Il était déjà difficile de se forger une perception claire de la réalité lorsque nous n’avions à faire face qu’à la propagande des conglomérats médiatiques détenus par les ploutocrates et à l’endoctrinement de nos systèmes éducatifs au service du pouvoir. Désormais, en plus de ces obscurcissements persistants, nous devons composer avec des phénomènes tels que la manipulation algorithmique de la Silicon Valley, les opérations de désinformation impérialistes comme Wikipédia, et le domaine en pleine expansion de la gestion de la perception par l’IA.
Je me souviens d’une conférence de Julian Assange en 2017 où il décrivait un avenir où l’intelligence artificielle serait capable de collecter les données des internautes et de manipuler l’information qu’ils consultent en ligne grâce à un prisme perceptif sur mesure, conçu pour influencer leur pensée de manière si subtile qu’elle passe inaperçue. Il a comparé cela à la façon dont un programme informatique peut jouer aux échecs avec des stratégies anticipant 20 à 30 coups à l’avance, à un niveau que le cerveau humain ne peut tout simplement pas suivre, affirmant que nous aurons un jour une intelligence artificielle capable de manipuler la perception du public avec un degré de sophistication similaire.
Il est bien plus facile d’imaginer cet avenir aujourd’hui qu’en 2017. Certes, la classe dirigeante n’investit pas des milliards dans l’IA pour que nous ayons tous droit à des illustrations gratuites de nous-mêmes, dignes du Studio Ghibli. Il est entendu que les principaux retours sur investissement proviendront de l’intégration délibérée de ces nouvelles technologies dans tous les aspects de notre civilisation, sous l’impulsion des structures de pouvoir, officielles ou non, qui régissent notre société. Et cela se fera de manière à profiter aux riches et aux puissants.
Nous nous dirigeons vers un avenir où toutes nos informations seront bientôt stockées et analysées par une intelligence artificielle contrôlée par des gouvernements et des mégacorporations milliardaires, qui pourront ensuite utiliser ces données pour nous surveiller, nous manipuler et nous opprimer. Toutes nos informations médicales et financières. Des profils psychologiques complets, basés sur nos activités en ligne. Une évaluation de notre personnalité bien plus poussée que ce que nous pourrions jamais réaliser nous-mêmes.
Ces informations pourront ensuite servir à déterminer le type de publicités et de produits susceptibles de nous cibler, voire même à créer une publicité sur mesure, spécialement pour nous. On peut s’en servir pour déterminer quel type de médias ou d’experts au service du pouvoir est susceptible de flatter nos biais de confirmation, puis s’assurer qu’ils croisent notre regard à un moment opportun de la journée. On peut s’en servir pour évaluer notre propension à nous opposer au système impérial, que ce soit en participant à une marche pour la paix, en créant un syndicat ou en menant une révolution armée. On peut s’en servir pour suivre de près notre propre cheminement vers la radicalisation politique, et pour nous fournir des informations destinées à orienter cette énergie dissidente vers des mouvements politiques qui ne menacent pas l’ordre établi.
Nos dirigeants perçoivent l’IA comme une opportunité de reconquérir le contrôle social ébranlé par la généralisation d’Internet – une perte d’hégémonie informationnelle dont se plaignent ouvertement les oligarques et les gestionnaires d’empires, notamment quant à la diffusion des dissensions publiques sur des sujets comme le conflit israélo-palestinien via les réseaux sociaux.
La journaliste Whitney Webb a révélé qu’Eric Schmidt, magnat de Google, a co-écrit un ouvrage avec le criminel de guerre Henry Kissinger. Ce livre envisage un avenir où le public deviendra de plus en plus dépendant de l’intelligence artificielle, qui pensera et s’exprimera à sa place, imbriquant ainsi toujours davantage notre conscience dans ces technologies détenues par les oligarques.
«L’ouvrage de Kissinger et Schmidt sur l’IA affirme en substance que, selon eux, la véritable promesse de l’IA réside dans sa capacité à manipuler la perception – qu’à terme, les individus seront incapables d’interpréter ou de percevoir la réalité sans l’aide d’une IA, par le biais d’un déclin cognitif et d’une impuissance acquise», avertit Webb.
Une fois que nous aurons délégué notre souveraineté cognitive à l’IA, nos esprits auront été capturés par les propriétaires des machines.
Nous empruntons donc un chemin sombre et inquiétant. Collectivement, nous devrons puiser en nous la force de lutter contre cette dystopie qui engloutit toujours plus de ce qu’il y a de bon dans notre monde. Individuellement, nous devrons trouver les moyens de préserver notre lucidité intérieure malgré les efforts de plus en plus agressifs de l’empire pour nous rendre abrutis, stupides et désorientés.
Heureusement, il existe encore de vastes pans de notre humanité qui leur échappent, et nous aurions tout intérêt à nous familiariser avec ce terrain fertile. Inspiration. Créativité. Conscience. Éveil spirituel. Autant de domaines où les magnats de la tech et les ingénieurs sociaux impériaux ne peuvent s’aventurer.
Explorez votre propre conscience. Sondez profondément la nature de vous-même et de l’esprit jusqu’à ce que la clarté vous apparaisse. Guérissez vos blessures intérieures. Débarrassez-vous de toutes les emprises mentales de la peur et de la haine afin que les propagandistes ne puissent trouver aucun moyen de vous manipuler. Écoutez les murmures de votre muse et apprenez à laisser votre inspiration donner naissance à une nouvelle expression créative.
Voilà le genre de choses que nous devrons faire pour nous préserver dans ce monde nouveau et étrange, en plus de l’effort habituel de rester informés et d’apprendre à déjouer les illusions de la propagande. Heureusement, tout cela est bénéfique ; la voie de la préservation de notre humanité est aussi celle d’un être humain plus épanoui et d’un monde meilleur.
Nous sommes appelés à nous éveiller et à nous transformer. Non pas à nous éloigner de notre humanité, comme l’imaginent les transhumanistes, mais à plonger au cœur même de celle-ci, pour laisser éclore en nous un bourgeon qui sommeille en nous depuis toujours. Notre époque nous invite à évoluer vers une espèce véritablement consciente.
N’écoutez plus les médisances, même en mal et en colère, leur unique but reste de monopoliser l’attention du maximum d’humains à… n’importe quel prix. Ainsi, ne dites plus «élites ou zélites», avec un léger rictus de dénégation qui signifie «ils ne sont surtout pas une élite» – dites-le directement qu’ils ne sont que la lie de la société. Celle qui ne la mérite surtout pas. Des imposteurs très anti-élites. Société qui «a même le droit de se défendre» (oui contre eux, eux qui le réclamaient frauduleusement partout). Défendons-nous à fond tout de suite !
N‘en avez-vous pas assez que trop d’infos (sic) ne concernent que cette nuisible association de malfaiteurs ? Et pas les milliards d’humains (rendus silencieux, sans cesse on leur coupe le micro !), que vous ne voudriez donc jamais rencontrez alors ? Pourquoi n’en parlez- vous jamais de ces milliards d’humains rendus silencieux ? Vu qu’ils restent l’immense majorité ? C’est trahison déjà de quoi de les «passer sous silence» ? Pensez-vous qu’ils n’ont pas le droit à la parole ? Et au nom de quoi alors ? Rien ne vous oblige à persister dans ces trop dénis du réel !
Vous paraissez ne transmettre qu’aucune information pour tous nous libérer de cette caste si malfaisante et qui hait au plus haut point l’Humanité. Alors que rien ne vous y oblige ! Voilà. Ne les relayez jamais. Que tous leurs mensonges tombent à l’eau. Parlez d’eux le moins possible. Leurs mots ne sont symptômes que de leurs graves maladies : ils ne nous servent en rien. Transmettez – à la place – surtout les messages de libérations. Transmettez surtout ces milliards d’humains qui furent rendus silencieux.
1. Il y a tant d’autres manières de présenter… les faits et d’avancer de vraies explications
• Bernard Arnault aux U.S.A. aurait 1,1 milliard d’impôts sur le revenu à payer, pour 3 milliards de reçus.
Vous ne le saviez pas ?
Oui si nos trop milliardaires partaient vivre aux États-Unis, pays pourtant peu réputé aujourd’hui pour leur fiscalité excessive, ils paieraient bien… davantage d’impôts (alors que sur les plateaux télés ils vantent le système états-unien ! Mais surtout sans vouloir y vivre !!!).
Voici pourquoi :
En 2024, Bernard Arnault a touché environ 3 milliards d’euros de dividendes de LVMH. Ceux-ci n’ont pas été soumis à la Flat Tax (30% de taxation) car ils vont à sa «holding familiale» = pas d’impôts payés en France.
Mais si Bernard Arnault habitait à New-York, ces 3 milliards d’euros auraient été taxés selon le barème états-unien (23,8% fédéral+14,8% à New York) soit… 1.1 milliard d’impôts sur le revenu à payer. Et zéro en France, pays prétendu surimposé. Cela dépend pour qui en tout cas ? Rien ne vous oblige à persister dans ces encore dénis du réel ! Ainsi tant d’infos essentielles ne passent pas, pendant que les inexcusables conformistes OBLIGENT tous les autres qu’eux à se faire tant avoir. Et toujours plus fiers de leurs bêtises inexcusables (inexcusables pourquoi ? allons, allons suffit de chercher par soi-même, pour savoir !) ils font continuer les… envahissements d’injustices.
2. Autre : que rien ne vous oblige à croire ! Ukraine : Poutine et Trump ne veulent pas, unis là-dessus, que les européens participent aux négociations de paix. En effet, leurs acharnements tellement maladifs à agresser sans cesse la Russie prouvent qu’ls ont perdu toute raison. Mais là n’est pas le thème de ces paragraphes ! Oui ? Alors que Zelensky, en Ukraine est d’accord de signer la paix, Poutine aussi (mais à ses conditions bien plus rationnelles), et Trump «d’America Great Again», donc qui ne veut plus trainer aucune guerre «qui coûte» – que voyons-nous… atterrir ? Les Mirages de Macron. Très anachronique atterrissage, complètement hors du temps, se trompant absolument d’époque (oui très, très «dépassé» lorsqu’il ne s’agit plus de guerre et d’armes mais de paix !)… Si totalement déconnecté des réalités – ces Mirages sont-ce, sérieusement, des éloges extasiés qu’il s’agit d’effeuiller ? Puisque les Français sont en austérités très lourdes, est-ce bien le moment de jeter tout l’argent par les fenêtres ? Savoir poser les questions et savoir y répondre c’est encore plus essentiel qu’en 2017… l’année où un pays est tombé et même retombé en infantilismes.
3. Enfin, d’entrer dans une forme de psychose collective à répéter en boucle «Trump veut installer les villégiatures Côte d’azur à Gaza». Au lieu de poser les questions qui… enfin réveillent dur : ceci fait dangereusement régresser vers la barbarie complète «lorsque les pays les plus puissants s’emparaient des moins puissants, une forme d’anachronique et barbare colonisation sauvage». D’antiques arriérés. Et encore… «Mais c’est un crime de guerre contre l’humanité que de chasser par la violence un peuple de son pays» (Palestine ici clairement reconnue par l’ONU). Donc Trump agirait en tant que criminel de guerre contre l’humanité ?
Les avocats William Bourdon et Vincent Brengarth estiment que Donald Trump «revendique, ni plus ni moins la commission d’un crime contre l’humanité qui serait d’une magnitude hors norme». «Ce positionnement, qui piétine tout le droit international, ne peut pas être analysé uniquement comme une facétie pouvant être associée à la personnalité de Trump...
«Tout projet visant à expulser de force des Palestiniens hors du territoire occupé est un crime de guerre. Et s’il est commis dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique contre la population civile, il constituerait un clair crime contre l’humanité», rappelait ainsi la semaine dernière auprès de l’AFP Agnès Callamard, la secrétaire générale d’Amnesty international.
Rien ne vous oblige à «croire» dans les dangereux délires de Trump. Ces personnages sont clairement «hallucinés» et si incapables de «répondre de leurs actes». Rien ne vous oblige à suivre ces dangereux spécimens !
Remettre les infos à l’endroit
Celles que rien ne vous oblige à admettre –
et tant d’autres innovations que vous allez découvrir très bientôt !
Grave faute de frappes et il faut s’en excuser. Donc surtout ne pas lire «Délinquance des mineurs : les Français veulent en finir avec la culture de l’excuse»
… mais bien…
«Très grande délinquance des adultes : les Français veulent en finir avec leur sinistre culture de l’excuse !» Ces immenses vandales majeurs sont la honte du pays. Menteurs, parjures, truqueurs et voleurs entre autres. Qu’ils laissent les jeunes en paix vu qu’ils ne sont les pires modèles qui soient. Qu’un certain nombre d’irresponsables adultes corrompus soit – enfin – en prison, et la France revivra, pas trop tôt, en paix. Laissez donc les jeunes tranquilles – ou prenez exemple sur eux, escrocs majeurs !
Oui corrompus, vous n’êtes ni prototypes ni exemples : les corrompus n’ont rien à «transmettre», il faudra bien qu’ils passent en procès s’ils s’entêtent de vouloir continuer à… tout corrompre !
Rien ne vous oblige à «suivre» ces notoires détraqués
Clair, que lorsqu’ils ne pourront plus dévaliser nos attentions, leur règne maudit sera fini. Leur règne maudit n’aura reposé que sur ceci : «tu ne les écoutes plus, tu ne les regardes plus, tu détournes ton attention définitivement d’eux», et… ils tombent». Rien ne vous aura obligé à prolonger d’un seul jour leurs forfaitures illégales. Oui, ils nous «doivent» des siècles de prisons. De quoi les expulser enfin de la société. Nul ne les regrettera. Plutôt l’inverse.
Ne leur prêtez plus rien, surtout vos attentions. Reprenez-les !!!
Rien ne vous oblige à faire durer un seul jour de plus ces hideuses infamies…
Tout commence aujourd’hui.
Tout commence aujourd’hui. Et continuera demain.
… et s’amplifiera après-demain.
Etc.
Rien ne vous oblige à faire durer un seul jour de plus toutes ces épouvantables abjections…
Propagande et opposition contrôlée : l'attrape complotiste Donald Trump, l'opération psychologique QAnon...
«Quand il y a une propagande, il y a des gens qui résistent à la propagande dominante et pour les rameuter comme le reste du troupeau, on va utiliser une autre propagande cette fois à destination des dissidents».
Lorsque j’étais banquier j’avais accès à plein de chiffres, à plein de comptes en banque couverts ou à découverts.
J’en ai tiré quelques conclusions liées à mes études observationnelles. Cela ne vaut pas une étude randomisée en double aveugle, mais dans la vraie vie, c’est ce que l’on observe, alors ca vaut !
Vous savez quoi ?
Dans le 16ème arrondissement de Paris, vous avez des gens très riches et du personnel de maison très pauvre au sens INSEE du terme.
Le résultat est très clair.
J’avais plus de gens pauvres qui épargnaient que de gens riches qui épargnaient ! Je parle en nombre de gens.
Si évidemment vous prenez la moyenne d’épargne des riches elle n’avait rien de comparable avec la moyenne d’épargne des « pauvres ».
MAIS… il y avait plus d’employés de maison qui n’étaient pas à découvert et qui épargnaient que d’employeurs « riches » qui étaient plus souvent dans le rouge.
La conclusion est simple.
1/ Quand on est pauvre il faut encore plus épargner que quand on est riche.
2/ On prête plus facilement aux riches qu’aux pauvres, donc le pauvre doit se serrer la ceinture et ne peut pas dépenser plus qu’il ne gagne le banquier ne le lui permet pas.
3/ Etre à découvert est tellement coûteux, que c’est un truc de riche, pas un truc de pauvre.
Alors… oui, les pauvres, n’en déplaise aux journalistes de BFM Business qui font du stéréotype patrimonial, épargnent et ils épargnent beaucoup à leur échelle parce qu’ils n’ont pas le choix.
D’où… le retour en grâce des espèces bien évidemment et ce n’est que le début et un très bon début !
L’appauvrissement, déjà plus ou moins âprement débattu ici ou là, ne fait plus de doute, que ce soit pour les étudiants, les travailleurs ou la population en général.
L’insécurité explose. L’analyse objective des flux d’information en France suffit à se convaincre que le sentiment d’insécurité a fait place à un climat véritablement violent ; nombreux sont ceux qui constatent que le pays est devenu franchement dangereux par endroits, et le seul fait que les ministres de l’Intérieur se suivent et se relaient tous pour dire que “non, ce n’est pas si grave” suffit en lui-même à garantir que la situation se dégrade de plus en plus vite.
La situation économique montre d’évidents signes de fébrilité, et ce ne sont pas les derniers articles sur l’immobilier, qui donne le pouls du pays, qui permettront de se rassurer. Désindustrialisation, chômage, éducation en déroute, la situation socio-économique française se détériore de jour en jour.
C’est visible de tous, à l’exception bien sûr de ceux qui, terrorisés de ce que la réalité révèle, refusent de la regarder en face ou ceux qui ont un intérêt bien compris à ne surtout pas la voir, depuis les ministres et certains médias jusqu’à certaines administrations ou associations lucratives sans but dont l’existence même serait remise en cause si, justement, pauvreté ou violence devaient disparaître.
Devant cette situation, ceux qui veulent s’en sortir, échapper à la violence ou à la pauvreté, comprennent que leur destin ne devra surtout pas être remis dans les mains de l’État, ce dernier ayant largement contribué au résultat actuel.
Mais ça, l’État et ses affidés ne veulent pas en entendre parler : la situation est telle, en France, que se passer de l’État est devenu rigoureusement interdit.
Des négociations secrètes ont eu lieu cette semaine à Genève, en Suisse, pour discuter des modifications proposées au Règlement sanitaire international (RSI) de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), considéré comme un instrument ayant force de loi du droit international.
Des négociations similaires ont eu lieu le mois dernier pour la rédaction d’un nouveau traité de l’OMS sur les pandémies.
Bien que les deux soient souvent confondus, les amendements proposés au RSI et le traité proposé sur la pandémie représentent deux ensembles de propositions distincts mais liés qui modifieraient fondamentalement la capacité de l’OMS à répondre aux « urgences de santé publique » dans le monde entier, et, selon les critiques, dépouilleraient considérablement les nations de leur souveraineté.
Selon l’auteur et chercheur James Roguski, ces deux propositions feraient passer l’OMS d’une organisation consultative à un organe directeur mondial dont les politiques seraient juridiquement contraignantes (auraient force de loi).
Elles permettraient également d’étendre considérablement la portée et le champ d’application du RSI, d’instituer un système de certificats et de « passeports » sanitaires mondiaux et de permettre à l’OMS d’imposer des examens médicaux, des mises en quarantaine et des traitements.
Selon M. Roguski, les documents proposés donneraient à l’OMS le pouvoir sur les moyens de production pendant une pandémie déclarée, demanderaient le développement d’une infrastructure de RSI aux « points d’entrée » (tels que les frontières nationales), redirigeraient des milliards de dollars vers le « complexe industriel d’urgence des hôpitaux pharmaceutiques » et supprimeraient la mention du « respect de la dignité, des droits de l’homme et des libertés fondamentales des personnes ».
Mais, pour que le “Je”, ou esprit individuel, prenne le contrôle de l’être qu’il habite, il doit parcourir un long chemin.
Pendant la première partie de ce sentier, le “Je” se tient à l’arrière-plan de l’individu, en retrait, car il ne peut accéder directement à la personnalité (pensée, sentiment ou parole et volonté) pour en prendre la direction. Celle-ci est, dans un premier temps, sous la domination de l’égo.
Et ce n’est pas tout : la mise en œuvre est déjà en cours. Un message qui nécessite des nerfs solides.
L’historien militaire israélien Yuval Noah Harari est auteur et professeur à la faculté d’histoire de l’Université hébraïque de Jérusalem. Des personnalités telles que Barack Obama, Angela Merkel, Emmanuel Macron et Sebastian Kurz, qui font appel à lui comme source d’inspiration et comme conseiller, font l’éloge de cet homme. Klaus Schwab, le fondateur du Forum économique mondial (FEM) et auteur du livre « Covid-19 : La Grande Réinitialisation » (« Covid-19 The Great Reset »), décrit Yuval Noah Harari comme un brillant futurologue. Lors de ses interventions au Forum économique mondial en 2018 et 2020 ou au Forum de la démocratie d’Athènes en 2020, Harari a parlé du développement technologique et de ce qu’il signifie pour la société, la politique, la religion et l’idéologie.
Dans ses conférences, il rappelle régulièrement qu’il est désormais possible, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, d’observer et de suivre des personnes à tout moment et en tout lieu. À une vitesse très élevée, les algorithmes de l’IA traitent d’énormes quantités d’informations et ont le potentiel de tout mémoriser et de reconnaître dans les données des modèles pour des analyses liées à la personnalité.
« Un système qui nous comprend mieux que nous nous comprenons nous-mêmes peut prédire nos sentiments et nos décisions, peut manipuler nos sentiments et nos décisions et il peut finalement prendre des décisions à notre place. »
Alors que certaines personnes banalisent ce geste, ce refus est tout sauf banal. Il est au cœur de ce que nous sommes, de ce que nous faisons, de ce que nous voulons faire et de ce que nous voulons être.
Nous saurons le 29 novembre prochain lors de la rentrée parlementaire à Québec s’ils pourront y siéger ou non ; s’ils pourront faire le travail pour lequel ils ont été choisis ou non.
La Newsletter de Michel DOGNA
Ceux qui n’ont pas encore compris qu’il ne faut pas compter sur télémensonge qui est pilotée par la seule AFP (la voix de l’ennemi mondialiste) pour savoir ce qui se passe réellement sont vraiment hors-jeu.
Bien qu’il y ait grand danger atomique imminent de la part de deux dangereux tueurs psychopathes Z (UK) et M (FR) dépourvus de toute conscience et d’empathie que le "deep state" nazi-sataniste en plein naufrage utilise pour effectuer les sales boulots de dernière carte à jouer, je me contenterai ici de faire totale confiance à l’invincible avance technologique militaire russe et à la grande intelligence stratégique de Vladimir Poutine.
A travers la série « Collectifs en action », Le Média en 4-4-2 donne la parole à celles et ceux qui se mobilisent et se battent sur le terrain pour la construction d’un monde nouveau. Chaque collectif a sa vision, ses idées et ses méthodes ; cette multitude de solutions proposées permet à chaque citoyen qui souhaite s’engager de trouver le chemin qui est le sien.
« L’esprit Solaris préfigure le monde qui prendra forme demain pour tous ceux qui l’ont voulu »