Grâce aux trépidations écologiques, il devient facile de mettre en place des politiques de plus en plus coercitives et de plus en plus violentes à mesure que les injonctions empiétent de façon croissante sur les libertés fondamentales des individus. Ces derniers ayant le toupet d’exister et de ne pas toujours être d’accord, il conviendra donc de les écraser (inclusivement néanmoins) afin de garantir que les petits projets écologistes soient mis en place sans obstacles.
Ainsi, aux Pays-Bas et malgré une grogne aussi grandissante qu’évoquée de façon biaisée par une presse au niveau consternant de propagande, l’idée d’éliminer une majeure partie des petites et moyennes exploitations agricole continue de faire son chemin. Les protestations n’y changent rien : la démocratie, flutiau qui n’est joué que lorsqu’il s’agit de trouver des prétextes pour augmenter les taxes ou partir en guerre, n’intéresse ici plus personne.
En France, si les paroles sont traduites, la musique reste la même : doucement, et sans grande discrétion, les premières graines d’une décroissance agricole forcée sont plantées par une Cour des Comptes devenue l’étonnante courroie de transmission de l’Extrême-Centre macronien. Pour elle, c’est évident, il faut “définir et rendre publique une stratégie de réduction du cheptel bovin”.
Il n’est pas question de pollution à l’azote (l’excuse débile utilisée par les excités bataves) mais plutôt les émissions de méthane des bovins, autre idiotie fièrement mise en avant par les enragés français pour faire passer leurs âneries. L’argument est désarmant de bêtise mais c’est pourtant celui-ci : le climat se réchauffe, c’est donc la faute des activités humaines, c’est donc à cause de sa consommation de viande, c’est donc parce que le bétail pète du méthane, c’est donc qu’il faut réduire le cheptel (de moitié, mettons, parce que c’est un ratio facile à comprendre).
Ne cherchez dans les “donc” aucune logique, aucun raisonnement. C’est La Science™ écologiste qui parle, donc la Vérité™.
La Syrie vient, avec la Turquie, d’être durement frappée par un séisme d’une magnitude de 7,8.
Plus d’un millier de morts dans les deux pays et d’énormes dégâts. De nombreux immeubles et infrastructures sont détruits, projetant les survivants dans un énorme désarroi.
La Syrie, pays martyr, dont le peuple est toujours sous embargo depuis 2011, est en train de subir une nouvelle épreuve. Cet embargo prive le peuple de médicaments, de produits de première nécessité, de nourriture, mais aussi empêche toute reconstruction.
La Syrie est sous le couperet américain, les sanctions tuent. Washington pratique une politique servant les intérêts d’Israël.
La pauvre Greta va rentrer dans sa chambre, les -55° de la tempête polaire qui frappe les USA auraient fait désordre avec ses balivernes d’ado. La Suédoise haineuse, bien emmitouflée dans son manteau en renard polaire argenté (mais bio), devra attendre le redoux pour replacer sa légende du réchauffement climatique aux jeunes bobos occidentaux. Décidément, dame Nature n’arrive pas à obéir aux injonctions du GIEC.
Chez nous, de l’autre coté de l’Atlantique, point de tempête polaire, mais des températures printanières qui contrarient un gouvernement qui s’appuie sur la guerre en Ukraine pour priver les Français d’électricité. Du coup, les coupures de courant de janvier, cette répression électrique bornsteinienne, est remise en question. Les ingénieurs sociaux du mondialisme se prennent les pieds dans leur propre tapis de mensonges, on dirait.
Les aurores boréales prennent souvent des couleurs vertes ou bleues. Mais ces derniers jours, les Norvégiens ont pu en admirer des roses. Pour bien comprendre ce changement de couleur, il faut revenir à la définition même des aurores boréales. Elles sont provoquées par le passage de vents solaires. Elles sont visibles aux pôles (Nord et Sud), l’endroit où le champ magnétique de la Terre est le plus fin.
La conférence COP27 sur le changement climatique s’est achevée le mois dernier. Les dirigeants du monde entier se sont envolés en jet privé pour l’Égypte afin de discuter de la façon dont les combustibles fossiles chauffaient rapidement la planète jusqu’au point de non-retour, l’humanité étant condamnée si des politiques cruciales en matière de changement climatique n’étaient pas mises en œuvre. Mais pendant que les dirigeants alarmistes se réunissaient dans le désert, les chutes de neige de novembre dans l’hémisphère nord dépassaient la moyenne des cinquante dernières années.
La NOAA et l’université Rutgers ont publié de nouvelles données montrant que la couverture neigeuse dans l’hémisphère nord a atteint le niveau le plus élevé depuis le début des mesures en 1967 et qu’elle est actuellement supérieure à la moyenne sur 56 ans.
Stades climatisés et à usage unique, « navettes » en avion pour se rendre aux matchs… La Coupe du monde au Qatar, qui se déroule du 20 novembre au 18 décembre, jette une lumière crue sur les dérives écologiques du sport business et de ses grandes messes : les compétitions continentales et internationales.
Dans leur sillage, les émissions de gaz à effet de serre explosent, notamment en raison des déplacements en transport aérien. La Fédération internationale de football association (Fifa) évalue celles du Mondial au Qatar à 3,6 millions de tonnes équivalent CO2, autant que les émissions de l’Islande et du Monténégro pendant un an. Les précédentes éditions en Russie, au Brésil et en Afrique du Sud étaient déjà désastreuses, avec des émissions supérieures à 2 millions de tonnes équivalent CO2.
Ces chiffres, sous-estimés et difficiles à appréhender, représentent une contribution concrète et palpable aux dérèglements du climat.
« Ces évènements rassemblent des centaines de milliers de personnes venant du monde entier qui, pendant quelques semaines, voyagent et consomment, sur des sites parfois tout juste sortis de terre »
Qui n’aimerait pas ça ? Le Vert est beau. Il prétend protéger la Terre Mère et l’humanité. Au fil des ans, il devient de plus en plus populaire et se transforme en un parti politique. « Les Verts ». De plus en plus fort dans le monde occidental.
Ils parlent et prédisent contre le style de vie gaspilleur des hommes. Ils font la promotion de l’alimentation biologique et luttent contre les aliments génétiquement modifiés ou OGM.
Ils font des incursions dans les parlements des pays occidentaux et deviennent des décideurs importants.
Ils transforment le « réchauffement de la planète », vieux de deux décennies, en « changement climatique » dans leur programme.
Le changement climatique devient bientôt la force motrice des Verts. Le changement climatique d’origine humaine – c’est-à-dire les niveaux de dioxyde de carbone (CO2) causés par les combustibles fossiles – culminera en 2022 à près de 420 parties par million (PPM). C’est ce qu’indique la station météorologique de la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) située à Mauna Loa, sur l’île d’Hawaï. Le budget de la NOAA pour 2022 est estimé à 6,9 milliards de dollars.
S’agit-il d’un niveau dangereux ? On nous fait croire qu’il l’est.
Toute donnée qui contredit le récit du changement climatique causé par l’homme est entourée d’une machine à opinion qui soit rejette l’information, soit l’occulte dans un déluge de propagande sur le réchauffement climatique, inoculant au lecteur, bien avant qu’il n’ait la chance de digérer la nouvelle, que le changement climatique n’est peut-être pas si évident que cela.
Chaque fois que des températures élevées sont signalées aux États-Unis ou en Europe, la nouvelle est extrapolée par les médias et donne lieu à des théories délirantes d’apocalypse climatique, mais l’histoire météorologique suggère que la panique est fabriquée plutôt que justifiée.
La jeune réalisatrice Alizée Dubois, accompagnée de quelques ami·e·s, est l’une des premières à essayer de vulgariser le concept juridique pas si simple qu’est l’écocide, dans un voyage studieux et engagé à travers l’Europe. Nous avons vu le documentaire : retour sur un voyage au cœur de l’injustice environnementale.
« Maintenant que le film est terminé, j’ai hâte de le montrer pour connaître les réactions et les réflexions du public. J’espère que les gens vont se saisir de la colère que suscitent ces injustices pour la transformer en action collective ! »
Le ton fataliste a laissé place à un souffle d’espoir. Alors que l’auteur affirmait initialement que « la transition est morte » et l’« utopie bornée », son nouvel ouvrage invite de manière « vitale » à la « révolution »à travers une « utopie éclairée ».
« Il nous faut absolument tout repenser, requestionner, tout déconstruire, déconditionner. Transition ? Non, RÉVOLUTION ! »
Alors que, depuis trente ans, tous les politiciens nous serinent que le climat se réchaufferait, l’État et son gouvernement ont réussi à montrer qu’ils étaient encore une fois pris au dépourvu.
Ainsi, moyennant une modification discrète mais indéniable des échelles de couleurs des cartes météorologiques, le catastrophisme peut s’imposer sans mal.