

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