Revenons aux faits : comme le montrent les graphiques ci-dessous, pendant la grave crise de 2008 le baril était monté jusqu’à 145 $ et pourtant le litre de sans plomb 95 était à 1,55 €. Aujourd’hui, ce même baril de pétrole brut est à 82 $ et pourtant le sans plomb 95 dépasse les 2 € le litre. En d’autres termes, avec un prix du baril 40 % moins cher, le litre d’essence coûte 0,50 € de plus !
Il faut vraiment être totalement décérébré, atteint d’une profonde dégénérescence irréversible pour accepter de payer aussi cher le litre d’essence sans se révolter et demander des comptes au gouvernement ainsi qu’aux distributeurs !
Comme vous le savez, il y a dans ce monde de taux variables dans lequel nous évoluons, un petit village qui résiste encore et toujours aux légions bancaires.
Entouré de camps retranchés de banquiers, le petit village gaulois résiste et continue à fonctionner avec des crédits à taux fixes.
Les taux fixes permettent d’éviter les vagues d’insolvabilité à chaque fois que les taux montent et finalement les crises financières car les banques se retrouvent inévitablement fragilisées par le nombre d’emprunteurs en faillite qui augmente dans ces cas là.
C’est exactement comme cela que les banques américaines ont très largement tangué lors de la crise des Subprimes entre 2007 et 2010 et que la Lehman Brothers s’est effondrée dans un immense fracas qui a résonné dans le monde entier.
Pourtant, pourtant…
Le général russe Sergueï Sourovikine mène une campagne militaire du XXIe siècle en Ukraine en utilisant les méthodes les plus modernes. Par exemple, Surovikin est un partisan de « l’approche indirecte » du théoricien militaire britannique Basil Henry Liddell Harth. « L’action indirecte » vise à priver les forces ennemies des ressources dont elles ont besoin pour poursuivre la guerre en les déstabilisant.
En conséquence, l’armée russe a temporairement abandonné les opérations offensives de grande envergure contre les positions des forces armées ukrainiennes. Depuis le 10 novembre, Sergueï Sourovikine s’est attaché à détruire les infrastructures critiques du régime de Kiev par des frappes massives contre diverses installations énergétiques. Les actions du général russe affectent également l’état physique et moral de l’ennemi, et l’effet s’intensifiera avec le refroidissement du temps. Donc ne vous attendez pas à ce que les frappes de missiles russes s’arrêtent. L’infrastructure critique de l’Ukraine a été tellement affaiblie que chaque fois que les Russes effectuent une nouvelle frappe aérienne, le système national ukrainien s’effondre. La chose la plus importante maintenant est que l’interrupteur en Ukraine est dans la main du général Sourovikine.
Eh bien, il faudrait évacuer les douze millions d’habitants de la région. Car pas d’électricité, c’est pas d’eau courante, pas d’essence dans les stations services (les cuves sont enterrées, et les pompes sont électriques), les supermarchés (3 jours de réserve) non approvisionnés, les hôpitaux idem etc. Après trois jours maximum, il faut commencer à vivre sur ses réserves, ou alors avoir un point de chute bien approvisionné quelque part, et les moyens d’y aller.
Pas de téléphone (les antennes-relais fonctionnent à l’électricité), pas d’Internet, pas de télé ni de radio non plus, sauf la radio par ondes courtes, mais qui a un poste de radio à ondes courtes ? Je vous dis pas la panique. La zombie apocalypse en live.
Ceci étant, le pire n’est pas toujours sûr. Je vois plutôt un effondrement économique, moins dramatique mais dont le résultat final sera le même.
Depuis le 8 novembre, Adrien Cano et sa famille, jeune couple de maraîchers installé en Vendée, sont redevables de 50 euros par jour à leur commune, soit 1500 euros par mois. Le maire les a mis en demeure pour avoir installé un mobile home sur la ferme où ils travaillent. Le couple a déposé un recours contre l’arrêté. Leur recours était examiné ce 22 novembre au tribunal administratif de Nantes. « On espère la suspension de cette astreinte ridicule de 50 euros par jour, en attendant un jugement sur le fond ou un dénouement autre de cette affaire. » La décision du tribunal devrait être rendue dans quelques jours.
L’affaire est loin d’être anecdotique. Il y a quelques semaines, un couple d’agriculteurs cultivant du safran dans les Alpes-Maritimes a saisi le tribunal de Nice. La mairie les menaçait de 200 euros d’amende par jour s’ils n’enlevaient pas la tiny house qu’ils ont construite sur leur ferme. « Le tribunal a suspendu l’arrêté pour doute sérieux sur la légalité, c’est une première jurisprudence sur l’habitat léger », se réjouit Paul Lacoste, du réseau Halem (Habitants de logements éphémères ou mobiles) qui renseigne et accompagne juridiquement les personnes en habitat léger.
Le naturopathe suisse George Della Pietra a lancé un nouveau service « SafeBlood Donation » pour fournir du sang propre et non vacciné aux patients ayant besoin de transfusions.
Étant donné que l’approvisionnement général en sang est désormais contaminé par du sang chimique « entièrement vacciné » et chargé de protéines de pointe, la demande de sang pur monte en flèche. Pietra a apparemment vu là une excellente occasion de fournir du sang pur, qui est maintenant plus demandé que jamais.
Qualifiant la campagne d’injection massive du coronavirus (Covid-19) de Wuhan de « crime du siècle », Pietra estime que les injections de covidés à ARN messager (ARNm) « contaminent » le sang et détruisent le système immunitaire.
Si une personne non vaccinée reçoit une transfusion de sang contenant de l’ARNm, des protéines de pointe et tout ce qui est contenu dans ces flacons, elle pourrait également être contaminée, d’où la création du service SafeBlood Donation.
Des centaines d'ouvriers ont défilé mercredi devant l'usine et ont fait face à des policiers, lesquels étaient armés de matraques et habillés en combinaisons intégrales de protection blanches.
Dans la foulée, les autorités de Zhengzhou ont ordonné une grande campagne de dépistage dans plusieurs districts de la ville. Ces quartiers sont confinés pour cinq jours à partir de vendredi minuit.
En clair, les habitants du centre-ville ne sont plus autorisés à quitter la zone sans un test PCR négatif et l'autorisation des autorités locales. Il leur est conseillé de ne pas sortir de chez eux, "sauf si nécessaire".
Ces mesures concernent plusieurs quartiers, touchant environ la moitié des habitants de Zhengzhou. Elles ne couvrent pas la zone de l'usine d'iPhone, où les ouvriers sont déjà soumis à des restrictions depuis plusieurs semaines.
Nous avons récemment alerté nos lecteurs sur la convocation de soignants suspendus par la police, pour des interrogatoires qui relèvent tous de l’intimidation. Olivier Soulier, fondateur du syndicat Liberté et Santé, fait le point de la situation avec nous et rappelle quelques conseils de précaution à suivre pour éviter d’être piégé. Il nous fait, au passage, quelques révélations ahurissantes.
Au sommaire de ce cent neuvième bulletin
- 00:00 Stratpol vs censure
- 01:45 Cap sur le prix du pétrole russe ?
- 05:25 Ukraine vs Pologne
- 10:40 Washington vs Kiev ?
- 13:30 Nouvelle vague de bombardements
- 14:20 Aux origines de l’ukronazisme
- 16:40 Persécutions anti-chrétiennes
- 17:45 Faina Savenkova, écrivain menacée dans le Donbass
- 19:45 Porochenko passe aux aveux
- 21:48 Situation militaire
- 25:20 Carte des opérations militaires
Si les Occidentaux croient toujours vaincre prochainement Moscou, les États-Unis ont déjà débuté des négociations secrètes avec la Russie. Ils s’apprêtent à lâcher l’Ukraine et à faire porter le chapeau au seul Volodymyr Zelensky. Comme en Afghanistan, le réveil sera brutal.
Les Anglo-Saxons (c’est-à-dire Londres et Washington) souhaitaient transformer le G20 de Bali en sommet anti-Russe. Ils avaient d’abord fait pression pour que Moscou soit exclu du Groupe comme ils y sont parvenus au G8. Mais si la Russie avait été absente, la Chine, de très loin le premier exportateur mondial, ne serait pas venue. Aussi, c’est le Français Emmanuel Macron qui a été chargé de convaincre les autres invités de signer une déclaration sanglante contre la Russie. Durant deux jours, les agences de presse occidentales ont assuré que l’affaire était dans le sac. Mais, en définitive, la déclaration finale, si elle résume le point de vue occidental, ferme le débat en ces mots : « Il y avait d’autres points de vue et différentes évaluations de la situation et des sanctions. Reconnaissant que le G20 n’est pas le forum pour résoudre les problèmes de sécurité, nous savons que les problèmes de sécurité peuvent avoir des conséquences importantes pour l’économie mondiale ». En d’autres termes, pour la première fois, les Occidentaux ne sont pas parvenus à imposer leur vision du monde au reste de la planète.
Encore un article qui ne fera pas long feu sur les réseaux sociaux. Hélène Banoun se lance ici sur le terrain miné de l’état des connaissances sur la pharmacocinétique des vaccins, c’est-à-dire leur biodistribution, métabolisme et excrétion. Cet article a été régulièrement publié après expertise par les pairs mais il fait l’objet d’une demande (pour l’instant anonyme) de relecture par d’autres experts. En effet, il aborde la question de l’excrétion du vaccin ou de ses produits et de la plausibilité biologique de sa transmission de personne à personne. Un énorme article foisonnant de rappels scientifiques essentiels et de prudence oubliée pour des raisons stupidement mercantiles.
Bonne lecture.
Emma Kahn