Avril dernier. Les nouvelles paraissent alors favorables. La Haute autorité de santé (HAS) laisse enfin entrevoir la réintégration du personnel soignant, après plus de 500 jours de suspension. Ces catégories de personnels, qui ont refusé dès septembre 2021 de se soumettre à l’obligation vaccinale contre la Covid-19 avec un produit expérimental non éprouvé, l’ont payé durement. Ni salaire, ni accès au chômage, ni autres ressources. Une véritable mise au ban de la société sous une impulsion bien plus politique que scientifique ou médicale. Nous avions interrogé Jean-Louis, photographe, engagé au sein du collectif Les Essentiels, dont le but a été, et demeure, de venir en aide à ces soignants abandonnés, maltraités, démunis. Si nous nous interrogions à l'époque sur la nature et les conditions de ce revirement, Jean-Louis a préféré immédiatement rester plus prudent : "Au risque de jouer les trouble-fêtes, je ne considère pas encore, à ce stade, que la réintégration des soignants soit vraiment une victoire". Sa méfiance s'est-elle avérée être justifiée ?
Gilles Gianni, France-Soir - En avril dernier, de nombreuses personnes se réjouissent de la fin de la suspension des soignants qui ont refusé le vaccin expérimental anti-Covid-19. Pas vous. Lors d’un entretien à France-Soir, vous exprimez même une prudence, voire une méfiance envers cet apparent relâchement. Avez-vous eu raison de rester sur la défensive ?
Jean-Louis, les Essentiels - C’est bien l’une des rares fois où je regrette d’avoir vu juste, car comme je le pressentais ce sont les conditions dans lesquelles s’opère la réintégration qui sont déterminantes. Pour quelques cas isolés elle s’est bien passée, elle leur a permis de souffler, de revivre un peu, mais pour beaucoup le calvaire est loin d’être terminé, il est même plus douloureux que jamais. Il l’est d’autant plus que leur problème est aujourd’hui réglé dans l’esprit de tous, alors que c’est bien souvent le coup de grâce, la mise à mort finale.
« La réintégration c’est pire que la suspension, moi je l’appelle la désintégration. »
Elle est utilisée en médecine vétérinaire depuis des années contre des virus comme celui de la pseudo rage porcine ou l’encéphalite équine vénézuélienne, tous deux virus à ARN comme le Sars-Cov-2. Son action sur les importines, empêchant les virus de pénétrer dans les cellules, est connue et reconnue depuis 1972, tout comme son action contre le choc cytokinique responsable des décès du Sars-Cov-2, comme le montre nombre d’études et comme l’écrit aussi le Vidal.
Alors que l’ivermectine a démontré en 2020 son efficacité dans de nombreux témoignages et dans toutes les études publiées dans l’année, début 2021 a eu lieu la plus grande manipulation sanitaire de l’histoire. La France semble y avoir joué un rôle non négligeable pour rayer l’ivermectine de la pharmacopée, bien qu’ayant démontré ses possibilités tout en étant un des médicaments les plus sûrs qui soit.
La montée en puissance de l’ivermectine au second semestre 2020, faisait qu’elle représentait un grave danger pour l’industrie pharmaceutique qui avait investi des milliards dans la recherche contre le covid. Il fallait donc mettre un terme à cette thérapeutique croissante, sans concurrence, sinon l’hydroxychloroquine que les politico-financiers aidés de « médecins » avaient déjà réussi à faire taire.
Monsieur le Président,
La Vanité rend aveugle et sourd. Eussiez- vous un QI XXXL, la Vanité anéantirait les Capacités de vos Neurones. Mais bien sûr, vous n’êtes pas concerné.
Quand on accepte le sobriquet de Jupiter, on se sent planer au-dessus du vulgum pecus, d’autant que Jupiter est le Dieu romain le plus puissant du Panthéon.
Mais Jupiter est aussi, à 95 %, formé de gaz. C’est dire qu’il n’a quasiment aucune consistance.
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L’ONS a publié les données sur les décès par statut vaccinal le 16 mai. Le rapport comprenait un graphique intitulé “Nombre de décès dans les 28 jours suivant la vaccination contre le COVID-19 en Angleterre”.
« Il était clair dès le départ que la plupart des données publiées par les gouvernements – pas seulement le gouvernement britannique, mais la plupart des gouvernements dans le monde – étaient trompeuses parce qu’elles étaient basées sur des statistiques très facilement manipulables »