Ma thèse sera la suivante : le New Age est issu d’une entreprise d’ingénierie sociale, d’une guerre cognitive faite aux peuples – essentiellement occidentaux – qui aura les effets principaux suivants :
Un relativisme radical des valeurs
L’émergence d’une écologie punitive anti-humaine
L’avènement de l’homme-soja, soit le suicide anthropologique de l’Occident
Une défaite de la pensée qui annonce le wokisme
Pour les besoins d’une conférence sur les nouvelles religions, j’étais invité à plancher sur la question du New Age. Pris par le temps, en bon cancre 2.0, j’interrogeais ChatGPT pour dégrossir le sujet. Voilà une synthèse honnête de ce qui en est ressorti :
Le New Age est un mouvement spirituel et culturel qui a émergé dans les années 1960 et 1970, principalement en Occident ; il est caractérisé par une approche holistique de la spiritualité, qui intègre des éléments de diverses traditions religieuses et spirituelles, ainsi que des pratiques de développement personnel et de guérison alternative.
Edward Snowden. Selon lui, cette stratégie a pour objectif de faire oublier la récente enquête sur l’implication US dans les explosions des Nord Stream.
Les rumeurs faisant état d’une origine extraterrestre des objets volant abattus par l’armée américaine ont un but précis, a estimé Edward Snowden, lanceur d’alerte et ancien employé de la CIA.
Selon ses dires, cette panique viserait à détourner l’attention des médias après l’article de Seymour Hersh, journaliste américain lauréat du prix Pulitzer, sur l’implication de l’Otan dans l’explosion des Nord Stream.
Sur son compte Twitter, Edward Snowden estime que les objets volants abattus “ne sont pas extraterrestres”:
“C’est juste une vieille panique artificielle, une nuisance attrayante garantissant que les journalistes de la natsec [sécurité nationale] sont affectés à enquêter sur des conneries de ballons plutôt que sur des budgets ou des attentats à la bombe (de type Nord Stream).”
Nicolas Bonnal nous fait découvrir Bernays, un homme qui aimait rester dans les coulisses, comme Jean Monnet, mais, comme ce dernier, ne résista pas à raconter comment il avait mis en place une "machine" devant emmener les peuples là où ils ne voulaient.
Edouard Bernays est un expert en contrôle mental et en conditionnement de masse. C’est un neveu viennois de Freud, et comme son oncle un lecteur de Gustave Le Bon. Il émigre aux États-Unis, sans se préoccuper de ce qui va se passer à Vienne… Journaliste (dont le seul vrai rôle est de créer une opinion, de l’in-former au sens littéral), il travaille avec le président Wilson au Committee on Public Information, au cours de la première Guerre Mondiale. Dans les années Vingt, il applique à la marchandise et à la politique les leçons de la guerre et du conditionnement de masse ; c’est l’époque du spectaculaire diffus, comme dit Debord. A la fin de cette fascinante et marrante décennie, qui voit se conforter la société de consommation, le KKK en Amérique, le fascisme et le bolchévisme en Europe, le surréalisme et le radicalisme en France, qui voit progresser la radio, la presse illustrée et le cinéma, Bernays publie un très bon livre intitulé Propagande (la première congrégation de propagande vient de l’Eglise catholique, créée par Grégoire XV en 1622) où le plus normalement et le plus cyniquement du monde il dévoile ce qu’est la démocratie américaine moderne : un simple système de contrôle des foules à l’aide de moyens perfectionnés et primaires à la fois ; et une oligarchie, une cryptocratie plutôt où le sort de beaucoup d’hommes, pour prendre une formule célèbre, dépend d’un tout petit nombre de technocrates et de faiseurs d’opinion. C’est Bernays qui a imposé la cigarette en public pour les femmes ou le bacon and eggs sau petit déjeuner par exemple : dix ans plus tard les hygiénistes nazis, aussi forts que lui en propagande (et pour cause, ils le lisaient) interdisent aux femmes de fumer pour raisons de santé. Au cours de la seconde guerre mondiale il travaille avec une autre cheville ouvrière d’importance, Walter Lippmann.
Moi qui ai consacré une partie de ma vie au « changement climatique », j’ai fini par comprendre que cette thématique était également une manipulation des élites mondialistes pour parvenir à leur Agenda de dictature mondiale transhumaniste.
Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de problème écologique, mais ce n’est en fait pas le sujet puisque leur intention n’est pas d’y remédier.
Je ne suis donc pas surpris que les mêmes qui veulent :
• soigner l’ensemble de la population à coup d’injection,
• combattre toutes les « dictatures » du monde en renversant les régimes,
• éteindre la désinformation en censurant tous les discours alternatifs,
• sauver la démocratie en achetant les médias et les élections ;
veulent également sauver la planète en imposant des restrictions climatiques.
« Tout ce que les dirigeants ont à faire, c’est de dire au peuple qu’ils ont quelque chose à craindre. Pointez du doigt la source de leur peur, et vous pourrez obtenir des humains qu’ils fassent tout ce que vous désirez. Vous pouvez les rendre obéissants. »
Ligne Droite est une émission indépendante. Ligne Droite refuse toute ressource publicitaire et ne vit que grâce à ses auditeurs.
Une émission dirigée par Clémence Houdiakova
Réalisation : Franck et Arnaud
Production audio : Franck
Journalistes et programmation : Emmanuelle, Corentin, Valentin et Louis
Billet de Markku Siira.
Le président russe Vladimir Poutine est désormais considéré sans rire en Occident comme le plus grand mal de la planète, comme le nouvel Hitler, etc. Si vous ne dénigrez pas la Russie ou ses dirigeants, vous êtes immédiatement étiqueté « poutiniste » et « antipatriotique ». La dissidence et la remise en question du récit officiel de l’OTAN soutiendraient les objectifs de Poutine.
Dans ses discours, Poutine a pris position contre l’élite occidentale. Au cours des six derniers mois en particulier, le président russe a parlé ouvertement du fait que les politiciens démocratiquement élus ne gouvernent pas en Occident, mais que le véritable pouvoir est exercé par « l’élite mondialiste occidentale », en d’autres termes, par un petit cercle de banquiers centraux et de grands investisseurs.
Or il s'avère que comme Pékin, Washington, Londres et Bruxelles, Moscou répète le même mantra onusien de « développement durable », de « changement climatique », de numérisation et de nécessité de combattre la « pandémie » avec des vaccins.
Après environ cinq ans d’un assaut gauchiste sans précédent sur l’industrie du divertissement, nous commençons enfin à voir le saccage perdre sa lueur. Il y a une faiblesse dans les productions « woke » que les médias alternatifs soulignent depuis longtemps – Ils ne font pas de profit parce qu’ils sont conçus pour apaiser une minorité de gauchistes qui n’ont pas d’argent. Ce n’est pas sur ce public qu’il faut compter.
A l’occasion de la sortie de son dernier roman In silico, Christine, comme elle aime se faire appeler, nous a accordé un entretien sincère et émouvant laissant transparaître une femme forte, pleine de conviction et assoiffée de liberté. Une bouffée d’oxygène loin des médisances du passé !
« Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis ! »