Dès la lecture du titre, on comprend l’orientation de ce travail et le procès exclusivement à charge que le CNOM a réalisé contre ces «soins non conventionnels». Même le terme de «non-conventionnel» est par lui-même péjoratif et manipulatoire.
Ainsi, l’acupuncture est une médecine parfaitement «conventionnelle» en Chine et l’homéopathie fait partie des thérapeutiques officiellement reconnues en Inde. On constate dès le départ que la réflexion du CNOM se veut purement franco-française et rejette par principe toutes les pratiques officielles d’autres pays.
Mais, c’est un autre débat et, si je me permets cet article au sujet du rapport du CNOM, c’est parce qu’avant tout j’ai été choqué de certaines conclusions et recommandations qui m’ont immédiatement fait penser au célèbre livre de Georges Orwell : «1984». Ce livre est un best-seller dans la plupart des pays du monde. Je l’ai même étudié pendant ma scolarité. C’est pour dire à quel point les pratiques et la société totalitaire qu’il dénonce sont sérieusement prises en compte par nos philosophes et beaucoup d’élites. Mais apparemment pas par les médecins du CNOM qui ont dû oublier de le lire ou bien qui ne l’ont pas compris.
Dans ce livre publié juste après la 2ème guerre mondiale, Orwell, contrairement aux idées reçues, ne fait pas la critique du nazisme ou du stalinisme. Il se réfère à la société qu’il connaît le mieux, la bien-pensante société anglaise d’après-guerre où il perçoit déjà les risques d’une pensée unique et de la manipulation des masses. C’est évidemment une œuvre de fiction dans laquelle l’auteur nous décrit à quoi pourrait ressembler un monde où toute pensée serait réellement l’expression de l’idéologie de la classe dominante. Il imagine que cela pourrait arriver en 1984 et beaucoup l’ont raillé, car en 1984, pas la moindre situation totalitaire dans les sociétés industrielles et démocratiques. Enfin en apparence !
La postface de l’édition publiée aux éditions Agone (celle qui propose la traduction la plus respectueuse du texte d’Orwell) nous dit : «Le véritable apport de ce roman d’anticipation est l’identification d’un type de société qui pourrait advenir si on laisse s’installer «l’esprit totalitaire». Une mentalité qui gagne plus facilement les classes sociales cultivées et les experts que les gens ordinaires».
Et c’est exactement ce que j’ai ressenti en lisant le rapport du CNOM. D’ailleurs, qui sont les membres de ce conseil national ? Des médecins comme moi qui ont fait les mêmes études et qui ne sont ni plus ni moins savants qu’un autre. Ils ont juste décidé un jour de se présenter aux élections pour faire partie du Conseil de l’Ordre des Médecins. Pourquoi ? Pour certains, c’est sans aucun doute par altruisme, par envie d’être utile à leurs confrères en organisant la profession de médecin. Pour d’autres, comme on le voit en politique, c’est parce qu’ils ont des convictions, voire des croyances et qu’ils veulent les mettre en application, pensant que cela fera progresser la médecine, quitte à imposer leur vision par des lois voire des contraintes et des procès à ceux qui osent ne pas penser de la même façon.
En écrivant ces lignes, je ne peux m’empêcher de penser au compagnonnage qui a permis de construire des cathédrales et bien d’autres merveilles de technologie comme le Pont Neuf à Paris. Autant d’exploits pour l’époque tout en se respectant les uns les autres. Pourquoi, parce que les compagnons étaient des hommes libres qui accueillaient toutes les religions, toutes les nationalités et avaient des principes dont un des principaux était : «ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’il te fasse».
Autant de principes qui n’existent plus aujourd’hui au CNOM où la fraternité parait être un gros mot et la con-fraternité s’écrit en 2 mots tellement certains médecins sont vraiment pris pour des «cons» et jugés indignes de poursuivre leur activité de médecin uniquement parce qu’ils ne pensent pas exactement comme l’impose la DOXA que veut établir le CNOM.
Apparu il y a seulement une quinzaine d’années, le smartphone est devenu avec une incroyable rapidité un objet central de notre société. Il suffit d’observer nos contemporains, dans la rue, dans le métro, au restaurant, partout, pour se rendre compte de la place prépondérante qu’il occupe. Selon les dernières statistiques de l’Insee, 77 % de la population française âgée de 15 ans et plus en possèdent un. Ce pourcentage atteint 92 % chez les 30-40 ans, et 94 % pour les 15-29 ans. Signalons que ces statistiques portent sur l’année 2021 et que le taux d’équipement étant en hausse constante, il est assurément encore plus élevé aujourd’hui. Signalons aussi qu’il concerne des enfants de plus en plus jeunes. Selon une étude Médiamétrie, ces derniers se voient offrir leur premier smartphone, en moyenne, avant l’âge de 10 ans. Là encore, ces statistiques datent de 2020 et tout porte à croire que cet âge moyen a encore baissé.
Est-ce que chaque humain sera, d’ici quelques années, systématiquement relié au « grand tout » via un smartphone ?
Nous sommes un certain nombre à ne pas le souhaiter et à vivre sans smartphone, pour de multiples raisons. Ce petit objet est un concentré de pollutions industrielles. Il contient une cinquantaine de métaux différents quasiment impossibles à recycler dont l’extraction crée des situations dramatiques aux quatre coins du monde. Dans les usines de smartphones chinoises, ouvriers et ouvrières sont soumis aux conditions d’exploitation les plus extrêmes quand ils ne font pas l’objet de travail forcé, comme les Ouïgours. Nous pensons qu’à l’heure où l’on nous annonce des coupures d’électricité, l’énergie disponible ne doit pas être accaparée par cet appareillage, ainsi que par la gigantesque infrastructure nécessaire à son fonctionnement (antennes relais, serveurs…). Nous affirmons que les ondes électromagnétiques liées à cette technologie posent de sérieuses questions de santé publique.
Un autre point de vue sur le cancer qui reprend l'expérience faite par le docteur HAMER qui affirme que tout cancer résulte d’un choc psychique, conflictuel, dramatique, vécu dans l’isolement.
Le docteur Geerd Hamer a travaillé sur des milliers de cas. De nombreuses vérifications de sa découverte scientifique ont été faites par des Jury nationaux et internationaux qui l’ont reconnue exacte et reproductible. Cependant, le droit de mettre en œuvre cette découverte lui est refusé.
Il a des problèmes avec la médecine officielle. Avant son procès à Chambéry, le Dr Hamer avait été emprisonné à Köln, (Allemagne) pour refus de renier ses découvertes. Découvertes dont il demande depuis 17 ans la vérification par l’Université de Tübingen. Il a échappé à plusieurs tentatives d’internement psychiatrique.
Le docteur Hamer est décédé en 2017.
« Nous sommes très nombreux à penser qu’il est digne de recevoir plusieurs fois le prix Nobel pour ses découvertes sur les conflits biologiques. »
On n’évoque donc pas ici des titres faussement rebelles comme Le Canard Enchaîné ou Charlie Hebdo. En quelques mois, plusieurs périodiques de l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne se retrouvent en difficulté.
Créée en 2013, l’association Feuillandrôle se donne pour objectif de promouvoir les initiatives écologiques et autonomes, et en particulier de retrouver le lien avec la nature à travers la connaissance des plantes sauvages et les pratiques naturelles.
Elle est actuellement animée par Françoise Philidet, herbaliste, formatrice et conférencière, diplômée de l’ELPM (École Lyonnaises des Plantes Médicinales). Depuis 25 ans, en Savoie au sein de l’association Calenduline et dans l’Hérault, avec l’association Feuillandrôle, elle a formé des centaines de personnes désireuses de renouer avec le monde végétal ou de parfaire leurs connaissances des plantes. Son passé d’enseignante puis d’agricultrice en biodynamie ainsi que ses engagements écologiques et dans le domaine de la santé lui permettent de proposer une vision globale de l’homme et du monde vivant. Des intervenants de la région ou d’ailleurs la rejoignent régulièrement pour proposer des stages autour du bien-être et des savoirs naturels.
Première librairie en ligne du monde, la firme a imposé son hégémonie au mépris de toute considération sociale et écologique. Mais de plus en plus de citoyens, conscients des dérives du modèle Amazon, sont désireux de se tourner vers des revendeurs plus éthiques. Des alternatives existent en effet, qui vendent des livres d’occasion tout en s’engageant pour la planète. Focus sur trois de ces alternatives.