La publication de la série finale par l'IHU démontre que ces malfrats ont activement participé au (CENSURE) par privation de soins de dizaines de milliers de personnes en France.
On comprend qu'ils soient quelque peu stressés à la perspective de se retrouver tôt ou tard devant la justice pour répondre de leurs actes.
Tic-tac, tic-tac !
Ils nous donnent en attendant un nouvel exemple magistral de délire paranoïaque raisonnant...
En voici une bonne illustration qui permettra aux lecteurs de mieux comprendre les tenants et aboutissants du système dans lequel les mafieux qui nous dirigent se gavent et participent à la curée sur notre dos contrairement à ce qu’ils nous serinent à longueurs d’ondes, rien de ce que nous voyons être mis en place par ces responsables politiques, n’est dicté par le souci d’un mieux-être social pour l’ensemble de la population.
Au contraire, à travers ce système de népotisme, tout est dicté par un appât du gain personnel, insatiable, contre le bien-être du plus grand nombre.
Ce genre de document devrait pouvoir servir à de futures poursuites s’il est avéré que ces sinistres individus n’aient agi que dans leurs intérêts particuliers au détriment du plus grand nombre (ce qui ne devrait pas être difficile à prouver si quelques cabinets d’avocats voulaient s’y atteler).
Itzel Marie Diaz a reçu Agnès Naudin, capitaine de police, porte-parole du syndicat FSU intérieur, co-auteur de « Police: la loi de l’omerta ». Une lanceuse d’alerte actuellement dans le viseur de la justice qui l’accuse de violation du secret professionnel.
«Nous ne sommes plus une police républicaine, mais un bras armé du gouvernement»
Les manœuvres pour soumettre les pays aux décisions contraignantes (diktats) de l’OMS se déroulent déjà au grand jour depuis quelques années. Si les Occidentaux apparaissent soumis à cet agenda totalitaire mondial, la bonne surprise est venue à plusieurs reprises du reste du monde, à qui évidemment on ne la fait pas quand il s’agit d’imposer de nouvelles formes d’impérialisme.
Ceci advient à un moment où l’organisation n’en finit pas de se discréditer. En dépit de la quasi-absence de nouveaux cas, par exemple, l’OMS vient de reconduire la « variole du singe » comme urgence sanitaire internationale… Une urgence sanitaire sans cas est une innovation intéressante de plus dans le registre du théâtre de l’absurde… mais certainement pas de la santé publique !
Quant au très douteux scientifique Jeremy Farrar (directeur du Wellcome Trust) , il vient, à peine élevé à la dignité de Chief Scientist de l’OMS, de proposer qu’on renonce aux investigations quant à l’origine du Sars-CoV-2 – question en effet sans importance ! Il s’en est ensuite défendu, sachant à quel point le sujet est chaud : pas moins de dix chimères de coronavirus de chauve-souris ont été produites dans le laboratoire de Wuhan après que Barack Obama ait interdit les recherches sur les gains de fonction sur les virus – le Sars-CoV-2 apparaissant désormais bien, comme l’avait dit très vite le Pr Luc Montagnier, un produit d’ingénierie du vivant…
Au-delà de ces vilaines péripéties se déploie un réel problème de fond : la volonté de subordonner de manière contraignante la souveraineté sanitaire des pays à une organisation internationale connue aujourd’hui comme étant LA plus corrompue au monde.
Ce projet mondial vise à transformer complètement tous les aspects de l’existence humaine : alimentation, sexualité, famille, travail, finances, santé, éducation, tout ! Il est censé mettre fin à la pauvreté, à la faim, aux inégalités, aux maladies et à bien d’autres maux. Un ancien directeur exécutif qui a travaillé à l’ONU pendant deux décennies raconte une histoire différente. Il explique que l’ONU est contrôlée par des criminels qui l’utilisent pour s’enrichir et asservir l’humanité.
Tout est balancé dans cette vidéo sur le fonctionnement de l’ONU, l’OTAN, l’OMS, les ONG au service exclusif des oligarques via le WEF (entre autres).
Cette vidéo est une confirmation pour les gens éveillés même si on y apprend des choses.
En la regardant, vous aurez la conviction qu’il est plus que temps de dire NON à tout ce système d’esclavage et de destruction en grande partie dirigé par les USA.
Une vidéo qui vous permettra une montée en conscience et en vibration. Un avenir d’humanité nous attend si nous sommes de plus en plus nombreux à combattre ces criminels, à dire NON.
Nikolaï Patrouchev, ancien directeur du FSB et actuel secrétaire du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, en a parlé à Vitaly Tseplyaev début janvier 2023.
Vitaly Tseplyaev : Nikolaï Platonovich, comment évaluez-vous la situation dans le monde qui s’est développée au début de la nouvelle année ?
Nikolaï Patrouchev : La situation dans le monde est extrêmement complexe et a un caractère turbulent. De nombreux pays de différentes régions traversent simultanément une crise militaro-politique, économique, sociale et spirituelle. Espérons qu’il y aura des changements positifs cette année.
VT : Vous avez dit un jour que les dirigeants des pays occidentaux ne faisaient rien pour améliorer la situation, non seulement dans le monde, mais même dans leur propre pays. Expliquez ce qui est en jeu.
NP : Les politiciens occidentaux n’ont pas la force et la capacité de changer la vie de leurs États pour le mieux, car ils ne sont plus des personnalités indépendantes depuis longtemps. Tout le monde a des liens avec les grandes entreprises, les lobbyistes et les fondations derrière leur dos. Ils ne cachent même pas ces faits. Il existe des exemples très récents. Il s’est avéré que des dizaines de députés européens étaient contrôlés par les structures de George Soros et que la Commission européenne, à la demande de l’une des plus grandes sociétés pharmaceutiques américaines au monde, a créé un certain nombre de stratagèmes de corruption pour l’achat de vaccins d’une valeur de dizaines de milliards d’euros. Il est clair que le vrai pouvoir en Occident est entre les mains de clans ingénieux et de sociétés multinationales.
VT : Rockefeller et Rothschild ?
NP : En fait, il existe bien d’autres corporations et clans de ce genre. Ainsi, le revenu total des 500 plus grandes entreprises du monde, selon des données non officielles, a atteint près de 38 000 milliards de dollars en 2021. La majeure partie des sociétés multinationales sont des sociétés dont le siège est aux États-Unis. Leurs revenus ont rapporté environ 16 billions de dollars avec un bénéfice net de 1,8 billion de dollars.
Le capital d’un certain nombre de sociétés multinationales dépasse le PIB de la plupart des économies mondiales, et les fonds créés par elles pour un enrichissement ultérieur prétendent être un mécanisme supranational de gestion de l’humanité. La même Fondation Soros est devenue presque le principal centre mondial de planification et de mise en œuvre des « révolutions de couleur ».
Le projet de budget américain pour 2023 est la meilleure preuve des projets de Washington de déclencher de nouvelles guerres au détriment du bien-être de ses propres citoyens.
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Mais cette affaire fait suite au Pfizergate, scandale de la négociation du colossal contrat entre la Commission Européenne et Pfizer (plusieurs dizaines de milliards€) en dehors de toute procédure démocratique et transparente. Dans ce dernier scandale, c’est la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen elle-même, qui est impliquée personnellement, puisqu’elle a choisi de conduire directement la négociation avec Albert Bourla, patron de Pfizer, sans aucun contrôle et sans aucune transparence. Cette dérive grave a conduit la Commission a acheté 9 doses de vaccin par habitant à un prix unitaire exorbitant… Sur tous ces points la députée européenne Virginie Joron nous explique le « dessous des cartes ».
Une interview décapante qu’il faut absolument voir.
Elle souligne que ce scandale n'en est probablement qu'à ses débuts... et regrette que la procédure concernant la signature des contrats sur les vaccins, en particulier sur les vaccins Pfizer, ne bénéficie pour l'instant d'aucune suite judiciaire.
Virginie Joron a bien voulu répondre à quelques questions concernant le “Qatargate”, scandale où il semblerait que le Qatar ait pu “acheter des voix” au sein du Parlement européen pour bénéficier de votes favorables à ses intérêts. Virginie Joron résume efficacement les enjeux de ce dossier à tiroir… qui ne doit surtout pas faire oublier les autres dossiers.
C’est pour cela, et non pas pour ses capacités en hydrocarbures, que le président Biden l’a proclamé « Plus grand Allié Non-Otan des États-Unis »
La Coupe du Monde FIFA 2022 au Qatar cache une tragique réalité sur laquelle le courant dominant politico-médiatique a fait tomber une chape de silence. Avant tout le fait que ce soit cet émirat du Golfe qui ait été choisi par la FIFA pour organiser la World Cup 2022. La FIFA, la Fédération internationale de football, est profondément corrompue, au point que ses hauts administrateurs ont été arrêtés pour fraudes, racket et recyclage d’argent. Il n’y a donc pas à s’étonner que la FIFA, alors qu’elle a choisi le Qatar, a expulsé la Russie du Mondial. La Coupe du Monde 2022 est la plus couteuse de l’histoire : le Qatar y a dépensé 220 milliards de dollars (par rapport aux 4 milliards dépensés par l’Allemagne pour organiser les Mondiaux de 2006).
Que l’on pense par exemple à l’indignation de certains politiciens face à l’usage par des esprits critiques des mots « dictature » ou « tyrannie » sanitaires…
Pourtant, la dictature est bien depuis la Rome antique cette suspension (normalement temporaire) des droits et libertés habituelles. Un état d’urgence ou d’exception qui court-circuite les processus habituels de la démocratie et de l’état de droit est bien techniquement un régime de dictature.
Et piloter la soi-disant réponse à un phénomène (présenté de manière fallacieuse comme les présentations précédentes l’ont montré) depuis un « Conseil défense » militaire, protégé par un secret n’ayant aucune raison valable d’exister, relève bel et bien de la tyrannie. Là encore au sens précis du terme, qui décrit la captation du pouvoir exécutif par une personne ou un petit groupe mettant en échec le fonctionnement institutionnel normal.
Toutes ces réalités -déjà bien problématiques-, il fallait la connaissance et l’expertise d’une personne comme Ariane Bilheran pour nous éclairer à leur sujet.
Normalienne, philosophe (avec une spécialisation en philosophie politique et morale), Ariane est de surcroît docteur en psychopathologie. Ses thématiques de recherche dans cette discipline ont couvert (en autres) la psychopathologie de l’autorité et de la paranoïa ainsi que les phénomènes de manipulation et d’emprise, à petite comme à large échelle.
C’est dire si elle possédait en amont de ce qui nous est arrivé toutes les clés de lecture et de compréhension nécessaires à porter une analyse précise et pertinente.
Elle l’a fait en publiant plusieurs séries d’articles (dont Chroniques du totalitarisme et Psychopathologie du totalitarisme) et différents ouvrages qui feront date (dont bien sûr Le débat interdit, rédigé en tandem avec Vincent Pavan) ainsi qu’en donnant de nombreuses interviews et conférences.
00:30 Les mathématiques durant la crise H1N1
06:17 Les mathématiques durant la crise Covid
09:53 Efficacité des mesures de confinement
13:25 Les enjeux de la “modélisation mathématique” de Cauchemez en mars 2020
14:41 Sur les fondements généraux de l'épidémiologie “mathématique”
19:11 L'article de Science du 11 Mai 2020 : les caractéristiques
23:14 Construction de l'article
25:32 des trucages honteux
27:29 Contradiction avec les faits
30:15 pre-print du 28 Juin 2021
31:56 Quelques problèmes
35:07 Démarche judiciaire
36:47 Le devenir de la plainte
40:47 Un personnage trouble : Cédric Villani
46:18 Autres articles avec fraude en mathématiques
47:34 L'étude ComCor
50:47 Le Conseil d'Analyse économique
52:17 Conclusions
54:54 “pour terminer et pour vous réconcilier un peu avec les matheux…”