Une illustration flagrante en a magnifié le processus ces trois années de covidémie. Afin de donner l’illusion de maîtriser la situation, le système politico-médiatique a divisé la population entre corona-positifs, corona-« vaccinés » et corona-sceptiques. L’art médical a été annihilé et la notion si connue de « le microbe n’est rien, le terrain est tout » (A. Béchamp) a été niée. Les finances ont été investies massivement dans un produit brandi comme une panacée, fragmentant ainsi la richesse des nations et la santé des populations.
Un auteur décrit très clairement « La fragmentation dans la science et la société » à la page 173 :
« Si la science et la technologie sont entachées de défauts et ont des répercussions préjudiciables à la société, c’est qu’elles reflètent une grave imperfection de la société même : la fragmentation. Aucune activité humaine, aucun élément de l’univers n’est – pas plus que l’homme lui-même – comparable à une île ; et pourtant nous traitons tous ces « fragments » comme s’il s’agissait d’entités distinctes sans considérer comment ils s’articulent en « touts ». La fragmentation est profondément ancrée dans la pensée et le langage humains. (…)
Une solution : Il faudrait donc maintenant, estime-t-on, que la société reprenne en main la science dans son ensemble pour faire en sorte qu’elle serve effectivement l’intérêt de l’humanité et pour chercher à réduire l’écart qui la sépare des autres aspects de la vie. »
La fragmentation obéit aussi à des critères politiques qui se dissocient des différents secteurs de la société tout en s’appuyant sur certains qui sont de connivence. Nous apprenons que « La HAS donne son feu vert à la levée de l’obligation vaccinale pour les soignants » :
« La Haute autorité de santé (HAS) recommande de « lever l’obligation de vaccination » contre le Covid-19 en vigueur depuis 18 mois pour les soignants et les autres professionnels concernés. »
Comment une autorité de santé peut-elle aussi longtemps restreindre à ce point les besoins sanitaires d’une population et étouffer la conscience de tant de professionnels de la santé ?
La recherche médicale est aussi terriblement segmentée, autant par l’origine des financements que par l’objectif recherché. Un exemple nous en est donné par une étude lancée au sujet du covid long avec un objectif très délimité.
« Un essai clinique, coordonné par les HUG, est en cours afin de tester un médicament susceptible de traiter le Covid Long. Ou plus exactement, une certaine catégorie de personnes atteintes par ce nouveau mal. Le recrutement a commencé pour inclure les 200 patients répondant à tous les critères de participation (qui sont forcément bien délimités et peu représentatifs de l’entièreté des malades). Mais d’autres critères sont aussi pris en compte, comme la présence d’une certaine protéine dans l’organisme. Elle s’appelle « HER-W ENV ». La protéine qui se cache derrière ce nom quelque peu barbare est suspectée d’être responsable de nombreux cas de Covid Long ; on la retrouve chez plus d’un patient sur quatre affecté par la maladie. »
D’autres établissements hospitaliers participent à cette étude qui est destinée à tester une molécule s’attaquant à ladite protéine, afin de la neutraliser. Quelle réduction, quelle fragmentation de la complexité de l’organisme humain !
Un être humain est un micro-univers qui se révèle dans un corps connecté à une âme et à un esprit. La technicité actuelle cherche à le réduire en une Intelligence Artificielle (IA).
Dans la ligne droite du 1.4.2023, Radio Courtoisie expose très pertinemment : « Votre QI n’est pas votre liberté de pensées, de raisonner. Mettre une puce pour augmenter le QI à 250 consiste à prendre le contrôle de votre intellect. Votre cerveau humain sera soumis à ce QI. On peut être ainsi contrôlé et hacké. La puce électronique vous enlève le libre arbitre. »
C’est un exemple fort que le transhumaniste ne fait qu’augmenter l’homme de façon fragmentée.
Il ne s’agit pas des « extraterrestres » en tant que tels, qui, semble-t-il, ne feront pas encore leurs débuts officiels, mais plutôt du fait que la scène mondiale se prépare à leur apparition, comme c’est le cas depuis de très nombreuses années grâce aux offres surnaturelles spectaculaires d’Hollywood. Certains des films familiaux les plus durables et les plus appréciés de tous les temps – par exemple « ET » – et certaines des émissions de télévision les plus cultes et les plus populaires – « X-Files » – ont un message très clair et sans compromis : les extraterrestres sont réels, votre gouvernement les dissimule, mais un jour, bientôt, ils prendront contact…
Nous sommes préparés à l’invasion extraterrestre à travers nos écrans, tout comme nous avons été préparés à la « pandémie » de Covid (et au concept de « pandémie » en général) de la même manière. « Alerte », « World War Z », « Contagion » (dont un jeune ami m’a dit qu’il avait été projeté à sa classe de géographie lorsqu’il était à l’école vers 2015, et sur lequel Matt Hancock a confirmé plus tard qu’il avait « basé sa réponse à la pandémie ») – tout cela vise à manucurer l’esprit de masse pour qu’il accepte que les maladies mortelles qui se propagent lorsque les gens se respirent les uns les autres sont une chose réelle que nous devons craindre. Si ce concept ne nous avait pas été présenté par le cinéma, aucun d’entre nous ne l’aurait jamais cru, car il va à l’encontre de toute notre expérience directe et vécue. En bref, si les « pandémies mortelles transmises par la respiration » étaient une réalité, alors, dans une société aussi mobile et transitoire que la nôtre, nous serions tous constamment malades, et les emplois très exposés au public, comme l’hôtellerie ou la salle des arrivées de l’aéroport d’Heathrow, seraient plus dangereux que d’être en première ligne dans une zone de guerre.
Dans un récent article, l’écrivain américain Joe Allen, spécialiste du transhumanisme, commence sa réflexion en déclarant que les croyants surmontent la peur de la mort grâce à leur foi. Pour les croyants, « le mystère de la mort est un rite de passage« , écrit Joe Allen. Au lieu de cela, explique-t-il, « pour le matérialiste, il n’y a que ce monde, au-delà duquel ceux qui meurent rencontrent l’anéantissement total. Le cerveau se dissout dans le néant. La conscience s’arrête avec le Big Zero à la fin de nos vies. Et tous les êtres sensibles et tous les souvenirs de notre existence attendent le Grand Zéro à la fin de l’univers. »
Grâce à des implants directement intégrés à notre corps, nous pourrions ainsi améliorer nos performances intellectuelles et physiques, mais aussi tout bonnement notre existence. Des idées séduisantes sur le papier, mais qui font craindre à certains de terribles dérives.
Pour les détracteurs du transhumanisme, il ne s’agit bien sûr pas de renier tout recours à la science ni de prôner l’obscurantisme. Intégrer la technologie directement à notre corps pourrait de plus avoir un intérêt médical certain.
À mesure que ces technologies vont progresser, de nombreux problèmes éthiques risquent néanmoins de se poser. Où se situera la limite entre le médical destiné à corriger une anomalie et une transformation dénaturante du corps humain ?
Critique de la politique sanitaire durant l’épidémie de Covid-19, le Dr Louis Fouché fonde dès l'automne 2020 le collectif ReinfoCovid, un site de ré-information qui interroge les décisions des autorités de santé : masques, confinements, vaccination. Très vite, suivent d’autres initiatives dont CoviSoins, un réseau de soins pluridisciplinaires et ambulatoires destiné à permettre une prise en charge à tous les stades de la maladie afin d’assurer une meilleure réhabilitation des patients. Aujourd’hui, Louis Fouché publie un nouveau livre intitulé « Agonie et renouveau du système de santé : mirage d’une médecine algorithmique transhumaniste et frémissement d’un retour au soin » paru aux éditions Exuvie et préfacé par le professeur Didier Raoult.
Le médecin revient sur notre plateau pour nous le présenter dans ce nouvel "Entretien essentiel".
Jean-Dominique Michel sur le Pass Carbone : « L’OMS, Soros, Klaus Schwab, Rockefeller ont un héritage nazi ». Resté très longtemps prudent à ce sujet, Jean-Dominique Michel formule certaines hypothèses...
« Le Forum Economique Mondial a des ressemblances extrêmement troublantes avec le nazisme. C’est la même idéologie… Le transhumanisme et le nazisme, c’est la même idéologie. Les sous-hommes, les surhommes, le fait qu’il faut tout contrôler, qu’il faut avoir pris possession de la vie des individus dans chaque recoin… Les nazis se sont réinfiltrés après la guerre dans le gouvernement américain, dans les équipes de recherche scientifique américaines. A l’Onu, Kurt Waldheim, était un ancien nazi. L’un des premiers commissaires de la commission européenne était un nazi. L’OMS a un héritage nazi. Georges Soros a un héritage nazi. On voit le nazisme ressortir de partout, ce sont souvent les mêmes sur le plan héréditaire. Klaus Schwab est le fils d’un dignitaire nazi qui utilisait des prisonniers dans ses usines… »
Nous avons déjà démontré dans un précédent article que l’Intelligence Artificielle était une grave illusion, puisqu’aucune machine ne dispose d’un corps mental ou corps de l’intelligence.
L’être humain dispose de quatre corps : un corps physique (le seul connu de la science), un corps éthérique ou corps des forces de vie, un corps astral ou corps des émotions, sentiments, sensations et désirs, et un corps mental, ou corps des pensées, de l’intelligence, du discernement, du jugement sain, des Idéaux et des Vertus.
Quant à la machine (ou ordinateur), elle dispose d’un corps physique qui imite le corps physique humain avec plus ou moins de ressemblance et de basses imitations, et d’un corps anti-éthérique ou corps des forces de mort… et c’est tout : ni corps astral, ni corps mental pour la pensée et l’intelligence !
l n’existera jamais de véritable I.A., car l’intelligence est bien trop compliquée pour nos machines actuelles, qui n’en sont encore qu’au stade de la préhistoire !
Et ce n’est pas tout : la mise en œuvre est déjà en cours. Un message qui nécessite des nerfs solides.
L’historien militaire israélien Yuval Noah Harari est auteur et professeur à la faculté d’histoire de l’Université hébraïque de Jérusalem. Des personnalités telles que Barack Obama, Angela Merkel, Emmanuel Macron et Sebastian Kurz, qui font appel à lui comme source d’inspiration et comme conseiller, font l’éloge de cet homme. Klaus Schwab, le fondateur du Forum économique mondial (FEM) et auteur du livre « Covid-19 : La Grande Réinitialisation » (« Covid-19 The Great Reset »), décrit Yuval Noah Harari comme un brillant futurologue. Lors de ses interventions au Forum économique mondial en 2018 et 2020 ou au Forum de la démocratie d’Athènes en 2020, Harari a parlé du développement technologique et de ce qu’il signifie pour la société, la politique, la religion et l’idéologie.
Dans ses conférences, il rappelle régulièrement qu’il est désormais possible, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, d’observer et de suivre des personnes à tout moment et en tout lieu. À une vitesse très élevée, les algorithmes de l’IA traitent d’énormes quantités d’informations et ont le potentiel de tout mémoriser et de reconnaître dans les données des modèles pour des analyses liées à la personnalité.
« Un système qui nous comprend mieux que nous nous comprenons nous-mêmes peut prédire nos sentiments et nos décisions, peut manipuler nos sentiments et nos décisions et il peut finalement prendre des décisions à notre place. »
Écrit en 2020 pendant l’état d’urgence sanitaire, « le grand virage de l’humanité » annonçait déjà que la société de contrôle numérique, qualifiée de « foutur », vers laquelle ces mesures semblaient nous conduire, était en train de disparaître au profit d’un nouveau futur qualifié de « futé lumineux », sur la base de l’observation de « traces du futur » dans les évènements ayant précédé la crise.
Dans ce dernier futé lumineux, l’homme s’éveille enfin à la véritable nature de sa réalité et apprend à se relier à plus grand que lui, non pas dans une démarche religieuse mais plutôt spirituelle et laïque, par une connexion retrouvée avec son âme et son esprit. Cela se produit d’autant plus vite que la vraie science finit par admettre les fondements rationnels de ces deux derniers concepts spirituels, comme l’explique ce livre en seconde partie.
Où en est-on aujourd’hui ?