Une femme ayant survécu au régime communiste chinois brutal a mis en garde le Forum économique mondial et les démocrates américains contre la transformation du pays en une « dictature marxiste prolétarienne ».
« J’ai vécu le régime communiste le plus brutal de Chine », a déclaré Xi Van Fleet. « J’ai été témoin de beaucoup de choses. Et maintenant, je vais vous raconter l’un des moments les plus sombres dont j’ai été témoin. Lorsque l’ancien président des États-Unis a été inculpé et pris en photo dans une prison de Géorgie. »
« Je dois dire que l’Amérique devient rapidement un pays communiste et que notre État de droit a été transformé en dictature prolétarienne », a averti Xi. « Le parti au pouvoir s’en prend à l’opposition politique, et pas seulement au président, mais aussi à des gens comme les activistes. Ils sont maintenant en prison. Ce sont des prisonniers politiques dans ce pays « libre » que sont les États-Unis. »
« Bienvenue dans la Chine de Mao en 2030 »
Cette carte est en vigueur en Belgique, au Portugal et en Suède.
La fraude est impossible à estimer, la raison est la mise en place du crédit social que veulent imposer les banquiers. La prochaine fusion sera identité, médical et financier.
Pour la mise en place de cette future carte, c’est comme le pass vaccinal, une activité sera soumise à condition, comme la monnaie du futur et le porte monnaie électronique qui pourraient avoir une date de péremption.
Si la distinction de genre séduit Gabriel Attal, avec cette nouvelle carte d’identité il va inventer une nouvelle discrimination à l’embauche et mettre fin au secret médical.
Les États-Unis disposent d’un Centre de prévision météorologique spatiale (SWPC) qui fait partie du Service météorologique national américain (NWS), lequel fait lui-même partie de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), basée à Boulder, Colorado. Le dernier ensemble de données publié par la NOAA, « PREDICTED SUNSPOT NUMBER AND RADIO FLUX », semble indiquer un Grand Minimum Solaire « adulte » qui durera des années 2030 à 2040 au moins. Et nous nous dirigeons ainsi vers une nouvelle petite ère glaciaire avec une croissance considérable des glaciers et des calottes glaciaires polaires, ainsi que des hivers et des étés beaucoup plus froids, semblables à la dernière petite ère glaciaire de 1645 à 1715. Le Pasterze, le glacier près de la plus haute montagne d’Autriche, le Grossglockner, ferait plus que doubler son étendue pour atteindre au moins 30 km².
Avril dernier. Les nouvelles paraissent alors favorables. La Haute autorité de santé (HAS) laisse enfin entrevoir la réintégration du personnel soignant, après plus de 500 jours de suspension. Ces catégories de personnels, qui ont refusé dès septembre 2021 de se soumettre à l’obligation vaccinale contre la Covid-19 avec un produit expérimental non éprouvé, l’ont payé durement. Ni salaire, ni accès au chômage, ni autres ressources. Une véritable mise au ban de la société sous une impulsion bien plus politique que scientifique ou médicale. Nous avions interrogé Jean-Louis, photographe, engagé au sein du collectif Les Essentiels, dont le but a été, et demeure, de venir en aide à ces soignants abandonnés, maltraités, démunis. Si nous nous interrogions à l'époque sur la nature et les conditions de ce revirement, Jean-Louis a préféré immédiatement rester plus prudent : "Au risque de jouer les trouble-fêtes, je ne considère pas encore, à ce stade, que la réintégration des soignants soit vraiment une victoire". Sa méfiance s'est-elle avérée être justifiée ?
Gilles Gianni, France-Soir - En avril dernier, de nombreuses personnes se réjouissent de la fin de la suspension des soignants qui ont refusé le vaccin expérimental anti-Covid-19. Pas vous. Lors d’un entretien à France-Soir, vous exprimez même une prudence, voire une méfiance envers cet apparent relâchement. Avez-vous eu raison de rester sur la défensive ?
Jean-Louis, les Essentiels - C’est bien l’une des rares fois où je regrette d’avoir vu juste, car comme je le pressentais ce sont les conditions dans lesquelles s’opère la réintégration qui sont déterminantes. Pour quelques cas isolés elle s’est bien passée, elle leur a permis de souffler, de revivre un peu, mais pour beaucoup le calvaire est loin d’être terminé, il est même plus douloureux que jamais. Il l’est d’autant plus que leur problème est aujourd’hui réglé dans l’esprit de tous, alors que c’est bien souvent le coup de grâce, la mise à mort finale.
« La réintégration c’est pire que la suspension, moi je l’appelle la désintégration. »
Des chercheurs italiens et britanniques ont découvert que, contrairement aux affirmations du gouvernement, les protéines de pointe provenant des vaccins contre la grippe Fauci persistent dans les bras des receveurs pendant au moins six mois après l’injection.
Jusqu’à présent, le narratif officiel est que les protéines de pointe contenues dans les vaccins Covid sont « inoffensives » et restent dans le bras quelques jours. On nous dit que, tout au plus, le corps ne continuera à fabriquer des protéines de pointe pendant une très courte période, en supposant qu’une personne ait acquis la variété d’ARNm.
Nous savons à présent que le corps d’une personne entièrement vaccinée continue à produire indéfiniment des protéines de pointe. Les chercheurs l’ont confirmé, excluant même la possibilité d’une contamination croisée ou d’une infection par une souche de COVID circulant dans la nature.
Pour mener leurs recherches, les scientifiques ont utilisé un test sensible basé sur la spectrométrie de masse, réglé pour rechercher spécifiquement une séquence d’acides aminés qui n’existe que dans la protéine de pointe induite par le vaccin.
Les fabricants automobiles Nissan et Kia ont été mis en cause dans une étude alarmante menée par une organisation de protection de la vie privée en ligne. Selon cette enquête, ces entreprises sont en mesure de recueillir des données sur l'"activité sexuelle" et la "vie sexuelle" de leurs conducteurs, et il est même possible qu'elles envisagent de vendre ces informations à des annonceurs tiers.
Cette collecte inquiétante d’informations personnelles par ces deux constructeurs automobiles leur a valu des notes médiocres de la part de la Fondation Mozilla, l’éditeur du navigateur web Firefox, qui a effectué des vérifications de confidentialité sur 25 marques de voitures. La fondation a déclaré que la plupart des constructeurs automobiles peuvent extraire des informations personnelles sur les conducteurs à partir de diverses sources après que ces derniers aient connecté leurs smartphones aux services connectés du véhicule.
« Cette collecte d’informations est réalisée au moyen d’un réseau de capteurs, de microphones, de caméras et des téléphones, applications et services connectés que vous utilisez dans votre véhicule »
00:00 Bulletin 150
Poutine par lui-même
Géopolitique Profonde
Général Delawarde chez Soloviev
Logios
05:48 Économie
Huawei grave à 7nm
Barclays : Baril à $97 en 2024
Accélération de Force de Sibérie 2
12:10 Politico-diplomatique
Maximilien Krah, catholique et allemand toujours
Roustem Oumerov, güleniste intégral
Rencontre Poutine Erdogan
Vladimir Poutine young leader
21:20 Terrorisme
Occidental terrorist tour aux EAU
Terrorisme à Kherson
Bandero-terrorisme kiévien
25:18 Armement
Destruction d’un CAESAR blindé
Artillerie russe, limite et modernisation
Bombe planante FAB-1500
Destruction d’un Challenger 2
31:43 Considérations militaires générales
Scepticisme médiatique
Offensive kiévienne : 66 000 morts
Mobilisation kiévienne : la rafle
38:18 Carte des opérations militaires
Le bus de 42 pieds, orné des mots “Vax-Unvax – The People’s Study” (Vax-Non-vax: l’Etude par le Peuple) voyagera à travers les États-Unis continentaux au cours de l’année prochaine, recueillant les témoignages de personnes qui ont été blessées ou sont décédées à la suite d’une vaccination – y compris les injections de Covid-19 – ou de protocoles de traitement hospitalier de Covid-19.
Le thème de la tournée est “Les gens plutôt que les profits, la vérité plutôt que les mensonges, le courage plutôt que la peur”. Cette tournée a pour but de dénoncer les dommages causés par les vaccins et de donner la parole à ceux qui ont été censurés et ignorés par les gouvernements, les agences de santé et le système médical.
Cette tournée coïncide avec la sortie du livre “Vax-Unvax: Let the Science Speak” de Robert F. Kennedy Jr, président en congé de la CHD, et de Brian Hooker, Ph.D., directeur principal de la science et de la recherche de la CHD.
Dans ce livre, qui sera disponible le 29 août sur Amazon et Barnes & Noble, Kennedy et Hooker examinent plus de 100 études évaluées par des pairs et analysant les différences de résultats sanitaires entre les populations vaccinées et les populations non vaccinées.
M. Kennedy, qui a fondé le CHD mais qui est en congé pendant qu’il fait campagne pour l’investiture démocrate à la présidence des États-Unis, a assisté au lancement.
L’OMS a annoncé la nécessité d’une vaccination de masse pour lutter contre les effets du changement climatique». Pour lutter contre le changement climatique, y compris la «menace de propagation de maladies par les moustiques migrant vers de nouvelles régions», une nouvelle vaccination de masse sera bientôt nécessaire, selon l’organisation.
Ces commentaires ont été faits par le Dr Maria Van Kerkhove, directrice technique de la réponse OMS au Covid-19. L’information a été annoncée lors d’une récente conférence de presse à laquelle a participé le chef de l’OMS, Tedros Ghebreyesus. Van Kerkhove a déclaré que les pays doivent «se préparer médicalement au changement climatique en surveillant l’évolution des effets secondaires (dus au «réchauffement climatique»)». Nous notons également un article récent du Spiegel allemand selon lequel «les pharmaciens allemands s’attendent à une campagne de vaccination intensive à l’automne prochain».
Culture de la peur, qui induit la soumission !
Le Japon a soudainement admis hier 54 décès supplémentaires dus à des vaccins, portant le total du mois d’août à 63. On dirait qu’un raz-de-marée arrive… 4000 dossiers toujours en cours d’examen. Quelque chose s’est cassé ! Pfizer a-t-il oublié de payer les régulateurs ?
Il y a quelques mois, elle a publié un nouvel ouvrage intitulé Sur le Totalitarisme, Conférences 2021-2022. Un opuscule qui rassemble une série de conférences consacrées au phénomène totalitaire.
Au regard de ses travaux en psychopathologie, Ariane Bilheran considère notamment que le totalitarisme correspond « à un délire paranoïaque », c'est-à-dire « une pathologie de contrôle » et « de persécution » des populations.
Inspirée par les travaux d'Hannah Arendt, Ariane Bilheran souligne que « le système totalitaire est la rencontre entre un pouvoir cynique et corrompu, et une masse d'individus crédules et obéissants ».
D'après la philosophe, le totalitarisme ne peut en effet « se mettre en place sans la collaboration de nombreux individus » séduits par le pacte pervers et les fausses promesses du pouvoir totalitaire.
« L'individu, parce qu'il appartient à un groupe, parce qu'il ne veut pas sortir de cette appartenance, va accepter différentes situations intolérables. »
Une fois pris dans l'engrenage totalitaire, les individus ont d'ailleurs beaucoup de mal à s'en extraire : « À partir du moment où la personne s'est engagée dans des actes, c'est beaucoup plus difficile pour elle de faire machine arrière parce qu'elle a accepté une collaboration et, inconsciemment, il est très compliqué pour elle d'assumer sa propre culpabilité. »
Selon Ariane Bilheran, la lutte contre totalitarisme passe par chaque individu et consiste notamment à sortir des conditionnements collectifs pour reprendre « son pouvoir personnel », cultiver sa liberté d'esprit, sa spontanéité, mais aussi à « polir les vertus de l'âme humaine » afin de retrouver « le chemin de notre vie intime ».
« Nous avons affaire à un empoisonnement minutieux, généralisé, pas uniquement alimentaire, mais d'abord mental et émotionnel, remarque la philosophe. La meilleure résistance au totalitarisme, c'est de nourrir l'âme humaine. »
« Il y a toujours des hommes qui refusent ce système de contraintes, ce système d'esclavagisassion, en mettant la liberté comme valeur suprême », poursuit-elle.
« Le système totalitaire nous fait croire qu'il est intéressant d'être immortel. Ce n'est pas le cas. Ce qui est intéressant, c'est de valoriser son existence. Quelle est la valeur la plus haute que je peux mettre à mon existence ? C'est cela qui est important. »
De nombreuses lois visant à combattre la désinformation et la mésinformation sont en cours d’adoption dans les pays occidentaux, à l’exception partielle des États-Unis, où le premier amendement est en vigueur. Cette situation a conduit à la mise en œuvre de méthodes de censure plus discrètes.
Une réponse inattendue à ces lois restrictives pourrait provenir de la critique littéraire. Les termes utilisés, tels que les préfixes ajoutés au mot « information », sont trompeurs. L’information, qu’elle soit contenue dans un livre, un article ou autre, demeure un artefact passif. Elle ne peut agir par elle-même, et donc, elle ne peut enfreindre aucune loi. Les nazis ont peut-être brûlé des livres, mais ils ne les ont pas arrêtés ni emprisonnés. Ainsi, lorsque les législateurs cherchent à interdire la « désinformation », ils ne peuvent pas viser l’information en tant que telle, mais plutôt la création de sens.
Les autorités emploient des variantes du terme « information » pour insinuer qu’il s’agit de vérités objectives, mais ce n’est pas le cœur du problème. Ces lois, par exemple, s’appliquent-elles aux prévisions des économistes ou des analystes financiers, qui font régulièrement des prédictions erronées ? Bien sûr que non. Pourtant, des prévisions économiques ou financières crédibles pourraient avoir un impact significatif sur les populations.
Ces lois sont davantage conçues pour cibler l’intention des auteurs, visant à créer des significations non conformes à la position officielle du gouvernement. La « désinformation » est généralement définie dans les dictionnaires comme une information intentionnellement trompeuse et préjudiciable. En revanche, la « malinformation » implique la diffusion de faits véridiques, mais avec une intention malveillante. La détermination de l’intention de l’auteur est souvent cruciale dans ces cas.