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situation Covid jan 2024

Réseau InternationalRapport annuel de situation Covid planétaire du lundi 1er janvier 2024

Réseau International - 08 jan 2024

70,6% de la population mondiale auraient reçu au moins une dose d’un vaccin COVID-19 et 64,65% seulement seraient complètement vaccinés, représentant 5,2 milliards d’h.

   

La crise sanitaire Covid s’est poursuivie au cours de l’année 2023. J’ai donc fait un rapport final qui fait apparaître des dernières données factuelles bien étranges qui permettent de remettre les pendules à l’heure.

261 000 décès attribués à la Covid ont été déclarés en 2023, ce qui est dérisoire à l’échelle planétaire.

Les 31 pays de l’OTAN, très vaccinés et présumés très protégés, dont certains ne déclarent plus leurs décès Covid depuis 6 mois (UK, France, Espagne par exemple) et qui ne représentent que 12% de la population mondiale, ont déclaré les deux tiers des pertes mondiale en 2023 (171 640 décès).

Le reste du monde (88% de la population mondiale) a déclaré 89 500 décès.

Les USA (71 800 décès) et le Royaume-Uni (32 440 sur les 6 premiers mois de l’année puisqu’il n’ont pas déclaré les 6 derniers mois) affichent les deux plus grands nombres de décès de la planète sur 2023 : (Ils cumulent, à eux deux, 40% du total des décès planétaires) ??? C’est plus, à eux deux, que la totalité du monde non otanien. Y aurait-il un problème spécifique au monde anglo-saxon.

L’Allemagne (18 654 décès) et l’Italie (10 268 décès) se placent en 4ème et 5ème position mondiale pour l’année 2023.

Ces pertes sont évidemment dérisoires mais le classement 2023 montre que le vaccin n’a pas apporté de grands bénéfices à ces pays comparés à des pays beaucoup moins vaccinés. L’Afrique, continent dans lequel l’épidémie est terminée depuis longtemps (1,4 milliards d’habitants) n’a déclaré que 524 décès Covid pour toute l’année 2023…

Je laisse à chacun le soin de découvrir ce rapport le plus exhaustif possible.

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BRICS - un monde étonnant

Réseau InternationalBRICS : Un nouveau monde étonnant

Réseau International - 30 août 2023

L’élargissement de la zone des BRICS a laissé de nombreux analystes perplexes. Et a plongé les hommes politiques et les opérateurs économiques dans une sorte d’état de confusion.

   

La démonstration – s’il en était besoin – du vieil adage selon lequel les dieux aveuglent ceux qu’ils veulent perdre. Car ce qui se passe était évident et implicite dans l’évolution des choses. Mais, dans ce qu’il est convenu d’appeler l’Occident, nous avons continué à jouer avec l’idée que les BRICS n’étaient qu’un acronyme sans substance. Et que les désaccords entre les membres historiques ne déboucheraient sur rien de concret lors du sommet sud-africain.

Et au lieu de cela ?

Et bien, au lieu de cela, ce sommet a changé la carte du monde.

Essayez de la regarder.

Avec l’entrée de l’Égypte, les BRICS contrôlent effectivement Suez. Avec l’entrée de l’Éthiopie dans le club, ils dominent le détroit de Djibouti et les pays bordant la mer Rouge.

Avec l’Arabie saoudite, ils contrôlent non seulement la mer Rouge, mais aussi l’accès au golfe Persique. Une coopération jusqu’alors impensable avec l’Iran. Et les Émirats arabes contrôlent Ormuz et le passage entre le golfe Persique et l’océan Indien.

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changements terrestres - Mai 2023

Sott : Sign of The TimesRésumé SOTT des changements terrestres - Mai 2023

Sott : Sign of The Times - 05 juil 2023

Ceux qui pensaient que la neige et le froid inhabituels prendraient fin en avril se sont trompés. Des records pour les deux ont encore été enregistrés au mois de mai, et ce dans les deux hémisphères. De nombreux pays ont par ailleurs souffert d'inondations importantes dues à la fonte massive de toute la neige accumulée.

   

Épisodes neigeux notables :

• États-Unis — Record de 66 cm de neige dans le Michigan.
• — Record de 50 cm de neige en Virginie occidentale.
• — 38 cm en 48 heures dans la Sierra Nevada, en Californie (le manteau neigeux de l'État californien représente plus de 300 % de l'habituel niveau moyen).
• — Abondantes chutes de neige hors saison pour le Comté de Teller, dans le Colorado.
• Espagne — Neige inhabituelle pour la saison après une vague de chaleur précoce.
• Japon — Chutes de neige record dans la préfecture d'Iwate.
• Nouvelle-Galles du Sud et Territoire de la capitale australienne — Records de froid.

Principales submersions terrestres :

• Alaska — Inondations catastrophiques dues à des embâcles et à la fonte des neiges.
• Italie — Violentes inondations entraînant la mort de 14 personnes dans la région d'Émilie-Romagne.
• Allemagne — Fortes inondations à l'origine de la fermeture de lignes ferroviaires Sud-ouest du pays.
• Finlande — Les pires inondations depuis 55 ans en Laponie.
• Yémen — Graves inondations provoquant la mort de 24 personnes.
• Somalie — Inondations dévastatrices nécessitant l'évacuation de 200 000 personnes.
• République démocratique du Congo — Inondations catastrophiques entraînant la mort de 400 personnes dans el Sud-Kivu.
"• Chine — Importantes inondations obligeant l'évacuation de 14 000 personnes dans le Jiangxi.
"

Et n'oubliez pas de lever les yeux et de prêter attention au spectacle offert par le nombre croissant de boules de feu météoriques... et ne laissez aucune « autorité » vous convaincre qu'il s'agit de vaisseaux spatiaux martiens qui s'écrasent sur la Terre !

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contrôle de la finance mondiale

Echelle de JacobVers un affrontement pour le contrôle de la finance mondiale

Echelle de Jacob - 20 juin 2023

Il y a près de deux siècles, après les premières révolutions industrielles et politiques du 18e siècle, la politique a cédé la place à la finance. La plupart des gens n’ont pas vu ce bouleversement profond qui faisait changer de main le pouvoir réel tout en gardant la même apparence des choses.

   

La première manifestation en France ne fut apparemment pas couronnée de succès, et l’aventure de l’Ecossais John Law, devenu le financier de Louis XV, se termina mal. Pourtant, elle préfigurait le monde financier tel que nous le vivons aujourd’hui.

Le contrôle de la monnaie est la marque du pouvoir

On parle beaucoup (et souvent à tort) de souveraineté, mais on la définit rarement par ses attributs, c’est-à-dire ce qu’elle procure par son exercice. Pourtant, il y en a un qui est fondamental, c’est celui de « battre monnaie ». Les colons américains, qui s’étaient vu déposséder de ce droit par l’interdiction de la Banque d’Angleterre d’émettre leurs « locals scripts » eurent à cœur de le graver dans le marbre de leur Constitution, en le mettant dans l’article premier de cette dernière.

Toute l’histoire des États-Unis est empreinte de cette lutte pour le contrôle de la monnaie américaine qui a opposé les banquiers anglo-saxons qui dirigeaient la Banque d’Angleterre et les présidents dits « Jeffersonniens » qui voulaient défendre le principe constitutionnel.

Le Federal Reserve Act, adopté sans majorité par le Congrès en décembre 1913 a consacré la victoire des banquiers.

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BRICS

Réseau InternationalLes BRICS et le bouleversement mondial

Réseau International - 28 avr 2023

L’élargissement de l’alliance des BRICS non seulement avance dans la phase de confirmation, mais semble largement dépasser les attentes quant au nombre de pays souhaitant se joindre à l’organisation pro-multipolaire.

   

Le tout au grand désarroi de l’Occident, dont la représentation minoritaire à l’échelle planétaire n’est plus à démontrer.

19 pays ont exprimé leur intérêt à rejoindre le groupe des nations BRICS alors que se prépare le sommet annuel qui aura lieu en Afrique du Sud, écrit Bloomberg. Le sujet de l’élargissement de l’alliance à de nouveaux membres sera effectivement discuté cet été en terre sud-africaine.

L’information n’est effectivement pas nouvelle – Observateur Continental l’a précédemment plusieurs fois traité – y compris justement la question de l’élargissement en faveur d’autres pays non-occidentaux. Le tout à l’heure où le PIB combiné des 5 cinq membres des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) dépasse désormais celui des 7 membres du club occidental + Japon, le fameux G7.

Par contre ce qui est intéressant de noter dans l’article de Bloomberg, c’est le fait que sur les 19 pays ayant exprimé leur volonté d’adhésion aux BRICS – 13 l’auraient fait de manière officielle, tandis que 6 autres non-officiellement. Peut-être d’ailleurs afin d’éviter dans le cas de ces derniers de mettre trop tôt en colère leurs partenaires occidentaux.

Cela d’autant plus qu’il ne faut pas croire que toutes les demandes recevront une réponse favorable et immédiate. Un tri sera incontestablement nécessaire et une feuille de route sera probablement déterminée pour chacune des demandes concernées. Cela sans oublier que – comme Observateur Continental l’avait précédemment abordé – des pays-candidats pourraient être dans un premier temps acceptés comme observateurs de l’organisation, avant une éventuelle pleine adhésion au groupe.

Dans tous les cas, les BRICS auront non seulement confirmé leur attractivité à l’échelle mondiale, mais désormais avec les nouvelles perspectives il devient évident que l’Occident approche la perte non seulement de sa domination géopolitique, mais bel et bien et également géoéconomique, à l’heure où dans le Top 10 mondial en termes de PIB à parité du pouvoir d’achat les économies occidentales ne représentent plus la majorité. Et cela sur la base même des données du Fonds monétaire international (FMI).

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le déclin de l'empire américain

VoltairenetThierry Meyssan : Tous les empires sont mortels, l’« empire américain » aussi

Voltairenet - 24 avr 2023

La semaine dernière, je m’interrogeai sur la réalité de la rivalité entre les États-Unis et la Chine. Peut-être le « piège de Thucydide » n’est qu’un paravent qui masque la désintégration imminente de l’« empire américain ».

   

Dans le présent article, je résume son parcours que les Occidentaux n’ont pas compris, et j’invite à penser ce qui pourra advenir lorsqu’il aura disparu.

L’URSS s’est effondrée sur elle-même, non pas à partir de la guerre d’Afghanistan (1979-89), mais à partir de la catastrophe de Tchernobyl (26 avril 1986). Les Soviétiques se sont soudainement rendus compte que l’État ne maîtrisait plus rien. Les membres du Pacte de Varsovie, dont Léonid Brejnev avait fait des vassaux, se révoltèrent. Les Églises, les Jeunesses Communistes et les Gays d’Allemagne de l’Est firent tomber le Mur de Berlin [1]. Non seulement l’URSS ne réagit pas, mais elle abandonna ses alliés hors d’Europe, notamment Cuba. Le Premier secrétaire du parti, Mikhaïl Gorbatchev, se transforma de réformateur en liquidateur. L’URSS éclata, créant quantité de nouveaux États indépendants. Puis ce fut la descente aux enfers. Quelques « Nouveaux Russes » s’approprièrent les biens collectifs et se livrèrent une guerre à la mitraillette dans les rues de Moscou et de Saint-Petersbourg. La production s’effondra. Il devint difficile de trouver à manger dans de nombreuses régions russes. L’espérance de vie chuta brutalement d’une quinzaine d’années. La chute fut si brutale que personne n’aurait alors pensé que le pays se relèverait rapidement.

Simultanément, les États-Unis imaginent ce qu’ils pourraient faire sans rival. Le président George H. Bush Sr., s’exprimant devant le Congrès réuni au grand complet le 11 septembre 1990, lance l’idée d’un « Nouvel Ordre Mondial ». Il vient de mettre en scène une guerre dans le Golfe à laquelle presque tous les États du monde se joignent. Avant même la dissolution de l’URSS, les États-Unis sont devenus l’hyperpuissance que nul ne conteste [2]. Le straussien Paul Wolfowitz élabore une doctrine visant à prévenir l’émergence d’un nouveau compétiteur, qui prendrait la place de l’Union soviétique. Il désigne sans hésiter le projet politique de François Mitterrand et d’Helmut Köhl, l’Union européenne, comme l’ennemi à abattre. Celle-ci est viciée dès le départ avec l’obligation d’y faire adhérer tous les États du Pacte de Varsovie et de l’ex-URSS jusqu’à ce que ses institutions deviennent impraticables et l’inscription dans le Traité de Maastricht de la défense de l’UE par Washington.

Le Pentagone est si sûr de ne plus avoir d’adversaire à sa hauteur qu’il démobilise 1 millions d’hommes une fois l’Iraq écrasé. Les unités de recherche-développement des armées sont dissoutes. Le président Bush père croit que cette guerre est la dernière et qu’une ère de prospérité débute.

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Fin des USA

VoltairenetLa guerre, la séparation du monde, ou la fin d’un Empire ?

Voltairenet - 12 avr 2023

Nombreux sont ceux qui pronostiquent une Guerre Mondiale. Effectivement quelques groupes s’y préparent.

   

Mais les États sont raisonnables et, dans les faits, envisagent plutôt une séparation à l’amiable, une division du monde en deux mondes différents, l’un unipolaire et l’autre multipolaire. Peut-être assistons-nous en réalité à un troisième scénario : l’« Empire américain » ne se débat pas dans le piège de Thucydide, il s’effondre comme son ex-rival soviétique est mort.

Les « straussiens » états-uniens, les « nationalistes intégraux » ukrainiens, les « sionistes révisionnistes » israéliens et les « militaristes » japonais appellent de leurs vœux une guerre généralisée. Ils sont bien seuls et ce ne sont pas des mouvements de masse. Aucun État ne s’engage pour le moment sur cette voie.

L’Allemagne avec 100 milliards d’euros et la Pologne avec beaucoup moins d’argent se réarment massivement. Mais aucun des deux ne semble impatient de se mesurer à la Russie.

L’Australie et le Japon investissent aussi dans l’armement, mais aucun d’eux n’a d’armée autonome.

Les États-Unis ne parviennent plus à renouveler les effectifs de leurs armées et ne sont plus capables de créer d’armes nouvelles. Ils se contentent de reproduire à la chaîne celles des années 80. Ils entretiennent cependant l’arme nucléaire.

La Russie a déjà modernisé ses armées et s’organise pour renouveler les munitions qu’elle utilise en Ukraine et produire en série ses nouvelles armes que nul ne peut concurrencer. La Chine, quant à elle, se réarme pour contrôler l’Extrême-Orient et, à terme, pour protéger ses routes commerciales. L’Inde se pense en puissance maritime.

On ne voit donc pas qui, à la fois, souhaiterait et pourrait déclencher une Guerre Mondiale.

Contrairement à leurs discours, les dirigeants français ne se préparent pas du tout à une guerre de haute intensité [1]. La loi de programmation militaire, établie pour dix ans, prévoit de construire un porte-avion nucléaire, mais réduit l’armée de Terre. Il s’agit de se donner des moyens de projection, mais pas de défendre le territoire. Paris continue à raisonner en puissance coloniale alors que le monde devient multipolaire. C’est un classique : les généraux se préparent à la guerre précédente et ignorent la réalité de demain.

L’Union européenne met en œuvre sa « Boussole stratégique ». La Commission coordonne les investissements militaire de ses États-membres. Dans la pratique, ils jouent tous le jeu, mais poursuivent des buts différents. La Commission, quant à elle, tente de prendre le contrôle des décisions de financement des armées qui jusqu’ici dépendent de leurs parlements nationaux. Cela permettrait d’édifier un Empire, mais pas de déclarer une guerre généralisée.

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Japon Ukraine

VoltairenetThierry Meyssan : Préparation d’une nouvelle Guerre Mondiale

Voltairenet - 29 mars 2023

Les États-Unis poussent leurs alliés de l’Union européenne à se préparer à une Troisième Guerre mondiale

   

Ils n’ont d’autre choix que de la livrer s’ils veulent sortir vainqueurs du « piège de Thucydide ». À moins que tout ce remue-ménage ne soit qu’une mise en scène pour « tenir » les alliés dans leur camp tandis que de très nombreux États, en Amérique du Sud, en Afrique et en Asie, se déclarent « neutres ». Dans le même temps, les bruits de bottes rameutent les militaristes japonais qui, comme les « nationalistes radicaux » en Ukraine, sont de retour.

Face aux progrès accomplis par les partisans d’un monde multipolaire, les défenseurs de l’« impérialisme américain » n’ont pas été longs à réagir. Deux opérations seront analysées ici : la transformation du marché commun européen en une structure militaire et la reformation de l’Axe de la Seconde Guerre mondiale. Ce second aspect fait entrer en jeu un nouvel acteur : le Japon...

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3e guerre mondiale possible

VoltairenetCapables du pire, l’union de certains gouvernants rend la Guerre mondiale possible

Voltairenet - 08 déc 2022

La Seconde Guerre mondiale peut nous servir de leçon. Elle n’est pas apparue dans un ciel serein. Il ne s’agissait pas d’un combat des Bons contre les Méchants. Elle a juste été déclenchée par un regroupement imprévu de forces capable de tout détruire.

   

Après la crise économique de 1929, le monde entier était convaincu, à juste titre, que le capitalisme d’alors était fini. L’Union soviétique, seule, proposait une alternative, le bolchévisme. Bientôt les États-Unis en imaginèrent une seconde, les réformes structurelles du New Deal, puis l’Italie promut une troisième solution, le fascisme. Les grands capitalistes anglo-saxons choisirent de soutenir un nouveau régime, proche du fascisme, le nazisme. Ils pensaient que l’Allemagne attaquerait l’URSS, préservant ainsi leurs intérêts aussi bien menacés par les collectivisations bolchéviques que par les réformes économiques US. Cependant rien ne fonctionna comme prévu puisque l’Italie, l’Allemagne et le Japon formèrent l’Axe avec leur propre logique et que la guerre ne fut pas enclenchée contre les Soviétiques, mais contre les grandes fortunes qui la préparèrent.

Dans l’imaginaire collectif, nous ne tenons pas pour responsables les grands capitalistes anglo-saxons qui soutinrent le nazisme à ses début. Au contraire, nous nous souvenons des peuples britannique et états-unien comme ayant participé à la victoire.

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coupe du monde au Qatar

VoltairenetLes poisons dans la Coupe du monde

Voltairenet - 01 déc 2022

La Coupe du Monde de Football a été attribuée au Qatar, désormais financier de la Confrérie des Frères musulmans et donc du terrorisme.

   

C’est pour cela, et non pas pour ses capacités en hydrocarbures, que le président Biden l’a proclamé « Plus grand Allié Non-Otan des États-Unis »

La Coupe du Monde FIFA 2022 au Qatar cache une tragique réalité sur laquelle le courant dominant politico-médiatique a fait tomber une chape de silence. Avant tout le fait que ce soit cet émirat du Golfe qui ait été choisi par la FIFA pour organiser la World Cup 2022. La FIFA, la Fédération internationale de football, est profondément corrompue, au point que ses hauts administrateurs ont été arrêtés pour fraudes, racket et recyclage d’argent. Il n’y a donc pas à s’étonner que la FIFA, alors qu’elle a choisi le Qatar, a expulsé la Russie du Mondial. La Coupe du Monde 2022 est la plus couteuse de l’histoire : le Qatar y a dépensé 220 milliards de dollars (par rapport aux 4 milliards dépensés par l’Allemagne pour organiser les Mondiaux de 2006).

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Qatar 2022 : la Coupe du monde en onze absurdités

ReporterreQatar 2022 : la Coupe du monde en onze absurdités

Reporterre - 10 nov 2022

Stades à usage unique, avions toutes les dix minutes, ouvriers morts... De nombreux scandales entachent la Coupe du monde de football au Qatar. Zoom sur les onze plus importants.

   

Du 20 novembre au 18 décembre, le Qatar accueillera l’un des plus grands événements sportifs de la planète : la Coupe du monde de football masculin. Lors de sa dernière édition, en 2018, plus de 1 milliard de téléspectateurs ont suivi la finale France-Croatie. Le sélectionneur français, Didier Deschamps, dévoilera sa liste de joueurs au JT de 20 heures de TF1 le 9 novembre. Une autre liste s’impose : celle des absurdités liées à ce « Mondial de la honte », qui concentre une myriade de dérives climaticides, d’atteintes aux droits humains, le tout sur fond de corruption. Reporterre en a sélectionné onze, comme le nombre de footballeurs dans une équipe.

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La pandémie Covid-19 est terminée

Nouveau MondeEn France et dans de nombreux pays aussi, la pandémie est terminée

Nouveau Monde - 23 sep 2022

Les données de l’OMS traduites en graphique par l’université John Hopkins confirment en effet que la pandémie est terminée dans le monde, aux USA ; en Europe et en France.

   

18 septembre 2022, le président américain, Joe Biden, a déclaré sur CBS : « la pandémie est terminée » au grand dam des commentateurs des médias complices de la propagande terrorisante du gouvernement depuis plus de 30 mois. Les fabricants de vaccins ont immédiatement perdu 9 milliards de dollars avec la chute de 9% de la valeur marchande de leurs actions.

Il n’y avait aucune raison médicale objective de se faire injecter ces médicaments préventifs abusivement présentés fallacieusement comme « vaccin » et mis sur le marché trop rapidement alors que leurs essais n’étaient pas terminés (ils le seront peut-être en 2023).

Maintenant que ces pseudo vaccins se sont révélés inefficaces tant pour la protection individuelle (vacciné, vous n’êtes pas protégé !) que pour la prévention de la transmission (vacciné, vous pouvez quand même contaminer vos proches) et potentiellement dangereux et que l’épidémie est terminée, il est scandaleux de continuer à promouvoir ces injections expérimentales inutiles dont la balance avantages/risques penche indiscutablement du côté des risques.

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