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ARCOM - police de la pensée

Égalité et RéconciliationArcom cherche balances : la Gestapo européiste recrute

Égalité et Réconciliation - 17 avr 2024

Dans le cadre du Règlement sur les services numériques (RSN), ou Digital services act (DSA), les associations, entités, organisations, reconnues pour leurs expertises et leurs compétences (protection de l’enfance, lutte contre le cyber-harcèlement, ...), sont invités à postuler au statut de « signaleurs de confiance ».

   

Ainsi commence l’offre d’emploi – non rémunéré – de balance pour l’Arcom. L’Arcom est le régulateur de la communication audiovisuelle et numérique. C’est le nouveau nom de l’officine gouvernementale de surveillance et de punition des pensées non conformes à la ligne officielle.

Le DSA, Digital Service Act, c’est le nouveau projet anti-liberté d’expression de la maison mère, pondu par le couple diabolique Breton-Leyen, à la tête de l’Union soviétique européiste, qui peut s’enorgueillir de trois grandes réalisations :

- la paupérisation de dizaines de millions de travailleurs européens ;
- une invasion migratoire délirante et dénaturante ;
- l’entrée dans une guerre apocalyptique contre la Russie.

L’Arcom cherche donc des individus à l’âme sordide pour dénoncer ceux qui seraient taxés de complotisme, par exemple les Français qui ne croient pas que

- Armstrong a marché sur la Lune
- BHL est un philosophe humaniste
- Haziza est un grand journaliste odieusement blacklisté sur une radio communautaire sans audience
- Israël a raison de riposter jour après jours contre tous ses voisins antisémites
- la fonte vertigineuse de notre caddy moyen correspond à l’inflation de l’INSEE
- Macron est un président sain de corps et d’esprit
- Brigitte est une femme dont on tombe automatiquement amoureux
- le gouvernement est sexuellement neutre
- Séjourné a obtenu son poste grâce à ses compétences intellectuelles
- Karine Lacombe a énormément souffert du harcèlement sexuel
- l’UE c’est la paix, la croissance et la démocratie
- la pédocratie n’existe que dans l’imagination des paranoïaques
- la presse mainstream est l’amie du peuple
- il faut mourir pour l’Ukraine
- Breton ne s’est jamais fait changer le sang en Italie
- Leyen a sauvé 450 millions d’Européens d’une mort certaine grâce à Bourla et son injection Pfizer miracle

N’est pas balance qui veut

Les signaleurs de confiance auront priorité sur les particuliers en matière de signalement. Par exemple, si un BHL ou un Enthoven vous insulte ou insulte votre communauté, votre religion, sur Twitter (X), vous aurez peu de chance de voir votre signalement accepté si un signaleur de confiance décide de ne pas le faire. Les balances sont donc choisies par le pouvoir.

La liste des balances autorisées à dénoncer les mal-pensants nous a bien fait rire, on a vu se dessiner les visages de nos quatre cavaliers de l’apocalypse communautaire !

Entités publiques, organisations non-gouvernementales, organismes privés ou semi-publics tels que (liste non exhaustive) :

- fédérations industrielles et des associations commerciales
- ONG
- membres de réseaux établis de vérificateurs de faits
- syndicats
- entités publiques non réglementaires (ex : Europol) ou de réglementation
- organismes semi-publics
- réseaux ou alliances d’entités, aux niveaux national et européen.

Pour devenir une sale balance-Système, une qualité principale est requise :

Disposer d’une expertise et de compétences particulières aux fins de détecter, d’identifier et de notifier des contenus illicites

Il faut avoir un flair de chien policier ! Ensuite, une fois que la balance aura détecté le résistant, il faudra monter un petit dossier clair et net pour la maison mère :

- Soumettre des signalements respectant certaines conditions : explication étayée, indication claire de l’emplacement du contenu, nom et adresse du signalant, déclaration de bonne foi.
- Publier un rapport annuel détaillé avec des informations sur le nombre de signalements effectués (classés par plateforme, type de contenu illicite et action prise)

On imagine que nos 4 balances déjà stipendiées par le Système, Tristan Mendès, Rudy Rends l’argent Reichstadt, Julien Pain et Thomas Huchon se sont bousculés pour obtenir leur étoile de shérif, leur droit de dénoncer les résistants.

« Le ministère de la Paix fait la guerre,
le ministère de la Vérité produit des mensonges,
le ministère de l’Amour pratique la torture,
et le ministère de l’Abondance crée la famine »

1984

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Cellule Déméter

Mr MondialisationCellule Déméter : nouvelle audience sur ses pratiques illégales

Mr Mondialisation - 19 sep 2023

L’audience concernant les missions de la cellule de renseignement de la gendarmerie nationale Déméter, entité créée par l’État à la demande de la FNSEA et des Jeunes Agriculteurs, se tiendra devant la cour administrative d’appel de Paris le 15 septembre à 10 h. Rappel des faits.

   

Pour rappel, en 2020, L214 a saisi le tribunal administratif de Paris qui, par un jugement du 1er février 2022, a constaté l’illégalité des missions confiées à la cellule Déméter qui ne relevaient pas de délinquance ou de criminalité organisée.

La juridiction a également enjoint à l’État « de faire cesser les activités de la cellule nationale de suivi des atteintes au monde agricole qui visent à la prévention et au suivi d’“actions de nature idéologique” […] dans un délai de deux mois » sous peine de 10 000 € d’astreinte par jour de retard.

L’État a partiellement fait appel de cette décision. En effet, il n’a relevé appel que concernant les activités de suivi d’“actions de nature idéologique”. L’État n’a en revanche pas contesté l’annulation des activités de cette cellule tenant à la prévention des “actions de nature idéologiques”, reconnaissant ainsi clairement l’illégalité de cette activité.

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Suicide chez les forces de l’ordre

Profession GendarmeSuicide chez les forces de l’ordre

Profession Gendarme - 24 août 2023

Une policière se filme avant son passage à l’acte pour expliquer son geste.

   

En effet, dans une publication YouTube, celui qui a été révoqué par le ministre de l’intérieur, explique qu’une jeune policière prénommée Alexia s’est suicidée. On aperçoit alors une jeune femme qui se filme avant son passage à l’acte et donne des explications sur son choix de mettre fin à ses jours.

Face à cette problématique, plusieurs associations se mobilisent pour lutter contre le fléau des suicides dans la police nationale, dont SOS Policiers en Détresse (PEPS-SOS), Assopol, Alerte police en souffrance (APS), et l’Amicale de la Police Nationale, qui propose également un “réseau d’écoute et de soutien”. Ensemble, ces initiatives visent à apporter un soutien essentiel aux policiers confrontés à des difficultés psychologiques.

Si vous ou l’un de vos proches éprouvez des pensées suicidaires, n’hésitez pas à contacter le 3114, le numéro national de prévention du suicide, opérationnel 24h/24, 7j/7, où des professionnels sont à l’écoute.

Les fonctionnaires de police victimes d’agressions ou de menaces peuvent également bénéficier d’une ligne d’écoute dédiée au 0800 95 00 17, accessible tous les jours de 5 heures à 23 heures. Pour un soutien psychologique continu, une cellule d’assistance est disponible 24h/24 au 0805 230 405. Il est important de souligner que ces services garantissent l’anonymat, la confidentialité et sont entièrement gratuits.

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ODD-16 de l'Agenda 2030

Réseau InternationalObjectif de développement durable 16 : Partie 1 – Construire l’État policier mondial

Réseau International - 18 juil 2023

Les Nations unies affirment que l’objectif de développement durable n°16 (ODD 16) a pour but de promouvoir des sociétés pacifiques et inclusives et d’assurer l’accès à la justice pour tous.

   

Derrière la rhétorique se cache le véritable objectif : renforcer et consolider le pouvoir et l’autorité du «régime de gouvernance mondiale» et exploiter les menaces – réelles ou imaginaires – afin de faire progresser l’hégémonie du régime.

Si nous acceptons l’hypothèse selon laquelle le «développement durable» est un développement mondial qui répond aux besoins des pauvres du monde, il est peu probable qu’une personne raisonnable soit en désaccord avec cet objectif déclaré.

Mais aider les pauvres n’est pas le but de l’ODD 16.

Le véritable objectif de l’ODD 16 est triple : (1) renforcer un régime de gouvernance mondiale, (2) exploiter les menaces, réelles et imaginaires, pour faire avancer les objectifs du régime, et (3) imposer à l’humanité un système mondial d’identité numérique (ID numérique) injustifié, indésirable et contrôlé de manière centralisée.

L’objectif de l’ONU en matière d’identité numérique est caché dans l’objectif 16.9 de l’ODD :

«D’ici à 2030, garantir à tous une identité juridique, ainsi que l’enregistrement des naissances».

Bien que l’ODD 16 ne fasse pas spécifiquement allusion à l’identification «numérique», c’est ce qu’il signifie.

Comme nous le verrons, les indicateurs de la cible de l’ODD 16 ne révèlent pas non plus la vérité. Par exemple, le seul «indicateur» permettant de mesurer les progrès de l’ODD 16.9 (16.9.1) est le suivant :

«La proportion d’enfants de moins de 5 ans dont la naissance a été enregistrée auprès d’une autorité civile, par âge».

On pourrait donc penser que la tâche de «fournir une identité légale» incombe en premier lieu auxdites «autorités civiles». Ce n’est pas le cas.

Au sein du système des Nations unies, tous les gouvernements (qu’ils soient locaux, de comté, provinciaux, d’État ou fédéraux) sont des «partenaires parties prenantes» d’un réseau mondial composé d’un large éventail d’organisations publiques et privées. Nombre d’entre elles sont explicitement soutenues par les Nations unies ou hébergées dans leurs locaux, et toutes prônent l’identification numérique comme mécanisme clé pour atteindre l’ODD 16.

Cet aspect de l’ODD 16 sera examiné plus en détail dans la partie 2.

Cet amalgame mondial d’organisations utilise souvent un terme pour se décrire : il s’agit d’un partenariat mondial public-privé (G3P).

Le G3P travaille sans relâche à créer les conditions nécessaires pour justifier l’imposition d’une gouvernance mondiale «avec des dents» et de son système d’identification numérique indispensable. Ce faisant, le G3P inverse la nature de nos droits. Il fabrique et exploite des crises afin de revendiquer la légitimité des «solutions» qu’il propose.

Le G3P comprend pratiquement toutes les organisations intergouvernementales, les gouvernements, les entreprises mondiales, les grandes fondations philanthropiques, les organisations non gouvernementales (ONG) et les groupes de la société civile. Collectivement, ils forment les «parties prenantes» qui mettent en œuvre le développement durable, et notamment l’ODD 16.

L’identification numérique déterminera notre accès aux services publics, à nos portefeuilles de monnaie numérique de banque centrale (CBDC), à nos certificats de «vaccin» – à tout, même aux aliments et boissons que nous sommes autorisés à acheter et à consommer.

Les citoyens méfiants sont attentifs aux abus potentiels de l’identification numérique par leurs autorités. Dans les pays où une carte d’identité numérique nationale n’est pas la bienvenue, comme au Royaume-Uni, la solution du G3P consiste à construire un système «interopérable» qui relie différents systèmes d’identification numérique entre eux. Cette approche de «plateforme modulaire» est conçue pour éviter les problèmes politiques que la délivrance officielle d’une carte d’identité numérique nationale susciterait autrement.

Établir l’identité numérique mondiale de l’ODD 16.9 est essentiel pour huit des dix-sept ODD de l’ONU. C’est le pivot au centre d’un panopticon numérique mondial qui est en train d’être conçu sous les auspices du «régime» de partenariat public-privé mondial de l’ONU.

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smartphone espion

Anguille sous rocheVotre téléphone est un mouchard à la solde des autorités

Anguille sous roche - 13 juil 2023

Smartphone et vie privée, un oxymore à l’ère de la surveillance de masse ? Oui, selon un rapport de Comparitech.

   

Vous pensez peut-être que votre téléphone est un outil de communication, de divertissement et de productivité, mais c’est aussi une porte d’entrée pour les autorités qui veulent vous espionner. En effet, la France n’est pas le seul pays à avoir adopté une loi permettant à la police de prendre le contrôle à distance des appareils des suspects, avec accès aux caméras, aux microphones et aux données GPS.

Le ministre français de la Justice, Éric Dupond-Moretti, a salué l’adoption d’une nouvelle législation autorisant ce type d’espionnage pour une durée maximale de six mois, sur autorisation d’un juge, dans les cas où les peines encourues sont d’au moins cinq ans. « Nous sommes loin du totalitarisme de 1984 », a-t-il ajouté. « Des vies humaines seront sauvées ».

De toute évidence, le fait qu’un agent de la police ou du gouvernement pourrait pirater votre téléphone et observer avec désinvolture un flux en direct de votre vie ressemble à l’invasion la plus obscène de la vie privée. Et clairement, cela ouvre la porte à des abus occasionnels des libertés civiles par des personnes en position de pouvoir, ainsi qu’à des abus plus ciblés de ce pouvoir par des acteurs de mauvaise foi.

Mais cette pratique est loin d’être nouvelle, encore moins d’être rare. En 2006, avant la sortie du premier iPhone, le FBI américain activait à distance les microphones des téléphones portables (même avec les téléphones éteints) et écoutait les suspects, en toute légalité. À l’époque, vous pouviez encore retirer les piles de nombreux téléphones. Maintenant, pas tellement.

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téléphone espion

Anguille sous rocheLoi justice : comment la police va espionner votre téléphone

Anguille sous roche - 10 juil 2023

Malgré les craintes exprimées, l’Assemblée nationale vient d’autoriser la possibilité de transformer les smartphones en « mouchards » dans le cadre de certaines enquêtes judiciaires.

   

Pouvoir activer à distance un smartphone, un ordinateur portable ou tout objet connecté afin de voir et entendre leurs propriétaires ne relève plus de la dystopie. Après le Sénat, c’est au tour de l’Assemblée nationale d’approuver la possibilité d’activer à distance les caméras et les micros de ces appareils du quotidien.

Le but est de pouvoir écouter et filmer des personnes visées dans des enquêtes de criminalité organisée et de terrorisme. Il s’agit d’un article-clé du projet de loi de programmation pour la justice.

Si certains y voient une grave atteinte à l’intimité et à la vie privée des utilisateurs, ces mesures ne devraient être prises que dans des cas très précis. Afin, justement, d’éviter tout débordement. Cet article-clé a mis d’accord 80 députés tandis que 24 élus se sont dit contre.

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démission dans la police

StrategikaCrise sécuritaire : Les démissions de policiers et gendarmes s’enchaînent

Strategika - 20 mai 2023

La situation est alarmante.

   

Le nombre de démissions dans la police et la gendarmerie française a connu une croissance alarmante ces derniers mois. Face à cette situation, le ministère de l’Intérieur cherche des solutions pour remédier à cette crise qui est devenue un véritable casse-tête.

À Nice, les départs des policiers et de gendarmes vers la police municipale s’intensifient. Selon Anthony Borré, adjoint à la sécurité de la ville, les conditions de travail et les locaux avantageux sont les principales raisons qui poussent ces policiers à quitter leur poste. Cette situation met en péril la police nationale et la gendarmerie, qui voient ainsi leur effectif diminuer.

Malgré les primes de fidélisation, d’un montant de 730 millions d’euros depuis 2016, les démissions se multiplient. Les raisons principales évoquées sont la difficulté de la profession, des salaires jugés trop faibles et une mauvaise image globale des forces de l’ordre qui décourageraient les vocations.

En 2022, le nombre de départs imprévus dans la police et la gendarmerie a presque doublé par rapport à l’année précédente, avec près de 6 000 démissions enregistrées.

Même la police judiciaire est touchée par cette crise. Près d’un enquêteur sur cinq menace de démissionner si une réforme impopulaire est maintenue. Cette situation est préoccupante et nécessite une réflexion approfondie pour trouver des solutions durables à cette crise de recrutement.

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les préfets - un processus anti-démocratiques

Mr MondialisationLes préfets, décryptage d’un héritage antidémocratique

Mr Mondialisation - 02 mai 2023

On a souvent dénoncé les aspects antidémocratiques de nos institutions qui concentrent l’essentiel du pouvoir sur le président de la République.

   

On parle en revanche assez peu des préfets qui détiennent pourtant une autorité immense et qui n’ont, de plus, aucune légitimité populaire.

De nombreux manifestants ont pu constater la grande capacité de nuisance des préfets pour bloquer des mouvements de protestations à l’échelle locale. Mais ce fut aussi le cas lors de la crise sanitaire où des décisions parfois ubuesques étaient prises par les préfectures sans aucune concertation avec les populations.

À l’origine, les préfets sont mis en place par Napoléon Bonaparte en 1800. À l’époque, il s’agit de rompre avec la République révolutionnaire, qui ne reconnaissait que le peuple comme souverain, et renouer avec la politique centralisée de la monarchie. En maillant le territoire de fonctionnaires aux ordres, l’empereur peut ainsi plus facilement lever les impôts et mater les révoltes au niveau local.

Le système est même bien plus avantageux que sous l’ancien régime, puisque le chef de l’État n’est plus encombré par les multitudes de nobles et de bourgeois qui empiétaient sur le pouvoir du roi, mais il a en plus la main sur l’intégralité du pays grâce aux fidèles préfets.

Le système arrange tellement les régimes successifs qu’il ne sera pas remis en cause avant près de deux cents ans. Le XIXe siècle connaîtra pourtant bon nombre de bouleversement politique : restauration, révolution, empire, république… Aucun ne supprimera la fonction de préfet. Et même s’ils perdent un peu de leur pouvoir avec la chute de Napoléon III, il faudra attendre le quinquennat de François Mitterrand et 1982 pour voir une véritable décentralisation.

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Flic Gestapo

Echelle de JacobCes flics qui refusent de devenir la Gestapo

Echelle de Jacob - 12 avr 2023

Je n’imaginais pas en exposant le plan macronesque de spoliation des propriétaires au profit des migrants, qui vont être « saupoudrés » un peu partout en France, susciter autant de réactions. Parmi celles-ci, la réponse intéressante d’un flic courageux et honnête.

   

Albert sera le pseudo de mon correspondant. Sans évoquer son âge, son grade ni la région où il travaille. Mais certaines informations qu’il révèle pourraient être validées par les gradés mutiques de la « Grande Maison » qui nous lisent.

Moi : On va démarrer sans les salamalecs habituels. Le temps de VPN renforcé n’est pas donné. Alors de suite, un flic qui se dit prêt à désobéir si l’État lui ordonne de chasser les gens de chez eux, pour faire de la place aux allogènes, n’est-ce pas exceptionnel ?

Albert : Il y a des limites à l’obéissance. Déjà pendant la crise des Gilets Jaunes puis la dictature sanitaire, tu n’imagines pas le nombre de collègues qui se sont faits porter pâle, certificat médical à l’appui. C’est pour ça que le préfet de police a fait appel à des débutants ou à des éléments extérieurs, motivés par des primes généreuses… Sans formation. Inaptes à manier des lacrymos et des LBD. Ou trouvant très amusant de terroriser les kouffars avec ces trucs-là, en toute impunité. Pourquoi crois-tu que ceux qui attaquent au mortier les commissariats, on ne les poursuit quasiment jamais ? Tout simplement parce que c’est une réserve de nervis dans laquelle l’État peut puiser en cas de besoin !

Moi : Comme avec les black blocs ?

Albert : Non, ceux-là ont une finalité différente. Si la hiérarchie nous ordonne de les ignorer, c’est parce qu’ils font triple emploi : envenimer une manif pour en discréditer les organisateurs, justifier des rétentions d’otages innocents, et faire porter le chapeau de la violence à une « extrême droite » fantasmée.

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Agnès Naudin

QactusPolice, se taire ou dégager

Qactus - 03 avr 2023

Avec Agnès Naudin capitaine de police, porte-parole du syndicat FSU intérieur

   

Itzel Marie Diaz a reçu Agnès Naudin, capitaine de police, porte-parole du syndicat FSU intérieur, co-auteur de « Police: la loi de l’omerta ». Une lanceuse d’alerte actuellement dans le viseur de la justice qui l’accuse de violation du secret professionnel.

«Nous ne sommes plus une police républicaine, mais un bras armé du gouvernement»

Agnès Naudin

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violences policières

ReporterreRetraites : le gouvernement ressort la matraque

Reporterre - 22 mars 2023

Les manifestations qui ont suivi le 49.3 et le passage en force de la réforme des retraites sont fortement réprimées.

   

Une situation « extrêmement inquiétante » pour La Ligue des droits de l’Homme et les syndicats.

« Un retour à la doctrine de maintien de l’ordre de [l’ex-préfet] Didier Lallement, qui paraissait pourtant avoir été abandonnée par le pouvoir. » Patrick Baudouin, président de La Ligue des droits de l’Homme (LDH), s’alarme auprès de Reporterre d’un « climat extrêmement délétère et inquiétant » ces jours-ci en France. En cause : la répression du mouvement social contre la réforme des retraites. Alors que l’exécutif a utilisé le 49.3 le 16 mars afin de passer en force cette loi rejetée par 80 % des Français, les manifestations spontanées se multiplient dans le pays. Depuis, on ne compte plus les témoignages dénonçant des violences policières et autres interpellations abusives (dont parfois des journalistes).

Le 16 mars, 292 personnes qui manifestaient place de la Concorde, à Paris, ont par exemple été placées en garde à vue… pour finalement 283 classements sans suite. Le 20 mars, le syndicat de la magistrature a ainsi dénoncé « le détournement de la procédure pénale au profit du maintien de l’ordre ». Le 17 mars, comme l’a révélé Mediapart, quatre jeunes femmes ont déposé plainte à Nantes pour « violences sexuelles par dépositaire de l’autorité publique » alors qu’elles étaient nassées par la police, le 14 mars.

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des soignants suspendus discrètement convoqués par la police

Le courrier des stratègesAlerte : Des soignants suspendus discrètement convoqués par la police

Le courrier des stratèges - 12 nov 2022

Selon nos informations, un peu partout en France la police convoque, de façon perlée, des soignants suspendus pour les interroger et récolter du renseignement sur leur situation et sur leur position en matière de vaccin et de vaccination.

   

Cette pratique proche de l'intimidation est généralement accompagnée de la forte suggestion de venir sans avocat... Dans le climat de répression qui s'abat actuellement sur la résistance, il devient évident que le pouvoir tente un dernière écrémage avant la purge du dernier carré.

Selon nos informations, la police nationale procède actuellement à une campagne perlée de convocations de certains soignants suspendus pour les interroger sur leur position concernant le vaccin. Pour l’instant, les conditions dans lesquelles cette campagne se déroulent sont encore obscures. Mais le mode opératoire paraît assez simple : la police convoque les suspendus officiellement pour un simple entretien, en précisant que c’est une formalité qui ne nécessite pas la présence d’un avocat.

Lors des entretiens, les policiers interrogent les personnes sur les raisons pour lesquelles elles ne veulent pas être vaccinées. On signale des cas où les policiers ont interrogé les soignants suspendus sur leurs opinions politiques.

Une partie de l’interrogatoire porte sur un éventuel exercice illégal de la profession depuis la suspension.

D’une manière générale, les policiers expliquent qu’ils agissent à la demande du Parquet. Plus rarement, il semblerait que certains hôpitaux publics aient pris l’initiative de dénoncer les personnels suspendus pour un hypothétique exercice illégal de la médecine.

D’aucuns considèrent que cette campagne d’information sous les radars et (précisons-le) d’une légalité extrêmement discutable, est un prélude à une campagne permettant de réintégrer les soignants les moins “dissidents”.

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