Selon elle, il est important de distinguer entre l'intelligence et l'instruction, car l'intelligence se décline en plusieurs formes, y compris l'intelligence émotionnelle.
Yoanna Micoud soulève le paradoxe de personnes très instruites et intelligentes qui se retrouvent piégées dans ces mécanismes toxiques. Selon elle, ces personnes ont peut-être acquis une grande quantité d’informations et de connaissances, mais elles ont peut-être perdu le contact avec leur système émotionnel et leur intuition, qui sont des formes d’intelligence plus profondes.
C'est en écoutant les médias que vous consolidez leur pouvoir de nuisance.
L'analyse et les conseils de Xavier-Louis de Izarra.
« Un journalope c’est un petit chien. Il est la voix de son maître. Il est au service de son maître. Il travaille pour son patron. Le travail des médialopes n’est pas de vous informer, mais d’exécuter les ordres du patron ou de l’État, c’est pareil. Le journalope est recruté pour ça. Il vend la came de son patron. Il ne fait rien d’autre que la publicité de son patron. »
Ce partenariat est considéré comme un moyen de lutter contre la « mésinformation » médicale observée pendant la pandémie.
Sur le moteur de recherche Google, des panneaux de connaissances figurent déjà en haut des résultats lorsque les utilisateurs recherchent certaines pathologies et maladies.
Bientôt, les panneaux de connaissances incluront davantage d’affections et de maladies telles que les troubles dépressifs, Ebola, la BPCO, le paludisme, l’hypertension, le diabète, le Mpox et d’autres encore, en utilisant des informations vérifiées par l’OMS.
Dans le cadre d’un précédent partenariat, Google a octroyé plus de 320 millions de dollars à l’OMS sous forme de subventions publicitaires pour l’aider à diffuser ses informations médicales. Dans le cadre du nouveau partenariat, Google a accordé à l’organisation mondiale de santé publique 50 millions de dollars supplémentaires pour poursuivre ses efforts.
En janvier 2022, le ministre de l’Éducation polonais, Przemysław Czarnek, donnait son nom à un projet de loi visant à interdire aux organisations LGBT de pouvoir venir dans les écoles polonaises pour y faire de la propagande. Cela déclenchait une vague d’indignation dans les médias de masse occidentaux comme Le Monde, qui résumait ainsi à charge les idées et le programme du ministre : « Le ministre de l’éducation et de l’enseignement supérieur, Przemysław Czarnek, est réputé pour sa proximité avec les milieux catholiques fondamentalistes et sa promotion des thèses des plus rétrogrades. En juin 2020, en pleine croisade du gouvernement contre les milieux LGBT, il déclarait qu’il fallait « défendre la famille contre ce genre de dépravations et arrêter d’écouter ces idioties à propos de quelconques droits de l’homme ou d’une quelconque égalité », parlant de « l’idéologie LGBT » comme « émanant du néomarxisme et du national-socialisme hitlérien ». »
Alors que la Grande Révélation bat son plein, avec la suspension des armes biologiques à ARNm qui semble imminente (et toutes les retombées explosives qui s’ensuivront), on pourrait être pardonné d’avoir négligé l’autre programmation sociale, relativement subtile, qui se fraie de plus en plus un chemin à travers l’opération psychologique de niveau militaire que sont les médias grand public.
Sur ma carte de bingo de l’apocalypse, je compte depuis longtemps la « prohibition » – mais pas seulement pour l’alcool, pour « l’amour » également. Cela vous semble être un peu trop de conspirationnisme ? Eh bien, décomposons les éléments constitutifs de mon titre définitivement-pas-pute à clics-parce-que-je-suis-sournoisement-shadow-bannie…
Tout d’abord, mes prédictions concernant l’interdiction de l’alcool :
J’en ai déjà parlé auparavant, et d’autres ont objecté, ce qui est compréhensible, « mais pourquoi les seigneurs obsédés par la dépopulation voudraient-ils interdire l’alcool alors que l’abus d’alcool contribue à tuer tant de gens ? ». Je réponds que c’est à cause du « paradoxe de l’alcool », un phénomène qui fait que les gros buveurs vivent plus longtemps que les abstinents (oui, vous avez bien lu). L’abus d’alcool ou de toute autre substance est indiscutablement mauvais, et il y a évidemment des buveurs à problèmes qui doivent s’arrêter, mais il n’en reste pas moins que la consommation régulière d’alcool est liée à une longévité accrue. Cela semble s’expliquer par le fait que la consommation d’alcool est très souvent liée à une socialisation accrue – elle a souvent lieu dans des pubs, des fêtes, des pique-niques, etc. – et parce que les effets protecteurs de la connectivité sociale sur la santé sont si puissants qu’ils contribuent à neutraliser bon nombre des dangers pour la santé associés à la consommation d’alcool – faisant de la consommation d’alcool et de la socialisation une activité statistiquement plus saine que l’abstinence seule.
Ainsi, puisque les seigneurs veulent que nous soyons aussi solitaires et isolés que possible (notamment parce que la solitude et l’isolement sont fortement prédictifs d’une mort prématurée), l’un des principaux facilitateurs d’une socialisation régulière et soutenue en Grande-Bretagne – l’alcool – doit disparaître.
Malgré ce flop monumental, cette défaite historique de l’idéologie dite dominante, ou qui le croit, la presse aux ordres, comme un poulet sans tête, continue à défendre une injection qui fait peur, et à raison, aux populations qui ont eu un an pour en voir les effets nocifs. Tous ceux qui sont morts, tous ceux qui ont été touchés par les effets secondaires des trois premières injections ont été comme des bombes qui ont frappé l’esprit des sceptiques, et même des provax. Cela a réveillé les consciences. Et il fallait malheureusement en passer par là pour que les Français reprennent leurs esprits. C’est chose faite : si seulement 10 % des plus de 60 ans ont accepté de recevoir cette dose de rappel dite bivalente, alors, pour les 90 % restants, ce sera plus dur, très dur de les traîner vers les médecins qui gagnent 25 à 45 euros (le week-end !) par shoot. Les salles de shoot, elles sont là et elles sont vides !
De retour de la magnifique rencontre de Saintes où plus d’un millier de personnes ont, le 28 oct 2022, partagé dans cette conférence-débat leur soif de savoir, leur soif de rencontres humaines dans une ambiance chaleureuse et familiale formidable1, j’ai été surprise de voir dans l’article de sud-ouest qui lui était consacré, un encart faisant l’écho des récriminations de deux associations de Saintes, alertant le maire de la présence de « Reinfocovid » qui « serait suivi pour dérives sectaires » ! 2
J’ai cru qu’il s’agissait d’une calomnie isolée, mais le 3 novembre 2022, je suis tombée sur cette annonce d’une secrétaire d’État annonçant de prochaines « assises contre les dérives sectaires et le complotisme ». Bingo !
Depuis que le mur du pouvoir se fissure, celui-ci dégaine une nouvelle arme pour faire peur et surtout faire TAIRE. Inquiet de l’accumulation de preuves sur la gestion catastrophique et malhonnête de la crise covid, et l’accumulation de mensonges, de contre-vérités et de décisions délétères pour le peuple, la DIVERSION se prépare.
Mais nous ignorons ce qu’ils font à nos portes depuis trente ans, notamment la guerre civile qu’ils conduisent depuis huit ans. Notre propre stupidité nous permet de supporter les cris de guerre de nos responsables politique aux côtés de ces criminels.
Lorsque survient une guerre, les gouvernements croient toujours qu’ils doivent renforcer le moral de leur population en les abreuvant de propagande. Les enjeux sont tels, la vie et la mort, que les débats se durcissent et les positions extrémistes font recette. C’est très exactement ce à quoi nous assistons ou plutôt la manière dont nous nous transformons. Dans ce jeu, les idées défendues par les uns et les autres n’ont aucun rapport avec leurs présupposés idéologiques, mais avec leur proximité du pouvoir.
Au sens étymologique, la propagande, c’est juste l’art de convaincre, de propager des idées. Mais à l’époque moderne, c’est un art qui vise à reconstruire la réalité pour dénigrer l’adversaire et magnifier ses propres troupes.
Nous sommes empoisonnés par un président plus préoccupé de plonger notre pays dans la guerre plutôt que de jouer la carte de l’apaisement dans le conflit russo-ukrainien.
Nous sommes empoisonnés par un déficit et une dette publique record, par une précarité et par une misère grandissante, pendant que la caste dirigeante continue à s’en mettre plein les poches. Les grands patrons du CAC 40, continuent de recevoir chaque année 200 milliards de cadeaux fiscaux (Subventions publiques, crédit d’impôts, et exonérations fiscales).
Nous sommes empoisonnés par des politiciens corrompus qui ne démissionnent pas et qui ne seront probablement jamais jugés correctement. Qu’il s’agisse d’Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, mis en examen pour « prises illégales d’intérêts », d’Eric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, accusé lui aussi de « prises illégales d’intérêts », et d’Édouard Philippe bientôt convoqué le 24 octobre 2022 devant la Cour de justice de la République, reste-t-il un politicien intègre dans notre pays ?
Nous sommes empoisonnés par des écolos de pacotille, les « Khmers Verts », favorisant les éoliennes qui, non seulement produisent peu d’énergie, mais dont les pales, les montants et les batteries sont non recyclables. Quand tous les parcs éoliens défigurant la France seront achevés, les éoliennes ne produiront que 13% de nos besoins en électricité. Des milliards d’euros investis pour rien, mais pas perdus pour tout le monde. Bienvenue dans le monde glauque de la cupidité.
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Les services de renseignement intérieur allemands gèrent des centaines de faux comptes d’extrémistes de droite sur les médias sociaux, selon un rapport du journal allemand Süddeutsche Zeitung. Ces faux agents incitent à la fois à la haine et à la violence, indique le rapport.
« C’est l’avenir de la collecte d’informations », a déclaré un agent au journal.
Les recherches du journal ont permis de découvrir que le gouvernement a fortement investi dans les « agents virtuels » depuis 2019 en utilisant l’argent des contribuables.
Le lavage de cerveau par omission a une longue histoire. Le massacre de la Première Guerre mondiale a été autocensuré par des journalistes qui ont été anoblis pour leur conformité. Certains l’ont avoués dans leurs mémoires. En 1917, le rédacteur en chef du Manchester Guardian, CP Scott, confiait au premier ministre Lloyd George : « Si les gens savaient vraiment [la vérité], la guerre serait arrêtée demain, mais ils ne savent pas et ne peuvent pas savoir ».
Le refus de voir les gens et les événements comme ceux des autres pays les voient est un virus médiatique en Occident, aussi débilitant que le Covid. C’est comme si nous voyions le monde à travers un miroir sans tain, dans lequel « nous » sommes moraux et bienveillants et « eux » ne le sont pas. C’est une vision profondément impériale.
Ces dernières années, certains des meilleurs journalistes ont été écartés du grand public. « Défenestré » est le mot utilisé. Les espaces autrefois ouverts aux non-conformistes, aux journalistes à contre-courant, aux diseurs de vérité, se sont fermés.