Les CBDC permettent toutes sortes de choses horribles et totalitaires.
Elles permettent aux gouvernements de suivre et de contrôler chaque centime que vous gagnez, épargnez et dépensez. Elles constituent un outil puissant permettant aux politiciens de confisquer et de redistribuer les richesses comme bon leur semble.
Les CBDC permettront aux banques centrales d’imposer des taux d’intérêt très négatifs, qui ne sont en fait qu’un euphémisme pour désigner une taxe sur l’épargne.
Les gouvernements pourraient programmer les CBDC de manière à ce qu’elles aient une date d’expiration – comme les miles des compagnies aériennes – afin d’obliger les gens à les dépenser, par exemple, avant la fin du mois où elles perdent toute valeur.
Les CBDC permettront de mettre en place une ingénierie sociale sournoise en permettant aux gouvernements de punir et de récompenser les gens d’une manière qui leur était auparavant impossible.
Supposons que les gouvernements imposent à nouveau des confinements pour la saison de la grippe, le soi-disant « changement climatique » ou tout autre prétexte qu’ils trouvent commode. Les CBDC pourraient être programmées pour ne fonctionner que dans une zone géographique donnée. Par exemple, vos paiements pourraient être refusés si vous vous éloignez de plus d’un kilomètre de votre domicile pendant un confinement.
Supposons que les responsables souhaitent encourager les gens à prendre un produit pharmaceutique. Avec les CBDC, ils pourraient facilement déposer de l’argent dans les comptes de ceux qui s’y conforment et le déduire de ceux qui ne le font pas.
Il ne fait aucun doute que les CBDC seront associées à une sorte de système de crédit social. Un tel système est déjà en place en Chine aujourd’hui. En Occident, il sera probablement d’une autre nature. Peut-être les CBDC seront-elles associées à un score ESG.
Avez-vous commis un crime intellectuel sur les médias sociaux ? Ou peut-être avez-vous lu trop d’articles politiquement incorrects en ligne ? Vous avez dépassé votre quota mensuel de consommation de viande ? Alors attendez-vous à une punition financière grâce aux CBDC.
Les CBDC sont, sans aucun doute, un instrument d’asservissement. Elles représentent un bond en arrière dans les libertés humaines.
Malheureusement, elles arrivent bientôt.
Les gouvernements imposeront probablement les CBDC comme « solution » lors de la prochaine crise réelle ou artificielle, ce qui n’est probablement pas loin.
C’est la mauvaise nouvelle.
La bonne nouvelle est que les CBDC sont vouées à l’échec.
Malgré tout le battage médiatique, les CBDC ne sont rien d’autre que la même escroquerie à la monnaie fiduciaire sous stéroïdes.
00:30 Désindustrialisation allemande
02:12 Menaces occidentales sur la Turquie, les EAU et la Géorgie
04:58 Général Trinquant, Gamelin gentil sur LCI
07:04 Protectorat polonais et solution coréenne
09:26 Révélations de Naftali Bennett
11:14 Pertes russo-ukrainiennes selon le Mossad
16:00 Offensives d'hiver ?
19:37 Carte des opérations militaires
Des plongeurs de l’US Navy ont posé des explosifs sous les gazoducs Nord Stream l’été dernier (durant l’« opération Baltops 22 » de l’Otan, du 5 au 17 juin 2022), que les Norvégiens ont activés trois mois plus tard, le 26 septembre, en larguant depuis un avion une bouée qui les a fait exploser.
L’opération a été pilotée par Jacob Sullivan (conseiller national de Sécurité), Antony Blinken (secrétaire d’État) et Victoria Nuland (sous-secrétaire d’État pour les Affaires politiques). Ces trois personnalités font partie du cercle très restreint des disciples du philosophe Leo Strauss. Sa planification a débuté en décembre 2021, c’est-à-dire deux mois avant l’intervention militaire russe en Ukraine en application de la résolution 2202 du Conseil de sécurité (présentée comme une « invasion » par la propagande de l’Otan).
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Sur Réseau International vous trouverez l'article complet traduit en Français.
La fusion des groupes informatiques et financiers a donné naissance à la plus grande concentration de pouvoir de tous les temps. Mais qu’est-ce qui confère à ce puissant complexe une influence telle qu’il est même en mesure de diriger le destin du monde ?
Le dévoilement de la pieuvre
Ce monde est tombé dans les griffes d’une société secrète terroriste d’envergure mondiale. Telle une pieuvre, ses tentacules s’emparent de tes biens, de ta santé et du libre accès au savoir. Une enquête de Kla.TV, votre chaîne indépendante n°1 !
À peine la crise du Covid semble-t-elle surmontée que le monde est massivement ébranlé par la guerre en Ukraine et, par conséquent, par la crise énergétique et économique. Une récession mondiale ainsi que la pauvreté et la famine menacent désormais des millions de personnes. En dépit de cela, même des hommes politiques autrefois pacifistes continuent d’attiser la guerre. Cette évolution négative à l’échelle mondiale est-elle le fruit du hasard, d’une erreur humaine ou y a-t-il quelque chose de plus derrière tout cela ? Si c’est le cas, il devrait y avoir une puissance capable de contrôler et de maîtriser de telles évolutions à l’échelle mondiale. Mais un tel pouvoir existe-t-il vraiment ?
La réunion annuelle du Forum économique mondial s’est tenue à Davos du 16 au 20 janvier 2023. Des observateurs internationaux se sont assis avec Sputnik pour formuler en quelques mots le message principal du rassemblement.
Le Forum économique mondial (FEM), organisation internationale non gouvernementale et de lobbying, a été fondé en janvier 1971 par l’économiste allemand Klaus Schwab. Initialement, l’entité s’appelait “European Management Forum” ; il a changé son nom en Forum économique mondial en 1987.
L’ordre mondial globalisé centré sur l’Occident s’effondre, d’autres pays adoptant un statut de non-aligné et mettant en œuvre leurs propres scénarios de développement en termes de politiques financières, de commerce extérieur et de politiques fiscales, selon Babkin. Le chercheur russe soutient que la réindustrialisation et le renforcement des économies nationales pourraient assurer la stabilité du monde et la diversité des modèles.
« Le forum de cette année a présenté le nouvel état du monde : divisé, plein de ressentiment et sinistre. Davos est devenu le vestiaire de l’Occident et est plus séparé que jamais du reste. Il ne représente plus les véritables préoccupations de la plupart de la population mondiale. Son obsession pour le changement climatique, la justice sociale, le genre et d’autres formes d’éveil en a fait une risée et une cible de mépris pour la majeure partie du monde. »
Cependant, cela a entraîné une hausse des factures d'énergie pour les ménages et les entreprises.
L’entreprise géante du pétrole et du gaz, Shell, a annoncé des bénéfices annuels record suite à l’augmentation des prix de l’énergie l’année dernière à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Les bénéfices ajustés s’élèvent à 39,9 milliards de dollars (31,6 milliards d’euros), les plus élevés de l’histoire de la société, qui existe depuis 115 ans.
Les sociétés d’énergie ont enregistré des bénéfices records alors que les prix du pétrole et du gaz ont bondi suite à l’invasion de l’Ukraine. Cela a mis la pression sur les entreprises pour qu’elles paient une taxe exceptionnelle alors que les ménages font face à des factures en hausse.
Pourquoi de tels rabais ?
Car c’est d’une baisse de 17 % des prix de vente dont on parle pour les véhicules vedettes de la marque Tesla.
Alors que se passe-t-il ?
Nous avons parlé avec David Jacquot de mon analyse de la situation qui n’est pas anodine à mon sens.
Ce que vient de faire Elon Musk en se lançant dans la guerre des prix, c’est de lancer… la consolidation du marché du véhicule électrique et cela va souquer ferme pour de très nombreux constructeurs.
Avant de commencer à entrer dans le vif du sujet, Jonathan Attias fait un récapitulatif de la loi et l’application qui en est faite. Avant 2014, il n’existait pas de véritable statut qui expliquait ce qu’est l’habitat léger. Depuis la loi ALUR, la notion de « résidence démontable » est définie. C’est un habitat qui n’a pas d’emprise au sol, autrement dit qui n’a pas de fondation, sans limite de taille. Contrairement à ce qu’on imagine avec le terme « habitat léger », on peut tout à fait disposer d’espace et d’une yourte de 50 m2 par exemple.
La loi ALUR détermine également le cadre juridique qui s’applique pour la résidence démontable, à travers les STECAL (secteurs de taille et capacité d’accueil limitées) qui sont des zones au sein des plans locaux d’urbanisme qui peuvent déroger aux zones constructibles traditionnelles pour permettre à l’habitat léger d’y être installé.
Avant 2014, les STECAL pouvaient être déterminés seulement par les mairies. Depuis la loi ALUR et les dernières réformes territoriales, ça s’est complexifié : si on veut mettre un STECAL dans une commune, il faut à la fois passer par une commission départementale, la CDPENAF, et se mettre d’accord avec l’ensemble des communes environnantes, dans le cadre du plan d’urbanisme local intercommunal.
Tous ceux qui vont aller frapper à la porte d’une mairie pour lui demander de l’aide ne doivent pas s’attendre à ce qu’elle vous ouvre les bras, parce qu’elle a perdu son droit de décision. En revanche, elle a gagné le droit de vous dénoncer.
« Les mairies aujourd’hui sont dépossédées de ce droit de décider. Cela ne vaut donc pas le coup de leur demander l’autorisation parce que ça les met dans l’embarras »
Elisabeth Borne doit présenter ce 10 janvier le projet de réforme des retraites. Ardemment souhaitée par Emmanuel Macron, la réforme vise à reculer l’âge légal de départ à taux plein à 65 ans. Cela fait des semaines que les membres du gouvernement et de la majorité avancent des arguments parfois fallacieux pour tenter de justifier cet allongement de la durée de travail.
Basta! est allé regarder de plus près.
Nous sommes trop peu à connaître le fonctionnement de ce dispositif, géré par des entreprises, que nous finançons chaque année à hauteur de plusieurs milliards d’euros.
900 000 vélos réparés en moins de 6 mois (1) : le dispositif « coup de pouce vélo » cartonne. Il faut dire qu’il est assez simple de profiter de ce « bon d’achat » de 50 euros pour faire réparer son vélo. Il suffit de se rendre chez un vélociste avec son vélo, sa pièce d’identité et son smartphone (2), et hop ! Face au succès de l’opération lancée le 11 mai, le gouvernement a annoncé tripler l’enveloppe dédiée, en la portant à 60 millions d’euros. En septembre, il a encore annoncé une rallonge de 20 millions d’euros. En décembre, le dispositif est prolongé jusqu’au 31 mars, et l’enveloppe portée à 105 millions d’euros. Ce n’est plus une enveloppe, c’est une valise !
Mais d’où vient l’argent ? Le gouvernement fait-il preuve de courage politique en réorientant la dépense publique en faveur du vélo ? Pas du tout. Ce sont les consommateurs finaux d’énergie, c’est-à-dire vous et moi, qui payons le coup de pouce vélo, à chaque fois que nous faisons le plein ou que nous allumons notre radiateur. L’entourloupe porte un nom : le dispositif des certificats d’économies d’énergie. Un formidable « bidule » spécialement créé pour financer la politique de maîtrise de la consommation énergétique. Nous tenterons plus tard d’expliquer en détail le fonctionnement de cette usine à gaz, mais pour l’instant, il suffit de présenter le principe dans ses grandes largeurs pour comprendre la manœuvre. Pour réduire la consommation d’énergie des particuliers (3), l’État impose aux vendeurs d’énergie (EDF, Engie, Total, stations essence, etc.) d’inciter financièrement les consommateurs à investir dans l’efficacité énergétique. Pour ce faire, les vendeurs d’énergie vont tout simplement payer une partie des investissements des ménages : réparation vélo pour éviter de prendre la voiture, isolation des combles pour ne pas pousser le chauffage, etc. Exemple avec le « coup de pouce vélo » : six fournisseurs d’énergie, parmi lesquels Total et Auchan Énergies, abondent un fonds. C’est avec ce fonds que les vélocistes sont payés pour la réparation des vélos.
Avec les certificats d’économie d’énergie (CEE, ou C2E), l’État impose aux vendeurs d’énergie (EDF, Engie, Total, stations essence, etc.) d’inciter financièrement les consommateurs à investir dans l’efficacité énergétique. Pour ce faire, ces vendeurs ont la possibilité de financer des fonds, comme celui du « coup de pouce vélo », ou de financer directement les travaux des particuliers, ou encore de payer des intermédiaires pour le faire à leur place. Mais, c’est là le cœur du bidule : l’État n’impose pas aux entreprises de consacrer tant d’euros à ces « incitations ». Cela serait beaucoup trop simple ! Il leur demande par contre de justifier des économies d’énergie que les particuliers réaliseront grâce à ces financements, en présentant à l’Etat un nombre donné de CEE… Mais comment comptabiliser des économies d’énergies qui n’ont pas encore été réalisées !?
Vous pensez que c’est impossible ? Et bien il faut croire que non : des technocrates – conseillés par les industriels – l’ont fait ! Ainsi, une chaudière dernier cri va permettre d’économiser tant de kWh pendant 20 ans même si on ne sait pas ce qu’elle remplace. Tu achètes 30 m² d’isolant ? On ne sait pas si l’isolant a été bien posé, ni même s’il a été effectivement posé, mais on évalue l’économie d’énergie engendrée par ces 30 m² d’isolant achetés. Ainsi, tous les produits et services concernés par les certificats d’économie d’énergie ont été comptabilisés en kWh économisés. Pour ce qui est du coup de pouce vélo, l’économie d’énergie « créée » grâce à une réparation à 50 euros équivaut à 10 MWh, car nous allons moins prendre notre voiture…
Quelles seront les grandes préoccupations du monde dans les prochaines années ? Quels seront les défis mondiaux auxquels nous devrons faire face dans l’avenir, comme la guerre, l’énergie, la Chine ou les nouvelles technologies ?
Les actionnaires de The Economist sont la famille Agnelli (Exor), Rothschild, Cadbury (Kraft Foods : Vanguard, BlackRock, Morgan Stanley, State Street, etc.), Schroders (banques : Lloyds, Guinness Mahon, G30). Ils nous présentent donc leurs vœux pour l’année qui vient. Des désirs à la réalité… Ainsi les prévisions de The Economist pour 2017, démenties par les faits, ont été qualifiées par son propre rédacteur en chef de « conspirationnistes ».