Elle admettait néanmoins que l’épidémie de covid était à un niveau très faible. De plus, selon elle, 86 % des personnels soignants ont fait leur première dose de rappel (soit 2 doses sur 4 en tout) dans les Ehpad et 89 % chez les médecins libéraux. La réintégration souhaitée ne concernerait que 1 000 infirmiers sur 4 000 soignants non vaccinés. Le gouvernement, par la bouche du ministre François Braun, a indiqué qu’il suivra cette préconisation.
Dès le lendemain, le syndicat national des professionnels infirmiers réagissait avec virulence. Voici un extrait du communiqué du SNPI, qui s’oppose à la préconisation de la HAS de réintégrer les personnels non vax des hôpitaux et des Ehpad.
L’exception française, autrefois synonyme de raffinement esthétique et de finesse d’esprit, de galanterie pleine de truculence et de respect pour l’Éternel féminin, ne s’applique plus aujourd’hui qu’à signaler des monstruosités dont plus aucun pays au monde n’oserait prétendre qu’elle font sens.
Entendre l’Académie de médecine (prostituée et corrompue), le Ministre (du naufrage) de la santé prétendre que la-dite suspension se justifie « par des motifs scientifiques et éthiques » donne franchement la nausée. Sans parler du toupet obscène en ce sens d’énergumènes comme le « Pr » Philippe Juvin, lequel avait, souvenons-nous en, bruyamment loué l’étude Surgsiphere contre l’hydroxychloroquine montée par une actrice porno et associés avant d’être piteusement rétractée…
La posture française sur cette question est à la science ce que le fascisme est au respect des droits humains, le viol à l’amour ou la pédophilie à l’éducation…
Vous êtes suspendu ?
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Nous avons récemment alerté nos lecteurs sur la convocation de soignants suspendus par la police, pour des interrogatoires qui relèvent tous de l’intimidation. Olivier Soulier, fondateur du syndicat Liberté et Santé, fait le point de la situation avec nous et rappelle quelques conseils de précaution à suivre pour éviter d’être piégé. Il nous fait, au passage, quelques révélations ahurissantes.
La réintégration des personnels de santé non vaccinés a fait l’objet d’un débat houleux en commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale mercredi 16 novembre. Pour l'exécutif, qui maintient l’obligation vaccinale des soignants contre la Covid-19, c’est toujours niet, comme l'a rappelé jeudi sur France 2 l'ex-ministre de la Santé et porte-parole du gouvernement, Olivier Véran. Une position inébranlable qui a provoqué la colère de Sylviane Noël, sénatrice de la Haute-Savoie, et de Laurence Muller-Bronn, sénatrice du Bas-Rhin.
Dans un courrier “cosigné par de nombreux collègues sénateurs de tous bords” adressé au ministre de la Santé, François Braun, partagé sur les comptes Twitter de Sylviane Noël et Laurence Muller-Bronn, les deux femmes LR relèvent des “incompréhensions” quant au maintien de cette décision et des “incohérences” des arguments de la tutelle. Les sénateurs mettent en garde contre “l’agonie” du système de santé et appellent à “trouver une sortie de crise”.
Dans cette lettre datée du jeudi 17 novembre 2022, les deux sénatrices font d’abord la comparaison avec des pays comme l’Italie ou la Grève, qui procèdent à la levée de l’obligation vaccinale du personnel soignant. Des "pays dirigés par des inconscients ? Non ! Y remarque-t-on une hausse de la mortalité ? Non ! Des contaminations ? Non !", martèlent les deux sénatrices.
Sylviane Noël et Laurence Muller-Bronn soulèvent ensuite un nombre de contradictions, ou "d’incohérences" pour se référer à leur courrier. Elles rappellent, premièrement, que les rappels de vaccinations contre la Covid-19 ne sont plus obligatoires pour le personnel en exercice. Les soignants vaccinés depuis plus de 6 mois sont ainsi "médicalement parlant dans une situation identique à un soignant qui ne s’est jamais fait vacciner", puisque "l’efficacité du vaccin s’atténue avec le temps".
Les deux sénatrices reviennent ensuite sur le cas de personnels vaccinés, mais atteints de la Covid-19 qui ont été rappelés dans les établissements de santé : une "incohérence" lorsque l’on sait que la "vaccination n’empêche ni la transmission ni la contamination".
Pour les deux politiciennes et les co-signataires du courrier, ces incohérences "seraient risibles si la situation n’était pas si grave". "Pendant ce temps, c’est tout notre système de santé qui s’écroule sous nos yeux : des services de pédiatrie à l’agonie, des EHPAD qui gèlent des lits, des hôpitaux contraints de fermer leurs urgences ou de déprogrammer des opérations, des patients qui meurent dans les couloirs faute de prise en charge ...", alertent-elles.