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100 milliards de pertes

Égalité et RéconciliationRussie : 100 milliards d’euros de perte pour les entreprises européennes

Égalité et Réconciliation - 10 août 2023

En se retirant de Russie, les entreprises européennes ont perdu plus de 100 milliards d’euros.

   

La sortie de la Russie a coûté cher aux groupes européens. Selon le Financial Times, qui a décortiqué les rapports annuels et bilans financiers de quelques 600 groupes européens, 176 entreprises ont d’ores et déjà engrangées des pertes pour un montant total de plus de 100 milliards d’euros. Et il ne s’agit là que des pertes directes, les charges ou dépréciations liées à la vente, la fermeture ou la réduction de l’activité en Russie. Ces chiffres ne tiennent ainsi pas compte de tous les effets macro-économiques comme la hausse des coûts de l’énergie et des matières premières.

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Récession 2024

InsolentiaeRécession 2024

Insolentiae - 28 juil 2023

Atterrissage en douceur, atterrissage brutal ou atterrissage d’urgence, comment se préparer ?

   

Tout d’abord, historiquement, il faut entre 18 et 24 mois pour que les conséquences des hausses de taux d’intérêt se matérialisent dans l’économie et se « transmettent » comme on dit en langage de banquier central.

Qu’avons-nous appris ces dernières années ? Essentiellement que le système était infiniment plus résilient et plus solide que nous le pensions.

Nous avons appris que le système devait cette résilience spécifiquement au fait que les autorités politiques et économiques, gouvernements comme banques centrales changeaient les règles du jeu à chaque crise pour éviter le pire.

Dans la mesure où personne n’a franchement intérêt au chaos, disons, que ces changements et ces immenses accommodements avec la réalité économique ne déplaisent à personne et certainement pas aux marchés qui ont largement profité de l’ensemble de toutes ces largesses.

Après Lehmann Brothers, le monde aurait dû s’effondrer, mais la FED a injecté, oui, tenez-vous bien, 20 000 milliards de dollars dans l’économie mondiale et des milliers de milliards pour sauver le système bancaire européen.

Nous avons appris que pour « stimuler » l’économie et nous « forcer » à consommer ou investir pour que le système puisse continuer à tourner, les autorités pouvaient nous envoyer dans un endettement sans fin et créer un monde de taux zéro et même négatifs. Oui, un monde où demain sera plus certain qu’aujourd’hui, un monde où l’emprunteur est payé pour emprunter et le prêteur sanctionné pour avoir mis de l’argent de côté. Nous venons de passer 10 ans dans un tel monde.

Nous avons appris avec la pandémie une nouvelle notion. Le « quoi qu’il en coûte », les confinements et l’argent directement versé aux gens sur les comptes en banque. Evidemment si soutenir les marchés financiers ne crée pas forcément d’inflation généralisée (trappe à liquidité) mais l’inflation de certaines classes d’actifs (immobilier, obligations ou actions), soutenir directement les ménages génère une inflation majeure, surtout quand on organise sciemment ses conditions.

On enferme d’abord les ménages, on les empêche de dépenser pendant des mois de confinement avec des délires du type « produits non essentiels interdits à la vente ». Le taux d’épargne monte en flèche alors que toutes les usines du monde sont fermées. Des milliards sont stockés en attendant de pouvoir être dépensés. A la « libération », les ménages sont ultra-solvables et les magasins vides. L’ajustement se fait par le prix et nous obtenons un choc inflationniste post-Covid.

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hausse du prix de l'électricité

Insolentiae10 % de hausse en plus pour les tarifs de l’électricité

Insolentiae - 20 juil 2023

C’est encore une hausse de l’électricité qui vient d’être annoncée.

   

Au total, depuis 2021, le tarif réglementé de l’électricité, dont dépendent quelque 23 millions de clients, aura augmenté de 31 %.

Cette hausse de 10 %, mécaniquement, va jouer sur l’inflation à la hausse.

Comme c’était prévisible, la politique française est toujours la même.

C’est un processus itératif. Une inflation plus forte plus longtemps mais moins forte que les pays ou elle a été la plus forte, puisque nous « étalons » les hausses.

Au final, il n’y aura pas de cadeau pour les Français sur les prix de l’énergie, et le gouvernement n’est arrivé à rien avec les Allemands qui refusent de revoir le marché de l’énergie en Europe et la fixation des règles de prix.

Du coup, nous avons l’électricité la moins chère d’Europe que nous devons payer au prix fort.

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L'Union Européenne en faillite

Aube DigitaleViktor Orbán : L’UE est au bord de la faillite déclare le président hongrois

Aube Digitale - 03 juil 2023

Orbán participe actuellement au sommet de deux jours des dirigeants européens à Bruxelles, et l’un des sujets les plus brûlants est la question de savoir où a disparu l’argent du budget de l’UE.

   

Le premier ministre hongrois a déclaré que la Commission européenne avait soumis une proposition d’amendement budgétaire demandant aux États membres de payer des dizaines de milliards d’euros.

Orbán a également fait remarquer que l’UE demande plus d’argent aux États membres, alors qu’elle n’en est qu’à deux ans de son budget septennal. En d’autres termes, l’argent dont la dépense a été approuvée et qui était censé être disponible pour les cinq prochaines années a déjà été dépensé.

« La seule question que tout le monde se pose ici à Bruxelles est la suivante : Où est passé l’argent ? »

Viktor Orbán

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contrôle de la finance mondiale

Echelle de JacobVers un affrontement pour le contrôle de la finance mondiale

Echelle de Jacob - 20 juin 2023

Il y a près de deux siècles, après les premières révolutions industrielles et politiques du 18e siècle, la politique a cédé la place à la finance. La plupart des gens n’ont pas vu ce bouleversement profond qui faisait changer de main le pouvoir réel tout en gardant la même apparence des choses.

   

La première manifestation en France ne fut apparemment pas couronnée de succès, et l’aventure de l’Ecossais John Law, devenu le financier de Louis XV, se termina mal. Pourtant, elle préfigurait le monde financier tel que nous le vivons aujourd’hui.

Le contrôle de la monnaie est la marque du pouvoir

On parle beaucoup (et souvent à tort) de souveraineté, mais on la définit rarement par ses attributs, c’est-à-dire ce qu’elle procure par son exercice. Pourtant, il y en a un qui est fondamental, c’est celui de « battre monnaie ». Les colons américains, qui s’étaient vu déposséder de ce droit par l’interdiction de la Banque d’Angleterre d’émettre leurs « locals scripts » eurent à cœur de le graver dans le marbre de leur Constitution, en le mettant dans l’article premier de cette dernière.

Toute l’histoire des États-Unis est empreinte de cette lutte pour le contrôle de la monnaie américaine qui a opposé les banquiers anglo-saxons qui dirigeaient la Banque d’Angleterre et les présidents dits « Jeffersonniens » qui voulaient défendre le principe constitutionnel.

Le Federal Reserve Act, adopté sans majorité par le Congrès en décembre 1913 a consacré la victoire des banquiers.

[...]

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taxes sur les voitures électriques

InsolentiaeMafia Al Carbonne : taxes sur les voitures électriques

Insolentiae - 17 juin 2023

Comment votre voiture électrique va être taxée pour compenser les taxes sur les carburants !

   

Pour sauver le climat, roulez en voiture électrique, mais pour sauver les finances publiques, payez une taxe aux kilomètres parcourus !!!

Car, oui, c’est un angle mort terrible pour l’Etat, pour notre Etat fort dispendieux pour lequel la voiture thermique est une manne financière extraordinaire. TVA à l’achat, taxe sur chaque litre de carburant, vignettes, PV, assurance obligatoire, contrôle technique, entretien, à toutes les étapes l’Etat encaisse, l’Etat empoche.

Alors la voiture électrique est une calamité fiscale pour l’Etat français.

38 milliards d’euros qui vont manquer à l’appel !

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déclin du G7 sur la scène internationale

Réseau InternationalDéclin du G7 dans l’économie et la finance internationales

Réseau International - 15 juin 2023

Déclin de l’importance et de l’influence du G7 dans l’économie et la finance internationales.

   

Ce texte permet, selon moi, de réfléchir sur l’avenir qui nous attend, et de comprendre pourquoi le président Poutine prendra tout son temps pour conduire l’opération en Ukraine et pour négocier, à ses conditions, au moment opportun.

Il faut cesser de regarder la crise ukrainienne par le petit bout de la lorgnette, c’est à dire par les seules opérations militaires qui se déroulent à un rythme, jugé trop lent par les impatients qui s’excitent comme des puces sur chaque péripétie pour les commenter sans fin, sans prendre le recul nécessaire.

Cette guerre est une guerre mondiale qui se déroule sur la planète entière et sur plusieurs théâtres simultanément. Elle oppose deux camps bien identifiés. Le camp US-UE-G7-OTAN-AUKUS des néoconservateurs mondialistes qui s’efforce de ralentir son déclin et de conserver l’hégémonie le plus longtemps possible en s’ingérant partout pour façonner le monde selon ses intérêts, et le camp BRICS-OCS- + +, en pleine expansion économique, qui refuse la soumission aux «règles» US, prône la non ingérence dans les affaires d’États souverains, l’égalité et le respect mutuel entre États.

La victoire dans ce bras de fer ira, comme pour la guerre froide, au camp le plus résilient du moment sur le plan économique.

Chacun voit bien que la donne a changé depuis 1990 et que le camp le plus résilient d’hier n’est plus forcément celui d’aujourd’hui ou de demain. Le texte proposé qui traite de l’évolution du G7 devrait aider à mieux comprendre la situation actuelle, les enjeux du bras de fer et à prévoir son issue..

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la dette déplafonnée

InsolentiaeLe plafond de la dette déplafonné… on va s’emplafonner !

Insolentiae - 31 mai 2023

L’édito de Charles SANNAT

   

Le pire n’aura pas lieu, et objectivement, les Républicains, enfin le « Speaker » républicain Kevin McCarthy s’est plutôt écrasé et l’accord auquel ils sont arrivés de manière théorique entre McCarthy et Biden penche sans conteste pour une victoire presque par KO de la Maison-Blanche.

En effet, le plafond de la dette n’est pas relevé de quelques dizaines de milliards, ou même de quelques centaines.

Non.

Il est tout simplement supprimé.

Que dis-je, il est suspendu.

C’est un mode « no limit » qui est désormais possible pour la Maison-Blanche.. jusqu’en 2025.

Tout cela reste un accord provisoire dans la mesure où il doit être validé par les représentants à la Chambre mais il s’est passé quelque chose aux Etats-Unis.

Quand on regarde en détail l’accord prévu, il ne se passe globalement rien. Les dépenses sociales ne sont pas coupées, pas plus que les dépenses environnementales, disons simplement qu’ils se sont mis d’accord pour construire plus d’éoliennes et également plus de puits de pétrole ! Mais là encore ce n’est pas l’important. Pas plus que le fait de cesser de dépenser les fonds « Covid » n’est significatif d’un point de vue économique.

Passons donc à l’essentiel que cet accord ne dit pas.

Ne vous dit pas.

Et que personne n’a relevé.

Mais pourquoi passer en mode « no limit » et plus de plafond jusqu’en 2025 ?

Pourquoi ?

Pourquoi ne pas rajouter une limite de 2000 milliards, allez, soyons fous, la dette actuelle est de plus de 31 000 milliards de dollars, on aurait même pu rajouter 5 000 milliards de dollars pour se donner du mou.

Ici, c’est sans limite.

Le plafond n’existe plus pour les deux prochaines années ?

Pourquoi ?

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BRICS

Réseau InternationalLes BRICS et le bouleversement mondial

Réseau International - 28 avr 2023

L’élargissement de l’alliance des BRICS non seulement avance dans la phase de confirmation, mais semble largement dépasser les attentes quant au nombre de pays souhaitant se joindre à l’organisation pro-multipolaire.

   

Le tout au grand désarroi de l’Occident, dont la représentation minoritaire à l’échelle planétaire n’est plus à démontrer.

19 pays ont exprimé leur intérêt à rejoindre le groupe des nations BRICS alors que se prépare le sommet annuel qui aura lieu en Afrique du Sud, écrit Bloomberg. Le sujet de l’élargissement de l’alliance à de nouveaux membres sera effectivement discuté cet été en terre sud-africaine.

L’information n’est effectivement pas nouvelle – Observateur Continental l’a précédemment plusieurs fois traité – y compris justement la question de l’élargissement en faveur d’autres pays non-occidentaux. Le tout à l’heure où le PIB combiné des 5 cinq membres des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) dépasse désormais celui des 7 membres du club occidental + Japon, le fameux G7.

Par contre ce qui est intéressant de noter dans l’article de Bloomberg, c’est le fait que sur les 19 pays ayant exprimé leur volonté d’adhésion aux BRICS – 13 l’auraient fait de manière officielle, tandis que 6 autres non-officiellement. Peut-être d’ailleurs afin d’éviter dans le cas de ces derniers de mettre trop tôt en colère leurs partenaires occidentaux.

Cela d’autant plus qu’il ne faut pas croire que toutes les demandes recevront une réponse favorable et immédiate. Un tri sera incontestablement nécessaire et une feuille de route sera probablement déterminée pour chacune des demandes concernées. Cela sans oublier que – comme Observateur Continental l’avait précédemment abordé – des pays-candidats pourraient être dans un premier temps acceptés comme observateurs de l’organisation, avant une éventuelle pleine adhésion au groupe.

Dans tous les cas, les BRICS auront non seulement confirmé leur attractivité à l’échelle mondiale, mais désormais avec les nouvelles perspectives il devient évident que l’Occident approche la perte non seulement de sa domination géopolitique, mais bel et bien et également géoéconomique, à l’heure où dans le Top 10 mondial en termes de PIB à parité du pouvoir d’achat les économies occidentales ne représentent plus la majorité. Et cela sur la base même des données du Fonds monétaire international (FMI).

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banques et pétrole

InsolentiaeLes banques ont versé 673 milliards de dollars aux producteurs d’énergies fossiles !

Insolentiae - 20 avr 2023

En 2022, les grandes banques mondiales ont continué de verser des centaines de milliards de dollars aux producteurs d’énergies fossiles, principale cause du réchauffement climatique.

   

C’est ce que dénoncent, jeudi 13 avril, les ONG de la coalition Banking on Climate Chaos (« miser sur le chaos climatique »), qui regroupe des associations de lutte contre le changement climatique, dans un nouveau rapport.

Selon leurs calculs, effectués à partir des bases d’informations financières comme Bloomberg, les 60 principaux établissements bancaires mondiaux ont versé un total de 673 milliards de dollars (616 milliards d’euros) à des entreprises comme Saudi Aramco, ExxonMobil ou TotalEnergies, trois compagnies pétrolières. Une part significative de ces financements – 150 milliards de dollars (136 milliards d’euros) – sont même allés à des entreprises qui continuent de lancer de nouveaux projets d’exploitation de charbon, de pétrole ou de gaz.

« Notre objectif est d’alerter sur l’écart entre les promesses et les pratiques. Il n’y a rien de plus grave que de penser que la situation est entre de bonnes mains et que la finance va nous sauver », explique à franceinfo Lucie Pinson, directrice de l’ONG Reclaim Finance, membre de la coalition. En 2021, les grandes banques s’étaient engagées, via la « Net Zero Banking Alliance », à atteindre la neutralité carbone de leurs portefeuilles en 2050.

Ce chiffre de 673 milliards de dollars est toutefois en baisse par rapport à l’année dernière (801 milliards de dollars). « Il est trop tôt pour dire si c’est encourageant. Nous avons vu des effets yo-yo les années précédentes », estime Lucie Pinson. »

La transition c’est une transition… donc un processus !

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low-tech et avenir

ReporterreComment la low-tech peut échapper à la récupération capitaliste

Reporterre - 20 avr 2023

Dans « Perspectives Low-Tech. Comment vivre, faire et s’organiser autrement ? » Quentin Mateus et Gauthier Roussilhe s’interrogent : la low tech peut-elle conserver son potentiel émancipateur ou est-elle condamnée à être dévoyée.

   

Les high-tech polluent et nous aliènent ; face à elles se développent des alternatives plus sobres en énergie, appropriables par leurs utilisateurs et adaptées à nos besoins : les low-tech. Si cette idée est réconfortante, elle est trop simple pour être vraie. C’est souvent le cas lorsqu’une solution clé en main semble découverte. Dans un petit livre passionnant, Perspectives Low-Tech. Comment vivre, faire et s’organiser autrement ? (éditions Divergences), Quentin Mateus et Gauthier Roussilhe explorent les ambiguïtés de la low-tech et identifient les écueils dans lesquels le mouvement risque de tomber.

« Rien ne dit que la low-tech représente une solution miracle, mais elle nous aide à comprendre que nous traversons […] une crise technique », posent-ils d’emblée. Les auteurs, respectivement compagnon de route de longue date du Low-Tech Lab et chercheur indépendant spécialisé sur les conséquences environnementales du numérique, ont eu l’occasion d’observer des initiatives low-tech aux quatre coins de France et d’Europe, et proposent dans ce livre un point d’étape.

Cette réflexion est d’autant plus importante que le courant arrive à un point de bascule : maintenant que la myriade d’initiatives low-tech attire l’attention du public, cette voie technologique peut-elle conserver son potentiel émancipateur en se diffusant massivement, ou est-elle condamnée à être récupérée par le marché et dévoyée ?

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hyperbitcoinisation

Géopolitique profondeLes BRICS mènent le monde vers l’hyperbitcoinisation

Géopolitique profonde - 14 avr 2023

Comment l’émergence des BRICS en tant qu’alternative à la domination mondiale du dollar américain favorisera l’adoption du bitcoin à l’échelle mondiale.

   

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont toujours été la superpuissance mondiale dominante.

L’Union soviétique a rivalisé de supériorité pendant la guerre froide, mais a finalement échoué en perdant le contrôle de ses États satellites. La chute du mur de Berlin en 1989 en a été la preuve.

Ces dernières années, l’hégémonie américaine a été remise en question par la Chine, une nation qui a accumulé d’énormes richesses depuis l’ouverture de son économie au monde.

La Chine semble désormais prête à usurper le pouvoir mondial, car elle continue à s’engager dans une forme d’impérialisme financier à travers le monde (pour en savoir plus, lisez « China Unbound »[La Chine sans frontières]de Joanna Chiu).

Aujourd’hui, la Russie et la Chine font partie d’un groupe mondial connu sous le nom de BRICS, qui comprend le Brésil, l’Inde et l’Afrique du Sud – d’autres pays, tels que la Turquie et l’Arabie saoudite, attendent peut-être en coulisses de les rejoindre.

Au cas où vous n’y auriez pas prêté attention, le monde est en train de subir un changement de paradigme majeur, avec les BRICS au centre.

Les banques du monde entier font faillite, l’Arabie saoudite et l’Iran négocient des pourparlers de paix historiques et les pays commencent à s’écarter du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale.

Il est donc important de se demander comment l’état actuel de la géopolitique et de la macroéconomie façonne l’avenir d’un monde hyperbitcoinisé.

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