Pour ma part, et ayant une assurance-vie, j’ai contacté mon assureur et lui ai demandé si j’étais couvert; sa réponse a été simple et claire, à savoir que c’était une injection en phase d’essai, qu’en acceptant je me mettais en situation de participant volontaire à une expérimentation médicale et que cela n’était pas expressément mentionné dans mon contrat!
Ceci étant il s’agissait pour moi d’une démarche et d’une décision individuelles que je n’ai porté à la connaissance que de ceux qui me demandaient si j’étais injecté et qui, devant ma réponse négative, me demandaient pourquoi; au même titre que je n’ai demandé à personne, ni dans ma famille ni parmi mes amis, s’ils étaient vaccinés ni s’ils avaient fait vacciner leurs gosses ou leurs parents … tentant de ne pas confondre le médical avec quelque chose qui ressemblait un peu trop à une pression sociale, d’ailleurs les dirigeants, les „médecins” et les journaleux ne se sont pas trompés, parlant de distanciation sociale et non de distanciation médicale !!!
Nota: ce qui suit a été pour partie publié sur Réseau International en août 2021, puis actualisé en novembre 2021.Je viens à nouveau de l’actualiser (essentiellement en référence aux dates, pas au contenu) du fait que nous en sommes arrivés à entendre des prises de position intéressantes, à savoir que les non-injectés auraient dû informer les injectés !!!
Selon l’humoriste et commentateur politique Russell Brand, les débats sur la récente acquisition de Twitter par Elon Musk ont fait rage entre les défenseurs de la liberté d’expression qui se réjouissent de cette opération et les démocrates néolibéraux qui s’inquiètent de voir un seul milliardaire contrôler la plateforme.
Dans sa dernière vidéo, Russell Brand soulève des questions sur les plans de Musk pour Twitter qu’aucun des deux camps ne pose.
Brand fait valoir que le paysage médiatique a changé. Aujourd’hui, de nombreux journalistes et personnalités des médias sont de plus en plus opposés à la liberté d’expression.
La Newsletter de Michel DOGNA
Ceux qui n’ont pas encore compris qu’il ne faut pas compter sur télémensonge qui est pilotée par la seule AFP (la voix de l’ennemi mondialiste) pour savoir ce qui se passe réellement sont vraiment hors-jeu.
Bien qu’il y ait grand danger atomique imminent de la part de deux dangereux tueurs psychopathes Z (UK) et M (FR) dépourvus de toute conscience et d’empathie que le "deep state" nazi-sataniste en plein naufrage utilise pour effectuer les sales boulots de dernière carte à jouer, je me contenterai ici de faire totale confiance à l’invincible avance technologique militaire russe et à la grande intelligence stratégique de Vladimir Poutine.
On n’évoque donc pas ici des titres faussement rebelles comme Le Canard Enchaîné ou Charlie Hebdo. En quelques mois, plusieurs périodiques de l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne se retrouvent en difficulté.
Hale, un ancien analyste du renseignement électromagnétique de l’armée de l’air âgé de 34 ans, purge une peine de 45 mois de prison, à la suite de sa condamnation en vertu de la loi sur l’espionnage pour avoir divulgué des documents classifiés sur le programme d’assassinat par drone de l’armée des EU et son nombre élevé de morts civiles.
Les documents seraient la source de « The Drone Papers » publié par The Intercept, le 15 octobre 2015.
Hale fait partie des quelques dizaines de personnes de conscience qui ont sacrifié leur carrière et leur liberté d’informer le public sur les crimes, la fraude et les mensonges du gouvernement. Plutôt que d’enquêter sur les crimes révélés et de demander des comptes à ceux qui les ont commis, les deux partis au pouvoir font la guerre à tous ceux qui s’expriment.
Certains professionnels de santé s'indignent que de tels panneaux puissent être visibles en pleine rue.
Le message est sans ambiguïté : les vaccins contre le Covid seraient dangereux. Un message qui s'affiche sur environ neuf panneaux différents à Toulouse. C'est la mairie qui avance ce chiffre, d'après plusieurs remontées de terrain. France Bleu Occitanie est en mesure de confirmer l'existence de deux d'entre eux. Le premier est apparu dès le mois de juillet, sur le boulevard de l'Embouchure, aux Minimes, près du commissariat central. Un autre est visible depuis peu dans le quartier des Trois Cocus.