La mission de l’entreprise résulte naturellement de son seul objet social
Il faut commencer par préciser que donner « une mission » à l’entreprise n’est en rien une innovation par rapport à l’existence de l’objet social. En effet, c’est l’objet social qui explique la mission de l’entreprise, point n’est besoin de rajouter d’autres missions ; sauf, bien sûr, à poursuivre un objectif politique qui n’a rien à voir avec l’organisation libre et honnête de l’économie via le concept d’entreprise.
Cette nouvelle « mission de l’entreprise » est en réalité une contrainte règlementaire supplémentaire destinée à peser sur les entrepreneurs – qui n’en peuvent déjà plus avec toutes celles existantes. Afin de ne pas apparaître pour ce qu’elle est, cette nouvelle contrainte se déploie sur la base du volontariat, tout au moins dans un premier temps, en période de test.
Ne doutons pas, que ce volontariat sera, un jour, transformé en forme juridique obligatoire afin de répondre, sous prétexte de changement climatique, à l’objectif écologique dit « zéro carbone », largement véhiculé au niveau mondial par des organismes tels que le GIEC, la COP 21, l’ONU et Davos.
Infiltration du droit anglo-saxon dans les pays de droit continental
Lorsque l’on a longtemps travaillé sur les méthodes d’infiltration du droit commercialo-maritime anglo-saxon dans notre droit traditionnel, il est aisé de détecter la méthodologie que les anglo-saxons appellent improprement soft law. Improprement car, si l’apparence première se présente comme étant soft – comprendre non obligatoire – le résultat final ne l’est jamais : nous sommes au contraire bien dans le dur, ou hard law.
En l’occurrence, avec la « société à mission » nous sommes dans une phase intermédiaire de droit positif facultatif autrement dit de hard law facultative… la créativité règlementaire des dominants économiques n’a décidément aucune limite.
Origine impérialiste et globaliste du droit commercialo-maritime anglo-saxon
Ce droit commercialo-maritime, fut élaboré pour les besoins de la cause impérialiste développée par Olivier Cromwell ; il fut entièrement ab initio sous le contrôle financier de la City of London.
Ce type de « droit » s’est largement répandu au niveau international, via de nombreuses institutions ad hoc. Parmi ces institutions, « la compagnie des Indes » britannique occupe une place à part : celle d’élaborer un modèle de développement extraterritorial de l’État financier britannique. Ce schéma se retrouve aujourd’hui dans le « Forum économique mondial » (FEM) qui se réunit régulièrement à Davos. Ce « FEM » n’est rien d’autre que la synthèse mondiale des « chambres de commerces internationales » agissant sous la direction de la Haute finance britannique.
Cette entité particulière, le FEM, a pour objectif de réaliser l’accaparement généralisé des richesses. Ses modes d’expression traditionnels sont le génocide et l’esclavage, sur le modèle précis de ce que furent les Compagnies des Indes, particulièrement les compagnies britannique et hollandaise ; lesquelles se sont historiquement développées autour de ce qu’il est aujourd’hui convenu d’appeler le « partenariat public-privé » (PPP).
Itzel Marie Diaz a reçu Agnès Naudin, capitaine de police, porte-parole du syndicat FSU intérieur, co-auteur de « Police: la loi de l’omerta ». Une lanceuse d’alerte actuellement dans le viseur de la justice qui l’accuse de violation du secret professionnel.
«Nous ne sommes plus une police républicaine, mais un bras armé du gouvernement»
À Polytechnique, dans l’Essonne, durant la cérémonie du 24 juin 2022, plusieurs diplômé·es invitent étudiant·es et anciens à « amorcer un virage radical » et à « construire un avenir différent de celui qui semble tout tracé aujourd’hui ».
« Il est urgent de sortir des rails sur lesquels nous installent insidieusement notre diplôme et notre réseau. Car tenter de résoudre à la marge des problèmes sans jamais remettre en cause les postulats mêmes du système dans lequel nous vivons ne suffira pas », expliquaient les diplômé·es de la plus prestigieuse des écoles d’ingénieurs françaises.
« On ne croit pas qu’on va changer les grandes entreprises de l’intérieur », résume Johanna. Car le profit fait partie de l’ADN de l’entreprise. » « Nous espérions - ne serait-ce qu’un peu - détourner, réformer, humaniser nos industries, nos employeurs, nos postes. En vain », écrivent également les auteurs et autrice du manifeste « Vous n’êtes pas seul·es ».
Les trois fondateurs de ce collectif – Jérémy Désir, cadre chez HSBC en finance de marché, Mathilde Wateau en logistique humanitaire au Programme alimentaire mondial, et Romain Boucher en big data – ont démissionné publiquement afin de lancer l’alerte sur les nuisances de leur secteur respectif.
Le géant technologique Microsoft a déjà licencié un nombre incroyable de 10 000 travailleurs, après avoir investi massivement dans un nouvel outil d’IA, ChatGPT. Ce « chatbot » peut produire des textes de qualité humaine, comme rédiger des essais et de la poésie, et a déjà passé avec succès plusieurs tests de niveau professionnel, notamment des examens de droit et des modules de MBA.
Bien que le robot ne soit pas encore aussi performant que les professionnels les plus avancés, on prévoit qu’il réduira bientôt l’écart – puis le dépassera, rendant effectivement la main-d’œuvre humaine excédentaire dans de nombreux secteurs lucratifs.
D’ores et déjà, les rédacteurs professionnels (ceux qui composent le texte pour le monde des affaires et du commerce) sont confrontés à une panique générale dans la mesure où l’IA est capable de produire des textes originaux et frais qui sont pratiquement impossibles à distinguer de ceux produits par un humain – et ce, à un coût nul. Dans un article du Guardian, Henry Williams, rédacteur publicitaire de premier plan, déclare sans détour : « Je suis rédacteur publicitaire. Je suis presque sûr que l’intelligence artificielle va me prendre mon travail ».
Williams observe qu’un article qui lui prendrait des heures de recherche, de rédaction et de reformulation, et d’édition, peut être produit par l’IA « en 30 secondes environ » – et que ce qu’il facturerait environ 500 £, l’IA le fait gratuitement. Il est donc inévitable qu’au cours de la prochaine décennie, l’IA aura complètement submergé ce secteur. Comme le dit Williams :
« Tout attachement sentimental au contenu créé par l’homme sera certainement rapidement annulé, je le soupçonne, par l’argument économique. Après tout, l’IA est une main-d’œuvre super rapide qui ne mange pas, ne dort pas, ne se plaint pas et ne prend pas de vacances ».
Rien de tout cela, bien sûr, n’est une nouvelle révolutionnaire pour quiconque a analysé les facteurs à l’origine de la pandémie mise en scène ces trois dernières années – en bref, l’illusion d’une « pandémie mortelle » a été fabriquée par des producteurs de théâtre de classe mondiale afin d’inciter les gens à prendre une injection dangereuse qui raccourcirait considérablement leur vie. La raison en est que les ingénieurs sociaux souhaitent se débarrasser de la plupart des êtres humains, puisque, avec les progrès de l’IA, leur travail n’est plus nécessaire.
C’est aussi simple et aussi monstrueusement maléfique que cela, et si les gens sont capables de considérer la situation objectivement, et de se demander pourquoi une classe dirigeante ayant une longue histoire de psychopathie, de guerre et de meurtre sans merci, serait incitée à garder des milliards de personnes dont elle n’a plus « besoin », la vérité crue – et pourtant très simple – devient évidente.
« Google a utilisé des méthodes anticoncurrentielles et illégales pour éliminer, ou réduire drastiquement, toute menace à sa domination sur les technologies utilisées pour la publicité numérique », a fait savoir l’autorité, mardi 24 janvier, dans un document judiciaire transmis à la presse. Le ministère et huit Etats américains, dont la Californie et New York, demandent à la justice de condamner le groupe californien pour infraction au droit de la concurrence, de faire payer à l’entreprise des dommages, et enfin, d’ordonner la cession de ses activités liées à la vente d’espaces publicitaires en ligne.
Il s’agit de la deuxième plainte lancée par le ministère contre le groupe californien depuis l’investiture du président, Joe Biden, il y a deux ans. La première, qui porte sur la domination de son moteur de recherche, doit déboucher sur un procès cette année.
Google a déjà été condamné dans le passé à des amendes pour infraction au droit de la concurrence, notamment par l’Union européenne. Aux Etats-Unis, l’entreprise affronte déjà des poursuites lancées fin 2020 par une coalition d’Etats, emmenée par le Texas. Eux accusent Google d’avoir cherché à évincer toute concurrence en manipulant les ventes aux enchères publicitaires ».
Par les modifications des normes la FAA qui assure la sécurité du transport aérien américain fait prendre de grands risques tant aux personnels qu’aux passagers.
Qu’en est-il de l’Aviation civile en France ?
Un rapport de la FAA admet que les électrocardiogrammes des pilotes ne sont plus normaux. Ce rapport a été caché par la FAA.
Steve Kirsh a publié aujourd’hui un rapport dans lequel il partage des informations très, très inquiétantes sur la santé des Américains et des pilotes qui nous font voler partout dans le monde.
« Après le déploiement du vaccin, la FAA a secrètement élargi la plage de paramètres ECG pour les pilotes afin qu’ils ne soient pas punis. On dirait que le vaxx a causé des dommages cardiaques à au moins 50 millions d’Américains.»
Cette semaine, les élites mondiales qui sont censées s’attaquer aux problèmes du monde, tels que le « changement climatique », au Forum économique mondial de Davos, en Suisse, feront également la fête.
La demande de travailleuses du sexe par les magnats des affaires et les dirigeants du monde entier explose pendant le sommet de cinq jours.
Une escorte nommée « Liana » a déclaré au journal allemand Bild qu’elle s’habillait en tenue d’affaires pour se fondre dans la foule des élites pendant le sommet. Elle a précisé que son client est un Américain qui assiste à la réunion. Elle facture 700 euros par heure et 2 300 euros pour toute la nuit.
Elle met en lumière le « côté obscur de Davos », en expliquant à Bild que la demande de prostituées monte en flèche pendant la réunion. Un service d’escorte a également confirmé que les travailleurs du sexe seraient très occupés cette semaine :
« Les patrons réservent des escortes dans la suite de l’hôtel pour eux-mêmes et leurs employés », a déclaré le gérant d’un service d’escorte au journal suisse 20 Minuten. Le responsable a indiqué aux travailleurs du sexe que leurs services seraient très demandés au cours des prochains jours.
« Psychologiquement, c’est très dur. Nous sommes à bout. » Adrien et Marine devront-ils dire adieu à leurs mobile homes, installés dans leur hangar agricole ? C’est ce qui inquiète les deux maraîchers. Cet été, le maire de Maché, en Vendée, les a mis en demeure sous astreinte de quitter les lieux. Depuis le 8 novembre, le couple doit payer 50 euros par jour d’astreinte. Ils résistent, non sans difficultés.
« Quoi ?! Il y a des milliers de données stockées dans ce vieux bâtiment ?! » Ce chauffeur de bus marseillais n’en revient pas mais tous les jours, et ce depuis des années, il passe à côté d’une ancienne base allemande de sous-marins reconvertie en data center [1].
De l’extérieur, cet édifice de la Seconde guerre mondiale niché dans le port de Marseille ressemble à un immense hangar en béton marron. Nommé MRS3, il est le troisième centre de données implanté par la société Digital Realty France, à Marseille. La société en compte désormais quatre. Peu connue du grand public, cette activité ancrée dans la ville phocéenne la positionne pourtant à la septième place sur l’échelle mondiale des hubs numériques. Elle devrait même se hisser dans le top cinq d’ici l’an prochain.
Nous avons récemment alerté nos lecteurs sur la convocation de soignants suspendus par la police, pour des interrogatoires qui relèvent tous de l’intimidation. Olivier Soulier, fondateur du syndicat Liberté et Santé, fait le point de la situation avec nous et rappelle quelques conseils de précaution à suivre pour éviter d’être piégé. Il nous fait, au passage, quelques révélations ahurissantes.