France : VPN nécessaire pour regarder la bande annonce : https://rumble.com/v3rodbv-police-state-a-film-by-dinesh-dsouza.html
Le documentaire « Police State » a indéniablement touché une corde sensible dans le cœur du public américain et a connu un succès retentissant cette semaine. Fruit de l’imagination du cinéaste Dinesh D’Souza, le film a généré un nombre impressionnant de spectateurs dans le pays, dépassant sans peine le précédent record détenu par un autre projet de D’Souza, « 2000 Mules« .
En exprimant les sentiments qui résonnent dans le pays, « Police State » touche une corde sensible. Son succès signifie que les Américains aspirent à un contenu perspicace qui en dit long sur les problèmes urgents qui pèsent sur leur réalité actuelle, principalement en ce qui concerne la liberté d’expression et l’érosion des libertés civiles.
Les ventes de billets en ligne pour le 25 octobre ont dépassé les attentes. Pour prolonger le discours, une première virtuelle est également prévue pour le 27 octobre et sera exclusivement disponible en streaming sur Rumble. Cette vague récente d’immense popularité s’est traduite par des projections à guichets fermés dans plusieurs cinémas – un gage de la réputation saisissante du film.
Qui est réellement Thierry Casasnovas ?
Est-il le leader incontesté d’une secte ou bien est-il une victime de sa décision de ne pas suivre la voie dictée par les laboratoires et de la Miviludes « Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires » ?
Dans cette interview inédite, Thierry Casasnovas se livre comme il ne l’a jamais fait. Il partage son parcours depuis sa jeunesse, sa lutte contre une maladie qui aurait dû l’emporter, sa guérison, et le chemin qu’il a parcouru au fil des années jusqu’à devenir aujourd’hui, sous la plume des journalistes, le « pape très controversé du crudivorisme ». La question demeure : Est-ce la justice qui parle ou bien est-ce la cabale qui le cible ?
Le Média en 4-4-2 vous offre l’opportunité de vous forger votre propre opinion.
Il n’y aura plus de nuit montre des images que ne devraient pas être vues. «Ces images ne sont pas faites pour être regardées». Non, ces images sont faites pour être simplement, pour exister car elles doivent rendre compte de la substance d’une opération, d’un mouvement, d’un moment. Il n’y plus de frontière entre réel et fictionnel car l’image même incarne la vision propre de celui qui voit et de celui qui agit.
Nous voyons ce que voit le pilote de l’hélicoptère de combat dans lequel la caméra est embarquée. Elle suit les mouvements du pilote, elle filme ce qu’il regarde. Ou plutôt, elle est l’extension de l’œil du pilote, elle lui apporte ce qu’il n’a pas : la possibilité de voir à plusieurs kilomètres, la nyctalopie, la vision thermique. Mais au-delà même de la technicité — cette caméra enregistre, aide mais aussi astreint le pilote à un contrôle permanent — c’est le rapport à l’autre qui commande. Celui qui est regardé mais qui ne le sait pas. Le jour, à des centaines de mètres voire à des kilomètres de la cible, le pilote distingue le genre, les vêtements, les détails d’une voiture, ou encore à quoi un groupe d’enfants est en train de jouer. En Syrie, en Irak, en Afghanistan et en règle générale partout où l’armée d’une grande puissance militaire impose sa force, cette armée voit, presque divinement, les individus vivre. De jour comme de nuit : la nuit, ils sont aussi visibles que le jour, mais les hélicoptères, eux, ne sont plus repérés qu’au roulis de leurs pales.
Il n’y aura plus de nuit est le cri sourd d’une industrie de la guerre, d’une technologie grandissante, d’une jouissance de puissance : voir sans être vu, voir celui qui ne nous voit pas.
Vous découvrirez à travers cette vidéo les aspects historiques et scientifiques qui attestent de la cohérence de cette approche. Rejeté de notre arsenal de soin, elle a depuis retrouvé ses lettres de noblesse et un nombre croissant de personnes l'utilisent pour recouvrer sa forme physique et son bien-être, en particulier pour le traitement d'un grand nombre de maladies chroniques.
Gagnant du prix du public du meilleur documentaire au festival Dances With Films, le film partage le parcours de la famille Tickell avec le pouvoir de guérison de la mise à la terre, alias la mise à la terre, et les personnes avec lesquelles ils ont rencontré et appris en cours de route; mettant en vedette le pionnier de la mise à la terre Clint Ober, l'auteur Deepak Chopra M.D., l'actrice / activiste Amy Smart, l'auteur / activiste Mariel Hemingway, le cardiologue Dr Stephen Sinatra, le guérisseur renommé Dr Joseph Mercola, l'ingénieur et physicien Gaetan Chevalier, PhD. et plein d'autres.
Plus de 20 études évaluées par des pairs ont montré que la mise à la terre (mise à la terre) réduit l'inflammation ... l'un des processus biologiques internes les plus dommageables qui conduit à une maladie chronique. Alors sortez et mettez les pieds sur terre, et / ou augmentez votre temps de mise à la terre à l'intérieur avec des produits de mise à la terre. Votre corps et votre esprit vous remercieront! Renseignez-vous sur toutes les études et recherches sur https://earthinginstitute.net
Ce documentaire met en scène Matt Walsh posant la simple question « Qu’est-ce qu’une femme ? » à des personnes du monde entier, un pédiatre, un thérapeute familial et conjugal, un chirurgien de changement de sexe , un opposant transgenre aux transitions médicales pour les mineurs, le psychologue Jordan Peterson, etc. Matt Walsh a également discuté des termes « non binaire » et « transgenre » avec une tribu Masaï au Kenya. Le documentaire traite aussi de la chirurgie de changement de sexe et des athlètes transgenres dans le sport féminin.
« La plupart des gens à qui nous avons parlé ne voulaient pas en parler ou ils semblaient confus à propos de quelque chose d’aussi simple que ce qu’est une femme »