« Never Again Is Now Global », une série documentaire en cinq parties mettant en lumière les parallèles entre l'Allemagne nazie et les politiques mondiales en matière de pandémie, sera diffusée en exclusivité sur la CHD.TV à partir du lundi 30 janvier à 19 heures (heure normale de l'Est).
L’Alliance for Human Research Protection [Alliance pour la protection de la recherche humaine], fondée par Vera Sharav, survivante de l’Holocauste et militante des droits de l’homme, a produit le film et Mme Sharav l’a réalisé.
Chaque épisode d’une heure se concentre sur des témoignages récents de survivants de l’Holocauste et de leurs descendants qui discutent des comparaisons entre les premières étapes répressives sous le régime nazi qui ont culminé avec l’Holocauste et les politiques mondiales de la COVID-19.
Les personnes présentées dans le documentaire expliquent comment les interventions des nazis – notamment la suspension des libertés, l’imposition de fermetures, les procédures médicales forcées et les passeports d’identité – sont similaires aux contraintes dictatoriales modernes imposées aux citoyens du monde entier.
Contrairement aux documentaires habituels sur l’Holocauste qui évitent d’identifier les sponsors financiers et les entreprises derrière les nazis, « Never Again Is Now Global » expose les intérêts financiers qui ont conduit l’Holocauste.
Les survivants expliquent comment des entreprises modernes, dont General Motors, Ford Motor Company, IBM et des conglomérats comme IG Farben, ont secrètement profité des camps de travail esclaves et du génocide industriel pendant le régime nazi.
« Jusqu’à présent, quiconque a tenté d’attirer l’attention sur les schémas actuels de pandémie ou d’établir des comparaisons, même modestes, entre ces schémas et l’ère nazie, s’est attiré un barrage de critiques virulentes et soutenues de la part des gardiens de l’Holocauste et des médias d’entreprise financièrement compromis », a déclaré Mme Sharav. « Nous avons fait ce film pour changer cela. »
Son nom ne vous est pas inconnu, cette femme a défrayé la chronique de toute la presse française dans les années fin 90- début 2000.
Connue sous le sobriquet de « la putain de la République », Christine Deviers-Joncour réapparaît dans la lumière par le biais de l’écriture.
A l’occasion de la sortie de son dernier roman In silico, Christine, comme elle aime se faire appeler, nous a accordé un entretien sincère et émouvant laissant transparaître une femme forte, pleine de conviction et assoiffée de liberté. Une bouffée d’oxygène loin des médisances du passé !
« J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète » car, disaient-ils, le peuple pollue et pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». »
Malheureusement, il existe aujourd’hui un consensus écrasant parmi les élitistes du monde occidental sur la nécessité d’instituer des mesures radicales pour contrôler ce que les gens pensent. Si vous insistez pour être un rebelle, il y a de fortes chances que vous soyez puni pour avoir des opinions non orthodoxes. Vous ne serez pas nécessairement mis en prison, mais notre système dispose d’innombrables autres moyens de vous punir.
Vous n’êtes pas censé contredire le conditionnement que vous avez reçu de notre système éducatif, des médias d’information, de nos politiciens et du divertissement d’entreprise dont vous êtes abreuvé pendant des heures chaque jour.
Lorsque vous vous écartez des points de vue socialement acceptables, vous êtes coupable de « crime de la pensée ».
Tous trois sont parvenus à faire des principaux médias des soutiens de leur idéologie commune. En deux décennies, la presse a fermé les yeux sur tout ce qui contredit les discours officiels de Washington et s’est convertie à ses inepties. Le jacksonien Donald Trump a fait du rétablissement de la liberté d’expression l’axe de sa campagne de 2024. Il est pour le moment le seul candidat à se positionner ainsi.
Le candidat Donald Trump a prononcé, jeudi 15 décembre 2022, son premier discours électoral. Il a désigné comme sa priorité le rétablissement de la liberté d’expression aux États-Unis alors que les révélations d’Elon Musk (Twitter Files) et celles de l’America First Legal Foundation attestent que toute l’information est manipulée.
On peut penser ce que l’on veut de M. Trump, d’autant qu’il fait l’objet d’une campagne mondiale de diffamation depuis son élection en 2016 nous empêchant d’évaluer correctement son action, mais force est de constater que, depuis le 11 septembre 2001, il pose les bonnes questions.
Collectif IEF 35 - Bretagne, Académie de Rennes - Défendre le droit à l'instruction en famille pour tous
Initialement créé par des familles d’Ille-et-Vilaine suite à l’annonce de la loi « séparatisme » visant à interdire de fait l’IEF, le Collectif IEF 35 regroupe aujourd’hui des familles de toute la Bretagne désireuses de soutenir la lutte pour la liberté d’instruction.
Le Collectif IEF 35 – Académie de Bretagne organise depuis octobre 2020 des actions de protestation et de mise en lumière de l’IEF, interpelle les politiques et élus sur l’arbitraire de cette nouvelle loi et échange directement avec l’Académie afin d’exprimer les difficultés rencontrées par les familles, garantir le respect lors des contrôles pédagogiques et le traitement le plus équitable possible des demandes d’autorisations sur notre territoire, tout en œuvrant pour le retour au régime déclaratif.
Interview
Transrural Initiatives : D’où vient cette idée de relancer les cabines téléphoniques à Grenoble ?
Vincent, membre du collectif Observatoire international pour l’installation des cabines téléphoniques (OIRCT) : Il y a deux ans, un parti un peu décalé, le parti « popolitique » s’est lancé dans la campagne des municipales à Grenoble. Parmi les propositions, il y avait l’idée de réinstaller 22 cabines téléphoniques dans la ville.
L’an dernier, le journal local Le Postillon s’était penché sur cette proposition en disant qu’il fallait aller jusqu’au bout de la démarche. L’article a touché pas mal de monde et avec des membres du Postillon et d’autres personnes, nous avons créé l’OIRCT. Nous avons lancé la première cabine téléphonique en mars dernier dans un parc où il n’y a aucun accès à l’électricité et internet et la seconde vient d’être installée.
À Grenoble, une part du budget municipal est consacrée à un budget participatif. On a été sélectionnés parmi la trentaine de projets pour la suite qui va faire l’objet d’un vote plus large.
Pourtant, les États-Unis, le Royaume-Uni, la Pologne, l’Italie et l’Allemagne se sont déjà engagés sur la voie de la censure. Il y a désormais des choses à ne pas dire.
En France, la secrétaire d’Etat chargée de la citoyenneté, Sonia Backès, tente de discréditer les opinions non-conformes. Elle les assimile à des dérives sectaires. L’Etat, a-t-elle annoncé, organisera des "assises des dérives sectaires et du complotisme" (sic). En Union soviétique, on plaçait les opposants en hôpitaux psychiatriques.
La liberté d’expression était une caractéristique de l’Occident depuis le XVIII° siècle. Ce fut la base sur laquelle le régime politique porté par les classes moyennes fut construit : la démocratie. Le principe selon lequel, la volonté générale surgirait de l’affrontement des diverses opinions n’était plus contesté. Toute atteinte à cette liberté était vécue comme un coup porté à la résolution pacifique des conflits.
On n’évoque donc pas ici des titres faussement rebelles comme Le Canard Enchaîné ou Charlie Hebdo. En quelques mois, plusieurs périodiques de l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne se retrouvent en difficulté.
S’il est incontestable que la liberté a un prix encore faut-il analyser où et par qui la liberté est menacée, qui sont les responsables des atteintes à cette liberté, qui en sont les défenseurs et finalement quel en est le prix et qui doit payer.
Oui votre responsabilité engagée dans cette crise et votre faute est énorme.
La raison principale pour laquelle la gauche aime les VE est que le processus visant à forcer les Américains à se convertir au transport électrique détruira à jamais l’incroyable liberté et prospérité associées aux véhicules à essence privés.
L’avenir sera au contraire contrôlé de manière centralisée par de riches élitistes et leurs politiciens corrompus, des bureaucrates avides de pouvoir et des « experts » guidés par leur idéologie.
Lorsque Ransom Olds, en 1901, et Henry Ford, en 1908, ont vendu les premières automobiles américaines produites en série (respectivement la Olds à tableau de bord incurvé et le modèle T), ils ont lancé l’Amérique sur la voie de la première société à route ouverte du monde.
Il a fallu quelques décennies, mais dans les années 1930, la possession d’une voiture était pratiquement un élément de base de la classe moyenne, ce qui signifiait, pour des millions d’Américains, la liberté d’aller où ils voulaient quand ils le voulaient, sans avoir à obtenir la permission préalable du gouvernement.
Nul n’est plus désespérément ignorant que celui qui croit faussement être informé.
Nul n’est plus désespérément victime de la propagande que celui qui ne sait pas qu’il est soumis à de la propagande.
Vivre dans une démocratie occidentale libérale signifie avoir la liberté de critiquer la tyrannie de son gouvernement, mais au lieu de cela, passer son temps à critiquer la tyrannie des gouvernements étrangers que votre gouvernement n’aime pas.
La liberté d’expression dans une démocratie libérale occidentale signifie que vous avez la liberté de dire ce que vous voulez sur les abus de votre gouvernement, et que la presse a la liberté de vous marteler de propagande pour s’assurer que vous ne le fassiez jamais.
A l’occasion de la sortie de son dernier roman In silico, Christine, comme elle aime se faire appeler, nous a accordé un entretien sincère et émouvant laissant transparaître une femme forte, pleine de conviction et assoiffée de liberté. Une bouffée d’oxygène loin des médisances du passé !
« Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis ! »