Et cela en raison de l'arrivée d'une CME associée à une éruption qui a quitté le Soleil fin 25 novembre, a déclaré le Centre de prévision météorologique spatiale de la NOAA lors d'une veille de tempête géomagnétique.
Les prévisions géomagnétiques de la NOAA montrent que les conditions G1 sont attendues demain soir, avec des conditions G2 d'une durée allant jusqu'aux premières heures du vendredi matin.
Les MCC sont d'énormes nuages de plasma solaire expulsés des zones magnétiquement actives de la surface du Soleil, généralement des taches solaires.
Il explique que l’objectif est de contrôler les vastes ressources naturelles de la Russie et de l’Eurasie, estimées à des milliers de milliards de dollars. Les États-Unis et leurs alliés cherchent à intégrer ces pays dans leur sphère d’influence économique et politique. Benz cite l’exemple de l’Ukraine, où des accords ont été signés avec des entreprises occidentales pour exploiter les ressources. Il évoque également le cas du Pakistan, où le Premier ministre Imran Khan a été destitué pour avoir adopté une position neutre sur l’Ukraine. Selon Benz, la simple neutralité de Trump dans un second mandat pourrait compromettre cette stratégie et causer d’énormes pertes financières aux intérêts occidentaux impliqués.
Sommaire :
00:00 - Introduction et contexte de la réélection potentielle de Trump
01:31 - Explication des enjeux géopolitiques en Eurasie et des ressources de la Russie
04:41 - Discussion sur les accords énergétiques en Ukraine et la privatisation
06:40 - Impact potentiel d’un second mandat de Trump sur la stratégie en Eurasie
08:26 - Analyse du cas d’Imran Khan au Pakistan et de l’ingérence américaine
11:48 - Conclusion sur l’importance de la neutralité dans ce contexte géopolitique
NB : le trillion américain vaut un billion français (soit un million de millions, ou mille milliards) ;
DoD : Department of Defense.
Dans ce graphique, Marcus Lu, de Visual Capitalist, a visualisé les données du Global Footprint Network pour voir le nombre de Terres nécessaires pour soutenir une population mondiale qui vivrait comme les Américains, les Allemands, etc.
Données et méthodologie
Les données utilisées pour créer ce graphique sont énumérées dans le tableau ci-dessous. Les chiffres ont été publiés en 2022 (avec les données de 2018).
Ces estimations sont basées sur l’empreinte écologique de chaque pays, qui est mesurée en hectares globaux (gha).
Elle représente la quantité de terres et d’eau biologiquement productives dont une population a besoin pour produire toutes les ressources qu’elle consomme et pour absorber les déchets qu’elle génère, en utilisant les technologies courantes.
Principaux enseignements de ces données
Les données présentées dans ce graphique mettent en lumière l’impact des différents pays sur la planète.
Les pays qui dépassent leur biocapacité respective sont appelés « débiteurs de biocapacité« . Cela signifie que le pays importe de la biocapacité nette par le biais du commerce, qu’il liquide des actifs écologiques nationaux ou qu’il émet plus de déchets de dioxyde de carbone dans l’atmosphère que ses propres écosystèmes n’en absorbent.
Les pays qui ont un excédent écologique, en revanche, sont appelés « créanciers de biocapacité ». Si tous les habitants de la planète vivaient comme ces pays, nous aurions besoin de moins de Terres et non de plus de Terres.
Jour du dépassement de la Terre
Un autre concept intéressant est le « Jour du dépassement de la Terre » (Earth Overshoot Day), qui marque le moment où la demande de l’humanité en ressources écologiques au cours d’une année donnée dépasse ce que la planète peut régénérer au cours de cette même année. En 2024, le jour du dépassement tombera le 1er août.
Dans cette vidéo, nous explorons le phénomène inquiétant de l’accaparement des terres agricoles en France. Alors que les agriculteurs français font face à une crise de vocation et au vieillissement, de grandes multinationales et des fonds d’investissement s’approprient des hectares de bonnes terres cultivables. Ce phénomène, observé dans de nombreux pays, menace l’avenir de l’agriculture française, sa diversité et la qualité de ses produits. Nous discutons également des limitations de la SAFER et des propositions pour mieux protéger nos terres.
Regardons de plus près les théories anciennes.
Une civilisation très en avant sur son époque, et sa brusque disparition : voilà ce que l’on disait de l’Atlantide.
On l’a située un peu n’importe où :
En mer Noire, au large de Chypre, en Sardaigne, dans l’océan Indien, en Antarctique ou en même en Amérique latine.
Platon a été le premier à l’évoquer.
Il affirmait que l’Atlantide avait disparu en un jour et une nuit, victime d’un cataclysme et tenait cette information de sa rencontre avec des prêtres Égyptiens.
Il a évoqué une civilisation puissante et arrogante, mégalithique.
«Il y a 9000 ans, cette île vaste comme un continent disparut dans les flots au cours d’un épouvantable cataclysme» écrivait Platon.
«L’Atlantide était gouvernée par des rois puissants qui prétendaient descendre de Poséidon. Ils possédaient des flottes innombrables sillonnant continuellement les océans, et ils étaient maitres d’un immense domaine englobant une partie de l’Europe et de l’Afrique du Nord, jusqu’en Égypte».
Platon affirmait que cette île se trouvait«devant les colonnes d’Hercule».
Plus tard, Proclus, au Ve siècle de notre ère cite un géographe, Marcellus lequel évoque la disparition d’une dizaine d’îles devant le détroit de Gibraltar.
Platon, personnalité incontestable, était devenu sur cette question un sujet de polémique.
Plus près de nous il y eut Ignatus Donnely.
Il avait écrit dans son livre en 1882 («Atlantide, monde antédiluvien») que les Atlantes étaient la première civilisation du monde, et détenaient un immense savoir.
Le mystère restait entier jusqu’à ce jour.
Mais une découverte récente faite à la suite d’études géologiques consécutives au projet du tunnel sous-marin de Gibraltar a validé la théorie de l’Atlantide à l’entrée de la Méditerranée, juste à l’entrée du détroit de Gibraltar :
L’Atlantide, serait l’île du Cap Spartel submergée à la suite d’une brusque montée des eaux.
Des recherches archéologiques récentes ont prouvé qu’il y a 11 600 ans, le niveau de la mer aurait remonté de 135 mètres.
Est-ce à mettre en parallèle avec le brutal basculement du climat (en moins d’une année !) Il y a 11 700 ans, daté par le CNRS ? D’autres plus audacieux évoquent un basculement des pôles.
Est-ce dû à un séisme et (ou) à un tsunami provoquant une accélération de la remontée de la mer, liée au réchauffement climatique postglaciaire ?
Ces hypothèses ne sont pas improbables, si l’on se souvient que l’entrée de la grotte préhistorique de Cosquer se trouve aujourd’hui à 36 mètres sous le niveau de la mer, et qu’en 1755 un séisme avait partiellement détruit la ville de Lisbonne, provoquant un raz de marée avec des vagues de plus de 10m.
C’est aussi un ingénieur anglais, qui explorant les possibilités du nouvel outil cartographique Google concernant l’exploration des océans, a observé un continent sous-marin de plus de 20 000 km2, au large des îles Canaries, même si Google le conteste aujourd’hui.
Or dans l’émission Thalassa du 25 septembre 2009, un préhistorien et géologue français, Jacques Collina-Girard, de l’Université d’Aix-Marseille, évoque à son tour l’Atlantide.
Il est convaincu depuis 2001 qu’elle se trouve au large du détroit de Gibraltar.6
Il affirme : «À l’ouest d’un détroit de Gibraltar, plus long et plus étroit que l’actuel, lors de la dernière glaciation,, il y a environ 20 000 ans, existait une île importante.
Elle était située au milieu d’une passe étroite s’ouvrant à l’Ouest sur une mer intérieure, (77 km sur 20 km) bordée d’autres îles, puis, débouchait à l’ouest sur l’Océan Atlantique».
Ce chercheur du CNRS a été détaché pendant deux ans à l’étude scientifique de la grotte Cosquer, et ses travaux lui ont valu la médaille de Bronze de la part du CNRS.
Ce qui est intéressant dans cette théorie, c’est que pour une fois, la légende rencontre une réalité connue.7
La réalité culturelle préhistorique correspond à celle décrite par Platon.
Il y a aussi une concordance chronologique puisqu’il évoque la disparition de l’Atlantide, 9000 ans avant lui, soit il y a 11 439 ans.
La seule interrogation qui restait concernait la taille du continent décrit par Platon, mais peut-être voulait-il seulement évoquer l’étendue de la puissance des Atlantes, et non pas seulement la dimension de l’Ile.
On peut lire en détail la théorie de Jacques Collina-Girard dans son livre «l’Atlantide retrouvée ?» (Belin-Pour la Science éditeur/ 2009).
Alors comme disait un vieil ami africain : «il y a des choses qu’on ne peut voir qu’avec des yeux ayant pleuré».
Alors que l'actuel cycle solaire atteint son apogée, les phénomènes météorologiques et géologiques extrêmes et très inhabituels s'intensifient, tout comme les troubles sociaux et géopolitiques.
Le 23 avril, quatre éruptions solaires se sont produites de manière quasi simultanée, un phénomène rare suivi le 30 avril d'une éruption solaire de classe X qui a provoqué des pannes radio généralisées dans toute la région du Pacifique.
Cette activité pourrait être à l'origine de plusieurs phénomènes intenses qui se sont manifestés au cours de la dernière partie du mois d'avril :
États-Unis — Plusieurs tornades se sont abattues dans au moins cinq États.
Chine — Une tornade d'une force inhabituelle a provoqué la mort de cinq personnes et des blessures pour trente-trois autres dans la ville de Guangzhou [Canton).
Arabie Saoudite — Des pluies diluviennes ont été suivies d'inondations généralisées.
Une baisse inattendue des températures dans certaines parties de l'hémisphère nord a entraîné des chutes de neige particulièrement abondantes entre le milieu et la fin du mois d'avril. Des conditions météorologiques anormalement froides devraient se poursuivre en mai.
Cependant, el Niño a provoqué des chaleurs extrêmes et des épisodes de sécheresse dans certaines parties de l'Amérique du Nord, de l'Amérique centrale et de l'Amérique du Sud, qui ont impacté les cultures et entraîné un rationnement de l'eau dans certains pays, tels que le Mexique et la Colombie.
Le 3 avril, un tremblement de terre d'une magnitude de 7,4 sur l'échelle de Richter a frappé la côte est de Taïwan. Plus de cent répliques, dont celle dont la magnitude initiale a été estimée à 6,5, ont secoué l'île. Au moins neuf personnes ont été tuées et plus d'un millier d'autres blessées dans le plus fort séisme qui ait frappé Taïwan depuis vingt-cinq ans.
Il convient d'ajouter que les 10 et 25 avril, Ventusky et d'autres systèmes de cartographie météorologique ont détecté entre l'Antarctique et l'Afrique australe deux grandes anomalies dans les vagues océaniques. Ventusky a tenté d'ignorer la première, mais le silence s'est installé après la seconde. Ces singularités ont donné lieu à de nombreuses spéculations, mais les modèles et les mesures indiquent très probablement un dégazage massif.
Cette décision intervient alors que la Russie continue de gagner du terrain en Ukraine, contraignant les soldats ukrainiens à rationner leurs munitions. Au total, ce sont 200 milliards d’euros d’actifs russes qui ont été gelés dans les pays européens, principalement en Belgique. L’objectif n’est pas de toucher à ces avoirs, mais de s’approprier les revenus qu’ils génèrent. Ces derniers sont estimés entre 2,5 et 3 milliards d’euros par an.
90 % de cette somme seront consacrés à l’assistance militaire à l’Ukraine, tandis que les 10 % restants serviront « à la reconstruction du pays », déchiré par la guerre depuis février 2022. La première tranche d’aide devrait être livrée au gouvernement de Kiev dès le mois de juillet prochain.
Les États-Unis avaient adopté le « REPO Act » en juin 2023 pour utiliser les biens saisis à la Russie et les donner à l’Ukraine, suscitant des inquiétudes de certains pays européens quant à la création d’un précédent dangereux. L’UE avait élaboré un plan similaire en octobre 2023 pour financer la reconstruction de l’Ukraine avec les bénéfices des avoirs gelés de la Banque centrale russe, mais certains États membres restaient sceptiques en raison de problèmes juridiques liés aux droits de propriété, et la Russie avait annoncé des recours.
Yoann
Carte établie le 10 avril 2024 par le BRGM, à partir de données de la banque ADES acquises jusqu’au 31 mars 2024. Source des données : banque ADES (ades.eaufrance.fr) / Hydroportail (hydro.eaufrance.fr) / Fond de carte © IGN. Producteurs de données et contribution : APRONA, BRGM, Conseil Départemental de la Vendée, Conseil Départemental des Landes, Conseil Départemental du Lot, EPTB Vistre Vistrenque, Parc Naturel Régional des Grandes Causses, Syndicat Mixte d’Etudes et de Travaux de l’Astien (SMETA), Syndicat Mixte pour la protection et la gestion des nappes souterraines de la plaine du Roussillon (SMNPR).
Cette carte présente les indicateurs globaux traduisant les fluctuations moyennes des nappes. Ils sont établis à partir des indicateurs ponctuels relevés au niveau des points de surveillance du niveau des nappes (piézomètres).
L'indicateur "Niveau des nappes" compare le mois en cours par rapport aux mêmes mois de l’ensemble de la chronique, soit au minimum 15 ans de données, et jusqu'à plus de 100 ans. Il est réparti en 7 classes, du niveau le plus bas (en rouge) au niveau le plus haut (en bleu foncé).
Les zones grises correspondent à des secteurs sans nappes libres, c'est-à-dire avec une couche imperméable ou semi-perméable au-dessus de la nappe, et/ou des secteurs comportant une très faible densité de points de suivi. Ce dernier cas concerne notamment les zones montagneuses dont les nappes sont petites et hétérogènes.
L'indicateur "Évolution des niveaux" traduit la variation du niveau d'eau du mois échu par rapport aux deux mois précédents (stable, à la hausse ou à la baisse).
Ces indicateurs globaux rendent compte de situations et de tendances générales et ne tiennent pas compte d'éventuelles disparités locales.
© BRGM
L’héritage de 700 ans du Japon en matière de production durable de bois est un exemple d’harmonie avec la nature. Grâce à des techniques telles que le Daisugi, mis au point au XIVe siècle, les Japonais préservent les forêts tout en récoltant le bois. Cette tradition garantit un approvisionnement continu en bois de haute qualité, préservant les écosystèmes pour les générations futures et témoignant de l’engagement du Japon en faveur de la gestion de l’environnement.
Le Daisugi, une ancienne méthode de sylviculture japonaise, est apparu au XIVe siècle à Kitayama en raison de la pénurie de jeunes arbres. L’élagage sélectif des cèdres permettait d’obtenir des bois de charpente droits et sans nœuds. Née d’une nécessité, cette méthode a évolué pour devenir une pratique durable, incarnant la tradition japonaise d’innovation en matière de gestion des ressources depuis plus de sept siècles. Dans le Daisugi, les cèdres sont plantés et taillés d’une manière particulière afin d’encourager la croissance de bois droits et sans nœuds. Cette taille sélective consiste à couper à la main les pousses tous les deux ans, en ne laissant que les branches supérieures intactes.
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