Entre 2014 et 2019, Big Pharma a débloqué 818 millions d’euros pour récompenser des médias influenceurs en France, d’après une étude consultée par Lecourrier-du-soir.com et dont les résultats ont été publiés en 2022.
Les KOL (Key Opinion Leaders) ou l’arme redoutable utilisée par Big Pharma pour se remplir les proches. En tout cas, en pleine crise sanitaire où les liens entre laboratoires et scientifiques a déjà suscité une vive indignation, une étude menée par des chercheurs français risque de provoquer un vif tollé en France.
En effet, d’après cette étude relayée par le média Le Quotidien du Médecin, l’industrie pharmaceutique accorde d’importants cadeaux (financiers) à des médecins KOL pour vendre ses produits. Les montants débloqués sont faramineux. Selon le Quotidien du Médecin, entre 2014 et 2019, les industriels ont fléché 6 milliards d’euros (au niveau mondial) vers les médecins dont notamment 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature. D’après la même source, 548 médecins influenceurs sont en France.
Cette enquête fait apparaître d’emblée les techniques de manipulation des populations lors des campagnes électorales et notamment celles utilisées pour porter Zelensky au pouvoir en Ukraine.
Ces techniques ne sont pas nouvelles. Elles sont désormais éprouvées et ont été mises en application dans de nombreuses élections et dans de nombreux pays par des sociétés privées connues, telles que Cambridge Analytica, aujourd’hui disparue, ou Team Jorges, qui la remplace, toutes deux proches d’Israël et des néocons US.
Rien d’étonnant au fait que l’Agent Zelensky, classé 1er au palmarès de l’influence du Jerusalem Post en 2022, devant ses complices néocons occidentaux, Elisabeth Borne (3ème) et Anthony Blinken (7ème), ait pu bénéficier de ces techniques de promotion … comme plusieurs autres dirigeants européens d’ailleurs…
Ce qui est très intéressant, c’est le fait que ces deux vidéos «Agent Zelensky», pourtant très factuelles, ont été immédiatement censurées sur YouTube, ce qui prouve, une fois de plus, à QUI YouTube a fait allégeance. La connivence «YouTube-néocons» est clairement établie.
Elle a besoin d’un approvisionnement constant en femmes en bonne santé, mais financièrement désespérées pour louer leur utérus à des étrangers fortunés.
Les mères porteuses “doivent venir d’endroits plus pauvres que nos clients”, explique le directeur médical de la plus grande “usine à bébés” de Kiev.
Ihor Pechonoha, de la société BioTexCom, basée en Suisse, affirme que le modèle commercial qui lui a permis de créer l’une des sociétés de maternité de substitution les plus rentables au monde est tout simplement l’exploitation : “Nous recherchons des femmes dans les anciennes républiques soviétiques parce que, logiquement, [les femmes] doivent venir d’endroits plus pauvres que nos clients”.
Il n’est donc pas surprenant que BioTexCom se soit tournée vers l’Ukraine pour y trouver un réservoir presque inépuisable de jeunes femmes prêtes à vendre leur utérus pour soulager leur détresse financière. Huit années de guerre civile suivies d’une guerre par procuration entre les pays de l’OTAN et la Russie ont plongé l’Ukraine dans un désastre économique. Alors que ses citoyens sombraient dans la pauvreté, le pays est rapidement devenu l’épicentre international de la maternité de substitution et contrôle aujourd’hui au moins un quart du marché mondial. L’essor de cette industrie florissante s’est accompagné de l’apparition d’un monde médical interlope où règnent la maltraitance et la corruption.
Les sociétés savantes médicales jouent un rôle crucial dans la promotion des connaissances médicales, l'élaboration de directives cliniques et la formation des professionnels de santé. Cependant, ces institutions sont de plus en plus critiquées pour leurs liens étroits avec l'industrie pharmaceutique, ce qui soulève des questions sur l'objectivité de leurs recommandations. En effet, les sociétés savantes médicales sont responsables de l'élaboration de directives cliniques qui influencent les pratiques médicales à l'échelle mondiale. L'influence de l'industrie pharmaceutique sur ces recommandations est préoccupante, car elle peut entraîner une sur-prescription de médicaments coûteux et potentiellement inutiles, minimiser les approches alternatives non pharmacologiques et négliger les effets indésirables des traitements.
Dès lors, il n’était pas surprenant de les voir s’élever, massivement, contre l’étude rétrospective pré-publiée par les Pr Lagier, Brouqui, Million et Raoult de l’IHU Méditerranée Infection, qui montrait sur plus de 30.000 patients l’impact favorable net sur la mortalité liées à la Covid-19, d’une prescription (réalisée hors AMM) d’hydroxychloroquine et à l’azithromycine.
La fronde pris la forme d’une tribune dans Le Monde, coordonnée par le Pr Molimard du CHU de Bordeaux. Depuis 3 ans, ce dernier s’est illustré dans les médias comme un pourfendeur de toutes formes de traitement de la Covid-19. Ses critiques acerbes (« rien ne marche », « on n’atteint pas les concentrations ») ne sont pas étayées d’éléments probants scientifiques. Il se cantonnerait derrière des publications, qu’il avait la possibilité de critiquer objectivement, et de les interpréter à son gré avec moult biais qui entrainent une désinformation des lecteurs ou auditeurs. Il est aussi grand fervent des vaccins (« on ne transmet plus la covid une fois vacciné »), pour le plus grand bénéfice de l’industrie pharmaceutique qui a bien entendu très largement plus à gagner à vendre 20€ (et parfois bien plus) un vaccin expérimental à 6 milliards de personnes qu’à vendre à quelques centaines de millions un traitement à 2€. Le bénéfice pour l’industrie, le risque pour le patient. En outre, le Pr Molimard est pharmacologue et médecin, il a donc un double diplôme. Le consentement libre et éclairé, les conventions d’Helsinki et d’Oviedo ne devraient avoir aucun secret pour lui. De plus, en respect de son serment d’Hippocrate, il lui était demandé de respecter le patient.
La base de données https://transparence.sante.gouv.fr, consultée via le site eurosfordocs.fr, comptabilise le montant des avantages perçus de l’industrie pharmaceutique. Les sommes comptabilisées le sont pour les sociétés savantes signataires de ladite tribune, mais également pour leurs représentants à titre individuel au cours des 4 dernières années. Les montants rapportés ne comptabilisent pas les conventions où les montants ne sont pas déclarés.
Les résultats sont édifiants...
La publication de la série finale par l'IHU démontre que ces malfrats ont activement participé au (CENSURE) par privation de soins de dizaines de milliers de personnes en France.
On comprend qu'ils soient quelque peu stressés à la perspective de se retrouver tôt ou tard devant la justice pour répondre de leurs actes.
Tic-tac, tic-tac !
Ils nous donnent en attendant un nouvel exemple magistral de délire paranoïaque raisonnant...
En voici une bonne illustration qui permettra aux lecteurs de mieux comprendre les tenants et aboutissants du système dans lequel les mafieux qui nous dirigent se gavent et participent à la curée sur notre dos contrairement à ce qu’ils nous serinent à longueurs d’ondes, rien de ce que nous voyons être mis en place par ces responsables politiques, n’est dicté par le souci d’un mieux-être social pour l’ensemble de la population.
Au contraire, à travers ce système de népotisme, tout est dicté par un appât du gain personnel, insatiable, contre le bien-être du plus grand nombre.
Ce genre de document devrait pouvoir servir à de futures poursuites s’il est avéré que ces sinistres individus n’aient agi que dans leurs intérêts particuliers au détriment du plus grand nombre (ce qui ne devrait pas être difficile à prouver si quelques cabinets d’avocats voulaient s’y atteler).
Itzel Marie Diaz a reçu Agnès Naudin, capitaine de police, porte-parole du syndicat FSU intérieur, co-auteur de « Police: la loi de l’omerta ». Une lanceuse d’alerte actuellement dans le viseur de la justice qui l’accuse de violation du secret professionnel.
«Nous ne sommes plus une police républicaine, mais un bras armé du gouvernement»
Les manœuvres pour soumettre les pays aux décisions contraignantes (diktats) de l’OMS se déroulent déjà au grand jour depuis quelques années. Si les Occidentaux apparaissent soumis à cet agenda totalitaire mondial, la bonne surprise est venue à plusieurs reprises du reste du monde, à qui évidemment on ne la fait pas quand il s’agit d’imposer de nouvelles formes d’impérialisme.
Ceci advient à un moment où l’organisation n’en finit pas de se discréditer. En dépit de la quasi-absence de nouveaux cas, par exemple, l’OMS vient de reconduire la « variole du singe » comme urgence sanitaire internationale… Une urgence sanitaire sans cas est une innovation intéressante de plus dans le registre du théâtre de l’absurde… mais certainement pas de la santé publique !
Quant au très douteux scientifique Jeremy Farrar (directeur du Wellcome Trust) , il vient, à peine élevé à la dignité de Chief Scientist de l’OMS, de proposer qu’on renonce aux investigations quant à l’origine du Sars-CoV-2 – question en effet sans importance ! Il s’en est ensuite défendu, sachant à quel point le sujet est chaud : pas moins de dix chimères de coronavirus de chauve-souris ont été produites dans le laboratoire de Wuhan après que Barack Obama ait interdit les recherches sur les gains de fonction sur les virus – le Sars-CoV-2 apparaissant désormais bien, comme l’avait dit très vite le Pr Luc Montagnier, un produit d’ingénierie du vivant…
Au-delà de ces vilaines péripéties se déploie un réel problème de fond : la volonté de subordonner de manière contraignante la souveraineté sanitaire des pays à une organisation internationale connue aujourd’hui comme étant LA plus corrompue au monde.
Ce projet mondial vise à transformer complètement tous les aspects de l’existence humaine : alimentation, sexualité, famille, travail, finances, santé, éducation, tout ! Il est censé mettre fin à la pauvreté, à la faim, aux inégalités, aux maladies et à bien d’autres maux. Un ancien directeur exécutif qui a travaillé à l’ONU pendant deux décennies raconte une histoire différente. Il explique que l’ONU est contrôlée par des criminels qui l’utilisent pour s’enrichir et asservir l’humanité.
Tout est balancé dans cette vidéo sur le fonctionnement de l’ONU, l’OTAN, l’OMS, les ONG au service exclusif des oligarques via le WEF (entre autres).
Cette vidéo est une confirmation pour les gens éveillés même si on y apprend des choses.
En la regardant, vous aurez la conviction qu’il est plus que temps de dire NON à tout ce système d’esclavage et de destruction en grande partie dirigé par les USA.
Une vidéo qui vous permettra une montée en conscience et en vibration. Un avenir d’humanité nous attend si nous sommes de plus en plus nombreux à combattre ces criminels, à dire NON.
Nikolaï Patrouchev, ancien directeur du FSB et actuel secrétaire du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, en a parlé à Vitaly Tseplyaev début janvier 2023.
Vitaly Tseplyaev : Nikolaï Platonovich, comment évaluez-vous la situation dans le monde qui s’est développée au début de la nouvelle année ?
Nikolaï Patrouchev : La situation dans le monde est extrêmement complexe et a un caractère turbulent. De nombreux pays de différentes régions traversent simultanément une crise militaro-politique, économique, sociale et spirituelle. Espérons qu’il y aura des changements positifs cette année.
VT : Vous avez dit un jour que les dirigeants des pays occidentaux ne faisaient rien pour améliorer la situation, non seulement dans le monde, mais même dans leur propre pays. Expliquez ce qui est en jeu.
NP : Les politiciens occidentaux n’ont pas la force et la capacité de changer la vie de leurs États pour le mieux, car ils ne sont plus des personnalités indépendantes depuis longtemps. Tout le monde a des liens avec les grandes entreprises, les lobbyistes et les fondations derrière leur dos. Ils ne cachent même pas ces faits. Il existe des exemples très récents. Il s’est avéré que des dizaines de députés européens étaient contrôlés par les structures de George Soros et que la Commission européenne, à la demande de l’une des plus grandes sociétés pharmaceutiques américaines au monde, a créé un certain nombre de stratagèmes de corruption pour l’achat de vaccins d’une valeur de dizaines de milliards d’euros. Il est clair que le vrai pouvoir en Occident est entre les mains de clans ingénieux et de sociétés multinationales.
VT : Rockefeller et Rothschild ?
NP : En fait, il existe bien d’autres corporations et clans de ce genre. Ainsi, le revenu total des 500 plus grandes entreprises du monde, selon des données non officielles, a atteint près de 38 000 milliards de dollars en 2021. La majeure partie des sociétés multinationales sont des sociétés dont le siège est aux États-Unis. Leurs revenus ont rapporté environ 16 billions de dollars avec un bénéfice net de 1,8 billion de dollars.
Le capital d’un certain nombre de sociétés multinationales dépasse le PIB de la plupart des économies mondiales, et les fonds créés par elles pour un enrichissement ultérieur prétendent être un mécanisme supranational de gestion de l’humanité. La même Fondation Soros est devenue presque le principal centre mondial de planification et de mise en œuvre des « révolutions de couleur ».
Le projet de budget américain pour 2023 est la meilleure preuve des projets de Washington de déclencher de nouvelles guerres au détriment du bien-être de ses propres citoyens.
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Mais cette affaire fait suite au Pfizergate, scandale de la négociation du colossal contrat entre la Commission Européenne et Pfizer (plusieurs dizaines de milliards€) en dehors de toute procédure démocratique et transparente. Dans ce dernier scandale, c’est la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen elle-même, qui est impliquée personnellement, puisqu’elle a choisi de conduire directement la négociation avec Albert Bourla, patron de Pfizer, sans aucun contrôle et sans aucune transparence. Cette dérive grave a conduit la Commission a acheté 9 doses de vaccin par habitant à un prix unitaire exorbitant… Sur tous ces points la députée européenne Virginie Joron nous explique le « dessous des cartes ».
Une interview décapante qu’il faut absolument voir.