C'est une excellente nouvelle que de constater ce désastre de la campagne de vaccination extrêmement coûteuse contre le papillomavirus malgré une propagande phénoménale du gouvernement qui a utilisé les médias et la peur pour pousser des jeunes enfants pas du tout concernés par la maladie à se faire injecter des soupes douteuses fabriquées par l’industrie pharmaco-chimique. Il est donc très utile d’informer nos concitoyens et de continuer à faire ce travail de contre propagande. Il n’est pas question d’imposer quoi que ce soit mais de proposer aux gens de réfléchir et de se renseigner correctement avant de faire un choix sanitaire qui peut avoir des conséquences graves sur leur santé. Il est possible à chacun de vérifier ces informations en multipliant les lectures et les recherches.
Nous en profitons du coup pour vous rappeler l’existence de la conférence du Dr Gérard Délépine présentant son livre Hystérie vaccinale. Gardasil et cancers : un paradoxe, dans lequel il parle longuement de cette mascarade sanitaire qui n’a absolument aucune base scientifique et qui est dangereuse pour la santé de nos enfants.
Crise cardiaque dans le bain, noyade, décès. Ce n’est pas le genre de mort que l’on imagine pour un garçon de 8 ans, et c’est pourtant le sort tragique qui a frappé le petit Yonatan Moshe Erlichman en septembre dernier. La petite victime a été emmenée aussitôt aux urgences à l’hôpital Hadassah-Mount-Scopus à Jérusalem ; il y est mort quelques jours plus tard, le 28 septembre. Yonatan avait figuré il y a trois ans dans une vidéo de propagande du gouvernement israélien visant à encourager les parents à faire vacciner les jeunes enfants contre le Covid-19.
Le vaccin Covid en Israël a été donné à 20 % des enfants de 5 à 11 ans
Son petit visage angélique était devenu emblématique des campagnes officielles pour la vaccination, alors qu’Israël figurait dans le peloton de tête des pays qui avait imposé les mesures les plus draconiennes à cet égard. La vidéo avait été diffusée juste avant le début de la première campagne de vaccination en décembre 2020. En définitive, en septembre 2022, seuls 20 % des enfants avaient été vaccinés dans l’Etat hébreu, témoignant de la marche arrière de nombreux parents qui n’avaient envisagé cette option qu’en raison des mesures de quarantaine et d’exclusion imposées par les autorités. Dès les mesures levées, une bonne proportion des parents qui avaient annoncé vouloir faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans avaient renoncé.
Yonatan était le petit-fils d’un médecin respecté de la région.
La controverse a éclaté au sujet du prix Nobel décerné lundi pour la mise au point d’un vaccin à base d’ARNm, les critiques mettant en doute sa sécurité, soulignant les risques identifiés il y a des années et alléguant que Big Pharma a corrompu la science dans sa course à l’expansion des applications commerciales.
Les scientifiques et les médecins qui critiquent les vaccins contre le Covid-19 ont adressé de vives critiques au comité Nobel norvégien après qu’il a décerné le prix Nobel de physiologie ou de médecine 2023 à deux biochimistes de l’université de Pennsylvanie pour leurs travaux sur le développement de «vaccins ARNm efficaces contre le Covid-19».
Katalin Karikó, Ph.D., et Drew Weissman, M.D., Ph.D., ont reçu lundi le prix pour leurs «découvertes révolutionnaires … sur la façon dont l’ARNm interagit avec notre système immunitaire [and for contributing] et [pour avoir contribué] au rythme sans précédent de développement de vaccins pendant l’une des plus grandes menaces pour la santé humaine des temps modernes», selon le communiqué de presse du comité Nobel.
Le Dr Robert Malone, l’inventeur réputé de la technologie de l’ARNm, a réagi sur X/Twitter :
«Karikó et Weissman obtiennent le prix Nobel, non pas pour avoir inventé les vaccins à ARNm (car c’est moi qui l’ai fait), mais pour avoir ajouté la pseudouridine qui a permis de fabriquer un nombre illimité de toxines à pointe dans ce qui aurait pu être une plate-forme vaccinale sûre et efficace, si elle avait été développée de façon sécuritaire».
Le Dr Malone a contesté l’intégrité du prix, affirmant que Big Pharma en était à l’origine.
« Pfizer fait campagne pour ce prix depuis 2020. Au début, ils ont prétendu (comme Karikó) qu’elle avait inventé la technologie du vaccin à ARNm. Pfizer fait des dons importants à l’Institut Karolinska qui décerne le prix Nobel. »
C'est ahurissant, à peine croyable. L’État subventionne l’un des hommes les plus riches du monde qui vient d’être classé par Forbes 2e fortune mondiale en 2023 avec 231.9 milliards de dollars !
Bernard Arnault qui a, comme tous les multimilliardaires, mis en place son empire médiatique pour contrôler la propagande, reçoit des subventions provenant de l’argent public : 14 millions d’euros l’année dernière !!!
Ensuite, ce même multimilliardaire va faire un petit chèque de 10 millions d’euros aux Restos du Cœur pour faire croire que c’est un grand philanthrope, un homme comme nous autres, qui a le cœur sur la main.
Comment est-il possible de donner à un multimilliardaire – qui ne cesse de multiplier ces milliards – des subventions publiques ? Ça devrait être tout simplement interdit par la loi car c’est interdit par la raison. En d’autres termes, c’est tout simplement un pillage du Trésor public par une bourgeoisie décadente et totalement hors-sol.
L’État trouve le moyen de subventionner les plus riches tout en affirmant qu’il n’y a pas d’argent pour les plus pauvres qui n’ont rien à se mettre sous la dent.
Comme l’expose le Monde Diplomatique, une quarantaine de grands groupes, familles ou individus disposent de la quasi-intégralité des médias de la France. On retrouve parmi eux un certain nombre de milliardaires et de riches industriels. À partir de ce constat, il existe donc de clairs conflits d’intérêts.
Aujourd’hui, selon Média Crash d’Oxfam qui cite Julia Cagé : 9 milliardaires possèdent plus de 80 % des médias en France. Ces 9 milliardaires sont :
- Bernard Arnault : Les Echos, L’Opinion, Le Parisien, une partie du Groupe Perdriel (Challenges, Sciences et Avenir)
- Patrick Drahi : BFMTV, RMC, L’Express, Libération i24
- Xavier Niel : Le Monde SA (Le Monde, Télérama, Courrier International, L’OBS, Le Monde Diplomatique, Huffpost), NJJ (Paris Turf, Nice Matin, Var Matin, Monaco Matin)
- Daniel Kretinsky : Le Monde SA (Le Monde, Télérama, Courrier International, L’OBS, Le Monde Diplomatique, Huffpost), Elle, Marianne, Télé 7 Jours
- La famille Dassault : Le Figaro, Le Figaro Magazine
- François Pinault : Le Point
- La famille Bouygues : Groupe TF1 (TF1, LCI, TMC, TFX)
- Arnaud Lagardère : Paris Match, Hachette Livre, le JDD, Europe 1
- Vincent Bolloré : Groupe Canal + (Canal +, C8, CNews), Prisma Media (Capital, Femme Actuelle, Télé Loisirs, GEO, Voici, Gala), une partie de Lagardère(Paris Match, Hachette Livre, le JDD, Europe 1), France Catholique
En effet, parmi les 6 principaux quotidiens nationaux généralistes vendus en France, 4 sont contrôlés par des milliardaires. La dynastie Dassault, spécialisée dans l’aviation d’armement, possède donc le Figaro. Les échos sont détenus par Bernard Arnault, l’homme le plus riche de France. Et malgré des fonds d’indépendance pour la presse, les richissimes Xavier Niel et Patrick Drahi gardent respectivement la main sur le Monde et Libération. Seuls donc l’Humanité et la Croix conservent une relative autonomie.
De petites maisons font dans certains domaines office d’Agence de presse, comme le prestigieux BQ, Berard Quelin. L’AGEFI faisait partiellement office d’Agence de presse, elle portait le nom d’Agence.
Découvrez le multiplicateur de propagande.
C’est l’un des aspects les plus importants de notre système médiatique, et pourtant peu connu du public : la majeure partie de la couverture de l’actualité internationale dans les médias occidentaux est assurée par seulement trois agences de presse mondiales basées à New York, Londres et Paris.
Le rôle clé joué par ces agences signifie que les médias occidentaux traitent souvent des mêmes sujets, même en utilisant la même formulation.
De plus, les gouvernements, les militaires et les services de renseignement utilisent ces agences de presse mondiales comme multiplicateurs pour diffuser leurs messages dans le monde entier.
Une étude de la couverture de la guerre en Syrie par neuf grands journaux européens illustre clairement ces problèmes : 78% de tous les articles étaient basés en tout ou en partie sur des rapports d’agence, mais 0% sur des recherches d’investigation propre.
De plus, 82% de tous les articles d’opinion et interviews étaient en faveur d’une intervention des États-Unis et de l’OTAN, tandis que la propagande était attribuée exclusivement à la partie opposée.
Je regardais F9 (de la franchise Fast & Furious) et j’ai été frappé par une phrase. L’équipe de Fast travaille maintenant pour la CIA (qui est en quelque sorte la gentille) et le plan des méchants est de «réinitialiser l’ordre mondial en quelques minutes», comme s’il s’agissait d’une mauvaise chose. Comme si cet ordre mondial était autre chose qu’une guerre impériale permanente. Mais c’est ça, Hollywood.
L’équipe rapide se met alors à détruire des pays au hasard, bon gré mal gré, parce que c’est l’ordre mondial. C’est la raison pour laquelle je soutiens les méchants dans les films maintenant.
Selon elle, le totalitarisme correspond à un délire paranoïaque, une pathologie de contrôle et de persécution des populations. Il vise la domination totale, notamment sur la vie intime des gens, en s’appropriant leur corps et en les réduisant à des êtres superflus.
Le totalitarisme fonctionne à l’idéologie, une narration mensongère du point de vue de la vérité et de la réalité de l’expérience vécue. Il recourt à la propagande pour endoctriner les masses, en utilisant notamment la télévision et l’image en général.
« Des personnages clés ont été mis à des postes clés pour promouvoir un programme de contrôle, de surveillance et de mise en esclavage. »
Selon elle, il est important de distinguer entre l'intelligence et l'instruction, car l'intelligence se décline en plusieurs formes, y compris l'intelligence émotionnelle.
Yoanna Micoud soulève le paradoxe de personnes très instruites et intelligentes qui se retrouvent piégées dans ces mécanismes toxiques. Selon elle, ces personnes ont peut-être acquis une grande quantité d’informations et de connaissances, mais elles ont peut-être perdu le contact avec leur système émotionnel et leur intuition, qui sont des formes d’intelligence plus profondes.
C'est en écoutant les médias que vous consolidez leur pouvoir de nuisance.
L'analyse et les conseils de Xavier-Louis de Izarra.
« Un journalope c’est un petit chien. Il est la voix de son maître. Il est au service de son maître. Il travaille pour son patron. Le travail des médialopes n’est pas de vous informer, mais d’exécuter les ordres du patron ou de l’État, c’est pareil. Le journalope est recruté pour ça. Il vend la came de son patron. Il ne fait rien d’autre que la publicité de son patron. »
Ce partenariat est considéré comme un moyen de lutter contre la « mésinformation » médicale observée pendant la pandémie.
Sur le moteur de recherche Google, des panneaux de connaissances figurent déjà en haut des résultats lorsque les utilisateurs recherchent certaines pathologies et maladies.
Bientôt, les panneaux de connaissances incluront davantage d’affections et de maladies telles que les troubles dépressifs, Ebola, la BPCO, le paludisme, l’hypertension, le diabète, le Mpox et d’autres encore, en utilisant des informations vérifiées par l’OMS.
Dans le cadre d’un précédent partenariat, Google a octroyé plus de 320 millions de dollars à l’OMS sous forme de subventions publicitaires pour l’aider à diffuser ses informations médicales. Dans le cadre du nouveau partenariat, Google a accordé à l’organisation mondiale de santé publique 50 millions de dollars supplémentaires pour poursuivre ses efforts.