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traité de l'OMS

Guy BoulianneOMS : Le Traité sur les pandémies - un coup d'état sur la santé

Guy Boulianne - 17 avr 2024

Le Traité sur les pandémies – Des documents de l’Organisation mondiale de la santé qui ont fuité révèlent le plus grand coup de tous les temps !

   

J'ai fait part à maintes reprises des dangers du Traité de l'OMS sur les pandémies et ceci dès le 7 octobre 2021, alors que je partageais l’article du Dr Urmie Ray. J’ai continué ces avertissements à quelques reprises, soit le 30 mai 2022, le 26 mai 2023, le 9 juillet 2023, le 19 janvier 2024, le 8 février 2024 et le 7 avril 2024. Il ne faut pas oublier non plus que plusieurs projets de loi à travers le monde s'alignent parfaitement avec ce Traité sur les pandémies de l'OMS, dont le Projet de loi Nº 50 du gouvernement Legault qui constitue un réel danger pour l'ensemble des Québécois. Par ce traité, les chefs d’État s’apprêtent à remettre la souveraineté de leurs nations entre les mains d’un gouvernement mondial et à signer un traité international qui soumettra tous les peuples à une dictature sans précédent, incluant les fermetures de frontières, les restrictions de voyage, le confinement (quarantaine), les examens médicaux et la médication des individus (englobant les exigences relatives à l’injection de vaccins ou d’autres produits pharmaceutiques).

Je partage maintenant avec vous une vidéo et un texte du réseau Kla.TV. Comme l'écrit si bien cette plateforme : « Des documents de l'OMS qui ont fuité révèlent le plus grand coup de tous les temps : noir sur blanc, ce document révèle les textes secrets des traités de l'OMS ! Comme avec un scalpel, l'OMS supprime la souveraineté des États membres et se donne elle-même le pouvoir ! L’appel au réveil international vous montre comment démasquer les plans dès maintenant ! »

Kla.TV lance donc un Appel au réveil international !

L’OMS prépare un coup sournois dans 194 pays !

Des documents de l’OMS qui ont fuité révèlent le plus grand coup de tous les temps : noir sur blanc, ce document révèle les textes secrets des traités de l’OMS ! Comme avec un scalpel, l’OMS supprime la souveraineté des États membres et se donne elle-même le pouvoir ! L’appel au réveil international vous montre comment démasquer les plans dès maintenant ! Tedros ne respecte pas les règles et n’est donc pas digne de confiance !
Vérification des faits 1 : La souveraineté des États membres

« Les mesures sanitaires prises en vertu des présents règlements, […] doivent être engagées et menées à bien sans délai par tous les États Parties à l’accord. » (RSI, art. 42)

Jamais un homme ne doit obtenir un tel pouvoir sur le corps et la vie de milliards de personnes dans les 194 États membres de l’OMS !

Le « modèle commercial » de l’OMS

Des transactions financières gigantesques, à débourser par les contribuables, affluent vers des pays plus pauvres et finissent en fait dans les poches de « Big Pharma » et d’investisseurs privés.

C’est ici que l’on découvre avec quelle perfidie l’OMS et ses puissants profiteurs ont mis en place, dans l’ombre, un « coup d’État » dans 194 pays !

Lors de l’assemblée générale de l’OMS qui se tiendra à Genève du 27 mai au 1er juin 2024, les délégués de 194 pays membres devront se prononcer sur un nouveau traité sur les pandémies et une réforme fondamentale du Règlement sanitaire international (RSI) déjà en vigueur. Etant donné qu’ils doivent voter sur une extension importante des pouvoirs de l’OMS et de son directeur général Tedros Adhanom Ghebreyesus, un débat houleux a déjà éclaté dans presque tous les pays plusieurs mois avant l’assemblée. Dans l’article 55 du RSI, Tedros s’engage à transmettre à tous les Etats membres le texte de chaque amendement proposé au moins quatre mois avant le vote.

Le mot anglais « shall » doit être traduit ici comme un ordre impératif. La communication est donc obligatoire, contraignante. Tedros aurait donc dû présenter un projet de texte final le 27 janvier 2024 afin de permettre un vote statutaire. Cela n’a pas été fait avant mars 2024, Tedros ne respecte pas les règles et n’est donc pas digne de confiance !

La recherche Kla.tv d’aujourd’hui, soutenue par des experts internationaux, ne peut donc qu’examiner à la loupe les projets actuels des deux documents qui font encore l’objet de discussions. Pour cette recherche, nous jetons un coup d’œil à l’Allemagne — l’un des 194 États membres :

Le jeudi 22 février 2024, une motion du groupe parlementaire CDU/CSU a été présentée au Bundestag allemand. Elle s’intitule : « Pour des négociations transparentes sur l’accord de l’OMS sur la pandémie – contre la désinformation et les théories du complot ».

La CDU/CSU est le plus grand groupe d’opposition et y a formulé différentes exigences concernant le contrat de pandémie de l’OMS. Ces exigences sont comparées ci-après, dans le cadre d’une vérification des faits, au texte des projets de contrats pour les deux accords. Cette vérification des faits met en lumière – quasiment noir sur blanc – ce que l’OMS négocie actuellement à huis clos.
Vérification de faits n°1 : La souveraineté des États membres

Exigence de la CDU/CSU : « En outre, il faut s’assurer que la mise en œuvre de l’accord se fasse en accord avec les politiques nationales de santé des États membres et que les droits de souveraineté nationaux soient pleinement préservés. »

Fait 1 : Le passage « en tenant compte des vues de l’État Partie concerné » est supprimé à l’article 10.4 du nouveau RSI !

Fait 2 : Le terme « non contraignant » est supprimé à plusieurs reprises dans l’article 1.1 du nouveau RSI !

Texte de l’actuel projet de l’OMS : « Les États Parties reconnaissent l’OMS comme autorité directrice et coordinatrice de l’action internationale en matière de santé publique en cas d’urgence de santé publique de portée internationale et s’engagent à suivre les recommandations de l’OMS dans leur action internationale en matière de santé publique. » (RSI, 13A-1)

Fait 3 : Par le nouvel article 13A-1, les 194 États membres s’engagent à suivre les recommandations de l’OMS ! Ces projets de traités dictatoriaux sont scandaleux et dévoilent les véritables intentions de l’OMS ! L’OMS n’est pas une organisation digne de confiance — même si, en raison de la pression internationale de plus en plus forte, elle devait encore édulcorer les projets à la dernière minute !

Analyse : Comme avec un scalpel, l’OMS « castre » les États membres ! En supprimant ou en ajoutant quelques mots, elle supprime leur souveraineté et s’habilite elle-même ! Les recommandations non contraignantes qui existaient jusqu’à présent deviennent ainsi des directives d’action obligatoires en droit international !
Vérification de faits n°2: La déclaration de l’état de pandémie

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traité de pandémie - OMS

The DefenderOMS : Une lettre trompeuse appelle à soutenir le traité sur les pandémies

The Defender - 01 avr 2024

Une lettre trompeuse appelle à soutenir le traité sur les pandémies, alors que la Louisiane devient le premier État américain à rejeter la prise de pouvoir de l’OMS.

   

Plus de 100 anciens dirigeants mondiaux et personnalités publiques exhortent les États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à finaliser un nouvel “accord sur les pandémies” à temps pour la 77e Assemblée mondiale de la santé, qui se tiendra à Genève, en Suisse, du 27 mai au 1er juin.

Dans une lettre ouverte datée du 20 mars, les dirigeants ont écrit :

“Un accord sur la pandémie est essentiel pour préserver notre avenir collectif. Seul un pacte mondial solide sur les pandémies peut protéger les générations futures d’une répétition de la crise du Covid-19, qui a fait des millions de morts et causé une dévastation sociale et économique généralisée”.

Les détracteurs du projet d’accord sur la pandémie ont déclaré au Défenseur que la lettre est trompeuse car elle traite du projet d’accord, ou “traité sur la pandémie”, mais ne fait pas référence aux amendements au Règlement sanitaire international (2005 ) (RSI).

Les modifications du RSI, proposées en 2023, sont négociées en même temps que l’accord. Les détracteurs de la lettre ont déclaré qu’elle visait à détourner l’attention de ce qu’ils considèrent comme les propositions les plus onéreuses contenues dans les amendements au RSI.

Le Dr David Bell, médecin de santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund, a déclaré au Défenseur que la lettre était “tout à fait honteuse” et “trompeuse”.

M. Bell a déclaré :

“La lettre suit l’exemple du directeur général qui trompe le public en affirmant, à juste titre, que l’accord sur la pandémie ne comprend pas de dispositions qui transfèrent l’autorité des pays à l’OMS, alors que ces dispositions figurent dans les amendements proposés au RSI qui accompagnent l’accord sur la pandémie.

“Les amendements proposés au RSI mentionnent spécifiquement la fermeture des frontières, la vaccination obligatoire et d’autres mesures aujourd’hui associées à l’enfermement. Ils mentionnent expressément que des documents sont nécessaires pour franchir les frontières et citent les passeports numériques comme l’une des solutions possibles.

L’avocate néerlandaise Meike Terhorst a déclaré au Defender que la lettre ouverte “ne fait référence à l’accord sur la pandémie que pour semer la confusion”.

“Le véritable enjeu se trouve dans les amendements au RSI, car sur la base de ces amendements, le directeur général de l’OMS devrait obtenir des pouvoirs législatifs et exécutifs indépendants, alors que tout contrôle juridique est rendu impossible”, a déclaré Mme Terhorst. “Le secret qui entoure les projets laisse penser qu’il s’agit d’un coup d’État.

Les négociations sont-elles en difficulté ?

Certains critiques ont suggéré que la lettre ouverte pourrait être un signe que les négociations pour l’accord sur la pandémie sont en train d’échouer.

“Aucun des deux documents ne fait l’objet d’un consensus entre les États membres”, a déclaré Shabnam Palesa Mohamed, directrice exécutive de Children’s Health Defense (CHD) Africa et fondatrice de Transformative Health Justice. “À huit semaines de l’Assemblée mondiale de la santé, l’OMS craint manifestement que l’accord ne déraille.

Le BMJ rapporte que “peu de progrès” ont été réalisés sur le projet d’accord sur la pandémie, et que la renonciation à la propriété intellectuelle “reste un point d’achoppement pour les nations membres qui sont à couteaux tirés dans les discussions”.

“Les partisans de l’accord craignent que le projet final ne soit édulcoré lors des négociations et qu’une formulation plus faible n’aboutisse à recommander aux pays de prendre certaines mesures plutôt qu’à les y contraindre en vertu du droit international”, selon The BMJ.

D’autres ont fait état d’une opposition mondiale croissante à l’accord proposé et aux modifications du RSI. L’Iran, la Nouvelle-Zélande, la Slovaquie et les Pays-Bas ont récemment rejeté les amendements au RSI proposés en 2022, tandis qu’en Afrique du Sud, un “projet de loi de retrait de l’OMS” a été proposé.

Aux États-Unis, le Sénat de Louisiane a voté à l’unanimité, le 26 mars, contre l’idée de permettre à l’OMS, aux Nations unies et au Forum économique mondial d’exercer une quelconque influence sur l’État de Louisiane.

“Le fait que tous les démocrates aient voté en sa faveur montre à quel point ce sentiment est populaire auprès de leurs électeurs”, a déclaré le président de la Commission européenne. Le Dr Meryl Nass, interniste et fondatrice de l’association Door to Freedom, “je pense que cela envoie un message aux politiciens du monde entier : favoriser l’OMS s’accompagnera d’un coût politique important”.

L’accord sur les pandémies ne menace pas la souveraineté, mais les amendements au RSI la menacent

Le journaliste indépendant James Roguski a déclaré à The Defender que la lettre des dirigeants mondiaux à l’OMS est “en grande partie correcte”, car l’accord proposé sur la pandémie n’est pas une “attaque contre la souveraineté nationale”.

Cependant, M. Roguski et le Dr Kat Lindley, présidente du Global Health Project et directrice du Global COVID Summit, ont souligné que les amendements au RSI constituent une menace pour la souveraineté des nations.

Selon Mme Lindley, les amendements au RSI feront de l’OMS “l’autorité mondiale en matière de santé dans l’éventualité de nouvelles pandémies, dont ils pensent clairement qu’elles se produiront encore et encore” et pourraient ouvrir la voie à “de futurs mandats de vaccination et à l’imposition de laissez-passer numériques pour la santé“.

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atelier constituant

France SoirFace au danger du traité de pandémie de l’OMS, les citoyens s’organisent

France Soir - 23 mar 2024

Dimanche 10 mars, rencontre avec Corinne Lalo et Etienne Chouard, à l’occasion d’une conférence-débat dans la commune de Massy (Essonne).

   

Une journée pour évoquer le traité de l’Organisation mondiale de la Santé qui prévoit de nouvelles dispositions pour les prochaines crises pandémiques. A la fin de la conférence, et à l’initiative de Martin Loizillon, par petit groupes, les participants ont échangé sur les divers sujets de société liés au projet politique de l’OMS.

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Suisse retour du pass sanitaire

Réseau InternationalSuisse : Instauration du régime de surveillance de « la santé mondiale »

Réseau International - 12 mar 2024

Suisse : La révision de la loi sur les épidémies instaure le régime de surveillance de «la santé mondiale». Des professionnels et des citoyens inquiets appellent à répondre à la consultation sur le projet avant le 22 mars.

   

Le 29 novembre 2023, le Conseil fédéral a ouvert la procédure de consultation relative à la révision partielle de la loi sur les épidémies. Peu débattu, le projet introduit pourtant des changements fondamentaux en faisant passer les mesures d’exception de la loi Covid dans le droit ordinaire. Avec les certificats de vaccination, le dépistage, le traçage et d’autres interventions controversées, la loi confirme le passage de la surveillance des maladies à la surveillance des personnes.

Elle opère aussi un transfert d’autorité à l’OMS dans le cadre du «traité» sur les pandémies et des amendements au Règlement sanitaire international, dont les textes ne seront communiqués qu’à la veille du vote lors de la prochaine Assemblée mondiale de la santé, le 27 mai 2024. «La santé mondiale» évoquée dans la loi viendrait discrètement supplanter les politiques nationales et les droits constitutionnels, qui garantissent la liberté du choix des patients et la pluralité des approches thérapeutiques. C’est pourquoi de nombreux citoyens lancent l’alerte en invitant la population et les parties concernées à réagir avant qu’il ne soit trop tard.
Nouvelles atteintes aux libertés

La nouvelle version de la loi sur les épidémies semble bétonner dans la loi les mesures prises lors de la crise du Covid, sans se soucier des droits et libertés inscrits dans la Constitution. Le texte énumère une série de menaces potentielles sur la santé publique auxquelles seul un lourd régime de centralisation, de numérisation, de surveillance, et d’obligations semble pouvoir répondre.

Plusieurs dispositions vont plus loin que les contraintes imposées lors de la période Covid. L’on voit par exemple se profiler discrètement les obligations vaccinales, alors qu’elles constituent une violation de l’intégrité physique, un droit fondamental pourtant considéré comme inviolable en Suisse.

Un autre renforcement des mesures concerne la liberté de se réunir (article 22 de la Constitution). L’article 40 de la nouvelle loi entend à présent réglementer de manière plus systématique et restreinte la collecte des coordonnées des personnes, les activités de travail à domicile ou les manifestations dans l’espace public.
Le retour du certificat sanitaire

Sans trop de surprise, le certificat sanitaire fait son retour, malgré l’opposition de près de la moitié des Suisses à son utilisation et le rejet par la population de l’identité numérique. La loi confère au Conseil fédéral la possibilité de définir un document pour entrer et sortir d’un autre pays, et il pourra bien entendu être relié à des systèmes étrangers correspondants. De plus, elle compte y ajouter d’autres données de santé que les médecins, hôpitaux et institutions sanitaires publiques et privées seraient obligées de déclarer.

L’on bascule ainsi de l’actuelle logique de déclaration des maladies à une obligation de déclarer des personnes. L’article 12 prévoit la déclaration «d’informations permettant d’identifier les personnes malades, présumées malades, infectées, présumées infectées ou qui excrètent des agents pathogènes» (lit. a), ainsi que «notamment les données sociodémographiques et relatives aux comportements, y compris les données sur la sphère intime» (lit. c).

Pour le Dr Philippe Vallat, expert indépendant en santé publique, il s’agit d’un véritable changement de paradigme :

«Nous ne serons plus considérés comme malades parce que nous le ressentons ainsi, ou parce qu’un médecin l’aura déterminé, mais administrativement par défaut. Cela établirait un nouveau paradigme médical basé sur une suspicion généralisée, tout un chacun étant a priori «présumé» malade ou infecté. Cela conduirait à la nécessité de devoir prouver qu’on n’est pas contagieux, et donc pas dangereux pour les autres. Comment ? Le projet n’en dit rien, mais l’expérience covidienne du certificat a montré comment un dispositif administratif se basant sur des mesures scientifiquement inadéquates ouvrait la porte à l’arbitraire et à la discrimination».

Dans sa proposition de motion sur le projet de loi, le journaliste Guy Mettan estime lui aussi qu’il s’agit plus d’une mesure de contrôle que d’une intervention de santé :

«L’article 49b prévoit le maintien du certificat sanitaire, établi à l’origine comme moyen d’éviter la propagation du virus, alors que la réalité de la crise Covid a montré qu’il s’agissait d’un document administratif inopérant en matière de santé publique, la vaccination ne prévenant pas la transmission.

L’identité numérique remise sur le métier par le CF, le certificat sanitaire intronisé dans le projet de révision de la loi sur les épidémies et le dossier électronique du patient concourent à l’abolition de la sphère privée et à l’instauration d’un contrôle mondialisé de nos vies».

L’exemple de la Belgique confirme ces hypothèses : les pouvoirs locaux et le fédéral y ont voté le retour du certificat sanitaire en date du 8 février. Ils ont autorisé la remise de ses clés de vérification à l’OMS et prolongé la validité des anciens documents avec effet rétroactif. Officiellement, le certificat sanitaire (Covid Safety Ticket) est à nouveau opérationnel depuis le 1er juillet 2023, date à laquelle l’Union européenne a cédé son système à l’OMS en vue de la constitution d’un certificat numérique mondial.

Le certificat s’inscrira bientôt dans le portefeuille numérique européen qui contiendra d’autres données de santé et sera lié à l’identité numérique européenne et aux données biométriques. D’autres documents administratifs devraient s’y ajouter, par exemples les assurances, le permis de conduire, et fort probablement les données bancaires.
Transferts de pouvoirs

Bien que les principes d’autonomie soient réaffirmés dans les textes, dans la pratique on assiste à une centralisation des pouvoirs autour de la santé. Ainsi, la loi sur les épidémies définit 32 «compétences déléguées» au fédéral, ce qui réduira le pouvoir des cantons à une coquille vide, tout en continuant à payer la moitié de la facture.

Mais c’est surtout, l’atteinte à la souveraineté nationale qui inquiète. On trouve dans la loi une clause de déclenchement par l’OMS de «la situation particulière en Suisse» (art. 6b). Et, selon l’article 12 modifié du RSI, le directeur général de l’OMS, après consultation d’un comité d’urgence, aurait le pouvoir d’annoncer seul et sans possibilité de contestation l’apparition potentielle ou actuelle d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI), notamment une pandémie, et d’en déclarer la fin.

Par ailleurs, la loi semble reprendre des contenus du Traité pandémique CA+ de l’OMS et de la révision du règlement sanitaire international, alors que ceux-ci ne seront connus qu’à l’issue des négociations en cours.

Pour les détracteurs de la loi, la volonté de l’OMS est claire : avec la modification des articles 1, 13a, 42, 53a, 54bis du RSI, toutes les recommandations de l’OMS (par ex : les certificats obligatoires, la quarantaine, les attestations de vaccination ou la constitution de stocks de médicaments) deviendraient contraignantes pour les Etats signataires.

L’OMS étendrait aussi son champ de compétences, en particulier avec des concepts fourre-tout comme «One Health», la notion «une seule santé» grâce à laquelle elle pourrait s’occuper aussi du climat, des animaux, de l’agriculture, de l’éducation ou des transports pour ne citer que quelques domaines concernés.

C’est pareil avec la notion d’«infodémies» et de sa stratégie de «la lutte contre la désinformation». L’organisation semble vouloir se transformer en «ministère de la vérité scientifique», avec ses campagnes de censure et de propagande. Elle compte obliger les États à combattre les sources de «désinformation» et leurs auteurs dans les divers médias et sur les réseaux sociaux.

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que dire de la santé numérique

Réseau InternationalLa santé numérique

Réseau International - 04 mar 2024

Partant de la définition de l’OMS que «la santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité», comment peut-on la réduire à une dimension numérique ?

   

L’être humain étant un micro-univers complexe, comment peut-on vouloir le résumer en un dossier électronique du patient (DEP) ?

En réalité, il ne s’agit pas d’abord de mieux soigner les patients mais le digital a un rôle clé à jouer pour limiter l’augmentation des coûts de la santé1. Par conséquent, c’est l’atout sur lequel mise la Confédération : Une rallonge de 30 millions est sur la table.2. Ainsi, le gouvernement veut faire entrer de force le DEP alors «qu’il n’en finit pas de décevoir. La population le boude (30 000 personnes seulement avaient franchi le pas fin 2023) et les professionnels de la santé le critiquent vertement». Au lieu d’étudier les causes de ce désintéressement, le Parlement veut intervenir puissamment, obnubilé par la «numérisation de la santé» alors qu’il s’agit en réalité de contenir les coûts de l’assurance maladie obligatoire.

Il y a donc un déséquilibre patent de la balance entre le gouvernement animé par une stratégie politico-économico-juridique et par la population accompagnée par les professionnels de la santé.

Il est frappant de constater que les humains et les soignants sont concernés par le processus vivant du corps alors que les dirigeants se focalisent sur la dynamique financière. Il semblerait qu’il y ait un fossé entre les deux, même si des passerelles traversent un tant soit peu ce fossé.

Le premier concerné par son état de santé est l’individu (au sens d’être non divisé). Il est le premier concerné par ce qu’il vit. Au lieu de le soutenir pour garder au mieux sa souveraineté sur lui-même, le système politico-assécurologique veut tout prendre en main selon des critères qui s’appuient sur des éléments scientifiques, extraits limités d’une vision scientifique globale.

«À l’avenir, tous les professionnels de la santé devront utiliser le dossier électronique du patient, aussi bien à l’hôpital que dans les cabinets médicaux ou les pharmacies».

Un rapport très détaillé de 59 pages a été fourni par le Conseil d’État du Canton de Neuchâtel déjà en 2017. J’en relève (p.42) le chapitre concernant les conséquences sur le personnel et son budget de mise en œuvre (3 millions) qui illustre bien sa complexité sur plusieurs plans. Le Conseil d’État sera en mesure de répondre aux exigences de la LDEP à court terme mais aussi de garantir l’utilité et l’utilisation de la cybersanté (voilà encore un terme qui laisse songeur) en général, du DEP dans le long terme, et donc d’assurer la réussite de la démarche qu’il a initiée, en termes de santé publique, mais aussi financiers. À défaut, les risques d’échec sont importants et leurs conséquences sont potentiellement graves.3

Que penser de la somme de la rallonge de 30 millions ? Une réflexion nous vient d’un parlementaire évaluant d’une façon très pertinente la santé du DEP : «Il estime que le DEP est un patient aux soins intensifs à qui on va mettre une perfusion de 30 millions alors qu’on ne sait toujours pas de quoi il souffre».

Sur quoi se basent-ils pour estimer la réussite de la démarche en termes de santé publique ?

Nous venons de vivre 3 ans de covidémie où les bilans actuels montrent à quel point les mesures sanitaires imposées par le gouvernement ont eu des conséquences néfastes sur plusieurs plans, que ce soit suite au confinement, aux tests PCR, au port du masque et aux injections géniques présentées comme des vaccins de plus encore en phase d’essai. Le tout pour des coûts pharamineux !

Un médecin expose un bilan honnête : L’ancien Monsieur Corona suisse : «nous sommes allés trop loin»4. Ce qui est frappant, c’est qu’ils ont eu audace de le faire sans tenir compte de divers avertissements.

Pour sa part, l‘autorité de contrôle des produits thérapeutiques Swissmedic a reçu de nombreuses déclarations d’effets indésirables liés aux vaccins anti-coronavirus : «16 000 rapports d’effets secondaires indésirables reçus».5

Alors qu’ils ont misé avec les injections géniques – dont une bonne partie est maintenant périmée donc détruites et dispendieuses. Quelque 9 millions de doses sont concernées6 – ont-ils vraiment la juste inspiration pour miser autant sur le DEP…? Évidemment, il est plus aisé de viser la santé numérique que la santé humaine, vibrante, constamment mobile et en recherche perpétuelle d’harmonie… !

Il est dans la dynamique actuelle que la présidente de la direction générale de la CSS décrète : «le digital a un rôle clé à jouer pour limiter l’augmentation des coûts de la santé. Plus rapide, précise et personnalisée, la santé numérique doit progresser en Suisse, notamment sous l’impulsion des assureurs»7. Évidemment, porteuse d’un bagage d’avocate puis d’études de finances et de comptabilité suivies d’études à la London Business School, elle a forcément une vue depuis le piédestal ainsi constitué.

Elle estime aussi que tous les acteurs de santé doivent travailler ensemble. Car une des valeurs ajoutées du numérique, c’est l’interconnexion. Et pourtant, le temps passé à remplir les rubriques d’un programme informatique est du temps retiré aux contacts humains entre les confrères, contacts sources de formation et d’informations qui ne passeront jamais par un écran et dont la subtilité peut conduire à des découvertes particulières et productives.

Elle pense aussi aux réseaux de soins intégrés qui améliorent la coordination entre praticiens et leur donnent une visibilité complète de l’historique du patient. Elle ne tient pas compte de tout ce qui peut échapper en limitant l’écoute des patients qui ne reçoivent plus le temps nécessaire dans une dynamique numérisée au maximum) tout en évitant les doublons, les délais et les consultations inutiles (ce qui est une réalité très pratique mais à laquelle est-il judicieux de donner autant de place ?).

Une question originale : «Dossier du patient : utile ou «cimetière à PDF» ?8

En revanche, un être humain se développe en fonction de ses différents corps, lesquels obéissent à des lois distinctes tout en étant tous interconnectés. De la sorte, quand un problème de santé se présente, il révèle la perturbation de déviations plus étendues et plus profondes qui évoluent au fil du temps et des expériences existentielles. Le dossier qui peut le mieux révéler son état doit être mobile, dynamique et présenter les corrélations en cours alors qu’un dossier électronique ne saura jamais mettre en évidence les différentes dimensions du conflit énergétique sous-jacent dans l’instant présent.

Il n’est pas anodin que dans la pratique médicale, on évoque la médecine préventive versus la médecine pratique. Il n’y a très peu voire pas de place pour la médecine précoce. Pourtant, les premiers symptômes se manifestent au niveau énergétique et psychoaffectif. Beaucoup l’ont déjà compris en s’adressant à de nombreuses thérapies telles que la médecine traditionnelle chinoise, l’homéopathie, l’ostéopathie, la réflexologie ou d’autres encore.

Ainsi, quand les problèmes de santé ne se sont pas encore ancrés dans le corps au niveau cellulaire, ou alors que des moyens techniques ont résolu des situations d’urgence, il est indispensable de chercher à rétablir les circuits énergétiques qui animent l’organisme. Il ne suffit pas de dire au patient «c’est dans votre tête» ou encore de «gommer» les symptômes avec des comprimés (chasser le naturel, il revient au galop!)

Alors que ces thérapies énergétiques – médecines dites complémentaires et qui peuvent être franchement alternatives – répondent dans bien des cas précocement aux besoins des santé, il n’est pas logique que les habitants doivent payer une assurance de médecine complémentaire, ce que beaucoup ne peuvent pas se permettre. Ils doivent alors attendre que la maladie s’installe davantage dans leur quotidien pour que les traitements soient remboursés par les assurances maladie.

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maladie X

Réseau InternationalLe WEF et l’OMS annoncent la menace de la «maladie X»

Réseau International - 15 jan 2024

La dernière ligne droite pour le traité sur les pandémies et la «solution finale» de Bill Gates.

   

La réunion annuelle du Forum économique mondial (WEF) débutera la semaine prochaine à Davos, où leurs homologues non élus du secteur de la santé occuperont le devant de la scène pour mettre en garde contre un virus inexistant qui, selon eux, pourrait être vingt fois plus grave que le COVID. Les représentants non élus du WEF et de l’OMS préparent la «maladie X» en vue de la conclusion d’un traité sur les pandémies et unissent leurs forces pour persuader les dirigeants mondiaux de renoncer à leur souveraineté en prévision d’un virus inexistant qui, selon eux, «pourrait entraîner vingt fois plus de décès que la pandémie de coronavirus».

Serait-ce la «pandémie qui attirera l’attention de tout le monde» dont Bill Gates nous a joyeusement prévenus et le moment où la «solution finale» de Bill Gates sera mise en place ?
Se préparer à la maladie X, une fois de plus

Le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Ghebreyesus, partagera la scène le 17 janvier avec Shyam Bishen, membre du comité exécutif du Forum économique mondial (WEF), qui se préparent à participer à un forum intitulé «Se préparer à la maladie X».

Cependant, nous savons que l’équipe du NWO se prépare à terroriser les masses avec la «maladie X» depuis un certain temps et l’Expose a rapporté au début du mois d’août 2023 que les scientifiques britanniques avaient déjà commencé à développer des vaccins comme «assurance» contre une nouvelle pandémie causée par une «maladie X» inconnue.

La maladie X est un nom générique utilisé par l’OMS pour décrire une maladie qui est encore «inconnue de la science médicale en tant que cause d’infections humaines» et qui n’est même pas sûre d’être présentée comme un virus, une bactérie, un champignon ou un autre agent. Néanmoins, l’OMS a essayé de nous alerter sur une «épidémie surprise et inconnue» qui, selon elle, «pourrait se propager dans le monde entier en seulement 36 heures, tuant jusqu’à 80 millions de personnes».
Le centre de recherche sur les vaccins

La maladie X, bien qu’elle soit «non identifiée», aurait été préparée par une équipe de plus de 200 scientifiques du centre gouvernemental de haute sécurité de Porton Down, au Royaume-Uni. Ce centre est géré par l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni, qui a «établi» ce qu’elle appelle «une liste de menaces de virus animaux capables d’infecter l’homme». (source).

Selon l’Independent, les scientifiques travaillent pour «s’assurer que les futures pandémies soient stoppées dans leur élan et ne provoquent pas les mêmes perturbations dans la vie quotidienne que le «Covid-19»». On espère que l’installation aidera le Royaume-Uni à s’attaquer à la «maladie X» en améliorant la préparation aux agents pathogènes à potentiel pandémique qui n’ont pas encore été identifiés.
La plaquette d’ARNm

D’autres préparatifs en vue de la «maladie X» ont également eu lieu grâce au financement de la Fondation Bill & Melinda Gates, qui a aidé la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) à investir 1,2 million de dollars dans une entreprise en démarrage avec Jurata Thin Film Inc. pour créer des plaquettes de vaccin sous la langue pour des vaccins sans aiguille. La mission du CEPI est de financer le développement de «plates-formes de réponse rapide pour développer des vaccins contre la «maladie X»».

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Cutting of the head of the snake

Profession GendarmeCouper la tête du serpent

Profession Gendarme - 31 oct 2023

Cette vidéo a été publiée en anglais le 19 octobre 2023 sur le compte X de Pascal NAJADI qui a été fermé définitivement le 26 octobre 2023 pour « non respect des règles de X ».

   

Pour Profession Gendarme, qui suit cet ex banquier Suisse depuis son entrée en résistance, il ne fait aucun doute que cette vidéo visant tous les malfaisants installés à Genève a provoqué la fermeture de son compte.

Nous vous laissons apprécier le contenu non équivoque de son message.

La belle Genève a une partie sombre. L’ombre du démon y règne.

Jugez plutôt...

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Novak Djokovic au poste de directeur de l’Organisation mondiale de la santé

Aube DigitaleNovak Djokovic au poste de directeur de l’Organisation mondiale de la santé

Aube Digitale - 15 sep 2023

Une myriade de messages sur X, anciennement Twitter, ont souligné le 10 septembre en fin de journée le 24e titre du Grand Chelem remporté par Novak Djokovic (36 ans !).

   

L’extension de son propre record chez les hommes – Margaret Court en a gagné autant à l’époque où le tennis était comme le Tiddlywinks au jeu d’aujourd’hui – a été accomplie devant des panneaux de Moderna Inc, le fabricant des vaccins contre le COVID-19 et l’un des principaux annonceurs de l’U.S. Open de cette année.

Pourtant, comme le monde entier le sait, le plus grand joueur de tennis de tous les temps – et sans doute l’un des plus grands athlètes de tous les temps – a renoncé aux vaccins contre le COVID-19 proposés, même si cela signifiait qu’il serait interdit de participer à de nombreux tournois, dont il aurait été la tête de série numéro 1.

Il a également été banni des États-Unis et de l’Australie.

Imaginez ce que seraient ses statistiques s’il n’en avait pas été ainsi. Elles sont déjà incroyables.

Au lieu de se faire piquer, il a suivi un régime alimentaire et un programme d’exercices rigoureux que peu d’entre nous pourraient imiter. Je sais que je ne le pourrais pas.

Les résultats, cependant, parlent d’eux-mêmes, y compris, sous peu, un nombre inouï de 400 semaines à la première place mondiale.

Djoker, comme on l’appelle, est aussi un homme intelligent qui parle plusieurs langues.

J’ai donc une proposition qui n’est pas si modeste. Pourquoi ne pas faire de Novak le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé ?

Il ferait certainement un meilleur travail que le titulaire communiste objectivement pro-chinois qui traîne derrière lui toutes sortes d’erreurs d’appréciation et de déclarations erronées liées au COVID-19.

Au lieu de diktats venant d’en haut, nous aurions un exemple réel d’excellence physique pour nous refléter et nous inspirer.

Qu’est-ce qui serait mieux pour l’humanité en moyenne : être une race de gens qui ne consomment pas de gluten, qui sont pescatariens et qui font de l’exercice tous les jours, ou une race qui prend des doses de rappel anti COVID tous les ans ou tous les six mois sur les conseils de quelques étatistes totalitaires qui prétendent avoir une expertise médicale ?

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OMS : vaccination de masse

Réseau InternationalOMS : Une vaccination de masse pour lutter contre les effets du changement climatique

Réseau International - 08 sep 2023

De plus en plus loin dans le délire mondialiste ubuesque des pandémies infinies… Tous les moyens sont bons pour injecter le bétail humain, le domestiquer et le faire disparaître !

   

L’OMS a annoncé la nécessité d’une vaccination de masse pour lutter contre les effets du changement climatique». Pour lutter contre le changement climatique, y compris la «menace de propagation de maladies par les moustiques migrant vers de nouvelles régions», une nouvelle vaccination de masse sera bientôt nécessaire, selon l’organisation.

Ces commentaires ont été faits par le Dr Maria Van Kerkhove, directrice technique de la réponse OMS au Covid-19. L’information a été annoncée lors d’une récente conférence de presse à laquelle a participé le chef de l’OMS, Tedros Ghebreyesus. Van Kerkhove a déclaré que les pays doivent «se préparer médicalement au changement climatique en surveillant l’évolution des effets secondaires (dus au «réchauffement climatique»)». Nous notons également un article récent du Spiegel allemand selon lequel «les pharmaciens allemands s’attendent à une campagne de vaccination intensive à l’automne prochain».

Culture de la peur, qui induit la soumission !

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2023. Entretien A. Bilheran et O. Soulier sur Philosophie et Médecine

Ariane Bilheran Officiel2023. Entretien A. Bilheran et O. Soulier sur Philosophie et Médecine

Ariane Bilheran Officiel - 16 juil 2023

Hommage à Olivier Soulier

   

Pour Tribune Libre, le 6 mai 2023, Stéphanie Reynaud interviewe Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, conférencière et écrivain, et Olivier Soulier, docteur en médecine, médecin homéopathe, acupuncteur, chercheur et conférencier : ensemble, ils nous parlent du rapport entre médecine et philosophie, des techniques de manipulation des masses, de la dissonance cognitive, de la censure, de la propagande, de l’OMS et autres organismes supranationaux, des projets mondialistes, de l’effondrement de l’Occident, du contrat social de plus en plus malmené depuis quelques années et de tous les signes avant-coureurs d’un totalitarisme qui, insidieusement, est mis en place en France.

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Pass mondial - OMS

France SoirL'OMS voudrait lancer un "pass sanitaire mondial" basé sur le modèle européen

France Soir - 10 juin 2023

On parle déjà d'un partenariat "historique" entre l'OMS et la Commission européenne, signé lundi 5 juin à Genève.

   

L'on parle déjà d'un partenariat "historique" entre l'OMS et la Commission européenne, signé lundi 5 juin à Genève. Une "initiative historique pour renforcer la sécurité sanitaire mondiale", d'après leur propre communiqué.

Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, déclarait lors de la cérémonie de signature : "La pandémie de Covid-19 a montré l'importance des solutions de santé numérique pour faciliter l'accès aux services de santé". Ainsi, il veut faire du pass européen un "bien public mondial".

Ce futur système de certification numérique mondiale devrait, comme le rapporte l'AFP, "contribuer à faciliter la mobilité et à protéger les citoyens du monde entier contre les menaces actuelles et futures pour la santé, y compris pandémies". Or, il ne s'agirait que d'un premier élément.

À plus long terme, le projet n'est ni plus ni moins qu'un réseau mondial de certification sanitaire numérique de l'OMS, qui doit mettre au point "un large éventail de produits numériques pour améliorer la santé de tous". Là, s'ajoute au pass sanitaire le carnet de vaccination numérique.

"Restreindre les libertés individuelles" pour lutter contre les pandémies à venir, c'était déjà le plan affiché par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

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OMS et fausse pandémie

MondialisationOMS et Fausse Pandémie !

Mondialisation - 07 juin 2023

Il n’y a plus de doute, la nouvelle offensive de l’OMS est déclenchée.

   

En prévision d’une déclaration prochaine pour une nouvelle fausse pandémie, il était nécessaire de neutraliser les trouble-fête désormais identifiés à l’occasion de la première fausse pandémie à but essentiellement génocidaire. La chasse aux sorciers et aux sorcières était officiellement ouverte contre les Pr Didier Raoult, les Alexandra Henrion-Caude, les Pr Christian Perronne, les Dr Louis Fouché, les Dr Nicole et Gérard Delépine, les Jean-Marc Sabatier, les Pierre Chaillot, les Michel Jean-Dominique et tous les autres qui ont été la voix de l’honnêteté médicale et scientifique.

Des cohortes de fonctionnaires disciplinés et nécessairement décérébrés allaient ainsi débarquer à l’IHU de Marseille avec tambours et trompettes pour une « perquisition » spectaculaire à grand renfort de propagandes sur les médias inféodés au système. Il fallait d’urgence traîner dans la boue, la réputation du Pr Didier Raoult, déployer à tout prix la diffamation, décrédibiliser pour de bon la parole dissidente de ce scientifique et de tous ceux qui le soutiennent, car la proclamation imminente d’une nouvelle fausse pandémie devait obtenir cette fois-ci le résultat escompté.

Pour le programme génocidaire de l’OMS, il n’était plus acceptable que des gens comme Didier Raoult puissent encore avoir le droit à la parole et qu’ils puissent une nouvelle fois être à l’origine d’une résistance qui a empêché les salauds, les ordures et les pervers au pouvoir, d’obtenir ce qu’ils voulaient : un génocide suffisant, satisfaisant, efficace sur les populations maintenues dans un dressage et la croyance au narratif innocent de l’Agenda 2030 (programme pour la dépopulation)…

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