La « preuve de réserves » de Binance suscite des doutes face à un rapport Mazars élusif, et des procureurs américains envisagent une inculpation pour blanchiment.
Mais sinon, allez-y les amis, continuez de croire que l’éco-système de cryptos est sain. Et bien non. Non seulement il n’est pas sain, mais en plus il est malsain et enfin, avant de pouvoir investir sereinement dans ce monde délirant, il faudra d’abord passer par le grand nettoyage des écuries d’Augias.
« Dans la foulée de la faillite de FTX, CZ, le patron de Binance, la plus grosse plateforme d’échange de cryptomonnaies au monde en termes de volumes d’échange, a lancé l’idée de la « proof of reserve », incitant les plateformes d’échange à dévoiler les détails de leurs réserves pour rassurer sur leur santé financière ». L’idée c’est de « prouver » que la société détient bien les bitcoins et les cryptos-actifs qu’elle dit détenir. Sauf que même cela ne prouve pas grand-chose.
La certification « Haute valeur environnementale » rencontre un vif succès parmi les grosses exploitations agricoles. Logique : elle permet de percevoir de l’argent public sans quasiment rien changer à ses pratiques peu vertueuses.
Les agriculteurs peuvent-ils utiliser des pesticides classés cancérigènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction tout en bénéficiant d’une certification « Haute valeur environnementale » (HVE) ? La réponse est oui. Le nouveau cahier des charges de cette certification – publié le 22 novembre – le permet, comme le permettait le précédent. La certification HVE inclut bien d’autres contradictions, dénoncées par les associations environnementales et certains syndicats agricoles, mais aussi par la Cour des comptes ou la Commission européenne. Elle est pourtant de plus en plus mise en avant dans les rayons des supermarchés, en particulier le vin, avec son logo rouge sur fond blanc, et sa ferme ensoleillée ornée d’un papillon.
« La HVE n’interdit ni l’utilisation des pesticides ni des OGM. Il ne faut pas laisser duper les consommateurs français. La HVE n’est rien d’autre qu’une haute volonté d’enfumage. »
Ou alors, très vaguement, comme d’une sorte de hold-up plus ou moins légal, dirigé à grande échelle par une minorité d’ultra-riches. De fait, La (Très) Grande Évasion représente sans doute, à ce sujet, le film qui manquait à notre siècle. Un film puissant, étonnamment limpide et exhaustif, s’offrant même le luxe d’un humour incisif, à propos d’un système déloyal qui ne cesse de se prétendre trop technique pour le commun des mortels.
La (Très) Grande Evasion est le nouveau film de Yannick Kergoat, écrit en collaboration avec Denis Robert (lanceur d’alerte dans l’affaire Clearstream) et produit/distribué par Wild Bunch, Le Bureau et La Grande Distribution.
Un film à présenter sans tarder, puisqu’il sera en salles dès ce 7 décembre.
Alors que la population qui a voté pour le président Jair Bolsonaro accuse le TSE de fraude, la FFAA promet de livrer un rapport plus tard dans la journée. Des informations en coulisses affirment que divers types de fraude ont été documentés, les rapports contiennent des preuves des trois dernières élections. Le Brésil attend, la tension continue.
Par téléphone ou par mail, ils se font passer pour des fonctionnaires en demandant le statut vaccinal de leur victime, ou bien en promettant des indemnités. Leur objectif : vos données personnelles.
Faciliter l'accès en ligne à plusieurs plateformes de l’administration publique (impôts, santé, caisse d’allocations…) avec un seul identifiant et mot de passe à retenir, tel était le projet de la Direction interministérielle du numérique de l’État français, qui a mis en place depuis quelques années déjà le service France Connect. Il a d'abord été critiqué pour son caractère invasif et monopolistique ; il l'est désormais pour ses brèches de sécurité, qui ouvrent la porte vers nos données personnelles aux peu scrupuleux.
Les lanceurs d’alerte qui les dénoncent sont, quant à eux, récompensés
Pfizer et les géants pharmaceutiques agissent-ils dans l’ombre pour museler tout lanceur d’alerte qui détiendrait des informations gênantes sur leurs pratiques malsaines? Difficile de répondre à cette question. Mais, d’après une révélation faite en novembre dernier par un très grand journaliste américain, c’est bien le cas.
Pour permettre le rétablissement de la vérité et le respect du choix des français, notre ami Morad El Hattab, "le Président des enfants", a décidé de déposer un recours devant le Conseil constitutionnel en créant un "Collectif Anti-fraude",qui sera représenté par Me Carlo Brusa et Me Maud Marian.