En 1968, Robert Kennedy était assassiné alors qu’il venait de gagner les primaires de Californie, ce qui faisait de lui le favori dans la course présidentielle. Une fois à la Maison-Blanche, il aurait été en mesure de rouvrir l’enquête sur la mort de son frère cinq ans plus tôt, et l’on sait, par de nombreux témoignages, qu’il en avait l’intention. Ni l’assassinat de John ni celui de Robert ne sont élucidés ; dans chaque cas, la thèse officielle est truffée de contradictions qui sont aujourd’hui bien documentées. Parce que ces deux affaires sont généralement traitées indépendamment, aucune n’a été résolue de manière définitive. C’est en les reliant dans une vision globale, en tenant compte du contexte géopolitique et du rôle profond de Lyndon Johnson, que se dégage le scénario le plus crédible.
Dernièrement, la campagne menée par Kennedy, mue d’un élan jusqu’alors surprenant, avait trébuché après que le candidat novice avait prononcé des propos imprudents, au cours d’un dîner privé, au sujet du biais ethnique des vulnérabilités induites par le virus du Covid, et qu’une vidéo montrant ces propos avait été diffusée frénétiquement sur les médias. Le Times et les autres médias dominants se montrent extrêmement hostiles au courant lancé par Kennedy, et les rédactions de ces médias ont pu espérer que ce tir de barrage aurait pu enrayer l’émergence de sa campagne.
Il est peu probable que le contenu de cet article, signé par Peter Baker, le principal correspondant à la Maison-Blanche pour ce journal, ait appris quoi que ce soit de bien neuf à ses lecteurs, que ceux-ci soient des soutiens ou des opposants à Kennedy. Le début de l’article énonce que Kennedy « est devenu une source de profonde angoisse parmi ses nombreux frères et sœurs, cousins, nièces et neveux ». Le candidat est présenté comme un ancien toxicomane, mis à la porte des écoles privées qu’il a fréquentées, marié à trois reprises, et dont la seconde épouse s’est suicidée. En revanche, on ne trouve dans cet article que fort peu de commentaires sur les grandes réussites de sa longue et brillante carrière de procureur dans le domaine de l’environnement.
L’article se concentre principalement sur les relations à vif entre Kennedy et sa grande famille, constituée uniquement de Démocrates purs et durs, perplexes et attristés par son comportement étrange et auto-destructeur. L’article est perclus de citations négatives au sujet de ses opinions — « déplorables et fausses » selon sa sœur Kerry Kennedy, qualifiées de « moralement et factuellement fausses » par son frère Joseph P. Kennedy II, cependant que son neveu Joseph P. Kennedy III twittait « Je réprouve sans équivoque ce qu’il a dit. » L’article démarre sur une dénonciation prononcée par le seul petit-fils du président John F. Kennedy, affirmant que son cousin « à l’esprit conspirationniste ternissait l’héritage de son grand-père et de son illustre famille du fait de son projet orgueilleux ». J’ai compté dans cet article pas moins de 13 citations provenant de différents membres de la famille Kennedy, et la quasi-totalité de ces citations relevaient de la même veine peu flatteuse.
La tonalité générale de l’article est implacablement négative, et vise clairement à présenter le candidat démocrate non-aligné comme entretenant des opinions étranges, voire comme une personnalité déstabilisée, et certainement pas comme un personnage digne d’assurer un avenir à la nation des États-Unis. Il est plausible que des sbires très bien payés par le Parti démocrate ont passé soigneusement en revue chaque mot prononcé ou écrit par les divers membres de la famille Kennedy au cours de la décennie passée, pour en retirer les extraits les plus savamment choisis, ensuite publiés par les nombreux alliés médiatiques du Parti démocrate, dont le Times.
On peut donc supposer sans crainte de se tromper que chaque faux pas commis par Kennedy, et que la moindre tâche de boue le concernant, auront désormais été étalés dans la presse, et cela peut nous amener à entrevoir du sens derrière tout silence le concernant. J’ai donc lu l’article du Times avec attention, en me concentrant davantage sur ce qu’il omet étrangement de présenter, plutôt que sur les éléments qu’il présente.
Au fil des années, Kennedy a répété publiquement à de nombreuses reprises que son père comme son oncle étaient morts du fait d’un complot, et a désigné la CIA comme le coupable le plus plausible. Il est probable que plusieurs millions d’Étasuniens ont pu lire ses écrits ou écouter une de ses interviews à ce sujet, ce qui le positionne parmi la frange la plus explicite des « théoriciens du complot », un terme fortement péjoratif que les médias s’emploient systématiquement à affubler à l’image des candidats politiques qui ne leur plaisent pas.
Thierry Meyssan raconte les diverses tentatives d’assassinat auxquelles il a échappé. La réalité dépasse la fiction…
En 2002, je publiais L’Effroyable imposture, un ouvrage de sciences politiques qui dénonçait la version officielle des attentats de New York, de Washington et de Pennsylvanie, et anticipait la nouvelle politique US : une surveillance généralisée des citoyens et la domination du Moyen-Orient élargi. Après un article du New York Times qui s’étonnait de mon impact en France, le département US de la Défense chargeait le Mossad israélien de m’éliminer.
Chirac offre une protection contre le Mossad
Le président Jacques Chirac, qui avait demandé à ses propres services de Renseignement de vérifier ma thèse, prit alors ma défense. Lors d’un entretien téléphonique avec le Premier ministre Ariel Sharon, il l’informa que toute action contre moi, non seulement en France, mais sur tout le territoire de l’Union européenne, serait interprétée comme un acte hostile contre la France. Il chargea également un de ses collaborateurs de veiller sur moi et d’informer les États non-européens qui m’inviteraient de leur responsabilité pour assurer ma sécurité. Effectivement, dans tous les pays où je fus invité, on me fournit une escorte armée.
Sarkozy obéit à la CI
Cependant, en 2007, le président Chirac fut remplacé par Nicolas Sarkozy. Selon le haut fonctionnaire que Jacques Chirac avait chargé de ma sécurité, le nouveau président accepta à la demande de Washington d’ordonner à la DGSE de m’éliminer. Ainsi prévenu, je faisais ma valise sans attendre et je m’exilais. Deux jours plus tard, j’arrivais à Damas où l’on m’accorda la protection de l’État.
La correspondance entre JFK et Ben Gourion, qui révèle l’intensité des efforts de JFK pour entraver le programme nucléaire israélien, fut gardée secrète. Certaines parties furent déclassifiées en 1993, mais l’ensemble de la correspondance a mis plus de 50 ans à être déclassifié. Du point de vue américain, il n’y a rien dans cette correspondance qui justifie de la garder secrète pendant si longtemps. Le véritable bénéficiaire de cette classification prolongée a été Israël, car si ce contexte avait été connu au moment de l’assassinat de JFK, non seulement il y aurait eu une énorme pression publique pour arrêter le programme nucléaire israélien, mais le Mossad serait devenu l’une des organisations suspectes impliquées dans l’assassinat.
Lorsque JFK fut assassiné, le vice-président Lyndon B. Johnson (LBJ), dont le passé criminel était connu au Texas, est devenu président. Avec l’entrée en fonction de LBJ, la nature des relations entre Israël et les États-Unis a subi un changement rapide et spectaculaire en faveur d’Israël. JFK avait une politique équilibrée au Moyen-Orient. Lorsque JFK écrivit aux dirigeants arabes comme Nasser pour exprimer son soutien à la mise en œuvre de la résolution de l’ONU accordant aux Palestiniens le droit de retourner dans les territoires qui avaient été capturés de force par les juifs, Ben Gourion envoya une lettre aux dirigeants juifs aux États-Unis. Il écrivait : « Israël considérera ce plan comme un danger plus grave pour son existence que toutes les menaces des dictateurs et des rois arabes, que toutes les armées arabes, que tous les missiles de Nasser et ses MIG soviétiques… Israël luttera contre cette mise en œuvre jusqu’au dernier homme ». C’était une déclaration de guerre contre JFK.
JFK fut assassiné le 22 novembre 1963. Le 26 novembre, le directeur de l’AIPAC (Comité américain des affaires publiques israéliennes) envoya une note secrète à ses différentes branches, décrivant les « positions pro-israéliennes de premier plan » de Johnson sur un certain nombre de questions. En décembre 1996, l’auteur Daniel Neff écrivait dans le Washington Report on Middle East Affairs (WMREA) : « Jusqu’à la présidence de Johnson, aucune administration n’avait été aussi complètement pro-israélienne et anti-arabe que la sienne ». Neff souligne que bien que Truman ait reconnu Israël en raison du soutien juif à son élection, il « semblait se désintéresser de l’État juif ». De plus, « Dwight D. Eisenhower était plutôt froid envers Israël, qu’il considérait comme une source de perturbation majeure dans les relations de l’Amérique avec les Arabes et dans l’accès de l’Amérique au pétrole ». Bien que JFK ait été plus chaleureux envers Israël, « il valorisait la relation des États-Unis avec le monde arabe, en particulier avec l’Égyptien Gamal Abdel Nasser, et a par conséquent maintenu une politique assez impartiale, malgré la présence d’un certain nombre de responsables pro-israéliens dans son administration. »
La récente déclassification de documents autour de l’assassinat de JFK ayant relancé spéculations et questionnements, notre invité sera présent pour nous expliquer les véritables raisons autour de l’assassinat de JFK, ainsi que son frère.
« C'est une histoire vraiment fascinante, puis à la fois sombre et angoissante. Mais en même temps assez lumineuse parce que les Kennedy, lorsqu'on dépasse un peu cette vision qu'on nous a imposée de personnages assez sinistres, cyniques et sexuellement décadents etc, lorsqu'on s'aperçoit que tout ça c'est du vent, on a quelque chose d'assez, moi je n'hésite pas à le dire, d'assez christique. Si le Christ c'est la figure de celui qui est assassiné par le sanhédrin en quelque sorte on est bien dans le profil christique et puis avec une dimension catholique dynastique.»
Ne nous laissons pas instrumentaliser une énième fois pour aboutir à une décision déjà prise par le président au prétexte d’un retard sur la Belgique ou autre, pays dans lequel les dérives lourdes sont pourtant bien souvent signalées.
« L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures.Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. »
Qui peut croire à ça ? Je rappelle que l’avion de l’entrepreneur de la maintenance des NordStream s’est volatilisé en vol. Enquête classée immédiatement.
Seule la CIA a cette puissance de nuisance, et seuls les pays vassaux des US ont cette puissance à se coucher !
Il ne s’agit pas simplement de l’acte criminel d’un individu ou d’un petit groupe, mais d’un délit politique programmé et opéré par les services secrets occidentaux, en particulier étasuniens et britanniques, sur la base de procédures bien établies.
Avant tout le choix de l’objectif. Dans son interview à Grandangolo en avril dernier, Alexander Douguine explique que l’opération militaire russe en Ukraine ne constitue pas seulement la réponse à l’escalade USA-OTAN, qui met en danger la sécurité de la Russie, mais la réponse au plan mondialiste de l’Occident pour conserver un monde unipolaire sous sa propre domination. En alternative à l’agenda mondialiste, Douguine envisage la création d’un monde multipolaire, par un pacte historique planétaire de toutes les personnes de différentes cultures et traditions qui refusent l’agenda mondialiste.
Le président haïtien Jovenel Moise a été assassiné dans la nuit du 6 au 7 juillet, après avoir refusé le vaccin d'AstraZeneca et l'installation Covax de l'OMS. Le président du Burundi serait décédé d'une crise cardiaque, il refusait également les vaccins anti-covid puisque sa population n'en avait pas besoin. Enfin, John Magufuli, décédé en mars alors qu'il était président de la Tanzanie, qui avait ridiculisé l'OMS en montrant l'obsolescence des tests PCR.
Décédé récemment, McAfee était un ennemi de l'état profond US, il laisse derrière lui des documents cryptés compromettants pour ces derniers. Ce qui pourrait expliquer la destruction d'un de ses biens immobiliers qui aurait pu contenir lesdites informations.