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ARCOM - police de la pensée

Égalité et RéconciliationArcom cherche balances : la Gestapo européiste recrute

Égalité et Réconciliation - 17 avr 2024

Dans le cadre du Règlement sur les services numériques (RSN), ou Digital services act (DSA), les associations, entités, organisations, reconnues pour leurs expertises et leurs compétences (protection de l’enfance, lutte contre le cyber-harcèlement, ...), sont invités à postuler au statut de « signaleurs de confiance ».

   

Ainsi commence l’offre d’emploi – non rémunéré – de balance pour l’Arcom. L’Arcom est le régulateur de la communication audiovisuelle et numérique. C’est le nouveau nom de l’officine gouvernementale de surveillance et de punition des pensées non conformes à la ligne officielle.

Le DSA, Digital Service Act, c’est le nouveau projet anti-liberté d’expression de la maison mère, pondu par le couple diabolique Breton-Leyen, à la tête de l’Union soviétique européiste, qui peut s’enorgueillir de trois grandes réalisations :

- la paupérisation de dizaines de millions de travailleurs européens ;
- une invasion migratoire délirante et dénaturante ;
- l’entrée dans une guerre apocalyptique contre la Russie.

L’Arcom cherche donc des individus à l’âme sordide pour dénoncer ceux qui seraient taxés de complotisme, par exemple les Français qui ne croient pas que

- Armstrong a marché sur la Lune
- BHL est un philosophe humaniste
- Haziza est un grand journaliste odieusement blacklisté sur une radio communautaire sans audience
- Israël a raison de riposter jour après jours contre tous ses voisins antisémites
- la fonte vertigineuse de notre caddy moyen correspond à l’inflation de l’INSEE
- Macron est un président sain de corps et d’esprit
- Brigitte est une femme dont on tombe automatiquement amoureux
- le gouvernement est sexuellement neutre
- Séjourné a obtenu son poste grâce à ses compétences intellectuelles
- Karine Lacombe a énormément souffert du harcèlement sexuel
- l’UE c’est la paix, la croissance et la démocratie
- la pédocratie n’existe que dans l’imagination des paranoïaques
- la presse mainstream est l’amie du peuple
- il faut mourir pour l’Ukraine
- Breton ne s’est jamais fait changer le sang en Italie
- Leyen a sauvé 450 millions d’Européens d’une mort certaine grâce à Bourla et son injection Pfizer miracle

N’est pas balance qui veut

Les signaleurs de confiance auront priorité sur les particuliers en matière de signalement. Par exemple, si un BHL ou un Enthoven vous insulte ou insulte votre communauté, votre religion, sur Twitter (X), vous aurez peu de chance de voir votre signalement accepté si un signaleur de confiance décide de ne pas le faire. Les balances sont donc choisies par le pouvoir.

La liste des balances autorisées à dénoncer les mal-pensants nous a bien fait rire, on a vu se dessiner les visages de nos quatre cavaliers de l’apocalypse communautaire !

Entités publiques, organisations non-gouvernementales, organismes privés ou semi-publics tels que (liste non exhaustive) :

- fédérations industrielles et des associations commerciales
- ONG
- membres de réseaux établis de vérificateurs de faits
- syndicats
- entités publiques non réglementaires (ex : Europol) ou de réglementation
- organismes semi-publics
- réseaux ou alliances d’entités, aux niveaux national et européen.

Pour devenir une sale balance-Système, une qualité principale est requise :

Disposer d’une expertise et de compétences particulières aux fins de détecter, d’identifier et de notifier des contenus illicites

Il faut avoir un flair de chien policier ! Ensuite, une fois que la balance aura détecté le résistant, il faudra monter un petit dossier clair et net pour la maison mère :

- Soumettre des signalements respectant certaines conditions : explication étayée, indication claire de l’emplacement du contenu, nom et adresse du signalant, déclaration de bonne foi.
- Publier un rapport annuel détaillé avec des informations sur le nombre de signalements effectués (classés par plateforme, type de contenu illicite et action prise)

On imagine que nos 4 balances déjà stipendiées par le Système, Tristan Mendès, Rudy Rends l’argent Reichstadt, Julien Pain et Thomas Huchon se sont bousculés pour obtenir leur étoile de shérif, leur droit de dénoncer les résistants.

« Le ministère de la Paix fait la guerre,
le ministère de la Vérité produit des mensonges,
le ministère de l’Amour pratique la torture,
et le ministère de l’Abondance crée la famine »

1984

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5G total control

Michel DognaContrôle total par la 5G, confirmations et parades possibles

Michel Dogna - 14 avr 2024

Par le Dr suisse Astrid Stuckelberger

   

Dans la vidéo qui suit, Astrid révèle le développement fulgurant des installations publiques d’émetteurs et de relais 5G dissimulés dans les villes. Ces émetteurs 5G rayonnent des programmes psychiques de contrôle des individus. Ceci est véhiculé sur des bandes de fréquences en giga hertz accordées à celles du cerveau et relayées par l’oxyde de graphène qui a été instillé par les vaccins ARNm. Les gens touchés ne se rendent donc pas compte qu’ils sont manipulés à distance et croient qu’ils sont les créateurs de leurs opinions.

Écoutez attentivement le message d’Astrid Stuckberger (9 min50)

https://vk.com/video-209702645_456242926?t=20s

Astrid Stuckelberger est une des rares ténors parmi les chercheurs de vérités à oser parler de l’oxyde de graphène et de la protéine spike, éléments meurtriers majeurs des faux vaccins ARNm. Elle a en outre participé au film « Hold-up ».

Je me proposais de présenter son remarquable cursus et j’y ai renoncé en découvrant Conspiracy watch (observatoire du conspirationnisme), un site sataniste 100% anti vérités qui à défaut d’un assassinat physique, a édité à son encontre une véritable exécution médiatique affublée du mot récurrent qui tue :« complotiste ».

Oui j’y ai renoncé parce qu’il suffit de lire la rafale d’accusations sur Astrid assénées par Conspiracy watch (voir sur Google) pour découvrir fidèlement en inversant simplement son narratif, les grandes lignes de ses démarches et courageuses positions (avec lesquelles mes conclusions personnelles sont totalement en adéquation).
CONSEILS DE LA QUINTA COLUMNA
et rappels importants

Savez-vous que le radis noir contient de la peroxydase qui est une enzyme capable de neutraliser directement l’oxyde de graphène dans le sang. Il s’ajoute à la liste déjà passée plusieurs fois dont le L-glutathion, la NAC, le Zinc (surtout colloïdal), la vitamine D3+K2.

Rappel : L’oxyde de graphène épaissit gravement le sang créant des obstructions fatales possibles au niveau cardiaque, cérébral et pulmonaire – Vous pouvez faire contrôler la viscosité de votre sang par un D-Dimer dans n’importe quel laboratoire médical

J’en profite pour rappeler l’efficacité de la nattokinase, enzyme du natto, fromage japonais massivement contenue dans le Serracor NK, capable de détruire la terrible protéine spike auto-disséminée dans toutes les cellules du corps… et transmissible par voie aérienne.

Rappel : La protéine spike sabote les défenses immunitaires, et met l’organisme en réaction auto immune voire carrément en terrain SIDA. C’est aussi elle qui endommage le cœur des ados de 12 à 25 ans.

Autre rappel important au sujet de la cohérence cardiaque simplifiée à effet immédiat et préventif concernant les poussées hypertensives, palpitations, tachycardies et troubles rythmiques du cœur ; il suffit d’exécuter 21 fois :
- INSPIR COMPLET 2 secondes
- EXPIR COMPLET 6 secondes (ou plus)

Nota : peut s’effectuer discrètement en urgence n’importe où – recommencez une fois si nécessaire – l’annonce de la sédation se fait par des séries de bâillements et des rots. Vous pouvez contrôler le résultat au tensiomètre.

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numérique militarisant

ReporterreComment les géants du numérique « militarisent » nos existences

Reporterre - 20 mar 2024

Dans « Technopolitique – Comment la technologie fait de nous des soldats », la chercheuse Asma Mhalla propose une réflexion passionnante sur l’influence politique et idéologique de plus en plus grande des géants technologiques.

   

« Entités hybrides, à la fois entreprises privées, militaires et géopolitiques », les géants technologiques, en particulier aux États-Unis, s’établissent désormais comme les « bras armés technologiques de leur pays » détaille Asma Mhalla dans son passionnant essai Technopolitique – Comment la technologie fait de nous des soldats (ed. Le Seuil). La chercheuse au Laboratoire d’anthropologie politique de l’École des hautes études en sciences sociales (Ehess) développe une réflexion stimulante sur l’influence économique, militaire, politique et géopolitique grandissante de ces « BigTech » et de leurs liens de plus en plus étroits avec les États.

En témoigne le « rôle de premier plan » joué par Starlink, Microsoft ou Amazon dans la guerre en Ukraine [ces entreprises ont respectivement fourni des informations sur une cyberattaque russe, des serveurs portables et des satellites en orbite basse au gouvernement ukrainien]. De quoi « laisser entrevoir la naissance possible d’un complexe techno-militaire américain » et, plus généralement, témoigner d’une « redéfini[tion] en profondeur de la morphologie de cette construction collective qu’on appelle État ». Sous la plume d’Asma Mhalla, l’État devient le « BigState », acteur omnipotent qui peut « être autoritaire et libéral à la fois ».

Afin de naviguer dans ce sujet aux ramifications infinies, la professeure à l’université Columbia de New York et à Sciences Po propose aux lecteurs de découvrir le champ de la « technopolitique », une « multidiscipline au croisement de l’économie et du droit, de la philosophie et de la théorie politique, des relations internationales et de l’histoire, du cyber et de la tech ». L’idée : poursuivre et actualiser à l’aune des évolutions propres au XXIe siècle le travail technocritique – à ne pas confondre avec de la technophobie, précise-t-elle – de penseurs tels que Jacques Ellul, George Orwell ou Georges Bernanos, auteurs qu’elle cite à plusieurs reprises au fil des pages.
Des outils « loin d’être neutres idéologiquement »

TikTok accusé d’espionner ses utilisateurs, « industrialisation » des luttes informationnelles, réseaux sociaux utilisés comme espaces publics d’influence par les magnats, sortes de « techno-tycoons » qui en sont propriétaires, « nouvelles conflictualités cyber et néoguerres augmentées d’intelligence artificielle »... Pour l’autrice, il est urgent de se saisir radicalement de ces enjeux, bien au-delà des timides tentatives de modération et de « colmatage juridique » des « BigTech » mises en œuvre en Europe.

Loin d’être des outils neutres idéologiquement, les réseaux sociaux, l’intelligence artificielle et les algorithmes développés par Google, Meta ou encore Palantir (une entreprise spécialisée dans l’analyse et la science des données) refaçonnent — et privatisent — nos vies intimes et nos sociétés pour agir « comme des agents perturbateurs de la démocratie ». D’abord en ayant tendance à véhiculer, volontairement ou non, une idéologie d’extrême droite et conspirationniste – le cas d’Elon Musk, propriétaire de X (ex-Twitter), est paroxystique en la matière. Mais aussi, et le sujet n’en est pas moins inquiétant, en agissant « comme amplificateurs d’une forme de paranoïa d’État techno-sécuritaire » : dispositifs de technosurveillance de la population, logiciels biométriques, captation massive de données…

Prenant l’exemple de la France et de la multiplication des lois sécuritaires depuis les attentats de 2015 (loi « Sécurité globale » en 2021, surveillance et fichage massif de militants politiques et écologistes), Asma Mhalla note que dans ce « nouveau régime de vérité », « chaque individu est par défaut potentiellement coupable jusqu’à preuve du contraire, justifiant par là même une surveillance généralisée ». Le tout participe, par ricochet, à « l’intériorisation de la norme sécuritaire » par chaque individu, les citoyens se retrouvant à évoluer dans ce que le philosophe Gilles Deleuze « prophétisait comme les “sociétés de contrôle’’ ».
Ne pas « passer à côté de notre époque »

Une fois ce constat posé, que faire ? Selon Asma Mhalla, pour échapper au « technototalitarisme » qui pourrait émerger de ce chaos, il est grand temps que nous « produisions une nouvelle vision du monde ». « Charge au politique de se préparer et de préparer la société à ces mutations, d’éviter la prochaine grande crise structurelle pour cause d’impréparation et de manque d’anticipation », sans quoi « nous passerons à côté de notre époque ».

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l'ONU et Bill Gates uni pour l'ID numérique

The DefenderL’ONU lance un programme mondial d’identification numérique

The Defender - 08 déc 2023

Le programme financé par la Fondation Gates est lancé alors que des experts mettent en garde contre un “cauchemar totalitaire”.

   

Avec le soutien de la Fondation Bill & Melinda Gates, les Nations unies ont lancé ce mois-ci une “campagne ambitieuse menée par les pays” afin de promouvoir et d’accélérer le développement d’une infrastructure publique numérique (IPN) mondiale.

Le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) a déclaré que sa campagne “50 en 5” encouragera la construction d’un “réseau sous-jacent de composants” comprenant des “paiements numériques, des systèmes d’identification et d’échange de données”, qui servira d'”accélérateur critique des objectifs de développement durable (ODD)”.

“L’objectif de la campagne est que 50 pays aient conçu, mis en œuvre et étendu au moins une composante du IPN d’une manière sûre, inclusive et interopérable dans cinq ans”, a déclaré le PNUD.

Les critiques de la campagne sont les suivantes Tim Hinchliffe, rédacteur en chef de The Sociable, qui a déclaré à The Defender que l’ IPN “est un mécanisme de surveillance et de contrôle qui combine l’identification numérique, les monnaies numériques de banques centrales, [CBDC], les passeports des vaccins et des données de suivi de l’empreinte carbone, ce qui ouvre la voie aux villes intelligentes de 15 minutes, à de futures fermetures et systèmes de crédit social“.

Le PNUD mène la campagne “50-in-5” avec le Centre pour l’infrastructure publique numérique, Co-Develop et l’Alliance pour les biens publics numériques. GovStack, la Banque interaméricaine de développement et l’UNICEF, ainsi que la Fondation Gates, comptent parmi les soutiens de l’initiative.

En septembre 2022, la Fondation Gates a alloué 200 millions de dollars “pour développer l’infrastructure publique numérique mondiale”, dans le cadre d’un plan plus large visant à financer 1,27 milliard de dollars d'”engagements en matière de santé et de développement” dans le but d’atteindre les ODD d’ici 2030.

La Fondation Gates a déclaré à l’époque que le financement était destiné à promouvoir l’expansion de “l’infrastructure que les pays à revenu faible et moyen peuvent utiliser pour devenir plus résistants aux crises telles que les pénuries alimentaires, les menaces pour la santé publique et le changement climatique, ainsi que pour aider à la reprise économique et à la lutte contre les pandémies”.

Greg Glaser, avocat californien spécialisé dans la protection de la vie privée, a qualifié la campagne “50-in-5” de “cauchemar totalitaire” et d’initiative “dystopique” visant les petits pays “pour les embarquer dans l’identification numérique, les portefeuilles numériques, la législation numérique, le vote numérique et bien plus encore”.

“Pour des raisons politiques, les types de l’ONU comme Gates ne peuvent pas planifier ouvertement un ‘gouvernement mondial’, alors ils utilisent des expressions différentes comme ‘partenariat mondial’ et ‘Agenda 2030′”, a déclaré M. Glaser à The Defender. Les gens peuvent ajouter “50 en 5” à la liste croissante des expressions dystopiques.

Un autre avocat californien spécialisé dans la protection de la vie privée, Richard Jaffe, a exprimé des sentiments similaires, déclarant à The Defender que l’initiative “50-in-5” “met l’accent sur la question beaucoup plus importante de la mondialisation, de la centralisation et de la numérisation des données personnelles dans le monde”.

“Mon inquiétude à court terme concerne les mauvais acteurs, c’est-à-dire les individus et les petits groupes, ainsi que les acteurs étatiques malveillants, qui disposeront désormais d’une nouvelle cible ou d’un nouvel outil fantastique pour menacer le fonctionnement normal des pays moins sophistiqués sur le plan technologique”, a-t-il déclaré.

M. Jaffe a déclaré que le fait que M. Gates soit impliqué l’effrayait au plus haut point. Derrick Broze, rédacteur en chef du Conscious Resistance Network, a déclaré à The Defender qu’il s’agissait d’un “autre signe que cette nouvelle poussée en faveur de l’infrastructure d’identification numérique ne profitera pas à l’individu moyen”.

“Les projets de ce type ne profitent qu’aux gouvernements qui veulent suivre leurs populations et aux entreprises qui veulent étudier nos habitudes et nos mouvements quotidiens pour nous vendre des produits”, a déclaré M. Broze.

Les initiatives visant à promouvoir l’IPN au niveau mondial bénéficient également du soutien du G20. Selon The Economist, lors du sommet du G20 qui s’est tenu en septembre à New Delhi sous le slogan “Une terre, une famille, un avenir”, l’Inde a obtenu le soutien de la Fondation Gates, du PNUD et de la Banque mondiale en faveur d’un plan visant à développer un référentiel mondial des technologies IPN.

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le fantôme de la liberté

Sott : Sign of The TimesLe fantôme de la liberté. Un Occident totalitaire ?

Sott : Sign of The Times - 13 nov 2023

La liberté n'est pas en bonne santé en Occident, patrie autoproclamée de la liberté.

   

Elle risque de se transformer en fantôme, au point de se fondre dans une nouvelle forme, non moins insidieuse que les précédentes, de totalitarisme, où les méthodes "dures" (contrainte physique, terreur, élimination des dissidents, interdictions explicites de penser, de parler, de s'associer, d'agir) sont remplacées par la séduction, le contrôle à distance, l'abolition progressive des idées non conformes. C'est la méthode de la grenouille ébouillantée, le rétrécissement lent et régulier des libertés concrètes, retirées une à une, toujours justifiées par de nobles motifs: sécurité, protection, défense des minorités, inclusion, discours de haine, etc. Nous n'avons pas encore basculé dans le totalitarisme pur et dur, mais les prémisses sont là.

Le titre de cette réflexion contient deux mots (liberté et totalitarisme) dont le sens n'est pas universellement partagé. La troisième catégorie - l'Occident - a depuis longtemps perdu toute connotation géographique pour devenir le nom de la civilisation articulée autour du libéralisme politique et du libéralisme économique, dirigée par les États-Unis, et composée de l'Europe occidentale, d'Israël et des satellites de l'ancien empire britannique, avec des ramifications de plus en plus indisciplinées en Amérique centrale et en Amérique du Sud. L'Occident est un système d'hégémonie sur l'humanité au nom d'une oligarchie internationale illégitime. Il est le contraire de l'Europe, dont il a détruit la culture, les racines et les traditions. Ayant atteint le pouvoir "impérial", il a inversé la prédiction de Lord Acton au 19e siècle : le pouvoir tend à corrompre, le pouvoir absolu corrompt absolument.

Margaret Thatcher était une interprète cohérente de cette tendance, pour qui il n'y a pas d'alternative au modèle mondial occidental. L'acronyme TINA, there is no alternative, est devenu l'un des mantras d'un système de plus en plus oppressif au nom de la liberté économique et financière de quelques géants. La négation de la possibilité d'alternatives est en soi un concept totalitaire.

La définition la plus prégnante du totalitarisme est celle de Hannah Arendt. Pour la penseuse juive allemande, le totalitarisme contemporain est un modèle politique distinct des formes historiquement connues de pouvoir autoritaire telles que le despotisme, la tyrannie et la dictature. Là où il a pris le pouvoir, il a détruit les traditions politiques, écrasé l'ordre social antérieur et poussé à l'extrême les caractéristiques de la société de masse, telles que l'isolement et l'interchangeabilité des individus.

Le néo-totalitarisme n'exige pas seulement la subordination politique, il envahit et contrôle également la sphère privée et intime. Son objectif est de remplacer la société existante par une société radicalement différente, en construisant au fil du temps une autre humanité. En ce sens, il ne fait aucun doute que le libéralisme mondialiste qui a triomphé après la défaite du communisme et le discrédit de toute autre forme d'organisation politique, économique, sociale et de valeurs présente des traits totalitaires. Notamment en raison de son alliance avec l'appareil technologique et scientifique dont il est le moteur et le propriétaire. L'accusation portée contre le collectivisme d'État par Friedrich von Hayek, économiste ultra-libéral, se retourne contre le libéralisme - sorti de lui-même pour devenir le mondialisme - : celui qui possède tous les moyens, détermine toutes les fins. Les siennes, bien sûr. Encore un indice de totalitarisme.

Avec la même force argumentative, on peut soutenir qu'une société fondée sur des "droits" ne peut être totalitaire, que la liberté économique n'a jamais été aussi grande, et que jamais l'individu, dans ce coin du monde qu'est l'Occident, n'a bénéficié d'autant d'opportunités qui sont devenues des "droits". Les deux thèses sont valables. L'auteur de ces lignes aime la liberté et se méfie des droits. D'abord parce que proclamer des droits sans établir de devoirs correspondants engendre le cynisme, l'indifférence sociale, l'individualisme rancunier, le repli sur un "moi" capricieux, tyrannique comme un enfant gâté. Ensuite, la nature des droits: les droits sociaux et communautaires sont effacés, les droits subjectifs sont mis en exergue, notamment ceux liés à la sphère pulsionnelle et sexuelle. Plié dans un individualisme radical, pulvérisant la communauté, l'Occident détruit aussi la société, l'ordre qui régule les principes, les valeurs, les intérêts distincts mais non incompatibles.

Les droits proposés concernent toujours la sphère subjective et considèrent la liberté comme l'absence de contraintes (freedom 'from'), c'est-à-dire la libération. De la famille, de l'autorité, des appartenances naturelles, voire de l'identité la plus intime. Le modèle est le "trans", sujet fluide, changeant, provisoire, détaché de tout ce qui dépasse sa volonté, son plaisir, sa préférence, devenus incontestables. Le droit de ne plus être quelque chose de défini tout en en faisant un drapeau. Renoncer à tout héritage (sauf matériel; l'argent et les moyens deviennent des fins "il n'y a pas d'alternative"), considérer le bonheur - dont la poursuite est un droit - comme la satisfaction immédiate des pulsions, des désirs, des caprices.

Consommation, changement permanent de goûts, d'idées, de modes, de partenaires, de profession, de sexe, d'"orientation sexuelle" et d'existentialité. Fragiles girouettes sans souveraineté sur elles-mêmes, poussées dans le sens du vent. La temporalité comme projet de vie. Une absurdité logique qui produit de l'inconfort, de la tension, de l'insatisfaction jusqu'à la schizophrénie et l'insatisfaction permanente, dont le remède est tout aussi provisoire : le plaisir compulsif, la consommation de la vie - transformée en marchandise - à relancer sans cesse. Le bien et le mal, le juste et l'injuste ? Le concept de Calderòn de la Barca s'applique, dans la bouche du volage Sigismond : nada me parece justo, en siendo contra mi gusto. Rien ne me semble juste si c'est contre mon goût ou ma préférence.

Sans nous en rendre compte, nous avons dessiné la définition de l'addiction. La liberté des modernes est la suite des addictions rendues justes, auxquelles il n'est pas permis d'opposer des limites éthiques, des freins législatifs, des réprobations sociales, des jugements négatifs. L'issue ne peut être que l'équivalence, l'indifférence à tout élément commun au profit d'un subjectivisme égoïste. Le relativisme qui en résulte devient un absolu, la pensée faible interdisant la pensée forte. Selon Benjamin Constant, la liberté des anciens était une étroite autonomie politique vécue dans le droit-devoir de participation à la polis. Celle des modernes est la liberté privée individuelle, y compris le droit à l'indifférence sociale. Résultat : dissolution des limites et des liens, remplacée en fait par l'imperium du plus fort, celui qui souffle sur la girouette en lui imprimant la direction souhaitée.

« À chaque fois que vous vous retrouvez à penser comme la majorité des gens, faites une pause, et réfléchissez... »

Mark Twain

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Police State - are you next

Aube DigitaleLe documentaire « Police State » impressionne par ses ventes de tickets

Aube Digitale - 02 nov 2023

L’érosion des libertés civiles au cours des dernières années a fait l’objet d’une attention toute particulière.

   

France : VPN nécessaire pour regarder la bande annonce : https://rumble.com/v3rodbv-police-state-a-film-by-dinesh-dsouza.html

Le documentaire « Police State » a indéniablement touché une corde sensible dans le cœur du public américain et a connu un succès retentissant cette semaine. Fruit de l’imagination du cinéaste Dinesh D’Souza, le film a généré un nombre impressionnant de spectateurs dans le pays, dépassant sans peine le précédent record détenu par un autre projet de D’Souza, « 2000 Mules« .

En exprimant les sentiments qui résonnent dans le pays, « Police State » touche une corde sensible. Son succès signifie que les Américains aspirent à un contenu perspicace qui en dit long sur les problèmes urgents qui pèsent sur leur réalité actuelle, principalement en ce qui concerne la liberté d’expression et l’érosion des libertés civiles.

Les ventes de billets en ligne pour le 25 octobre ont dépassé les attentes. Pour prolonger le discours, une première virtuelle est également prévue pour le 27 octobre et sera exclusivement disponible en streaming sur Rumble. Cette vague récente d’immense popularité s’est traduite par des projections à guichets fermés dans plusieurs cinémas – un gage de la réputation saisissante du film.

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incarner la lutte

Réseau InternationalRéincarner la lutte

Réseau International - 28 oct 2023

Les images du président Macron massivement hué, sifflé comme jamais, à la cérémonie d’ouverture de la Coupe du monde de rugby le 8 septembre dernier, ont ceci d’édifiant qu’elles révèlent sans détour l’absurdité d’un système dit «démocratique», où le peuple est tenu de subir un pouvoir manifestement illégitime sous le prétexte médiatique que son représentant aurait été «(ré)élu». Par qui et comment, le mystère demeure.

   

Souvenons-nous : le 12 mars 2020, Monsieur Macron annonçait l’arrêt de nos libertés fondamentales de circulation et de réunion avec la condamnation d’une population entière à l’assignation à résidence du fait de la circulation d’un virus respiratoire méconnu, stoppant net le mouvement épidémique des Gilets jaunes à qui on interdisait alors la rue.

De la punition collective à la répression ciblée pour délit d’opinion, le peuple de France goûtait plus encore aux plaisirs totalitaires d’un régime que seul le privilège historique du «progrès» sépare de la république bananière. Au nom de la santé d’État, c’est l’idéologie sécuritaire du risque zéro qui devait prévaloir, écrasant au passage toute exigence critique en faveur de la dignité humaine : le monde était masqué, confiné, piqué, ridiculement soumis à ses maîtres sorciers.

Si le smartphone est l’opium du peuple – accaparant les mains et l’attention dès le plus jeune âge -, cette période de crise liberticide aura permis à nos gouvernants de s’assurer une virtualisation accélérée du monde et des rapports humains, où le télétravail devenait la norme, et le télécombat une triste fatalité pour les résistants en gilet jaune, précipités dans une société nouvelle : celle de l’hypercontrôle et de l’omnisurveillance.

Ce que redoute avant tout cette autorité-là, c’est l’indépendance de ses administrés. L’indépendance productive des artisans et petits entrepreneurs, que les multiples taxes et confinements successifs ont dû achever ; et l’indépendance de pensée, que les médias colonisés – promoteurs de la bêtise marchande et de la médiocrité culturelle – finiraient par criminaliser.

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du vaccin au totalitarisme

Réseau InternationalLa chute spirituelle de l’humanité

Réseau International - 10 oct 2023

Du vaccin au totalitarisme

   

En errant sur les réseaux sociaux, je suis à nouveau tombé sur cette étrange pensée de Rudolph Steiner :

« Dans le passé, on a éliminé l’esprit. On éliminera l’âme au moyen d’un médicament. En partant d’une « saine vue des choses », on trouvera un vaccin grâce auquel l’organisme sera traité dès la prime jeunesse autant que possible, si possible dès la naissance même, afin que ce corps n’en vienne pas à penser qu’il existe une âme et un esprit ».

Et plus loin, il évoque des hommes qui découvriront «un vaccin qui puisse dès la prime jeunesse, par la voie du corps, extirper la tendance à la spiritualité».

Je ne connais que très peu l’œuvre de Steiner et le peu que j’en sais ne m’attire pas du tout. Cependant, cette phrase est étonnante et m’a toujours laissé dubitatif. Quel rapport le vaccin pouvait-il avoir avec la spiritualité ? Comment imaginer qu’un produit pharmaceutique puisse détruire l’âme ? Comment une préparation biologique pourrait-elle altérer le principe de la pensée pourtant distinct du corps qu’est l’âme ? Si la spiritualité est cette réflexion qui porte sur les rapports entre le particulier et le Tout, comment le vaccin pourrait-il la saccager ? Quels liens entre l’individu et le Grand Ensemble le vaccin altérerait-il ? Avec quelles conséquences pour l’humanité ?

[...]

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Wifi eyes

Aube DigitaleVotre WiFi peut vous voir

Aube Digitale - 21 sep 2023

Lorsque la police a soupçonné Danny Kyllo, un habitant de l’Oregon, de cultiver du cannabis chez lui, elle s’est rendue à son domicile avec un appareil d’imagerie thermique pour le scanner. Ils ont trouvé des « hot pockets » dans la maison, ce qui leur a permis d’obtenir un mandat de perquisition et d’arrêter Kyllo.

   

Heureusement, une décision de la Cour suprême (5 vote contre 4) a statué que le scanner constituait une perquisition illégale en vertu du quatrième amendement, nécessitant un mandat que la police n’avait pas obtenu.

Un point pour la vie privée, mais le gouvernement est sur le point de disposer d’un outil bien plus controversé et dangereux pour surveiller ce qui se passe à l’intérieur de votre maison.

Contrairement à la caméra thermique, ce dispositif est déjà dans votre maison – et c’est vous qui l’y avez placé.

Comment cela fonctionne-t-il ?

Le WiFi est constitué d’ondes électromagnétiques dans les gammes 2,4 et 5 GHz. C’est la même chose que la lumière que vous voyez, sauf qu’elle peut pénétrer les murs grâce à sa longueur d’onde beaucoup plus grande. Tout comme la lumière (et l’écholocation), ces ondes se reflètent également sur diverses surfaces et, lorsqu’elles sont correctement reconstruites, peuvent être utilisées pour créer une image.

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Xi Van Fleet

Aube DigitaleL’Agenda 2030 du FEM transforme les États-Unis en « dictature marxiste »

Aube Digitale - 12 sep 2023

Une femme qui a survécu à la Chine maoïste déclare que l’Agenda 2030 du FEM transforme les États-Unis en « dictature marxiste »

   

Une femme ayant survécu au régime communiste chinois brutal a mis en garde le Forum économique mondial et les démocrates américains contre la transformation du pays en une « dictature marxiste prolétarienne ».

« J’ai vécu le régime communiste le plus brutal de Chine », a déclaré Xi Van Fleet. « J’ai été témoin de beaucoup de choses. Et maintenant, je vais vous raconter l’un des moments les plus sombres dont j’ai été témoin. Lorsque l’ancien président des États-Unis a été inculpé et pris en photo dans une prison de Géorgie. »

« Je dois dire que l’Amérique devient rapidement un pays communiste et que notre État de droit a été transformé en dictature prolétarienne », a averti Xi. « Le parti au pouvoir s’en prend à l’opposition politique, et pas seulement au président, mais aussi à des gens comme les activistes. Ils sont maintenant en prison. Ce sont des prisonniers politiques dans ce pays « libre » que sont les États-Unis. »

« Bienvenue dans la Chine de Mao en 2030 »

Xi Van Fleet

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nourrir l'âme

Sott : Sign of The TimesLa meilleure résistance au totalitarisme, c'est de nourrir l'âme humaine

Sott : Sign of The Times - 07 sep 2023

Ariane Bilheran

   

Il y a quelques mois, elle a publié un nouvel ouvrage intitulé Sur le Totalitarisme, Conférences 2021-2022. Un opuscule qui rassemble une série de conférences consacrées au phénomène totalitaire.

Au regard de ses travaux en psychopathologie, Ariane Bilheran considère notamment que le totalitarisme correspond « à un délire paranoïaque », c'est-à-dire « une pathologie de contrôle » et « de persécution » des populations.

Inspirée par les travaux d'Hannah Arendt, Ariane Bilheran souligne que « le système totalitaire est la rencontre entre un pouvoir cynique et corrompu, et une masse d'individus crédules et obéissants ».

D'après la philosophe, le totalitarisme ne peut en effet « se mettre en place sans la collaboration de nombreux individus » séduits par le pacte pervers et les fausses promesses du pouvoir totalitaire.

« L'individu, parce qu'il appartient à un groupe, parce qu'il ne veut pas sortir de cette appartenance, va accepter différentes situations intolérables. »

Une fois pris dans l'engrenage totalitaire, les individus ont d'ailleurs beaucoup de mal à s'en extraire : « À partir du moment où la personne s'est engagée dans des actes, c'est beaucoup plus difficile pour elle de faire machine arrière parce qu'elle a accepté une collaboration et, inconsciemment, il est très compliqué pour elle d'assumer sa propre culpabilité. »

Selon Ariane Bilheran, la lutte contre totalitarisme passe par chaque individu et consiste notamment à sortir des conditionnements collectifs pour reprendre « son pouvoir personnel », cultiver sa liberté d'esprit, sa spontanéité, mais aussi à « polir les vertus de l'âme humaine » afin de retrouver « le chemin de notre vie intime ».

« Nous avons affaire à un empoisonnement minutieux, généralisé, pas uniquement alimentaire, mais d'abord mental et émotionnel, remarque la philosophe. La meilleure résistance au totalitarisme, c'est de nourrir l'âme humaine. »

« Il y a toujours des hommes qui refusent ce système de contraintes, ce système d'esclavagisassion, en mettant la liberté comme valeur suprême », poursuit-elle.

« Le système totalitaire nous fait croire qu'il est intéressant d'être immortel. Ce n'est pas le cas. Ce qui est intéressant, c'est de valoriser son existence. Quelle est la valeur la plus haute que je peux mettre à mon existence ? C'est cela qui est important. »

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Le grand Inquisiteur

Nouveau MondeDostoïevski et le grand inquisiteur

Nouveau Monde - 15 août 2023

Dostoïevski : La légende du grand inquisiteur dans Les Frères Karamazov.

   

Avec ces temps modernes, les hommes n’aiment pas la liberté. Ils préfèrent le pain, la télé et la sécurité, et mourir à l’eau tiède.

« Sans nous, ils seront toujours affamés. Aucune science ne leur donnera du pain, tant qu’ils demeureront libres, mais ils finiront par la déposer à nos pieds, cette liberté, en disant : “Réduisez-nous plutôt en servitude, mais nourrissez-nous.” Ils comprendront enfin que la liberté est inconciliable avec le pain de la terre à discrétion, parce que jamais ils ne sauront le répartir entre eux ! Ils se convaincront aussi de leur impuissance à se faire libres, étant faibles, dépravés, nuls et révoltés. »

Dostoïevski

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