Je fais partie de ceux qui ont gagné le privilège d'être aisément en contact avec leurs émotions et de ne pas les redouter. Elles sont des puissances du dedans qui ont vocation à nous inspirer dans notre rencontre avec le réel.
Je confesse volontiers que les procédés les plus brutaux et dévastateurs de la dérive en cours me bouleversent, en particulier lorsqu'ils prennent les personnes âgées, les enfants et les personnes vulnérables pour cible.
Le 28 mai, jour de clôture de la 75e Assemblée mondiale de la santé, grand-messe annuelle qui a rassemblé à partir du 22 mai les 194 États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à Genève en vue de décider de sa politique, l'Alliance internationale pour la justice et la démocratie a organisé au Club de la presse de Genève une conférence de presse intitulée "La centralisation du pouvoir dans les mains de l'OMS menace la démocratie".
Retransmise sur le site Internet de l’association Children’s Health Defense, fondée par l’avocat Robert Kennedy Jr., l’objectif de l’évènement visait à sonner l’alerte sur les amendements au règlement sanitaire international (RSI) de l’OMS proposés par Washington, pour l’instant rejetés, et sur le "traité sur les pandémies" en cours d’élaboration par l’institution.
En quoi notre société faisait-elle déjà l’expérience d’une forme de « dégénérescence » avant l’irruption de la crise sanitaire ?
L'émergence du phénomène totalitaire est-elle le produit d’une société malade, qui a perdu ses repères ?
Comment les peuples ont-ils été dépossédés de leur capacité à exercer leur esprit critique ?
En quoi nous a-t-on supprimé le droit de mener une « vie héroïque » ?
Quelles sont les principales caractéristiques des personnes susceptibles de participer activement au phénomène totalitaire ? Quels sont les profils de celles qui sont, au contraire, en mesure de lui résister ?
En quoi est-il important de faire un travail sur soi pour être capable de résister à l’embrigadement ?
Le phénomène totalitaire n’agit-il pas comme un aiguillon qui exige que nous revoyions à la hausse l’échelle de nos valeurs et notre conception de la vie ?
En quoi vivons-nous « le prolongement de notre fermeture de cœur » ? Pourquoi la charité est-elle “le remède au totalitarisme” ?