La Cour suprême du Brésil a annulé les procès dans lesquels Lula a été condamné, l’a fait sortir de prison et a contesté les élections. Pendant la campagne électorale, il l’a quand même aidé en lui donnant plus d’avantages que Bolsonaro. Il a créé une loi de censure ici au Brésil qui interdit à quiconque, y compris aux médias, de parler du fait que Lula est un ancien détenu, et est même allé jusqu’à ordonner l’arrestation des personnes qui désobéissent. Puis, lors des élections, ils ont trafiqué les urnes électroniques, qui ne sont pas techniquement sécurisées, et ont élu l’ex-taulard Lula. Maintenant, les gens sont dans les rues de toutes les villes du Brésil pour demander une intervention militaire. Les camionneurs ont fermé les routes et ne laissent personne entrer ou sortir des villes. Demain est la date limite et ils ont 72 heures pour arrêter Lula où il y aura une guerre civile au Brésil.
Les camionneurs et les agriculteurs travaillent ensemble pour s’opposer à la sélection du criminel corrompu Lula.
Billet de Markku Siira.
Le président russe Vladimir Poutine est désormais considéré sans rire en Occident comme le plus grand mal de la planète, comme le nouvel Hitler, etc. Si vous ne dénigrez pas la Russie ou ses dirigeants, vous êtes immédiatement étiqueté « poutiniste » et « antipatriotique ». La dissidence et la remise en question du récit officiel de l’OTAN soutiendraient les objectifs de Poutine.
Dans ses discours, Poutine a pris position contre l’élite occidentale. Au cours des six derniers mois en particulier, le président russe a parlé ouvertement du fait que les politiciens démocratiquement élus ne gouvernent pas en Occident, mais que le véritable pouvoir est exercé par « l’élite mondialiste occidentale », en d’autres termes, par un petit cercle de banquiers centraux et de grands investisseurs.
Or il s'avère que comme Pékin, Washington, Londres et Bruxelles, Moscou répète le même mantra onusien de « développement durable », de « changement climatique », de numérisation et de nécessité de combattre la « pandémie » avec des vaccins.
Les Africains, eux, ont échappé à l’injection mondialiste, tout simplement parce qu’ils sont insolvables, et ça les sauve. Les pauvres seront bientôt en meilleure santé que nous, les riches.
Le Système médiatico-politique est en train de nous habituer à la pénurie, pour nous tenir en laisse, vu que la colère est montée de deux grands crans depuis 2018 (Gilets jaunes, plus antivax et antipass). Il y a donc pénurie de tout, même de chauffage (à venir), mais pas de pseudo-vaccins, ni de désinformation. Là, on frise la surproduction. Visez un peu ce qu’on a récolté ce 28 juin 2022, où dans un monde normal, les Français se soucient de leurs vacances à venir. Là, on ne sait même pas si on devra enfiler une tenue NBC en plein mois d’août.
« J’ai toujours rêvé que dans nos réfrigérateurs ou congélateurs, nous disposerions un jour de différents flacons contenant de l’ARN messager. Et que si par exemple, vous vous brûlez la main en cuisinant, il suffirait de prendre le flacon adéquat qui contient l’ARN messager codant une protéine utile à la guérison et de se l’administrer. »
Les chiffres publiés par l'OMS montrent en effet que les pass favorisent les contaminations. Une quinzaine de pays ont instauré des pass. Partout leur installation a été suivie d'une augmentation des cas et d'une épidémie échappant à tout contrôle.
Avant l'instauration des pass, en dix-sept mois d'épidémie, nous avions recensé un peu moins de 6 millions de contaminés. Depuis les pass en 12 mois, ce chiffre est passé à plus de trente millions. Il faut être vraiment négationniste des faits établis pour croire encore que cette mesure puisse être bénéfique contre l'épidémie.
Même l'INSERM reconnaît la nocivité du pass qui aggrave la méfiance contre la vaccination
« Rien ne laisse penser que le laissez-passer sanitaire a convaincu de nombreux sceptiques quant aux avantages de cette vaccination, et il reste une proportion faible, mais considérable (environ 5 à 10 % de la population) qui a décidé de ne pas se faire vacciner contre le COVID-19. La vaccination des personnes hésitantes ou réticentes a des conséquences potentiellement négatives, qui peuvent renforcer la méfiance à l'égard des institutions et du système de santé »
Ainsi du côté du gouvernement, on ne peut que noter l’embarras dans lequel il se trouve de tous les côtés qu’on le prenne.
Sur le plan politique, l’absence de majorité absolue pour la Renuisance du Président ou pour le groupe Ensemble à l’Assemblée provoque des difficultés manifestement pas envisagées par Emmanuel Macron qui ne semble pourtant pas encore prêt à négocier quoi que ce soit.