C’est pourquoi le gouvernement socialiste de gauche est en train de faire passer une loi autorisant les expropriations de la propriété privée et un « corralito ».
Ce dernier point signifie que l’État peut accéder à l’épargne que les gens ont sur leurs comptes bancaires. Dans ces « situations de crise », le citoyen n’aurait le droit de retirer que de petites sommes. Le reste de l’argent pourrait être « temporairement » confisqué. Le montant maximal serait déterminé par l’autorité du pays concerné, expliquait le portail "La Información" en mars 2021.
Chaque année, les dirigeants d’entreprise, les banquiers, les responsables des médias, les universitaires et les politiciens les plus riches et les plus puissants du monde se réunissent à huis clos pour discuter de la manière de façonner le monde tout en perpétuant un statu quo qui a été très bénéfique pour une poignée de personnes. Nous parlons, bien sûr, de la réunion annuelle, et toujours très secrète, du Groupe Bilderberg.
La 68e réunion Bilderberg est déjà en cours à Washington, D.C., et a débuté jeudi pour se poursuivre jusqu’à dimanche.
Albert Bourla, PDG de Pfizer, Eric Schmidt, ancien PDG de Google, Henry Kissinger et William J. Burns, directeur de la CIA, figurent parmi les 120 invités (cliquez ici pour la liste complète) de cette année, originaires de 21 pays… mais rares sont les Russes.
« Si le groupe Bilderberg n’est pas une conspiration quelconque, il est dirigé de manière à en donner une imitation remarquablement bonne »