Après avoir rappelé sa position dans le monde, ce document décrit la fin de la domination occidentale et les efforts des États-Unis et de leurs alliés pour maintenir l’hégémonie de Washington. Il énumère les intérêts et les buts de Moscou. Il souligne la primauté du Droit international contemporain (une création du tsar Nicolas II) et se conclut par une description du monde en mutation.
Le président Vladimir Poutine a réuni son Conseil de Sécurité en visioconférence, le 31 mars 2023. À l’issue de cette réunion, il a promulgué une mise à jour du « Concept de politique étrangère de la Fédération de Russie ».
Dans ce document, la Russie expose sa vision de son rôle dans la construction du monde multipolaire.
En premier lieu, la Russie rappelle ses ressources importantes dans toutes les sphères de la vie, son statut de membre permanent du Conseil de sécurité de l’Onu, sa participation à des organisations et associations internationales majeures, sa puissances nucléaire et sa qualité de successeur en droits de l’URSS. Surtout, vu son apport décisif à la victoire dans la seconde Guerre Mondiale et sa participation active à la liquidation du système mondial du colonialisme, elle s’affirme comme un des centres souverains du développement mondial et considère comme sa mission historique le maintien de l’équilibre global des puissances et la construction d’un système international multipolaire.
Les données catastrophiques que nous publions ici sont des données publiques et officielles de l’ONU. On les trouve dans ses tables électroniques sur la population mondiale. Elles sont très librement téléchargeables mais ne sont pas consultables en ligne. On les rencontre uniquement en chiffre dans les tableurs et seulement si on les cherche avec soin. Rien ne les relate dans les derniers écrits de l’ONU sur la population et les mouvements qui l’animent. Rien n’invite à leur investigation. Rien n’en est dit dans les presses officielles ou parallèles qui ne lisent au demeurant que les rapports sur papier glacé, rebutent à la consultation des données brutes, s’évitent l’inutile contrôle de cohérence entre les propos et les nombres même lorsqu’il s’agit de démographie.
À strictement parler, elles ne sont en aucune façon censurées mais simplement omises des écrans, des commentaires et des esprits délicats. Un peu comme « La lettre volée » de Edgar Alan Poe, bien qu’en vue, ces données de salut public sont logées avec soin hors de portée du savoir public. On confie pour cela dans la paresse à aller les débusquer de la part de ceux qui risquent bientôt de se faire happer par inadvertance ou par peur de la peur en plus grand nombre encore. Nous en fournissons ci-dessous une copie d’écran fragmentaire à mode de preuve, sans surlignage ni manipulation. Mais nous exhortons néanmoins quiconque à les auditer personnellement après téléchargement sur le site de l’ONU.
Les choses ne seront plus les mêmes qu’avant. Pour le meilleur ou pour le pire, je ne sais pas, mais c’est plus probable pour le mieux. »
« Le diktat des pays anglo-saxons a pris fin, du moins en vertu des événements qui se déroulent actuellement ». Les institutions doivent aussi changer, certaines d’entre elles sont des ordures (ou fonctionnent comme des ordures).
En fait, elles [les Nations unies] restent la plateforme [internationale] la plus importante. Mais je suis inquiet de certains développements là-bas, car il y a de fortes chances que l’ONU répète le triste sort de son prédécesseur, la Société des Nations. Le niveau de politisation au sein de l’ONU est maintenant hors limite.
Des tentatives sont constamment faites pour promouvoir l’idée de tout réformer, y compris le Conseil de sécurité, et de priver les nations clés de leurs droits de veto, ce qui, en fait, est le résultat de la Seconde Guerre mondiale. Si quelque chose comme cela se produit, alors, à mon avis, l’ONU cessera d’exister, aussi triste que cela puisse paraître.
Que se passera-t-il ensuite ? Je ne sais pas, mais il est évident qu’une ère d’accords régionaux, tels que les BRICS, l’OCS et les relations bilatérales, approche. À certains égards, cela peut même ressembler à un pas en arrière. « Mais mieux vaut un tel pas en arrière qu’une tentative de simuler l’unanimité sous les auspices de l’ONU ou d’une autre agence. Les institutions internationales vont donc changer. »
« Si l’abeille venait à disparaître de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que 5 années à vivre ». Cette citation d’Albert Einstein prend tout son sens dans le contexte environnemental actuel. Elle alerte également sur l’importance de ces insectes insignifiants pour bon nombre d’entre-nous, mais finalement vitaux à la survie des espèces humaine et non-humaine, ainsi que de leurs écosystèmes. Comment de si petits êtres vivants peuvent avoir une telle ampleur face à la crise climatique que l’on traverse ?
Les abeilles sont nos alliées
Les pollinisateurs contribuent directement à la sécurité alimentaire, nous rappelle l’ONU via son programme pour l’environnement. Si cette catégorie comprend des animaux comme les singes, les oiseaux ou encore les rongeurs, on la connaît surtout pour les insectes.
D’après les experts apicoles de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture : 75 % de la production alimentaire mondiale dépend des insectes pollinisateurs. Bien que le vent favorise la pollinisation, on compte entre 60 % et 90 % de plantes sauvages nécessitant l’aide d’insectes pollinisateurs, tels que les abeilles, afin de se reproduire. Et pour parler le langage économique de nos modèles actuels, d’après l’ONG Greenpeace, la pollinisation représente 265 milliards de dollars de service rendu dans le monde.
De fait, la production mondiale de miel par an s’élève à environ 1,6 million de tonnes, avec près de 81 millions de ruches actives autour du globe (rapport de mai 2019 de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES)).
Si ces chiffres impressionnent par leur envergure, ils s’expliquent en partie par un phénomène historique d’insertion des abeilles. Ce dernier, contrairement à ce que l’on pense, ne date pas d’hier, car au Moyen-Âge, déjà, l’humain exploitait les ruches en ville. Ces dernières décennies, notamment en raison du réchauffement climatique, de nombreux scientifiques sonnent l’alerte sur l’urgence de conserver la biodiversité. C’est donc dans une démarche écologique que le phénomène d’insertion des abeilles a repris et s’accroît.
Ce projet mondial vise à transformer complètement tous les aspects de l’existence humaine : alimentation, sexualité, famille, travail, finances, santé, éducation, tout ! Il est censé mettre fin à la pauvreté, à la faim, aux inégalités, aux maladies et à bien d’autres maux. Un ancien directeur exécutif qui a travaillé à l’ONU pendant deux décennies raconte une histoire différente. Il explique que l’ONU est contrôlée par des criminels qui l’utilisent pour s’enrichir et asservir l’humanité.
Tout est balancé dans cette vidéo sur le fonctionnement de l’ONU, l’OTAN, l’OMS, les ONG au service exclusif des oligarques via le WEF (entre autres).
Cette vidéo est une confirmation pour les gens éveillés même si on y apprend des choses.
En la regardant, vous aurez la conviction qu’il est plus que temps de dire NON à tout ce système d’esclavage et de destruction en grande partie dirigé par les USA.
Une vidéo qui vous permettra une montée en conscience et en vibration. Un avenir d’humanité nous attend si nous sommes de plus en plus nombreux à combattre ces criminels, à dire NON.
La récente réunion gouvernementale du G20 à Bali, la réunion de la COP27 de l’Agenda 2030 des Nations unies en Égypte, le Forum économique mondial de Davos et Bill Gates sont tous complices. En général, ils utilisent un cadre linguistique dystopique pour donner l’illusion qu’ils font le bien, alors qu’ils font en réalité avancer un programme qui conduira à la famine et à la mort de centaines de millions, voire de milliards de personnes si on le laisse se poursuivre. Il est dirigé par une coalition d’argent.
L’Agenda 2030 des Nations unies pour le développement durable est présenté comme un « plan commun pour la paix et la prospérité des peuples et de la planète, maintenant et à l’avenir ». Les 17 objectifs de développement durable, ou ODD, sont au cœur de ce programme.
Bon nombre de ces objectifs ont l’air sympathiques en théorie et brossent le tableau d’une utopie mondiale émergente – comme l’élimination de la pauvreté, de la faim dans le monde et la réduction des inégalités. Pourtant, comme c’est souvent le cas, la réalité qui se cache derrière la plupart – sinon la totalité – des ODD est constituée de politiques enveloppées dans le langage de l’utopie qui, dans la pratique, ne profiteront qu’à l’élite économique et renforceront son pouvoir.
L’escalade des attaques réglementaires contre les producteurs agricoles, de la Hollande et des États-Unis au Sri Lanka et au-delà, est étroitement liée aux objectifs de développement durable de l' »Agenda 2030″ des Nations unies et aux partenaires de l’ONU au Forum économique mondial (FEM), ont déclaré de nombreux experts à The Epoch Times.
En effet, plusieurs des 17 objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU sont directement impliqués dans les politiques qui mettent à mal les agriculteurs, les éleveurs et les réserves alimentaires dans le monde entier.
Des membres de haut niveau du Parti communiste chinois (PCC) au sein du système de l’ONU ont contribué à la création des ODD et aident actuellement à diriger la mise en œuvre du plan mondial par l’organisation, comme l’a précédemment documenté The Epoch Times.
Selon de nombreux experts, si l’on n’y prend garde, les politiques de durabilité soutenues par l’ONU en matière d’agriculture et de production alimentaire entraîneront une dévastation économique, des pénuries de biens essentiels, une famine généralisée et une perte dramatique des libertés individuelles.
On serait tentés de le croire, d’autant que, comme on peut l’observer depuis le début de la guerre en Ukraine, l’ONU a été carrément mise de côté dans cette guerre de sous-traitance. Dès lors qu’il s’agit de puissances en jeu, l’ONU n’a plus de voix. Ce sont les puissants qui s’expriment, qui bougent, qui ont le droit à la parole. Et aux actes. Pas l’ONU.
L'une des statues les plus étranges vient d'être érigée juste devant le siège des Nations Unies à New York. Cette statue absolument gigantesque s'appelle « Le gardien de la paix et de la sécurité internationales ». Elle semble ressembler de très près à une « bête » qui est décrite dans le livre de l'Apocalypse.