La démonstration – s’il en était besoin – du vieil adage selon lequel les dieux aveuglent ceux qu’ils veulent perdre. Car ce qui se passe était évident et implicite dans l’évolution des choses. Mais, dans ce qu’il est convenu d’appeler l’Occident, nous avons continué à jouer avec l’idée que les BRICS n’étaient qu’un acronyme sans substance. Et que les désaccords entre les membres historiques ne déboucheraient sur rien de concret lors du sommet sud-africain.
Et au lieu de cela ?
Et bien, au lieu de cela, ce sommet a changé la carte du monde.
Essayez de la regarder.
Avec l’entrée de l’Égypte, les BRICS contrôlent effectivement Suez. Avec l’entrée de l’Éthiopie dans le club, ils dominent le détroit de Djibouti et les pays bordant la mer Rouge.
Avec l’Arabie saoudite, ils contrôlent non seulement la mer Rouge, mais aussi l’accès au golfe Persique. Une coopération jusqu’alors impensable avec l’Iran. Et les Émirats arabes contrôlent Ormuz et le passage entre le golfe Persique et l’océan Indien.
Le très proche conseiller de Klaus Schwab, Yuval Harari, compare les territoires palestiniens occupés par Israël à un laboratoire de 2,5 millions de cobayes.
« Pirater les gens signifie connaître les gens mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes… Et nous arrivons déjà à l’émergence des régimes de surveillance totale comme dans mon pays en Israël où nous avons un grand laboratoire de surveillance appelé « les territoires occupés » où il y a 2,5 millions de cobayes, qui montre comment surveiller et contrôler complètement une population avec très peu de soldats. »
L’avenir est là, et si vous aimez être dominé par des fous du contrôle, vous allez l’adorer.
L’identification numérique est l’un des principaux domaines sur lesquels les mondialistes se concentrent actuellement et, comme vous le verrez ci-dessous, les changements radicaux qui sont actuellement proposés sont extrêmement effrayants. Mais la plupart des Américains n’ont aucune idée de ce qui se passe. Au lieu de cela, beaucoup d’entre eux sont obsédés par les drames relativement insignifiants que nos organes d’information corporatifs ne cessent de mettre en avant.
Pendant ce temps, les mondialistes atteignent leurs objectifs à la vitesse de l’éclair, et il n’y a pratiquement aucune résistance. Voici 8 signes qui montrent que le programme futuriste de contrôle des mondialistes progresse rapidement…
Après la deuxième guerre mondiale, c’est le début de la guerre froide. Des nations mènent des combats et dans le choix des armes, plusieurs techniques sont utilisées dont la propagande. Le but étant de faire accepter aux peuples des concepts et de modifier la perception d’évènements. L’ennemi était le communisme, mais pas pour sauver les peuples de cette doctrine en apportant de la démocratie, ça c’est la façade. La finalité était d’atteindre une hégémonie économique.
es Etats-Unis, et par là, il faut comprendre la C.I.A, avaient bien compris que cela devait passer par les organes de presse mais pas que. L’agence, un véritable état dans l’état, créée en 1947 par le Président Truman, dispose dès ses débuts de fonds illimités. Et, comme toute agence de renseignements digne de ce nom, elle sait qu’une des conditions fondamentales de la victoire tient à un contrôle sans faille de l’opinion publique. Ce sera la mission de l’Opération Mockingbird. (1)
En 1948, les États-Unis ont lancé le plan Marshall, une initiative visant à aider l’Europe dévastée à se remettre de la guerre. La CIA a décidé de siphonner des fonds pour créer le « Bureau de coordination des politiques », qui deviendrait la branche des actions secrètes de l’agence. On parle de 265 millions de dollars par an (l’équivalent de 1 million et demi actuels).
Mockingbird, consistait à recruter des journalistes et les payer pour écrire de faux articles avec des documents classés de la C.I.A, qui promouvaient la vision stratégique de l’agence de renseignement. Pour éviter les fuites de ces informations top secret, il y a eu des écoutes téléphoniques de personnalités politiques et journalistiques, avec la complicité de la compagnie de téléphone et avec le consentement du procureur général. L’opération a abouti à l’identification de dizaines de sources de journalistes, dont un membre du personnel de la Maison Blanche, un procureur général adjoint, vingt et un membres du personnel du Congrès, six membres du Congrès et douze sénateurs.
L’opération Mockingbord (« opération Oiseau moqueur ») comprenait également des organisations culturelles étudiantes et des magazines auraient été financés comme façades de cette opération. En France, Thomas Braden a fondé le « Congress for Cultural Freedom » en 1950 (2), dirigé par l’agent de la CIA Michael Josselson. Établi à Paris et dans 35 pays, il était l’une des chevilles ouvrières majeures de l’offensive sur le front gauche. Il regroupe toutes sortes d’iconoclastes et de libres penseurs réunis autour du refus du « totalitarisme stalinien » et de la défense de la « liberté occidentale ». L’Europe, avec ses anciens cercles intellectuels souvent anti-impérialistes et idéologiquement proches du communisme, se retrouve ainsi au centre des préoccupations de la CIA et en première ligne de la guerre psychologique.
Les députés britanniques craignent qu’un nouveau traité visant à accroître les pouvoirs de l’OMS ne lui permette de fermer les frontières et d’introduire les passeports vaccinaux
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) pourrait imposer des mesures de confinement au Royaume-Uni [et dans tous les pays européens] lors d’une future pandémie en vertu de nouveaux pouvoirs étendus.
Les États membres seraient tenus de suivre les instructions de l’Agence lorsqu’ils réagissent à des pandémies, notamment en introduisant des passeports vaccinaux, des fermetures de frontières et des mesures de quarantaine, selon un projet de mise à jour des règlements de l’Agence.
Un nouveau « traité sur les pandémies » en cours de discussion obligerait également la Grande-Bretagne à consacrer 5 % de son budget de santé à la préparation d’une nouvelle épidémie de virus.
Les ministres se disent alarmés par les projets visant à accroître les pouvoirs de l’OMS, ce qui permettrait à son organe directeur d’exiger des pays qu’ils lui remettent la recette des vaccins, sans tenir compte des droits de propriété intellectuelle, et de lutter contre la désinformation.
Les députés conservateurs ont écrit aux ministres pour les mettre en garde contre une « ambition évidente pour l’OMS de passer d’une organisation consultative à une autorité internationale de contrôle ».
Lorsqu’il pleut beaucoup, posséder un récupérateur d’eau de pluie est un excellent moyen de faire des économies au quotidien... Et d’adopter un mode vie plus écologique. Cependant, il existe, en France, quelques interdits en la matière. Suivez le guide pour éviter les faux pas... et les amendes.
Récupérer l’eau de pluie : les conditions à respecter
Récupérer et réutiliser l’eau de pluie est autorisé, mais selon certaines conditions. Pour ce faire, vous pouvez utiliser un récupérateur d’eau de pluie classique, ou un système DIY. Mais il faut que votre installation respecte les règles suivantes :
L’eau récupérée doit avoir ruisselé sur une toiture qui n’est pas accessible au quotidien
Le toit ne doit pas contenir de l’amiante ou du plomb
Elle doit être stockée dans une cuve hors-sol ou enterrée
Il n’est pas permis d’utiliser du produit antigel dans la cuve de stockage
Votre réseau d’eau de pluie ne doit surtout pas être raccordé au réseau d’eau potable
Dans votre maison, vous ne pouvez pas posséder à la fois des robinets d’eau potable et des robinets d’eau de pluie. Les robinets d’eau de pluie doivent par ailleurs être verrouillables.
Une fiche attestant de la conformité de votre installation doit être établie par la personne responsable de sa mise en service
Réutiliser l’eau de pluie : les usages autorisés et interdits
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit le terme« One Health » [Une seule santé]comme étant une « approche intégrée et unificatrice qui vise à équilibrer et à optimiser durablement la santé des personnes, des animaux et des écosystèmes », car ils sont « étroitement liés et interdépendants » – un concept qui, à première vue, semble promouvoir des objectifs nobles reliant la santé humaine et la santé environnementale.
Toutefois, certains scientifiques et experts médicaux s’inquiètent des objectifs vagues de One Health. Soutenant que le concept a été « détourné », ils remettent en question l’intention des personnes impliquées dans le développement et le déploiement mondial du concept, notamment l’OMS, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) et la Banque mondiale.
Les experts qui se sont entretenus avec le Defender ont également soulevé des questions sur d’autres aspects du concept « One Health », notamment un programme de biosécurité, un système de surveillance mondial, des passeports pour les vaccins et des restrictions sur le comportement humain.
Bien que ces objectifs soient étayés par une « théorie du changement » vaguement définie, des experts ont déclaré au Defender que des intérêts financiers majeurs sont au cœur du programme « One Health », qui semble être étroitement lié au changement climatique et aux initiatives de développement durable promues par les mêmes organisations mondiales.
Les objectifs de One Health incluent une « prise de contrôle globale de tout »
ul n’a besoin d’être un grand génie des mathématiques ou de la physique et encore moins de l’intelligence artificielle pour comprendre à quel point cette mascarade de la sécheresse et de la gestion de l’eau n’a absolument aucun sens. D’abord parce qu’il a beaucoup plu aux mois de mars et avril et que, malgré des inondations et des crues, la propagande continue de nous expliquer que l’on va manquer d’eau. Mais pire encore, alors que tout le monde doit serrer la ceinture, que l’on va devoir payer plus cher l’eau, l’entreprise Coca-Cola continue de piller les ressources en eau de l’Hexagone pour fabriquer une boisson ultra sucrée très dangereuse pour la santé et responsable d’un nombre incalculable de maladies comme le diabète, l’obésité, les caries dentaires… On vous l’annonce dès maintenant, aucune restriction ne concernera Coca-Cola ou Pepsi-Cola dans un futur proche. Par contre, on vous imposera de mettre un compteur d’eau sur votre puits, on vous interdira d’arroser vos plantes, remplir votre piscine…
Bien sûr, Coca-Cola va expliquer qu’ils vont cesser de pomper l’eau de la nappe phréatique mais ne vous inquiétez pas, les 800 000 m³ annuels utilisés sur le site de Grigny seront pompés ailleurs, car il faut absolument continuer à vendre ce poison dangereux.
Il est toujours pratique d’avoir un puits chez soi. Surtout s’il permet d’alléger la facture d’eau potable. Et la loi l’autorise : l’article 552 du code civil stipule que le propriétaire d’un terrain l’est aussi de son sous-sol, jusqu’à 10 mètres de profondeur.
Mais depuis le 1er janvier dernier, un décret est venu changer la donne. Les propriétaires de puits doivent désormais déclarer leur installation en mairie. Si l’installation est antérieure au 31 décembre 2008, il ne reste plus que quelques jours, jusqu’au 31 décembre, pour la déclarer. Si vous voulez construire, la déclaration est, naturellement, également obligatoire. Mais que dire d’une simple déclaration ? À première vue, rien de bien contraignant. Sauf qu’il faut, également, équiper le puits d’un dispositif de comptage du volume d’eau prélevé. En clair : installer un compteur.
Guy de la Fortelle était l’invité de l’émission Ligne Droite sur Radio Courtoisie pour discuter de sujets liés à la finance, notamment les espèces et les crypto-monnaies. Au cours de l’émission, il a lancé un défi aux auditeurs: “J’invite tous vos auditeurs à aller retirer 5.000 euros en espèce à la banque. On ne leur donnera pas, pas facilement en tout cas”. Cette déclaration soulève des questions importantes concernant la disponibilité des liquidités qui sont censées être à la disposition des clients des banques.
Désormais baptisé "Mon Espace Santé", le carnet de santé numérique des Français semble enfin prendre son envol, après deux décennies de tâtonnements.
En un peu plus d'un an, 8,4 millions de personnes, soit 13% de la population, ont demandé les clefs (le mot de passe) de ce coffre-fort numérique, qui conserve leurs résultats d'analyse biologique et d'imagerie médicale, leurs comptes-rendus d'hospitalisation ou de consultation, ordonnances et autres documents de santé.
Mais plus que ce nombre d'utilisateurs, somme toute encore modeste (l'objectif est de couvrir toute la population), le ministère de la Santé se félicite de la forte croissance du nombre de documents stockés dans les Espaces de santé des Français.
Aujourd'hui, près de 10 millions de documents sont déposés chaque mois par hôpitaux, laboratoires et praticiens. C'est à peu près la moitié de l'objectif fixé à terme pour Mon Espace Santé (soit 250 millions de documents stockés par an), souligne le ministère.
Et c'est déjà autant, en un mois, que ce qu'avait rassemblé dans toute son existence le Dossier médical partagé (DMP), prédécesseur de Mon Espace de Santé, lui-même énième avatar d'un projet lancé en 2004 et refondu à plusieurs reprise.
Ce qui différencie Mon Espace Santé des tentatives précédentes? Il a été créé automatiquement pour chaque assuré social, sauf opposition écrite de celui-ci. Et il est approvisionné en documents, là encore automatiquement, grâce à l'effort de mise à jour de l'armada de logiciels médicaux utilisés par les soignants.
Pour l'instant, les établissements hospitaliers et les laboratoires d'analyse médicale sont les principaux pourvoyeurs, avec respectivement 34 et 33% des documents expédiés sur les Espaces des Français. L'enjeu est désormais de convaincre les praticiens libéraux d'approvisionner plus largement l'Espace santé de leur patients.
Nouvelles fonctionnalités
Mon Espace Santé est "un progrès majeur en France", selon Arthur Dauphin, chargé de mission à France Assos Santé, qui fédère les associations d'usagers du système de santé.
"Chaque usager peut bénéficier" de ce regroupement au même endroit de tous ses documents médicaux, et ce, même s'il les garde pour lui-même, en refusant de le partager avec ses soignants, indique-t-il. Pour apaiser les craintes d'un "Big Brother" sanitaire, les usagers ont en effet la possibilité s'ils le veulent d'occulter certains, voire tous les documents versés dans leur coffre-fort numérique.
Des associations de défense des libertés ont mis en garde contre Mon Espace Santé, dont La Quadrature du net, qui avait appelé les Français à refuser expressément la création d'un compte. "Tout fichier centralisé, toute base de données, présente le défaut de centraliser des données dont la dispersion peut paradoxalement être un avantage", estimait-elle lors du lancement public de Mon Espace Santé. La Quadrature critiquait notamment la manière dont ce coffre-fort numérique gère les consentements des utilisateurs, qui n'est selon elle ni "respectueuse", ni "fiable", ni "réaliste".
L'appel au boycott semble avoir été peu entendu, puisque seuls 2% des Français ont expressément refusé la création d'un compte, selon les chiffres du ministère.
Même si le gouvernement américain aide à financer le programme chinois d’avortement, de stérilisation et d’infanticide forcés, ainsi que le « programme de planification familiale » des Nations unies, la plupart des gens trouvent impossible de croire que ces programmes font réellement partie d’un plan plus vaste visant à éliminer de larges segments de la population mondiale.
« Comment pouvez-vous croire cela ? » me demande-t-on souvent. La réponse est très simple : j’ai lu les écrits de ceux qui ont l’intention de dépeupler de grandes parties de la Terre et je les crois. Ils ont écrit sur la nécessité de réduire — par la force si nécessaire — la population mondiale.
Au Royaume-Uni, le Centre de sécurité nationale, alias « SitCen », un organisme gouvernemental, a conclu un contrat avec la société de télécommunications espagnole Telefonica, dans le but d’utiliser les données mobiles pour obtenir des « informations » sur un éventail assez large de comportements de personnes. Et il s’agit de millions de personnes. Un tiers de la population du Royaume-Uni, en fait – si l’on en croit les télécoms.
L’accord consiste à permettre à SitCen, avide de big data, d’accéder aux informations du service O2 Motion Data & Insights de Telefonica au Royaume-Uni.
Pendant cette période, le SitCen – créé l’année dernière en tant que lieu centralisé géré par le Cabinet Office pour les interventions d’urgence – et O2 travailleront ensemble pour transformer les données extraites des téléphones des utilisateurs en « insights » concernant leurs mouvements (localisation), leurs habitudes de mobilité (mode de transport), ainsi que des informations liées au comportement et à la démographie.
Ces données seront à la fois en temps réel et anonymes, promettent les promoteurs du projet.