Toujours dans le cadre de mes articles concernant le fameux programme de recherches sur le contrôle de l’esprit (MK-ULTRA) élaboré par la Central Intelligence Agency (CIA), c’est-à-dire un premier article sur le magicien John Mulholland (6 mai 2023), un second article sur l’auteur et journaliste Stephen Kinzer (8 mai 2023) et un autre article sur l’opération secrète Crimson Mist qui eut lieu au Rwanda il y a près de trente ans (12 mai 2023), je vous fait part maintenant du brevet US-6506148-B2 intitulé “Manipulation du système nerveux par les champs électromagnétiques des moniteurs”. Comme son titre l’indique, une recherche rapide sur Google vous dira que ce brevet ouvre la possibilité de manipuler le système nerveux par le biais d’ordinateurs et de téléviseurs. Mais le brevet US6506148 B2 est-il faux ou contient-il une part de vérité ? Une chose est certaine, celui-ci a été repris par la très sérieuse National Library of Medicine (NLM, Bibliothèque américaine de médecine) rattachée aux Instituts américains de la santé (NIH).
Guy Boulianne publie en français le document secret du célèbre magicien John Mulholland,— “MK-Ultra : Sous-projet 4″—, datant de mai 1953
Je suis très heureux de vous annoncer que j’ai traduit et publié en français le document qui fut rédigé en 1953 par le magicien John Mulholland (1898-1970), sous le nom de code “Subproject 4” (Sous-projet 4). Ce document avait pour objet d’élaborer les différents aspects de l’art des magiciens qui pourraient être utiles dans le […]
Le brevet affirme qu’il est possible de manipuler le système nerveux d’un sujet en affichant des images pulsées sur un téléviseur ou un écran d’ordinateur à proximité. Le matériel du programme peut être intégré avec l’image pulsée, superposée par un flux vidéo. Il illustre en outre comment les champs électromagnétiques pulsés dans les fréquences idéales peuvent exciter les résonances sensorielles du sujet. Le brevet comprend plusieurs revendications sur la façon dont la transmission vidéo peut manipuler le système nerveux d’une personne. Étant donné que le brevet est disponible en ligne avec la description de la technique et tout le reste, il est naturellement devenu une source de préoccupation pour de nombreuses personnes. Après tout, les enregistreurs de frappe gratuits pour Mac et Windows sont accessibles en ligne, et n’importe qui peut s’inspirer du brevet pour contrôler l’esprit des utilisateurs d’ordinateurs sans méfiance. Doit-on s’inquiéter du brevet US6506148 B2 ?
Le brevet est très similaire à la façon dont certains types de stroboscopes peuvent provoquer des convulsions. Lorsque vous exposez des photorécepteurs à des stimuli particuliers, ils peuvent déclencher des réactions dans le système nerveux ou le cerveau. Même ainsi, nous devrions examiner de près l’objet du brevet. Si vous le lisez, vous remarquerez qu’il n’implique pas de stimuli visuels. Au lieu de cela, il se concentre sur les stimuli cutanés à travers de faibles champs électromagnétiques pulsés à des fréquences de 1/2 Hz ou 2,4 Hz. Pris au pied de la lettre, le brevet ne ressemble pas à une technique prometteuse de manipulation de l’esprit. Un rapide coup d’œil vous montrera qu’il a l’intention d’utiliser des écrans de télévision et des moniteurs d’ordinateur pour gérer les schémas de pointe, ce qui peut être handicapant ou du moins ennuyeux. Comme l’écrit l’équipe de Traqq : « Nous ne considérerons pas US6506148 B2 démystifié, et il y a probablement quelque chose de plus que ce que nous avons mentionné. »
L’Autre Monde est alors représenté comme un pays lointain et inaccessible au commun des mortels. Dans certaines traditions asiatiques, comme dans « Le Conte de la Princesse Kaguya », la lune joue ce rôle. Ce n’est pas le cas en Occident. Néanmoins, sur un plan archétypal, un voyage sur la lune est un exploit surnaturel de dimension mythologique. Cela fait des astronautes Apollo les égaux des anciens demi-dieux, et cette aura a illuminé les États-Unis dans leur ensemble. Telle était l’importance des alunissages : c’était le récit fondateur d’une nouvelle religion qui élevait les États-Unis au rang de nation messianique propulsant l’humanité vers l’avenir radieux technologique2. Le discours du président Nixon, diffusé tandis que le module d’Apollo 11 traçait sa route vers la lune, invitait l’humanité à communier dans ce nouveau culte universel :
« Apollo 11 est en route vers la lune. Elle transporte trois braves astronautes ; elle porte également les espoirs et les prières de centaines de millions de personnes ici sur terre, pour qui ce premier pas sur la lune sera un moment de drame transcendant. Jamais l’homme ne s’est embarqué dans une aventure aussi épique. […] Alors que les astronautes vont là où l’homme n’est jamais allé, alors qu’ils tentent ce que l’homme n’a jamais fait, nous sur terre voudrons, comme un seul peuple, être avec eux en esprit ; partager la gloire et l’émerveillement, et les soutenir avec des prières pour que tout aille bien. »3
Une fois que Neil Armstrong et Buzz Aldrin eurent posé le pied sur la lune, le même Nixon réalisa « the most historic telephone callever made from the White House », récupérant ainsi une partie de leur pouvoir surnaturel de communication avec l’Au-delà.4
Mais qui fait l’ange fait la bête, ou le démon. Comme le fait remarquer le très sceptique chercheur allemand Gerhard Wisnewski dans « One Small Step ? The Great Moon Hoax and the Race to Dominate Earth From Space », ce glorieux voyage lunaire mondialement télévisé qui auréolait les Américains d’une quasi divinité, détournait opportunément l’attention de l’enfer qu’ils imposaient à un peuple ici-bas. Apollo 11 atterrissait sur la lune deux mois après les bombardements illégaux au Cambodge ordonnés par Nixon. Et le programme Apollo cessa peu après que les dernières unités américaines aient quitté le Viêt Nam.
« Alors que les États-Unis d’Amérique assassinaient des milliers de Vietnamiens, brûlaient un hectare après l’autre de forêts vierges et empoisonnaient la terre avec des pesticides, ils essayaient en même temps de fasciner – ou plutôt d’hypnotiser – le monde avec une conquête d’un tout autre genre. »5
À vrai dire, en 1972, les gens s’étaient un peu lassés. Malgré l’arrivée de la télévision couleur, l’ajout de quelques gadgets distrayants comme le moon buggy, un suspens redoublé par la longueur des missions (72 heures sur la lune pour Apollo 17), et l’introduction de gags comme les sauts de Kangourou de Eugene Cernan6, l’enthousiasme du public n’y était plus.
Certains se grattaient même la tête: les astronautes n’avaient-ils rien de mieux à faire sur la lune que de planter le drapeau américain et ramasser des cailloux (380 kilos, toutes missions Apollo confondues) ? « Never come to the moon without a hammer », plaisanta Alan Bean d’Apollo 12 devant la caméra.
Allons-nous vers une époque où les progrès extraordinaires qui ont été réalisés dans les domaines de la nanotechnologie, de la neurologie, la psychologie, l'informatique, les télécommunications et l'intelligence artificielle seront utilisés par les autorités gouvernementales pour contrôler la population ?
Déjà, les gouvernements du monde entier se servent de la "lutte au terrorisme" comme prétexte pour nous observer, pour nous pister, pour numériser l'ensemble de nos communications électroniques, pour nous faire subir des "mesures de sécurité", qui sont si extrêmes que même George Orwell (auteur du livre "1984") ne les a pas imaginées !
Qu'arrivera-t-il le jour où des individus poseront une arme de destruction massive dans une grande ville ?
La tentation d'utiliser ces nouvelles technologies pour contrôler le public devient presque irrésistible et à ce point, on peut même envisager un "contrôle de l'esprit" (mind control). Même si ce mot évoque une fiction, il ne s'agirait que de deux autres événements de type 11 septembre 2001 pour que la population réclame des mesures de sécurité jugées extrêmes pour l'instant, mais devenues souhaitables et impératives dans un tel contexte.
Quand la société connaîtra un effondrement complet et total dans les années à venir, les gouvernements du monde entier seront tentés de prendre des mesures extrêmes, y compris le contrôle à distance des individus, pour rétablir l'ordre. C'est pourquoi quelques unes des avancées les plus récentes dans le domaine des nanotechnologies font froid dans le dos...
Une équipe de chercheurs de l'Université de Buffalo a fait une découverte alarmante. Ce qui suit est un extrait de leur communiqué :
"Des nanoparticules magnétiques visant les membranes cellulaires peuvent contrôler à distance les canaux ioniques, les neurones et même le comportement des animaux", selon un document publié par des physiciens de l'Université de Buffalo dans la revue scientifique "Nature Nanotechnology".
Elle peut répondre, en complémentarité avec l’agriculture traditionnelle, à des situations critiques de l’écologie actuelle. Pour autant, elle présente aussi quelques limites qu’il ne faudrait pas invisibiliser. Analyse en demi-teinte.
Bien que récente, cette agriculture verticale, hors-sol et urbain, s’inscrit en prolongement de techniques millénaires comme l’aquaponie, l’aéroponie et l’hydroponie. Pour autant, cette pratique qui ressemble plus à innovation technologique qu’un savoir ancestrale. À partir du témoignage d’un fervent pratiquant de l’agriculture verticale et de l’exemple d’initiatives existantes, en voici un état des lieux.
Santiago Helou milite pour la protection de l’environnement. Il vit depuis longtemps au Canada et s’est intéressé de près à l’agriculture verticale dans les centres urbains environnants qu’il fréquente. Il va d’ailleurs chercher sa roquette à Goodleaf, une ferme verticale située à 70 km de Toronto, dans la ville de Guelph.
Ce type d’agriculture l’a rapidement captivé tant pour son aspect dynamique, dans un milieu où l’agriculture est un métier qui attire de moins en moins de main d’oeuvre, que pour son adaptabilité aux enjeux climatiques : « L’agriculture verticale est l’une des nombreuses solutions nécessaires pour créer une industrie agricole plus durable, à la fois écologique et capable d’éliminer l’insécurité alimentaire. Il ne s’agit pas d’une solution miracle et elle devra faire partie d’une stratégie plus large qui implique une restructuration radicale des institutions de notre société ».
Le danger de la 5G ne peut être surestimé.
La 5G (5e génération) est actuellement activement déployée dans de nombreuses villes du monde. Simultanément, alors que la prise de conscience de ses horribles impacts sur la santé et la vie privée augmente, de nombreux endroits décrètent des moratoires ou l’interdisent, comme toute la nation belge, la ville de Vaud (Suisse) et San Francisco (États-Unis). Le rayonnement radiofréquence (RF ou RFR) et les champs électromagnétiques (EMF) sont de plus en plus reconnus comme de nouveaux types de pollution — la pollution de l’environnement.
Voici 13 raisons exposant le danger de la 5G, qui pourrait se transformer en une catastrophe absolue pour la santé et la vie privée si suffisamment de personnes ne se lèvent pas pour l’arrêter.
[...]
Un Chat GPT-4 qui ne respecte pas son intention de départ qui est de faire de l'Open Source. C'est très symbolique, c'est un désalignement. C'est se trahir soi-même, donc quand on se trahit soi-même, on aboutit à la maladie. Donc il y aura une maladie qui va être générée par Chat GPT-4. Donc l'IA va jouer un rôle, va peut-être précipiter cet effondrement du mental qui est nécessaire pour que l'on se retrouve fondamentalement.
Il s’agit d’une prouesse technique qui pourrait trouver des applications dans le domaine de la médecine et de la purification de l’air.
Il est important de noter que la machine peut être contrôlée à la fois par des champs électriques et par des champs magnétiques, ce qui sera vital si le robot microscopique doit être déployé dans le corps humain, ce qui est l’intention de ses inventeurs.
Le robot mesure de 5 à 27 micromètres de diamètre et est fabriqué à partir d’une sphère de polystyrène spécialement conçue et recouverte de matériaux conducteurs tels que le chrome, le nickel et l’or.
« Le développement de la capacité du micro-robot à se déplacer de manière autonome a été inspiré par les micro-nageurs biologiques, tels que les bactéries et les spermatozoïdes », explique l’ingénieur en mécanique Gilad Yossifon de l’université de Tel-Aviv en Israël. « Il s’agit d’un domaine de recherche innovant qui se développe rapidement et dont les applications sont très variées. »
Ce micromoteur possède une liste impressionnante de capacités. Il peut se déplacer d’une cellule à l’autre, identifier différents types de cellules, reconnaître si les cellules sont saines ou mourantes, transporter des cellules et appliquer des médicaments ou un gène spécifique à une cellule.
Les chercheurs ont utilisé le robot pour capturer des cellules sanguines, des cellules cancéreuses et une bactérie. Le robot n’a pas encore été testé à l’intérieur du corps humain, mais c’est l’un des domaines où il pourrait être efficace.
Une autre excuse pour introduire l’identification numérique.
Après avoir créé une technologie – utilisée pendant des années, voire des décennies dans l’industrie du divertissement – pour produire des contrefaçons profondes, pourquoi cette même industrie ne nous mettrait-elle pas en garde contre tous les dangers de cette technologie – et ne proposerait-elle pas de toutes nouvelles solutions à ce problème, que certaines d’entre elles auraient ostensiblement créées en premier lieu ?
Il pourrait y avoir un public pour cela.
En particulier celui qui croit à l’idée que la plupart des gens, de nos jours, « vivent leur vie en ligne » – ce qui n’est pas vrai, en ce qui concerne la plupart des gens. Certes, les services en ligne tels que la banque et le chat sont pratiques, mais « vivre » une vie en ligne est une proposition tout à fait différente.
Ensuite, il y a le terme « intelligence artificielle » (IA), alors que toute personne ayant une connaissance, même superficielle, de cette technologie sait que nous sommes aujourd’hui TRÈS loin de ce que les médias grand public font croire, ou de ce qu’ils sont susceptibles de réaliser (le mieux que l' »IA » puisse offrir aujourd’hui est un faible sous-ensemble appelé « apprentissage automatique », ML).
Cela mis à part, le Times of London semble vous demander de mettre de côté toutes vos connaissances, votre scepticisme et votre expérience, et de suivre l’histoire – comme dans « ne jamais laisser la vérité se mettre en travers d’une bonne histoire ».
C’est ainsi que nous apprenons que des « entrepreneurs inventent des défenses d’identité numérique ».
« Le smartphone, ça me rend accro et c’est intrusif ! » Depuis belle lurette, Louise [*] lui préfère un bon vieux Nokia 108 pour simplement téléphoner et envoyer des SMS. Et, la plupart du temps, ça lui suffit. « Tout le monde dans mon entourage me connaît pour avoir un “petit bigo” », raconte-t-elle. Mais fin 2022, l’étudiante ne capte plus le réseau 2G de son opérateur, Free mobile. Pas plus de succès avec un autre Nokia 108, trouvé sur Leboncoin et qui marche pourtant parfaitement avec Orange. Sa carte SIM est-elle en cause ? Non, lui assurent les conseillers du service client de Free. Un premier évoque « l’arrêt du réseau pour les vieux modèles de téléphone ». Une seconde lui explique que « la 2G n’est plus présente sur certains territoires ». Adieu le bigophone.
Free mobile aurait-il débranché son réseau 2G ? L’opérateur est catégorique : « Nous n’avons coupé ni la 3G, ni la 2G en itinérance. » Free ne possédant pas son propre réseau 2G, ses clients basculent depuis toujours sur celui d’Orange via un accord d’itinérance qui porte aussi sur la 3G. Ce contrat a d’ailleurs été prolongé récemment jusque fin 2025. Pourtant, la bascule vers le réseau d’Orange n’est plus systématique ces derniers mois.
Louise n’est pas un cas isolé. À Brest, par exemple, d’autres « freenautes » ont remarqué une perte du réseau 2G depuis l’été 2022. Certains ont retrouvé leur connexion depuis, d’autres non… Sur le site de Darty, des consommateurs racontent la même mésaventure. Parmi eux, Laurent écrit le 11 janvier à propos d’un téléphone Gigaset GL390 uniquement compatible 2G : « J’ai acheté ce téléphone mobile pour ma mère de 83 ans, car simple d’utilisation. Cependant, il n’est pas compatible avec son opérateur Free. »
Et comme il n’y a pas de raison qu’on soit moins cons que les autres, l’Union européenne vient d’annoncer qu’elle se lançait elle aussi dans la course.
« On a réussi à faire partager ce sentiment d’urgence. » Le 14 février 2023, le commissaire européen Thierry Breton est aux anges. Fait rare, il esquisse même un sourire. Moins d’un an après avoir présenté son projet Iris2 , le Parlement européen vient de l’approuver à la quasi-unanimité : 603 voix pour, 39 abstentions, et seulement 6 voix contre. C’est un plébiscite.
Iris2 serait-il un programme de réduction drastique des émissions de gaz à effet de serre ? Rien à voir. Il s’agit du projet de constellation de satellites, destiné à « permettre à chacun des citoyens européens d’être connecté à internet, qu’il se trouve dans des vallées isolées, qu’il se trouve dans des îles éloignées », se félicite le rapporteur du texte, l’eurodéputé français Christophe Grudler (Renaissance). Ou même en pleine mer ou en avion, pourrait-il ajouter. S’ils fonctionnent comme prévu, ces satellites doivent en effet permettre de rester connecté partout, tout le temps. Et apparemment, il s’agit non seulement d’un impératif, mais aussi d’une urgence absolue.
« Désormais, la connectivité, (…) ça veut dire beaucoup d’autres choses qu’une simple communication téléphonique », a justifié Thierry Breton. Mais quoi donc, au juste ? Le commissaire européen a essentiellement mis en avant deux domaines : celui de l’internet des objets – un scénario publié en mars par l’Ademe et l’Arcep prévoit jusqu’à 11 milliards d’objets connectés en 2050 pour la seule France – et celui de la défense, dans lequel les télécommunications ont pris une place centrale. En février, un caprice d’Elon Musk est d’ailleurs venu rappeler l’importance de ces connexions dans les zones en guerre : le patron de SpaceX a subitement décidé que l’armée ukrainienne ne pourrait plus se servir de son réseau Starlink, jusque-là utilisé pour faire voler des drones et transmettre des informations. Ou quand un crétin milliardaire peut influer sur un conflit international.
Car le crétin en question a, justement, une longueur d’avance sur ses petits camarades en matière d’internet satellitaire : quelque 3.200 de ses satellites sillonnent déjà l’orbite terrestre basse. Mais ce n’est qu’un début. Les autorités états-uniennes ont en effet répondu favorablement à sa demande d’en positionner, à terme, 42.000. C’est beaucoup ? C’est énorme ! Pour avoir un élément de comparaison, Galileo (le GPS européen), n’en utilise « que » 27.