Le développement par Meta d'un grand centre de données dans la région de Tolède (Castilla-la-Mancha), suscite l'inquiétude en raison de sa consommation estimée à plus de 600 millions de litres d'eau potable dans une région où l'eau est rare.
Meta, le conglomérat dirigé par Mark Zuckerberg et dont dépendent Facebook, WhatsApp et Instagram, installera son plus grand centre de traitement de données d'Europe dans la province de Tolède.
Ce sera, plus précisément, à Talavera de la Reina, l'ancienne capitale de la céramique qui, aujourd'hui, malgré sa proximité avec Madrid, traverse une période de crise sociale, économique et démographique.
Opportunité économique...
Le gouvernement régional de Castille-La Manche a décidé il y a quelques semaines de poursuivre le projet Meta Data Center Campus, en soulignant son impact sur le territoire - plus de 1 000 emplois et 250 emplois directs hautement qualifiés - mais en ignorant le fait que l'infrastructure consommera plus de 600 millions de litres d'eau potable par an.
Comme l'explique El País, la consommation “totale”, y compris en eaux "non potable", pourrait atteindre “120 litres par seconde dans le centre de données et 33 litres par seconde” dans le reste des installations. À ce rythme, on parle d'environ 4,8 milliards de litres d'eau par an. L'entreprise n'a toutefois pas confirmé officiellement ces estimations.
Meta dispose actuellement de trois installations de ce type en Suède, au Danemark et en Irlande. Il y a quelques mois, une enquête du média Noordhollands Dagblab a démontré que le centre de données de Microsoft aux Pays-Bas consommerait 84 millions de litres d'eau en 2021, alors que l'entreprise avait annoncé une consommation de 12 à 20 millions de litres.
...mais impact environnemental délétère ?
Cette “sous-déclaration” n’est pas une première. Un schéma similaire s'est produit aux Pays-Bas. Les centres de stockage de données et d'informations Middenmeer, de la firme Microsoft, ont consommé jusqu'à sept fois plus d'eau que ce qui avait été prévu au lancement du projet.
Techniquement, l'eau est utilisée en abondance au sein des data centers afin de faire diminuer la température des serveurs ou d'autres installations électroniques présentes (ordinateurs, baies de stockage...).
Lorsqu’il pleut beaucoup, posséder un récupérateur d’eau de pluie est un excellent moyen de faire des économies au quotidien... Et d’adopter un mode vie plus écologique. Cependant, il existe, en France, quelques interdits en la matière. Suivez le guide pour éviter les faux pas... et les amendes.
Récupérer l’eau de pluie : les conditions à respecter
Récupérer et réutiliser l’eau de pluie est autorisé, mais selon certaines conditions. Pour ce faire, vous pouvez utiliser un récupérateur d’eau de pluie classique, ou un système DIY. Mais il faut que votre installation respecte les règles suivantes :
L’eau récupérée doit avoir ruisselé sur une toiture qui n’est pas accessible au quotidien
Le toit ne doit pas contenir de l’amiante ou du plomb
Elle doit être stockée dans une cuve hors-sol ou enterrée
Il n’est pas permis d’utiliser du produit antigel dans la cuve de stockage
Votre réseau d’eau de pluie ne doit surtout pas être raccordé au réseau d’eau potable
Dans votre maison, vous ne pouvez pas posséder à la fois des robinets d’eau potable et des robinets d’eau de pluie. Les robinets d’eau de pluie doivent par ailleurs être verrouillables.
Une fiche attestant de la conformité de votre installation doit être établie par la personne responsable de sa mise en service
Réutiliser l’eau de pluie : les usages autorisés et interdits
Une « lettre ouverte au père Noël de la FNSEA ». C’est en ces termes que le président de l’UFC-Que choisir, Alain Bazot, décrit la proposition de loi « pour un choc de compétitivité en faveur de la Ferme France », qui sera débattue en séance plénière au Sénat à partir du 16 mai. Porté par Laurent Duplomb (Les Républicains), Pierre Louault (Union centriste) et Serge Mérillou (Parti socialiste), ce texte a pour ambition d’offrir « une plus grande protection de nos agriculteurs face aux distorsions de concurrence, tant en Europe […] qu’au-dehors ». Il est vivement critiqué par les écologistes, qui craignent d’importantes régressions sanitaires et environnementales.
Premier grief : l’article 13 de cette proposition de loi, qui propose de réviser les missions de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Depuis 2015, cette institution est chargée de la délivrance, du retrait ou des modifications des autorisations de mise sur le marché des pesticides. Cet article pourrait nettement compliquer sa tâche. Il requiert que l’Agence présente, dans chacune de ses décisions, « une balance détaillée des bénéfices et des risques sanitaires, environnementaux et économiques ».
Le porte-parole de l’association Générations futures, François Veillerette, juge « très inquiétante » cette proposition législative : « Elle alourdirait les formalités, et risque de dissuader l’Anses de prendre des décisions de retrait. » « C’est très grave, confirme le sénateur écologiste d’Ille-et-Vilaine Daniel Salmon. Elle bat en brèche l’indépendance de l’Anses, en disant que le fait économique doit être pris en compte, devant les problématiques sanitaires et environnementales. »
Sommaire :
01:35 Comment faire sa sélection pour créer un jardin de plantes médicinales ?
02:36 Une formation pour débuter sa pharmacie naturelle de plantes médicinales
03:40 La camomille romaine double
05:01 Le fenouil commun
06:55 La guimauve
07:50 L’hysope
09:20 La menthe poivrée
10:43 La mélisse citronnelle
11:57 Le romarin
13:53 La sauge officinale
15:25 Le souci ou calendula
17:11 Le thym commun
17:46 La verveine citronnelle
A l'heure où le malthusianisme forcené veut confisquer toutes nos libertés, limiter drastiquement les naissances, nous confiner dans ces atroces "villes de 15 minutes", il était devenu absolument vital de contredire ce discours apocalyptique par un peu de science exacte. Non, nous ne manquons pas d'eau potable. Certes, sa répartition dans le monde n'est pas bonne, mais une chose qui peut se répartir facilement de l'Alaska à l'Afrique et du Lac Baïkal à la Terre de Feu, c'est l'intelligence et la connaissance."
Si la Macronie a vanté le projet apocalyptique d’un nouveau rationnement de l’eau douce (dans une France qui n’a jamais manqué d’eau, ni pour sa population ni pour son agriculture ni pour son industrie), nous devons rappeler que des projets existent qui pourraient générer le débit de plusieurs grands fleuves par an, et que non, définitivement, nous ne manquons pas d’eau douce, nous ne manquons que de bon sens.
Rappelons que notre corps est constitué à 70% d’eau (jusqu’à 90% lors de notre naissance). Vous imaginez donc l’importance de la qualité de notre eau.
D’ailleurs, si on peut jeûner plusieurs semaines, on ne peut tenir que 8 jours sans eau. L’or bleu est bien un élément vital.
Le scandale de l’eau du robinet impropre à la consommation
On n’arrête pas de nous dire qu’on a vraiment beaucoup de chance d’avoir de l’eau dite « potable » à portée de main. Quelle chance oui ! Si comme moi, vous souhaitez vérifier la qualité de l’eau de votre région, cliquez ici. Dans le 44 (Loire-Atlantique), selon le moteur de recherche, la qualité de l’eau est bonne. Et pourtant, les pesticides et dérivés sont au nombre de 300, contrairement à une moyenne plus basse en France, qui se situe à 200.
Ça commence bien.
Depuis quelques années, le scandale enfle et devient si énorme qu’il arrive à percer dans certains médias. On nous sert une soupe à base de fluor, métaux lourds, résidus médicamenteux (coucou la pilule) nitrates, pesticides, chlore et autres joyeusetés. Si vous buvez encore quotidiennement l’eau du robinet sans la filtrer : bonne chance !
Le mythe de la carafe Brita vient de se briser ? Ne vous inquiétez pas, c’est pour le meilleur !
Le business de l’eau en bouteille
L’eau en bouteille, c’est environ 5 milliards d’euros par an, rien que ça !
Sur le marché, des géants bien connus :
– Nestlé (Vittel, San Pellegrino, Contrex)
– Danone (Evian, Volvic, Badoit)
– Cristalline (la moins chère, 11 centimes le litre)
ul n’a besoin d’être un grand génie des mathématiques ou de la physique et encore moins de l’intelligence artificielle pour comprendre à quel point cette mascarade de la sécheresse et de la gestion de l’eau n’a absolument aucun sens. D’abord parce qu’il a beaucoup plu aux mois de mars et avril et que, malgré des inondations et des crues, la propagande continue de nous expliquer que l’on va manquer d’eau. Mais pire encore, alors que tout le monde doit serrer la ceinture, que l’on va devoir payer plus cher l’eau, l’entreprise Coca-Cola continue de piller les ressources en eau de l’Hexagone pour fabriquer une boisson ultra sucrée très dangereuse pour la santé et responsable d’un nombre incalculable de maladies comme le diabète, l’obésité, les caries dentaires… On vous l’annonce dès maintenant, aucune restriction ne concernera Coca-Cola ou Pepsi-Cola dans un futur proche. Par contre, on vous imposera de mettre un compteur d’eau sur votre puits, on vous interdira d’arroser vos plantes, remplir votre piscine…
Bien sûr, Coca-Cola va expliquer qu’ils vont cesser de pomper l’eau de la nappe phréatique mais ne vous inquiétez pas, les 800 000 m³ annuels utilisés sur le site de Grigny seront pompés ailleurs, car il faut absolument continuer à vendre ce poison dangereux.
Il est toujours pratique d’avoir un puits chez soi. Surtout s’il permet d’alléger la facture d’eau potable. Et la loi l’autorise : l’article 552 du code civil stipule que le propriétaire d’un terrain l’est aussi de son sous-sol, jusqu’à 10 mètres de profondeur.
Mais depuis le 1er janvier dernier, un décret est venu changer la donne. Les propriétaires de puits doivent désormais déclarer leur installation en mairie. Si l’installation est antérieure au 31 décembre 2008, il ne reste plus que quelques jours, jusqu’au 31 décembre, pour la déclarer. Si vous voulez construire, la déclaration est, naturellement, également obligatoire. Mais que dire d’une simple déclaration ? À première vue, rien de bien contraignant. Sauf qu’il faut, également, équiper le puits d’un dispositif de comptage du volume d’eau prélevé. En clair : installer un compteur.
Ça pique, ça griffe, ça gratte. Sous un soleil déjà vif, notre balade printanière prend vite des airs de parcours du combattant. Slalomer entre les chênes kermès aux feuilles dentelées et les genêts scorpions, veiller à ne pas trébucher sur les rocailles, guetter l’ombre bienfaisante d’un pin. « Bienvenue dans la garrigue ! » dit dans un sourire Thibault Suisse. Notre guide du jour est botaniste au sein des Écologistes de l’Euzière, une association héraultaise qui fait, entre autres, de l’éducation à l’environnement.
« La particularité de ce milieu, c’est qu’il est semi-aride », explique le naturaliste. Et c’est justement ce qui nous amène ici, dans ce massif buissonnant à quelques kilomètres de Montpellier : en ces temps de sécheresse chronique, la région méditerranéenne, qui vit depuis des millénaires sans beaucoup d’eau, fait figure de modèle. Demain peut-être, d’autres zones de France ressembleront à ces collines pelées et étonnantes. n ces temps de sécheresse chronique, la garrigue, qui vit depuis des millénaires sans beaucoup d’eau, fait figure de modèle en France.
L’habit ne fait pas le moine, dit l’adage. Et la garrigue, sous ses allures revêches, cache une multitude d’espèces aux super-pouvoirs. Pour survivre ici, la végétation a en effet dû s’adapter au manque d’eau, aux étés caniculaires, aux feux…
Petits, feuillus et luisants
Première singularité, « les plantes d’ici ne perdent pas leurs feuilles, explique Thibault Suisse. Elles les gardent toute l’année pour pouvoir faire de la photosynthèse et se développer dès que les conditions sont optimales ». Nombre de végétaux méditerranéens germent et fleurissent ainsi à l’automne, quand la plupart de leurs congénères continentaux préfèrent le printemps ou l’été. Autre originalité, leur taille : « Plus on est petits, moins a besoin d’eau », précise le naturaliste.
Face aux sécheresses, il s’agit aussi — et surtout — de garder son eau, autrement dit, de ne pas trop transpirer. « Beaucoup d’espèces ont développé la “technique du K-Way”, souligne notre guide. Leurs feuilles sont enduites d’une mince pellicule de cire, qu’on appelle une cuticule. » Avec leur feuillage luisant, le chêne kermès ou le chêne vert suent moins l’été.
Autre astuce imparable : « Le thym ou le romarin ont des feuilles toutes fines, le genévrier cade s’est plutôt doté d’aiguille, décrit le naturaliste. Le genévrier de Phénicie a opté pour des sortes d’écailles. » Différentes options pour un même résultat : réduire la surface d’évapotranspiration.
Cela fait maintenant dix ans que la commune de Roquevaire, dans les Bouches-du-Rhône, a établi la gratuité de « l’eau vitale » pour ses habitant·es (lire L’âdf n° 102). Le principe : chaque humain a un besoin irrépressible en eau potable pour survivre, il convient donc de lui en donner libre accès. Et ainsi, chaque foyer a droit à 30 mètres cubes de flotte gratuits (1), le conseil municipal considérant, à travers une délibération prise en décembre 2011, que « l’eau potable ne doit pas être une marchandise source de profits injustifiés, mais qu’elle est un bien commun de l’humanité ».
Les 120 mètres cubes suivants, considérés comme de « l’eau utile », sont payants, à un tarif relativement classique. Et au-delà, arrive « l’eau de confort », pour remplir sa piscine par exemple, pour laquelle le prix est nettement plus élevé.
En une petite décennie, ce système, qui était géré jusqu’en 2019 en régie directe, a fait ses preuves. Il a permis de rémunérer les cinq agents qui s’occupaient de la gestion des 92 kilomètres du réseau de distribution. Ils en ont amélioré la qualité par rapport à l’époque où il était géré par le privé, diminuant sensiblement les pertes liées aux fuites : en quelques années, le rendement est passé de 60 % à 76 %. La consommation globale d’eau potable n’a pas augmenté, elle a même légèrement baissé. Loin d’être un gouffre financier, cette tarification sociale et solidaire a au contraire permis de dégager des bénéfices qui ont abondé les comptes de la commune.
Bref, pour les 9 000 Roquevairois·es, ce fonctionnement ne présentait à peu près que des avantages. À moins, peut-être, d’avoir une piscine olympique au fond du jardin, mais dans ce cas, il est plutôt logique et sans doute pas insoutenable de payer un peu pour les autres. C’est même le principe d’une tarification solidaire.
Et puis, des décisions venues de loin – de Paris, pour être exact – ont contraint la municipalité à dissoudre sa régie. Au 1er janvier 2018, c’est en effet la métropole d’Aix-Marseille-Provence nouvellement créée qui hérite de la compétence de l’eau. Roquevaire est alors obligée de rejoindre l’une des régies de la grande métropole. Yves Mesnard, le maire de la commune, se sent « dépossédé » : « avant, je faisais ce que je voulais. Nous avions des excédents et comme, nous étions en régie directe, je pouvais les réintégrer sur mon budget principal. Maintenant, c’est fini », regrette-t-il.
Des « traumatisés » qui souffrent de blessures physiques mais aussi psychologiques.
En apparence, c’est un tableur Excel tout ce qu’il y a de plus banal. 150 cases, fond blanc, police d’écriture noire. Entre les lignes de ce « recensement » – non exhaustif, précisent ses auteurs – des blessures constatées par des soignants sur les manifestants de Sainte-Soline, publié le 31 mars par Les Soulèvements de la Terre, se dessine un effroyable tableau, empli de douleurs vives aux conséquences durables. Deux urgences vitales, deux nez « délabrés », un œil meurtri par des morceaux de verre, une plaie aux testicules, des dizaines d’éclats de grenades, une pelletée de blessures « profondes », parfois nécrosées, pouvant atteindre la « taille d’un œuf »… Ainsi que de l’anxiété, de la panique, des sensations de « dissociation ». Autant de troubles qui continuent, deux semaines après les faits, d’affecter un grand nombre de militants.
Sur le plan physique, d’abord. Nombreux sont ceux à porter les stigmates de la répression policière. Le pronostic vital de Serge, un manifestant touché à la tête par une grenade, est encore aujourd’hui engagé. Victime d’un tir de LBD à la gorge, Mickaël, la trentaine, a quant à lui dû être plongé dans le coma pendant plus d’une semaine, et subir une importante opération du cerveau. Il s’est depuis réveillé.
À ces deux cas très médiatisés s’ajoutent des dizaines d’autres. Médecin généraliste venue manifester à Sainte-Soline, Perle raconte avoir eu l’impression de se trouver « dans une zone de guerre ». Après avoir pris en charge Mickaël, la jeune femme s’est retrouvée sur un chemin où se trouvaient de nombreux blessés. « Tout le monde hurlait. Il y avait plusieurs personnes avec le visage en sang, des gens à terre, sous des couvertures de survie, qui pleuraient, à moitié conscients... » Les organes de certains ont été, selon ses observations, durablement endommagés. « Quand on ouvrait l’œil d’un d’entre eux, on voyait juste un globe [oculaire] rouge. Dans ce type de cas, le pronostic fonctionnel est engagé. »
Caradisiac, qui vient de mettre la main dessus, a donc décidé de le rendre public en exclusivité, en partenariat avec Marianne.
Sur France Info, il y a une semaine, Bruno Le Maire a promis de le publier.
Mais le ministre de l’Économie et des Finances, attendu pour en discuter à l’Assemblée nationale ce 22 mars, avec son collègue des Transports, Clément Beaune, s’est bien gardé de préciser un délai.
Et, pour l’heure, le rapport consacré au modèle économique des sociétés concessionnaires d’autoroutes (SCA), qui lui a été remis il y a maintenant plus de deux ans, reste confidentiel.
Il le demeure même pour une partie des parlementaires sur le point de l’interroger, puisqu’il n’a été communiqué qu’aux seuls présidents des commissions des finances des deux chambres.
Les informations qu’il contient sont pourtant d’intérêt général, et ne devraient pas avoir vocation à rester secrètes, selon Caradisiac.
C’est pourquoi, en association avec l’hebdomadaire Marianne, nous avons décidé de le rendre public.
Une copie a fini en effet par nous tomber entre les mains, et voici ce rapport étouffé sur les autoroutes proposé en téléchargement libre.
Exclusif
Découvrez le rapport secret sur les sociétés d’autoroute qui confirme leur surrentabilité
Le rapport
On lui a juste retiré les pages consacrées à la taxe d’aménagement du territoire (TAT) dont la hausse depuis 2020 a rapporté 1 milliard d’euros supplémentaire à L’État, ce qui a poussé les SCA à ouvrir un contentieux.
À en croire Bruno Le Maire, cette partie du rapport constituerait « le mémoire en défense » du gouvernement qu’il ne faudrait pas dévoiler aux sociétés concessionnaires…