Le groupe O’Keefe Media a été dévoilé le 15 mars, environ trois semaines après que James O’Keefe a démissionné de Project Veritas à la suite d’une suspension et d’une enquête sur ses pratiques en matière de dépenses.
« Nous allons envoyer des caméras dans les mains de centaines de personnes », a déclaré O’Keefe à l’émission Real America’s Voice. « Nous allons créer une armée de citoyens journalistes ».
Le personnel et le conseil d’administration de Project Veritas avaient affirmé que O’Keefe pourrait réintégrer l’organisation, mais ce dernier s’est plutôt engagé dans une nouvelle voie.
Le fondateur de Project Veritas a déclaré qu’un « petit groupe très uni » de « journalistes d’élite » était resté à ses côtés et qu’il se joignait à sa nouvelle entreprise.
« Ils ont réveillé un géant endormi », a déclaré O’Keefe dans une vidéo promotionnelle. « Je suis de retour. »
Le modèle économique repose sur des dons qui permettent de financer directement des caméras. Les tarifs vont de 19,99 dollars par mois à 5 000 dollars par an.
« Nous allons construire cette armée et garder chaque chambre d’état, chaque conseil municipal, chaque conseil scolaire et partout où les gens conspirent pour garder le pouvoir, le favoritisme proactif ou se remplir les poches avec l’argent des contribuables ! » a déclaré O’Keefe sur Twitter. « Devenez un membre fondateur aujourd’hui ! »
Ce dernier est toujours persécuté par les États-Unis pour avoir révélé les crimes de guerre américains en Irak. Un geste qui est loin d’être anodin. Explications.
Privé de liberté depuis 2010, Assange est encore aujourd’hui enfermé dans un pénitencier anglais en attendant une possible extradition vers l’Amérique où il risque 175 ans de prison. Depuis toutes ces années, il est victime d’une justice soumise aux intérêts américains.
Ce dernier est toujours persécuté par les États-Unis pour avoir révélé les crimes de guerre américains en Irak. Un geste qui est loin d’être anodin. Explications.
Privé de liberté depuis 2010, Assange est encore aujourd’hui enfermé dans un pénitencier anglais en attendant une possible extradition vers l’Amérique où il risque 175 ans de prison. Depuis toutes ces années, il est victime d’une justice soumise aux intérêts américains.
Voilà ce que fait un média honnête : Ils dénoncent la corruption, les monstres, lies confrontent ouvertement « les élites » et refusent de reculer.
Remarquez comment le PDG de Pfizer n'a rien à dire quand on lui pose de vraies questions sur ses actions criminelles et les mensonges qu'il a racontés et qui tuent des gens !
Les journalistes du mainstream aiment y piocher les informations introuvables ailleurs. Mais ce labeur effectué de main de maître a un coût. Dénicher des vérités peut vous coûter cher, voire très cher : fermeture de compte bancaire personnel et professionnel sur demande du gouvernement, visite de votre domicile, accusation d’antisémitisme, de raciste, de complotisme, convocation à la police, plaintes en tous genres, maison incendiée… Voici l’interview de Xavier Poussard qui vous plonge dans la réalité du travail journalistique jusqu’à toucher le seuil interdit où le mainstream ne s’aventure jamais, au bord de la vérité. Les fans de Truman Show connaissent le scénario…
On n’évoque donc pas ici des titres faussement rebelles comme Le Canard Enchaîné ou Charlie Hebdo. En quelques mois, plusieurs périodiques de l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne se retrouvent en difficulté.
Nul n’est plus désespérément ignorant que celui qui croit faussement être informé.
Nul n’est plus désespérément victime de la propagande que celui qui ne sait pas qu’il est soumis à de la propagande.
Vivre dans une démocratie occidentale libérale signifie avoir la liberté de critiquer la tyrannie de son gouvernement, mais au lieu de cela, passer son temps à critiquer la tyrannie des gouvernements étrangers que votre gouvernement n’aime pas.
La liberté d’expression dans une démocratie libérale occidentale signifie que vous avez la liberté de dire ce que vous voulez sur les abus de votre gouvernement, et que la presse a la liberté de vous marteler de propagande pour s’assurer que vous ne le fassiez jamais.
Hale, un ancien analyste du renseignement électromagnétique de l’armée de l’air âgé de 34 ans, purge une peine de 45 mois de prison, à la suite de sa condamnation en vertu de la loi sur l’espionnage pour avoir divulgué des documents classifiés sur le programme d’assassinat par drone de l’armée des EU et son nombre élevé de morts civiles.
Les documents seraient la source de « The Drone Papers » publié par The Intercept, le 15 octobre 2015.
Hale fait partie des quelques dizaines de personnes de conscience qui ont sacrifié leur carrière et leur liberté d’informer le public sur les crimes, la fraude et les mensonges du gouvernement. Plutôt que d’enquêter sur les crimes révélés et de demander des comptes à ceux qui les ont commis, les deux partis au pouvoir font la guerre à tous ceux qui s’expriment.
Quelles accréditations et laissez-passer faut-il avoir ? Quelles différences y a-t-il entre les correspondants de guerre russes et les correspondants indépendants comme ceux de Donbass Insider ? Comment Insider fait-il pour aller sur le front ? Pourquoi les journalistes sont-ils toujours encadrés ? Pourquoi ne peuvent-ils pas filmer les visages des soldats russes ? Peut-on perdre ses accréditations ? Qui assure la sécurité des journalistes sur le terrain ? Pourquoi toute l’armée russe n’est-elle pas en Ukraine ?
Et comme les journalistes d’investigation n’investiguent pas — comme le voudrait pourtant la charte éthique professionnelle — on s’est dit qu’il était opportun d’y mettre notre truffe, histoire de prendre un peu d’avance sur ce qui va être révélé un jour ou l’autre.
« Tous les tests Covid sont négatifs et il y en a un paquet dans le peloton, c’est pareil qui sont tous négatifs au Covid. Alors, c’est peut être autre chose ? On est beaucoup a avoir les mêmes symptômes. »