Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
BCE ruiner les épargnants

Echelle de JacobEn ruinant les épargnants, la BCE pourrait faire admettre l’euro numérique

Echelle de Jacob - 21 mars 2023

La brutale remontée des taux directeurs décidée par la BCE jeudi, que nous avons commentée hier, peut être analysée de deux points de vue très différents.

   

Le premier (plausible) fait l’hypothèse que la BCE mène un combat aveugle contre l’inflation, au risque de déstabiliser le marché bancaire et assurantiel. Le second (que nous exposons ici) est que cette prise de risque est pleinement assumée par les autorités monétaires, pour lesquelles une crise de l’épargne faciliterait sans doute le passage à la monnaie numérique qui pose tant de problèmes aujourd’hui. De fait, le calendrier prévu de mise en place de cet euro numérique offre une « fenêtre de tir » idéale pour une crise financière en 2023.

Répétons-le : la décision prise jeudi par la BCE, au beau milieu d’une tempête financière ouverte par la faillite de la Silicon Valley Bank, essentiellement due… à la remontée des taux de la FED, est un signal intriguant. Certains y ont vu une marque d’irresponsabilité ou d’incompétence : augmenter de 0,5 point les taux directeurs alors que les banques sont en pleine souffrance (on l’a vu avec le Crédit Suisse, dont la stabilisation a coûté 50 milliards de francs suisses) du fait même de la remontée des taux interroge sur l’aveuglement des autorités monétaires. Mesurent-elles le risque qu’elles font courir à l’économie mondiale et, au premier chef, aux épargnants, en modifiant aussi vite et aussi fortement les paramètres du marché ?

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
argent expirant - taux négatifs

Anguille sous rocheL'Occident sur le point d’introduire de l’argent expirant

Anguille sous roche - 19 mars 2023

Une grande banque centrale envisage de mettre en place des taux d’intérêt négatifs alors qu’elle déploie des monnaies numériques.

   

La Banque centrale européenne (BCE) envisage d’utiliser des taux d’intérêt négatifs, un outil qui érode la valeur de votre argent, lors de l’introduction de l’euro numérique, la monnaie numérique de la banque centrale (MNBC/CBDC).

C’est ce qu’affirme Sarah Palurovic, directrice exécutive du groupe de réflexion Digital Euro Association (DEA).

Lors d’une apparition sur le podcast Poundcast, Mme Palurovic a déclaré que la BCE souhaitait “garder la possibilité d’une rémunération échelonnée” après l’introduction de l’euro numérique, car la BCE veut avoir “des mesures qui incitent ou dissuadent les gens de détenir plus ou moins de CBDC”. Elle a ajouté que l’une des mesures envisagées par la BCE est l’application de taux d’intérêt négatifs.

Les taux d’intérêt négatifs permettent aux bureaucrates des banques centrales de choisir un taux auquel votre argent expire et de punir ceux qui épargnent leur argent. Par exemple, s’ils fixent un taux d’intérêt négatif de -10 %, vous perdez 10 % de votre argent chaque année si vous ne le dépensez pas.

Le champ d’application potentiel de ces propositions de taux d’intérêt négatifs est vaste. L’euro compte environ 341 millions d’utilisateurs quotidiens et est la monnaie officielle de 20 pays occidentaux.

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
3 banques US en faillite

Réseau InternationalTrois banques US en faillite : effet domino ?

Réseau International - 15 mars 2023

Les États-Unis sont probablement au bord d’une nouvelle récession, avec une nouvelle crise globale se profilant à l’horizon, estime auprès de Sputnik Sergio Rossi, spécialiste suisse en macroéconomie.

   

Les États-Unis sont probablement au bord d’une nouvelle récession, avec une nouvelle crise globale se profilant à l’horizon, estime auprès de Sputnik Sergio Rossi, spécialiste suisse en macroéconomie. Les chutes d’au moins trois banques américaines peuvent avoir un effet du domino, selon lui.

La faillite de ces derniers jours, non seulement de l’importante banque californienne SVB, mais également de Signature Bank et de Silvergate Bank, plus petites, a plusieurs similarités avec ce qui a entraîné la crise financière de 2008, indique à Sputnik Sergio Rossi, professeur de macroéconomie et d’économie monétaire à l’université suisse de Fribourg.

Les banques en difficulté sont victimes d’une panique bancaire ; et ces difficultés contaminent rapidement le marché interbancaire, aux États-Unis et dans le reste de l’économie mondiale, argumente-t-il.

Dans les deux cas, à savoir la situation actuelle et celle de 2008, les hausses des taux d’intérêt ont induit des problèmes de liquidité pour les institutions financières. Les problèmes se propagent sur l’ensemble des marchés financiers, tant aux États-Unis que dans les autres pays.

« Cela entraîne un effet domino qui peut rapidement déboucher sur une crise bancaire: le marché interbancaire est « gelé », car aucune banque ne veut accorder un crédit à une autre banque », alerte-t-il.

La principale différence entre les deux crises est qu’en 2008, les crypto-actifs n’étaient pas à la mode, remarque l’expert. L’une des banques actuellement en faillite, la SVB, est connue pour ses liens privilégiés avec le milieu des cryptomonnaies.

« Dans la crise actuelle, en revanche, il existe également un certain nombre de problèmes de liquidité et de solvabilité avec les crypto-actifs et leurs institutions associées, et une part importante des prêts non performants n’ont pas de garantie physique […]. Cela rend probable le risque d’une nouvelle récession aux États-Unis », indique-t-il.

Sergio Rossi met l’accent sur la rapidité avec laquelle l’effet domino pourrait avoir lieu :

« En effet, c’est un signe clair qu’une crise bancaire majeure se profile aux États-Unis, qui impliquera rapidement l’ensemble du secteur financier américain, notamment en ce qui concerne les crypto-actifs, les entreprises technologiques et les sociétés à capital-risque. L’effet domino ne prendra pas beaucoup de temps à se produire, surtout si les interventions des régulateurs américains et de l’administration américaine ne suffisent pas à convaincre les institutions financières ».

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
la Russie dans l’Arctique

Réseau InternationalLes buts et objectifs actuels de la Russie dans l’Arctique

Réseau International - 09 mars 2023

L’Arctique russe dans le contexte de la crise des relations de la Russie avec les États arctiques

   

Les premières explorations de la Russie dans la région arctique ont commencé dès le siècle dernier, il y a plus de cent ans. À cette époque, le ministère des Affaires étrangères de l’Empire russe a envoyé une note aux gouvernements des pays alliés indiquant que la Russie était propriétaire des terres et des îles situées au nord de la côte asiatique de l’empire. Des expéditions ont alors été menées avec les brise-glace Vaigach et Taimyr. En conséquence, les îles Bennett, Herald, Jeanette, Henrietta et Solitude ont été incluses dans l’empire.

Toutes les terres et les îles découvertes depuis 1916 ont ensuite été transférées sous l’administration de la RSFSR en 1924, et deux ans plus tard, le décret du Présidium de la CCE de l’URSS a défini que « le territoire de l’Union de la RSS est constitué de toutes les terres et îles, à la fois découvertes et celles qui pourraient l’être ultérieurement, situées dans l’océan Arctique au nord de la côte de la RSS jusqu’au pôle Nord entre le méridien 320 degrés 4′ 35” à l’est de Greenwich, longeant le côté est de la baie de Vaida jusqu’au repère de triangulation du cap Kekurskoe, et le méridien de 168 deg. 49′ 30′ à l’ouest de Greenwich, passant par le milieu du détroit séparant les îles de Ratmanov et le groupe Kruzenshtern (Krusenstern) des îles Diomid dans le détroit de Béring »2. Les dispositions de ce décret sont restées pratiquement inchangées jusqu’en 1985, lorsque l’expédition du brise-glace Kapitan Dranitsyn, dirigée par R.R. Gaidovsky, a découvert un nouveau détroit séparant l’île de Northbrook. En conséquence, le détroit a été nommé d’après le chef-découvreur de l’expédition, et les îles sont devenues connues sous le nom de West et East Northbrook.

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
discours de Poutine

Réseau InternationalPoutine aux ennemis de la Russie : En approche !

Réseau International - 02 mars 2023

Un bon moyen de déterminer si vous êtes toujours en vie est de vous demander si vous pouvez encore ressentir de l’émerveillement et de l’étonnement en observant les changements qui balaient le monde.

   

La plupart de ces changements sont graduels et difficiles à détecter dans le cadre de votre expérience quotidienne. Il est donc utile qu’une personne importante se tienne devant vous pendant une heure, comme l’a fait Poutine aujourd’hui devant l’Assemblée fédérale de Russie, et vous explique exactement ce qui s’est passé et ce qui va se passer.

C’est également très divertissant : Poutine est quelqu’un de naturellement irrépressible qui refuse de se retenir. Son russe a également une gamme dynamique énorme : à un moment, il ressemble à un gamin des rues de Leningrad, et à un autre moment, il a l’air d’un avocat et d’un technocrate accompli, d’un érudit littéraire ou même d’un étudiant en théologie. Eh bien, il est tout cela à la fois. Qu’on l’aime ou qu’on le déteste (rares sont ceux qui parviennent à rester neutres à son égard), il est difficile de l’ignorer. D’autant plus que, comme à l’accoutumée, son discours annuel devant l’Assemblée fédérale ne manquait pas de ce que les linguistes appellent des performantifs – des déclarations qui n’expriment pas une opinion ou ne transmettent pas d’informations mais transforment la réalité de manière spécifique. Et il est important de les connaître, surtout si vous résidez dans l’un des pays dont les dirigeants ont (très bêtement) décidé d’être les ennemis de la Russie, car, en fin de compte, c’est votre cul qui est en jeu. Vous pouvez être en admiration devant l’impressionnant dirigeant qui s’appelle Vladimir Poutine (rien ne vous en empêche) mais, plus précisément, je pense qu’il est de mon devoir humanitaire de vous avertir de ce qui risque de se passer avant que quelqu’un ne crie « En approche ! ». De cette façon, vous pourrez formuler un meilleur plan que de vous couvrir d’un drap blanc et de ramper lentement vers le cimetière (afin de ne pas provoquer une ruée dans laquelle quelqu’un pourrait être piétiné).

Commençons par le plus important : Poutine a annoncé que la Russie suspendait sa participation au traité START-3. C’est le « Traité entre les États-Unis d’Amérique et l’Union des républiques socialistes soviétiques sur la réduction et la limitation des armements stratégiques offensifs, n° 3 ». Ce traité remonte à l’ère soviétique, mais le 3 février 2021, les États-Unis et la Russie ont convenu de le prolonger jusqu’au 5 février 2026. M. Poutine a précisé les conditions dans lesquelles la Russie envisagerait de revenir au traité : celui-ci doit tenir compte des capacités offensives stratégiques de tous les pays de l’OTAN, et pas seulement des États-Unis. La Grande-Bretagne et la France disposent également d’armes nucléaires, bien qu’aucune ne soit trop récente, et Washington a tendance à envoyer ses armes nucléaires où bon lui semble, y compris dans d’autres pays de l’OTAN, comme l’Allemagne et la Turquie, ce qui pose problème. Poutine a ridiculisé les appels de l’OTAN à la Russie pour qu’elle permette à ses experts d’inspecter les sites militaires russes ; après que des drones aient récemment effectué une frappe sur les aéroports russes qui accueillent son aviation stratégique, endommageant quelques avions (en utilisant les Ukrainiens comme des proxies sans cervelle), une telle demande est plus que ridicule. Peut-être la Russie devrait-elle être autorisée, par courtoisie, à faire exploser un certain nombre de bombardiers stratégiques américains, juste pour égaliser le score avant d’entamer les négociations ? Non ? Oh, eh bien… Poutine a également souligné que les armes stratégiques américaines ont largement dépassé leur date de péremption (il a été un peu plus poli et circonspect, mais c’était l’essentiel, et ceux qui sont au courant savent aussi qu’il était factuel). Au sens figuré, en ce qui concerne les armes nucléaires, l’armurerie de Washington est dans un triste état ; les boîtes de conserve sont bombées et celles qui ont éclaté sentent vraiment mauvais et laissent échapper des substances viles.

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
dividendes versées en 2022

Insolentiae1 560 milliards de dollars de dividendes versés en 2022

Insolentiae - 03 mars 2023

Les dividendes versées dans le monde atteignent un nouveau record en 2022, elles sont en hausse de 8.4 % par rapport à 2021 selon le rapport du gestionnaire d’actifs Janus Henderson publié mercredi.

Les sommes sont suffisantes pour faire hurler tout ce que notre pays compte de bien-pensants à la pensée égalitariste qui ne manqueront pas de s’offusquer de ces dividendes plantureux, qui pour une bonne part financent non pas les milliardaires, mais tous les retraités du monde entier à travers leurs fonds de pension presque tous privés.

Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
Kontre-CBDC

Aube DigitaleComment résister aux CBDC – 5 façons d’échapper à ce futur dystopique

Aube Digitale - 21 fév 2023

Il y a de fortes chances que les gouvernements du monde entier obligent bientôt leurs citoyens à utiliser les monnaies numériques des banques centrales (CBDC).

   

Les CBDC permettent toutes sortes de choses horribles et totalitaires.

Elles permettent aux gouvernements de suivre et de contrôler chaque centime que vous gagnez, épargnez et dépensez. Elles constituent un outil puissant permettant aux politiciens de confisquer et de redistribuer les richesses comme bon leur semble.

Les CBDC permettront aux banques centrales d’imposer des taux d’intérêt très négatifs, qui ne sont en fait qu’un euphémisme pour désigner une taxe sur l’épargne.

Les gouvernements pourraient programmer les CBDC de manière à ce qu’elles aient une date d’expiration – comme les miles des compagnies aériennes – afin d’obliger les gens à les dépenser, par exemple, avant la fin du mois où elles perdent toute valeur.

Les CBDC permettront de mettre en place une ingénierie sociale sournoise en permettant aux gouvernements de punir et de récompenser les gens d’une manière qui leur était auparavant impossible.

Supposons que les gouvernements imposent à nouveau des confinements pour la saison de la grippe, le soi-disant « changement climatique » ou tout autre prétexte qu’ils trouvent commode. Les CBDC pourraient être programmées pour ne fonctionner que dans une zone géographique donnée. Par exemple, vos paiements pourraient être refusés si vous vous éloignez de plus d’un kilomètre de votre domicile pendant un confinement.

Supposons que les responsables souhaitent encourager les gens à prendre un produit pharmaceutique. Avec les CBDC, ils pourraient facilement déposer de l’argent dans les comptes de ceux qui s’y conforment et le déduire de ceux qui ne le font pas.

Il ne fait aucun doute que les CBDC seront associées à une sorte de système de crédit social. Un tel système est déjà en place en Chine aujourd’hui. En Occident, il sera probablement d’une autre nature. Peut-être les CBDC seront-elles associées à un score ESG.

Avez-vous commis un crime intellectuel sur les médias sociaux ? Ou peut-être avez-vous lu trop d’articles politiquement incorrects en ligne ? Vous avez dépassé votre quota mensuel de consommation de viande ? Alors attendez-vous à une punition financière grâce aux CBDC.

Les CBDC sont, sans aucun doute, un instrument d’asservissement. Elles représentent un bond en arrière dans les libertés humaines.

Malheureusement, elles arrivent bientôt.

Les gouvernements imposeront probablement les CBDC comme « solution » lors de la prochaine crise réelle ou artificielle, ce qui n’est probablement pas loin.

C’est la mauvaise nouvelle.

La bonne nouvelle est que les CBDC sont vouées à l’échec.

Malgré tout le battage médiatique, les CBDC ne sont rien d’autre que la même escroquerie à la monnaie fiduciaire sous stéroïdes.

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
Stratpol : bulletin n°120

StratpolBulletin N°120. Broyeuse russe en marche, confession de Naftali Bennett

Stratpol - 10 fév 2023

STRATPOL : Bulletin n°120 de Xavier Moreau

   

00:30 Désindustrialisation allemande
02:12 Menaces occidentales sur la Turquie, les EAU et la Géorgie
04:58 Général Trinquant, Gamelin gentil sur LCI
07:04 Protectorat polonais et solution coréenne
09:26 Révélations de Naftali Bennett
11:14 Pertes russo-ukrainiennes selon le Mossad
16:00 Offensives d'hiver ?
19:37 Carte des opérations militaires

Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
Nord Stream a été détruit par les USA et la Norvège

VoltairenetSeymour Hersh : Nord Stream a été détruit par les USA et la Norvège

Voltairenet - 10 fév 2023

Le journaliste états-unien Seymour Hersh, déjà à l’origine des informations sur le massacre de Mỹ Lai au Viêt Nam ou sur les actes de torture à Abou Ghraib ou encore sur la fausse attaque au gaz sarin en Syrie, vient de révéler comment les gazoducs Nord Stream ont été sabotés.

   

Des plongeurs de l’US Navy ont posé des explosifs sous les gazoducs Nord Stream l’été dernier (durant l’« opération Baltops 22 » de l’Otan, du 5 au 17 juin 2022), que les Norvégiens ont activés trois mois plus tard, le 26 septembre, en larguant depuis un avion une bouée qui les a fait exploser.

L’opération a été pilotée par Jacob Sullivan (conseiller national de Sécurité), Antony Blinken (secrétaire d’État) et Victoria Nuland (sous-secrétaire d’État pour les Affaires politiques). Ces trois personnalités font partie du cercle très restreint des disciples du philosophe Leo Strauss. Sa planification a débuté en décembre 2021, c’est-à-dire deux mois avant l’intervention militaire russe en Ukraine en application de la résolution 2202 du Conseil de sécurité (présentée comme une « invasion » par la propagande de l’Otan).
...

Sur Réseau International vous trouverez l'article complet traduit en Français.

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
La pieuvre du complexe numérico-financier

Réseau InternationalLa pieuvre du complexe numérico-financier

Réseau International - 06 fév 2023

Une crise après l’autre secoue le monde. La récession, la faim et la pauvreté menacent des millions de personnes. Est-ce le fruit d’un hasard ou d’une force capable de contrôler de telles évolutions à l’échelle mondiale ?

   

La fusion des groupes informatiques et financiers a donné naissance à la plus grande concentration de pouvoir de tous les temps. Mais qu’est-ce qui confère à ce puissant complexe une influence telle qu’il est même en mesure de diriger le destin du monde ?

Le dévoilement de la pieuvre

Ce monde est tombé dans les griffes d’une société secrète terroriste d’envergure mondiale. Telle une pieuvre, ses tentacules s’emparent de tes biens, de ta santé et du libre accès au savoir. Une enquête de Kla.TV, votre chaîne indépendante n°1 !

À peine la crise du Covid semble-t-elle surmontée que le monde est massivement ébranlé par la guerre en Ukraine et, par conséquent, par la crise énergétique et économique. Une récession mondiale ainsi que la pauvreté et la famine menacent désormais des millions de personnes. En dépit de cela, même des hommes politiques autrefois pacifistes continuent d’attiser la guerre. Cette évolution négative à l’échelle mondiale est-elle le fruit du hasard, d’une erreur humaine ou y a-t-il quelque chose de plus derrière tout cela ? Si c’est le cas, il devrait y avoir une puissance capable de contrôler et de maîtriser de telles évolutions à l’échelle mondiale. Mais un tel pouvoir existe-t-il vraiment ?

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
WEF agenda 2030

Guy BoulianneLa mondialisation est morte et Davos cette année était sa cérémonie funéraire

Guy Boulianne - 05 fév 2023

La mondialisation est morte et la réunion du Forum économique mondial qui s’est tenue à Davos cette année était sa cérémonie funéraire.

   

La réunion annuelle du Forum économique mondial s’est tenue à Davos du 16 au 20 janvier 2023. Des observateurs internationaux se sont assis avec Sputnik pour formuler en quelques mots le message principal du rassemblement.

Le Forum économique mondial (FEM), organisation internationale non gouvernementale et de lobbying, a été fondé en janvier 1971 par l’économiste allemand Klaus Schwab. Initialement, l’entité s’appelait “European Management Forum” ; il a changé son nom en Forum économique mondial en 1987.

L’ordre mondial globalisé centré sur l’Occident s’effondre, d’autres pays adoptant un statut de non-aligné et mettant en œuvre leurs propres scénarios de développement en termes de politiques financières, de commerce extérieur et de politiques fiscales, selon Babkin. Le chercheur russe soutient que la réindustrialisation et le renforcement des économies nationales pourraient assurer la stabilité du monde et la diversité des modèles.

« Le forum de cette année a présenté le nouvel état du monde : divisé, plein de ressentiment et sinistre. Davos est devenu le vestiaire de l’Occident et est plus séparé que jamais du reste. Il ne représente plus les véritables préoccupations de la plupart de la population mondiale. Son obsession pour le changement climatique, la justice sociale, le genre et d’autres formes d’éveil en a fait une risée et une cible de mépris pour la majeure partie du monde. »

Gal Luft, directeur de l’Institut pour l’analyse de la sécurité mondiale

accéder à l'article

Dernière modification par Nathan - 54 ans il y a
SHELL bénéfices records

Le Media en 4-4-2Shell enregistre les bénéfices les plus élevés en 115 ans

Le Media en 4-4-2 - 03 fév 2023

Tout va bien pour l'entreprise Shell qui a annoncé des bénéfices record en 2022 grâce à la hausse des prix de l'énergie suite à l'invasion de l'Ukraine.

   

Cependant, cela a entraîné une hausse des factures d'énergie pour les ménages et les entreprises.

L’entreprise géante du pétrole et du gaz, Shell, a annoncé des bénéfices annuels record suite à l’augmentation des prix de l’énergie l’année dernière à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Les bénéfices ajustés s’élèvent à 39,9 milliards de dollars (31,6 milliards d’euros), les plus élevés de l’histoire de la société, qui existe depuis 115 ans.

Les sociétés d’énergie ont enregistré des bénéfices records alors que les prix du pétrole et du gaz ont bondi suite à l’invasion de l’Ukraine. Cela a mis la pression sur les entreprises pour qu’elles paient une taxe exceptionnelle alors que les ménages font face à des factures en hausse.

accéder à l'article