Les analystes du mouvement pour la liberté ont souvent parlé de “conspiration ouverte”, mais ce n’est qu’avec la réponse à la pandémie que nous avons vraiment vu le masque tomber et l’ordre du jour se révéler.
Il y a à peine cinq ans, les sceptiques rétorquaient le plus souvent qu’une telle conspiration était “impossible” parce qu’elle était “trop élaborée pour être organisée”. Aujourd’hui, ces personnes ont l’air plutôt stupides. Il est indéniable qu’il existe une cabale des élites au pouvoir, qu’elles sont fortement organisées autour de l’idéologie globaliste et qu’elles veulent un contrôle centralisé total de la société. C’est un fait immuable, étayé par des preuves infinies. Le débat est clos. La réponse Covid y a mis fin.
La liste des crimes contre les libertés civiles est longue. L’establishment et la gauche politique (avec l’aide d’une poignée de néoconservateurs) ont tenté de mettre en œuvre des mesures autoritaires sans précédent, allant de la fermeture des entreprises et des églises au port forcé de masques (les études montrent que les masques sont inutiles), en passant par la vaccination forcée à l’aide de produits expérimentaux à base d’ARNm qui n’ont fait l’objet d’aucun test de sécurité à long terme. Dans certains pays (dont la Nouvelle-Zélande et l’Australie), des camps Covid ont été construits pour emprisonner non seulement les citoyens voyageant à l’étranger, mais aussi ceux qui ne voyagent pas. La législation relative à la construction de tels camps a été proposée aux États-Unis.
Au total, 1 609 scientifiques et professionnels du monde entier ont signé la déclaration, dont 321 des États-Unis.
La coalition souligne que le climat de la Terre varie depuis qu’elle existe, la planète ayant connu plusieurs phases froides et chaudes. Le petit âge glaciaire ne s’est achevé qu’en 1850.
« Il n’est donc pas surprenant que nous connaissions aujourd’hui une période de réchauffement », indique la déclaration.
Le réchauffement se produit « beaucoup plus lentement » que ne le prévoit le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat.
« Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas du tout plausibles en tant qu’outils politiques », a déclaré la coalition, ajoutant que ces modèles « exagèrent l’effet des gaz à effet de serre » et « ignorent le fait que l’enrichissement de l’atmosphère en CO2 est bénéfique ». Par exemple, même si les alarmistes climatiques qualifient le CO2 de nuisible pour l’environnement, la coalition souligne que ce gaz n’est pas un polluant.
Le dioxyde de carbone est « essentiel » à toute vie sur terre et « favorable » à la nature. L’augmentation du CO2 entraîne une croissance de la biomasse végétale mondiale tout en augmentant les rendements des cultures dans le monde entier.
CLINTEL a également rejeté l’idée selon laquelle le réchauffement climatique serait lié à une augmentation des catastrophes naturelles telles que les ouragans, les inondations et les sécheresses, en soulignant qu’il n’existe « aucune preuve statistique » à l’appui de ces affirmations.
« La science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques. Les scientifiques devraient aborder ouvertement les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions du réchauffement climatique, tandis que les politiciens devraient compter sans émotion les coûts réels aussi bien que les avantages hypothétiques de leurs mesures politiques »
Interdire à un prix Nobel de Physique de faire le discours prévu au FMI parce qu’il n’acquiesce pas à la doxa mondialiste ? Ils osent. Même pas peur, ni du ridicule ni de se discréditer.
Un prix Nobel de physique ostracisé pour avoir dénoncé la « corruption » de la climatologie
John Clauser, prix Nobel de physique 2022, dénonce la « corruption » de la climatologie. Une conférence qu’il devait prononcer devant le FMI est aussitôt annulée.
Au début du mois, John Clauser, prix Nobel de physique 2022, a vertement critiqué la doxa de « l’urgence climatique ». À ses yeux, cette « dangereuse corruption de la science menace l’économie mondiale et le bien-être de milliards d’êtres humains ». La sanction ne s’est pas fait attendre. Il devait donner devant le FMI une conférence sur les modèles climatiques – elle a immédiatement été annulée et la page annonçant l’événement a disparu du site du FMI.
Cette conférence, prévue jeudi prochain, était intitulée « Quelle confiance peut-on accorder aux prédictions climatiques du GIEC ? Parlons-en. » Une réponse dubitative n’était, apparemment, pas politiquement correcte. Il y a longtemps que John Clauser critique les modèles climatiques ; il a notamment regretté que le prix Nobel 2021 ait récompensé un travail à ce sujet. Il n’est pas le seul – de nombreux scientifiques estiment que les modèles climatiques reposent essentiellement sur les mathématiques et le nombre de leurs prévisions erronées permet de penser qu’ils ne méritent pas la reconnaissance de la science pure au plus haut niveau. Opinion que ne partage pas le magazine National Geographic, comme en témoigne un article intitulé « Comment les modèles climatiques sont devenus si exacts qu’ils ont remporté le prix Nobel ».
Si personne ne conteste que certaines parties du monde se réchauffent, il n’y a pas pour le moment d’explication alternative à ce phénomène. Mais des scientifiques de renom en présenteront une autre à la COP-28 de Dubaï. Il se trouve que ce sont des membres de l’Académie des Sciences de Russie.
La théorie selon laquelle le réchauffement climatique serait observable sur l’ensemble de la planète et qu’elle serait provoquée par l’activité humaine a été popularisée par le Groupe intergouvernemental d’étude sur l’évolution du climat (GIEC) ; une commission des Nations unies.
Je n’ai aucune compétence en matière climatique et je ne me permets pas de juger si cette théorie est vraie ou fausse, mais je suis un expert en politique internationale et je peux évaluer le travail de cette commission des Nations unies.
Il y a une dizaine d’années, j’avais écrit que, comme son nom l’indique, le GIEC n’est absolument pas une académie savante, mais un groupe intergouvernemental. Ses conclusions ne sont donc pas le fruit d’une démarche scientifique, mais d’un débat politique.
Le GIEC a été créé à l’initiative du Premier ministre britannique, Margareth Thatcher, afin de soutenir son combat contre les syndicats de mineurs. Sans surprise, il a conclu que l’usage du charbon est mauvais pour l’environnement, tandis que le nucléaire est souhaitable. Ce n’est pas un théorème scientifique, mais une prise de position politique.
En outre, j’ai fait remarquer que la création des droits d’émission de gaz à effet de serre n’est pas une initiative intergouvernementale, mais une idée de la Joyce Foundation, mise en œuvre par la Climate Exchange Ldt. Chaque État rédige sa propre législation en la matière. Il reçoit une certaine quantité de droits d’émission qu’il répartit comme il l’entend à des entreprises. Celles qui ne les utilisent que partiellement peuvent revendre les droits non utilisés sur une Bourse spécialisée à Chicago.
Les statuts de cette Bourse ont été rédigés par un juriste de Joyce Foundation alors inconnu, un certain Barack Obama (futur président des États-Unis). L’appel aux investisseurs pour le lancement de cette Bourse a été organisé par Al Gore (futur vice-président des États-Unis), et par David Blood (ancien directeur de la banque Goldman Sachs). On peut considérer ces gens comme des militants écologistes de bonne foi ou comme des escrocs de haut vol, c’est une affaire de point de vue.
Avec le temps, ce dispositif politique s’est paré d’un vernis scientifique et de bonnes intentions de sorte qu’il est devenu difficile de le questionner. Il existe pourtant une théorie scientifique alternative pour expliquer le réchauffement climatique. Elle a été énoncée par le géophysicien croate Milutin Milanković durant l’entre-deux-guerres.
L’orbite de la Terre varie selon trois cycles naturels : son excentricité, son obliquité et la précession des équinoxes. Chacune de ces variations suit un cycle, entre 20 000 et 100 000 ans, parfaitement calculable. Ces trois variations combinées influent sur l’insolation de la Terre et donc sur son climat. Cette théorie a été confirmée, en 1976, par l’étude des carottes glaciaires lors du forage de Vostok (Antarctique). Mais elle n’explique pas tout.
Cependant, certaines des mesures proposées suscitent des préoccupations chez les particuliers. À partir de 2027, les ménages devront s’acquitter d’une taxe sur le carburant et le chauffage pouvant atteindre 45 euros par tonne… en sachant que un Français émet en moyenne 10 tonnes de CO2 par an, soit une enveloppe de 30 milliards. Cette mesure intervient à un moment difficile pour les citoyens, en cette période d’inflation sur fond de guerre en Ukraine.
Malgré ces préoccupations, le Parlement a approuvé le paquet législatif dans son ensemble. Le plan comprend une réforme du marché européen du carbone, avec une réduction des quotas d’émissions pour les grands industriels et une extension du marché carbone au secteur maritime. De plus, un mécanisme d’ajustement carbone aux frontières sera créé.
Bien que le paquet législatif comprend la création d’un nouveau mécanisme d’ajustement carbone aux frontières et d’un Fonds social pour le climat. Le risque de délocalisation des entreprises est lié à la possibilité que les entreprises choisissent de déplacer leur production vers des pays ayant des politiques environnementales moins contraignantes pour éviter les coûts associés aux réglementations environnementales. Cela peut entraîner une perte d’emplois et une réduction de la production dans les pays ayant des politiques environnementales plus strictes.
C’est ce que dénoncent, jeudi 13 avril, les ONG de la coalition Banking on Climate Chaos (« miser sur le chaos climatique »), qui regroupe des associations de lutte contre le changement climatique, dans un nouveau rapport.
Selon leurs calculs, effectués à partir des bases d’informations financières comme Bloomberg, les 60 principaux établissements bancaires mondiaux ont versé un total de 673 milliards de dollars (616 milliards d’euros) à des entreprises comme Saudi Aramco, ExxonMobil ou TotalEnergies, trois compagnies pétrolières. Une part significative de ces financements – 150 milliards de dollars (136 milliards d’euros) – sont même allés à des entreprises qui continuent de lancer de nouveaux projets d’exploitation de charbon, de pétrole ou de gaz.
« Notre objectif est d’alerter sur l’écart entre les promesses et les pratiques. Il n’y a rien de plus grave que de penser que la situation est entre de bonnes mains et que la finance va nous sauver », explique à franceinfo Lucie Pinson, directrice de l’ONG Reclaim Finance, membre de la coalition. En 2021, les grandes banques s’étaient engagées, via la « Net Zero Banking Alliance », à atteindre la neutralité carbone de leurs portefeuilles en 2050.
Ce chiffre de 673 milliards de dollars est toutefois en baisse par rapport à l’année dernière (801 milliards de dollars). « Il est trop tôt pour dire si c’est encourageant. Nous avons vu des effets yo-yo les années précédentes », estime Lucie Pinson. »
La transition c’est une transition… donc un processus !
La pauvre Greta va rentrer dans sa chambre, les -55° de la tempête polaire qui frappe les USA auraient fait désordre avec ses balivernes d’ado. La Suédoise haineuse, bien emmitouflée dans son manteau en renard polaire argenté (mais bio), devra attendre le redoux pour replacer sa légende du réchauffement climatique aux jeunes bobos occidentaux. Décidément, dame Nature n’arrive pas à obéir aux injonctions du GIEC.
Chez nous, de l’autre coté de l’Atlantique, point de tempête polaire, mais des températures printanières qui contrarient un gouvernement qui s’appuie sur la guerre en Ukraine pour priver les Français d’électricité. Du coup, les coupures de courant de janvier, cette répression électrique bornsteinienne, est remise en question. Les ingénieurs sociaux du mondialisme se prennent les pieds dans leur propre tapis de mensonges, on dirait.
La conférence COP27 sur le changement climatique s’est achevée le mois dernier. Les dirigeants du monde entier se sont envolés en jet privé pour l’Égypte afin de discuter de la façon dont les combustibles fossiles chauffaient rapidement la planète jusqu’au point de non-retour, l’humanité étant condamnée si des politiques cruciales en matière de changement climatique n’étaient pas mises en œuvre. Mais pendant que les dirigeants alarmistes se réunissaient dans le désert, les chutes de neige de novembre dans l’hémisphère nord dépassaient la moyenne des cinquante dernières années.
La NOAA et l’université Rutgers ont publié de nouvelles données montrant que la couverture neigeuse dans l’hémisphère nord a atteint le niveau le plus élevé depuis le début des mesures en 1967 et qu’elle est actuellement supérieure à la moyenne sur 56 ans.
Selon un scénario alarmiste très répandu dans les médias, la calotte glaciaire du Groenland est sur le point de perdre ses attaches sous l’effet de la chaleur féroce et sans précédent de l’Arctique et d’arriver dans le salon du lecteur d’un jour à l’autre (j’exagère, mais pas beaucoup).
Pendant ce temps, dans le monde scientifique, les chercheurs s’efforcent de comprendre les causes naturelles du ralentissement soudain du réchauffement estival et de la perte de glace au Groenland depuis 2010. La reconstitution de la glace de mer arctique d’été a été spectaculaire ces derniers temps, le National Snow and Ice Data Center, basé aux États-Unis, signalant que le minimum de septembre de cette année était supérieur de 1,28 million de kilomètres carrés au minimum de 3,39 millions de kilomètres carrés atteint en 2012.